Sous Les Jupons De L'Église. 3: Mission Humanitaire En Afrique
Maman en brousse.
Elle presse ses couilles, les embrasse, les suce avant de les prendre dans sa bouche tout en flattant de ses caresses la bite vraiment incroyable. Elle recommence à le sucer tout en jouant dune main avec ses couilles. Il a posé ses deux mains dans les cheveux de ma mère et marmonne entre ses dents :
- Tes vraiment bonne pour une blanche !
Suite :
La salive coule le long du manche le rendant brillant, les lèvres autour de sa grosse queue.
Il la attrapée par les cheveux pour baiser sa bouche jusquà la garde comme une brute assoiffée de baise. Étant donné les dimensions XXL, elle ne peut toute lavaler. Lexcitation du noir est à son comble. Ma mère sapplique à le pomper du mieux possible, il ne peut plus se retenir de ce traitement ininterrompu et un terrible orgasme le submerge. Il se déverse dans sa bouche avec des râles de satisfaction et des gémissements dextase
Lénorme bite noire enfoncée au tréfonds de sa gorge crache sa semence en longs jets tièdes.
-Ah ! Je
je ne peux plus me retenir
je
je jouis
. !
Sans plus aucune pudeur, ma mère déglutit et lui présente sa bouche ouverte pour bien lui prouver quelle a apprécié sa contribution spermique.
Le troisième homme assez âgé repousse les deux autres, cest un colosse de presque deux mètres et dans les 120 kilos. Il sort son sexe et là ma mère manque de peu de tourner de lil. Ce black est membré comme un cheval. Le mythe du « Noir à grosse queue » est explosé avec lui.
- Je me suis mis à laise
en attendant mon tour, grosse salope de blanche! Mais putain, moi jaime les grosses pouffes !
Il savance vers elle dont les yeux ne quittent pas le balancement de la verge, le prépuce légèrement rétracté sur son gland flétri à moitié découvert tranchant sur le noir de sa queue dâne excite et horrifie au possible ma mère.
Il avale le contenu dune fiole, sûrement du marabout du village.
Il appuie plus franchement sa verge quil doit tenir à deux mains sur la peau de ma mère en ricanant :
-Et pour moi, tu a la bonne taille dans tes capotes ?
Elle regarde cet énorme mandrin avec hésitation, tirant la langue pour goûter son gland avant de le parcourir lentement du méat urinal jusquà son frein, mordillant par à-coups son gland en le faisant à peine entrer dans sa bouche. Il a lair dapprécier et elle renouvelle lopération plusieurs fois, lui tirant des gémissements de plaisir.
La langue de ma mère parcoure lénorme phallus pour limprégner de salive. Mais même si elle voudrait en avaler le plus possible, vu la grosseur et la longueur, elle sait très bien devant la tâche quasi désespérée que se serait déjà un miracle si elle arrivait à en enfourner la moitié dans sa cavité buccale. Heureusement que la queue qui a pris des proportions colossales ne soit pas dune dureté à toute épreuve. Avec bravoure, elle lui passe une capote qui a lair ridicule sur un tel manche.
Le géant black gardant son calme, la prend dans ses bras et doucement lallonge au sol sur le dos tout en respirant fort au dessus delle, pelotant ses bourrelets, suçant ses tétons généreux, les mordants même, puis vient lui lécher le minou pour mieux la préparer à son « convoi exceptionnel ! »
Ses grosses mains saisissent enfin les hanches imposantes de maman qui le supplie dy aller doucement. Quand son gros champignon heurte la fente déjà ouverte, elle ressent un désir fou qui repousse ses appréhensions. Docilement, elle se cambre, car son excitation est devenue plus forte que sa peur quil la défonce.
Le bout du gros gland se plaque sur son orifice vaginal.
Elle a limpression dêtre dépucelée à nouveau. Le vieux y revient à plusieurs fois, plongeant et replongeant dans son fourreau qui sassouplit doucement sous les assauts de son manche équin.
Son fluide vaginal est si puissant que le gros tuyau noir glisse lentement sans trop de résistance dans la fente béante et humide. Mais il ne peut faire pénétrer que la moitié de sa matraque souple malgré la profondeur de la grotte de ma mère.
Elle est résignée et heureuse, il saccroche à ses hanches et la laboure avec une infinie lenteur.
Le jeune black a rebandé et se branle en le voyant faire, puis sapproche et lui présente sa verge pour quelle le suce pendant quil joue avec ses seins et ses tétons durcis par le plaisir. Il regarde lautre aller et venir, plus doucement mais sans sarrêter pendant de longues minutes avant de se retirer pour gicler sur ma mère. Mais même ça est disproportionné chez ce géant qui marmonne en se vidant dun flot ininterrompu de foutre très liquide. Ce nest pas un homme mais un cheval qui se vide sur elle tellement elle est recouverte dune quantité de semence quaucun humain ne peut concevoir.
A peine la chose faite, la bite pendante entre les jambes, il se rhabille et quitte la case.
Le jeune est si chaud quil retire sa bite de la bouche de ma mère. Elle grogne de dépit en remuant son cul. Elle sallonge sur le ventre pendant quil caresse son cul et son dos. Alors, elle se met à quatre pattes comme une chienne en chaleur.
-Viens, baise-moi fort !
Il nen peut plus et se met face à son cul après avoir passé un préservatif car il a retenu la leçon, crache dessus et la pénètre. Elle a le sentiment quil va lui déchirer le fion. Sa bite est trop grosse pour elle, ça va lui faire trop mal.
Il lencule vigoureusement. La grosse bite lui fait mal dans larrière train qui lengloutit entièrement.
Il accompagne lenculage titanesque dun mouvement de bassin vers lavant déclenchant une décharge électrique puissante. Sous les coups de boutoir qui la mène à lorgasme, elle jouit du cul, complètement trempée et en voulant encore.
Elle peut sentir chaque centimètre de sa queue en elle. Il pousse de plus en plus fort, attrapant ses cheveux. Ses mouvements deviennent beaucoup plus forts. Elle halète comme un animal qui apprend à nager en mode survie et prend une bouffée dair dès quelle le peut.
Il se retire enfin, att ses cheveux et éjacule sur son visage. Le foutre coule entre ses lèvres et elle lavale en le regardant droit dans les yeux. Il décharge dans sa bouche en longs jets de sperme quelle avale aussitôt.
Elle a un peu perdu ses esprits et quand enfin ses idées séclaircissent, elle est seule dans la case, étendue sur le ventre et un chien est en train de renifler son cul et lodeur de chatte en feu.
La bête est si excitée quelle lui monte sur le dos pour la prendre comme une chienne en chaleur.
Ma mère ne peut rien faire et ne tarde pas à recevoir la semence de la bête en rut, complètement folle qui sactive en coups rapides et lâchant des successions de gémissements essoufflés.
Elle est devenue sa chienne au propre et au figuré. La sensation de ce pénis canin qui rentre par petits à-coups nest manifestement pas dans les habitudes de ma mère. La bête une fois lacte accompli, ne demande pas son reste et quitte la case.
Souillée comme jamais, elle essaie de se nettoyer avec le peu deau à sa disposition avant de rejoindre sa case pour la fin de la nuit dune démarche de canard.
Le lendemain, le réveil est difficile et il faut se préparer pour aller au village suivant. Elle espère que le Tam-tam de brousse ne vantera pas ce qui sest passé cette nuit sinon elle ne pourra jamais arriver vivante à la fin de son pèlerinage pour expier ses fautes.
Fin.
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