La Saga Des Esclaves Au Château Du Marquis D'Evans (Épisode N°1321)
Les Nuits de Sophie au Château (Suite ) -
Ce qui lui déclencha un sourire discret, mais que japercevais tout de même
- soumise Keira MDE ?
Que fais-tu là ?
- Bonjour Madame, Cest le Maître qui mexigea tôt ce matin de venir sans vous réveiller dans votre chambre et dattendre ainsi agenouillée que vous vous réveillez et de rester à votre entière disposition pour être utilisée si telle est votre envie.
- Ah ? Très bien, mais ne manquerais-tu pas à lun de tes devoirs les plus primordiales ? Tu nas pas à avoir un sourire aussi discret soit-il, lui dis-je de manière neutre et pourtant si expressive, ayant pris soins de lui rappeler son appellation complète, et de manière intrinsèque, sa condition. Elle à qui je navais jamais eu à redire et portant la marque MDE, une faute si élémentaire
- Je vous implore, Madame, de bien vouloir sanctionner cette conduite indigne dune esclave MDE.
- Je suis dhumeur magnanime, si tu réussis à me faire jouir, dans le temps que je toffre à cette tâche, je te laisserais annoncer toi-même ta faute au Maître des lieux, dans le cas contraire je sévirais une première fois et annoncerais moi-même ton écart de conduite à Monsieur le Marquis. Tu n'as le droit qu'à ta bouche.
Maintenant que je la fusillais du regard, elle sen retournait à sa perfection et exécuta avec Maestria la tâche que je lui avais commandée. Sa langue experte était agile et savait donner du plaisir à une femme, c'était indéniable. Cétait une bonne chienne aux qualités multiples, au dressage parfait, pensais-je en collant son visage contre mon entre-jambe et je ne tardais pas à lâcher ma jouissance via un orgasme fort, lui couvrant le visage de ma cyprine
Je lui exprimais mon contentement une fois sa tâche finit en lui tapotant le haut du crâne
Plus tard, durant le déjeuner avec Monsieur le Marquis, celui-ci mobservait, un sourire à peine caché sur ses lèvres, faisant certainement miroir dun sourire niais que jarborais moi-même.
- Monsieur le Marquis, si vous nenlevez pas ce petit sourire un tantinet moqueur de votre visage, je vous le ferais passer, larme à la main dans un duel digne de vos glorieux aïeux !
- Comment pouvez-vous penser un instant que Ma noble personne puisse se moquer de la vôtre ?
Et vous avez laudace de me menacer dans Ma propre Demeure ? Me répliqua-t-il faussement indigné, car je ne doutais pas une seconde que ce défi, hautement amical, lamusait et ne lirritait point.
- Je ne vous menace nullement Edouard, je vous fais une promesse ! Il éclata dun petit rire qui lui était typique et propre à Son noble rang.
- Alors soit ! Choisissez-vos armes !
Notre différent se réglerait donc au fleuret comme nous lavions décidé, tels deux s motivés à se combattre à lépée par amusement. Nous décidions même de réaliser ce duel après le retour de ma fille à mes côtés. Ainsi nous aurions chacun deux témoins. Nos Majordomes respectifs, et pour chacun, lun de nos esclaves. Si la victoire me revenait, je ne gagnerais rien dautre que la réparation dun affront imaginaire. Si le Châtelain gagnait, nous étions convenus quil obtiendrait Sophie pour une nuit complète, ce qui soit dit en passant, ferait beaucoup de bien à mon esclave de Sophie de passer entre les mains du Noble et de Sa remarquable expérience
Deux jours passèrent encore, plus que lentement. Les rapports matinaux étaient courts et me détaillaient lusage de Sophie par les rustres gardes forestiers du Noble et ses éventuelles problèmes notables mais tout se déroulait très bien. Et enfin, en soirée, pendant que je prenais le thé avec Monsieur le Marquis, Walter vint nous interrompre pour nous annoncer que Sophie avait gagné la dernière clé qui la libérait de son collier et quelle était à linstant convoyée jusquici.
Suite de la narration par Sophie :
Javais réussi. Je ne savais pas trop combien de temps cela mavait-il pris, mais javais quitté mes entraves. Ils avaient tout essayé sur mon corps desclave pour leurs plaisirs et je dois bien lavouer le mien aussi, mais sans jamais que je ne puisse jouir et tout cela malgré ma fatigue extrême. Javais tenu tant bien que mal pour linstant. Javais également perdu la notion du temps et de lespace. Je ne ressentais plus grand-chose hormis les réminiscences de douleurs sur tout mon corps et dans mes trois orifices mainte fois utilisés. Je ressentais aussi la fatigue et limmense âtre de braise que javais en moi telle cette chienne en chaleurs constante, chaleurs qui me travaillaient toujours en mon bas-ventre.
- Tu as était parfaite, ma chérie
Un léger souffle contre ma tempe de la part de Maitresse. Cest tout ce quil me fallait pour reprendre un peu de courage avec le peu dénergie qui me restait. Je rouvrais les yeux et essayais de lui afficher un petit sourire quoi quil fût tremblant. Je ne savais même pas si elle était toujours là. Une nouvelle voix séleva, une voix que javais déjà entendu, une voix qui imposait le respect et transpirait dune supériorité légitime, une voix Dominante.
- Quelle se repose, quelle soit lavée, récurée, soignée, pansée et largement nourrie et quelle récupère du sommeil et du repos. Je veux quon prenne très soin delle
Booba, emmène-là
Memmenez ? Où ? Je venais dentendre cette voix dautorité juste après celle, si douce, de Maitresse, je ne pouvais pas rester avec elle ? Mais comme elle ne soffusquait pas, tout devais être normal. Leurs comportements envers moi changèrent du tout au tout. Le colosse noir me prit dans ses impressionnants bras avec beaucoup de douceur, comme si jétais une plume, car pour sa forte musculature, je devais être très légère ! Et à aucun moment il ne me brusqua, bien au contraire chacun de ses mouvement était dune extrême lenteur de douceur. Et il me déplaça une fois encore, au travers de couloirs luxueux, descaliers en colimaçon pour minstaller dans un confortable lit douillet placé dans une somptueuse chambre digne des contes de Mille et une nuit
.
- Bonsoir Sophie, je suis lesclave Phryné MDE et avec moi se trouve la soumise Keira MDE, nous sommes toutes les deux des chiennes MDE et propriétés absolues de Monsieur le Marquis dEvans, Maitre de Ses lieux. Nous allons prendre soins de toi.
Je sursautais un peu que lon madresse la parole, surtout de cette manière, aussi aimable et emplie de considération et de gentillesse. Javais toujours du mal pour ne pas sursauter quand je découvrais que quelquun était présent ou quand on me parlait. Cependant cette voix douce me réconfortait déjà. Lesclave Phryné MDE releva tendrement ma tête baissée avant de la caresser du revers de la main.
- On va dabord te nettoyer un peu ici avant de te faire prendre un bon bain chaud et salvateur pour enfin finir par te soigner. Ensuite, tu pourras dormir autant que tu en auras besoin. Tu pourras aussi te sustenter autant que tu en auras envie. Le Maître nous a ordonné de soccuper de toi comme si tu étais une véritable princesse
Jen étais toute émue, peu habituée à ce genre de traitement
Elles maidèrent à mouvoir mon corps fatigué et endolorie quelques mètres plus loin, jusquà une zone carrelé quétait une magnifique salle de bains attenante à la chambre et elles commencèrent à me placer sous une douche à lItalienne et à me « racler » la couche collante de boue, durine et de sperme qui me recouvraient de la tête aux pieds. Sur mes cuisses, mon dos, mes épaules, à lembouchure de mes trous
Sans un mot, mais avec toujours une délicatesse et douceur évidentes, elles me mirent même le carrelage en position de quadrupédie pour minsérer une canule dans lanus qui très vite se remplit, me distendant un peu le ventre. Elles passaient encore et encore leurs éponges imbibées deau chaude et de savon moussant à la très agréable senteur de rose, avec précautions sur les stries rouges qui me parsemaient, avec plus de vigueur ailleurs pour me décrasser efficacement et surtout pas pour me brusquer, tandis que je me faisais nettoyer de lintérieur. Jaimais bien cette sensation, me faire remplir de la sorte, à chaque lavement je sentais tout ce liquide appuyer là où il fallait ce qui était un petit plaisir en soi, en plus de savoir que jétais propre à nouveau.
Ce traitement me revigorait un peu et permis que lenvie de dormir me passa momentanément. Elles retirèrent la canule en mintimant gentiment de me vider dans la bassine quelles venaient dapporter. Je grimaçais. Le travail était long mais effectué avec efficacité. Quand elles passèrent à mon visage et mes cheveux, je me rendis compte que je puais atrocement. Elles commencèrent ainsi à me laver les cheveux sous la pomme de douche, et un champoing poussant au parfum de la lavande et elles me séchèrent les cheveux via des linges à léponge douce. Je réalisais le niveau de mon état crasseux en constatant la difficulté de leur proposer mes cheveux emmêlés et souillés : Jespérais simplement quils nétaient pas trop abimés. Ce nétait pas de la vanité, mais, cétait juste que Maitresse les aimait beaucoup
Je nen fis cependant pas la réflexion, je navais sûrement pas lautorisation de parler. Comme si elles lisaient dans mes pensées, Keira MDE minforma le contraire, que javais le droit de parler, avec modération cependant.
Un quart dheure passa environ avant quelles ne décident que ça suffisait et que je pouvais passer au bain. Nous passâmes juste de la douche à la baignoire. Javais les muscles endoloris alors ce fut compliqué pour moi de marcher, car nous évoluions en bipédie, ce qui me changeait de mes déplacements en quadrupédie dans le parc. Elles maidèrent à entrer dans cette immense et haute baignoire avant quelles ny entrent également. Elle avait la taille dune petite piscine ou plutôt avait la fonction aussi dun immense spa avec une surface de 4 mètre sur 4 environ ! Et cette baignoire possédait de multiples jets moussants de tous côtés pour le bien-être. Phryné MDE se plaça derrière moi, me tirant contre elle entre ses jambes, Keira MDE resta devant moi. Leau brulante et odorante me nettoyait autant que me rassérénait. Leurs mains baladeuses mais en des gestes précis me rendaient propre et me massaient en même temps. Je mabandonnais littéralement entre leurs mains expertes. Je ne savais pas trop qui me faisait quoi, hormis que cétait Phryné MDE qui me faisait un nouveau shampoing
Je respirais doucement, jétais blottie contre le corps de Phryné MDE et elle massait mes cheveux, le cou et mes épaules. Cétait agréable. Jétais à la limite de lendormissement tellement cette sensation de bien-être me délassait quand les mains de Keira MDE se rapprochèrent trop de mon clitoris et de ce qui sen suivait. Ses mains divines étaient proches à mes yeux de devenirs démoniaques. Je me crispais et tentais de me replier sur moi-même mais elles men empêchèrent en me souriant tout en mécartant mes cuisses. Je tentais de mexpliquer.
- Non
sil vous plait, jai réussi à tenir jusquici
Javais mis le peu qu'il restait de mon énergie dans cette plainte. Keira MDE me fit vite comprendre ses intentions.
- Nous ne sommes pas là pour cela, je ferais attention, je te le promets. Détends-toi et laisse toi aller au bien-être
Jessayais de me détendre, après tout je leur faisais entièrement confiance, reconnaissant en elles des surs de ma conditions. Elle reprit, plus doucement encore, comme si sétait toujours possible. Elles faisaient tout pour que je me détende. Cette fois-ci, je ne métais pas relâché au point de glisser à nouveau vers le sommeil, quoi ce ça naurait tardé.
- Cest suffisant pour ce soir, dit Keira MDE, on finira demain, maintenant il faut quelle dorme. Un bon sommeil lui sera salvateur...
Elle sadressait directement à Phryné MDE, je me serais assoupi je ne laurais sûrement pas appris la suite. Mais quand Phryné MDE répondit, cétait pour sadresser à moi.
- Sophie, soumise Keira MDE va taider à sortir de la baignoire.
Keira MDE maida à me lever en me tenant par les bras pour me tirer hors de ceux de Phryné MDE et de leau. Lune delle sortie, et elles maidèrent toutes deux à enjamber le haut rebord. Peu sen fallut que je ne glisse en posant le premier pied dehors. Vigilantes à ce quil ne marrive rien de fâcheux, elles me rattrapèrent de justesse. Elles me laissèrent un instant, seule et encore mouillée. Elles ne faisaient aucun bruit. Jétais légèrement voutée, mon bras droit replié en travers de ma poitrine et tenant mon bras gauche. Malgré toutes leurs précautions, je me sentais toujours tendu comme la corde dun arc, prête à exploser, la fatigue favorisant cet état. Jessayais dêtre autant à laffut de tous les sons et sensations, mais jétais trop loin éreintée pour reconnaitre et interpréter les bons détails. Cette courte attente de seulement quelques secondes me parut une éternité car la perception que javais du peu de temps écoulé était difficile, à cause de ma fatigue. Elles revinrent pour menvelopper dans des serviettes chaudes et masseoir sur un petit tabouret. Lune delle me séchait le corps tandis que lautre me séchait les cheveux, mais il métait toujours difficile de savoir laquelle. Jétais propre, sèche, je sentais bon et pendant que lune me brossait les cheveux, lautre que je commençais à soupçonner être Keira MDE me passait de la crème pour apaiser les brulures de fouets me parcourant ci-et-là. Après ceci, jétais enfin prête à aller me coucher pour un sommeil mérité
(A suivre
)
Comments:
No comments!
Please sign up or log in to post a comment!