Ahmed

Ahmed
Je venais de terminer ma tournée du soir et étais repassée au cabinet pour effec la télétransmission des factures. Pendant que l’opération se faisait, je jetai un coup d’œil au cabinet. Il avait grand besoin d’être refait et les travaux commandés devaient commencer lundi prochain. Jacques Rocier, mon « sextoy » comme je l’appelais, devait passer dans la soirée pour prendre les mesures. Il était près de vingt-et-une heures quand la sonnette de la porte d’entrée retentit. J’entendis la porte s’ouvrir. Jacques Rocier apparut dans l’embrasure de la porte. Il n’était pas seul, un ouvrier que je ne connaissais pas l’accompagnait. « Ahmed, je te présente Clotilde. C’est elle la cliente chez qui on fait les travaux. Tu verras, elle est remplie de qualités…… » Ahmed m’adressa un sourire poli. C’était un homme âgé d’une cinquantaine d’années, d’origine méditerranéenne présentant un discret embonpoint. Il était râblé et possédait un regard perçant. « Clotilde, sois gentille avec Ahmed, c’est un bon gars. Je te fais confiance ! ». En d’autres termes il me demandait ni plus ni moins de coucher avec son employé ! Rendez-vous fut pris pour lundi matin sept heures quinze. En attendant, Jacques Roncier prit rapidement des mesures et les nota sur son calepin. Ils prirent congé, Ahmed sortit le premier, ce qui donna l’occasion à Roncier de passer sa main sur mes fesses moulées dans un pantalon. Ce simple contact me fit frissonner.
J’étais à la fois soulagée et déçue. Soulagée que Roncier ne se soit pas livré à quelque extravagance sexuelle. Et déçue…qu’il ne se soit pas livré à ces extravagances….
Le weekend passa vite, puisque je travaillais. Le dimanche soir, je débarrassai le cabinet, passant le matériel dans la salle du fond. On ferait l’inverse lorsque la salle principale serait terminée. Le lundi à sept heures dix, la camionnette s’arrêta devant le cabinet. Ahmed en descendit et commença à décharger son matériel. Je lui donnai quelques indications et partis en tournée.

A treize heures, mon téléphone portable sonna. J’étais au cabinet en train de faire cette paperasserie qui nous prend tellement de temps. Le nom de Jacques Roncier s’afficha. Je décrochai. « Salut poulette, ça va comme tu veux ? Tu es à ton cabinet ? »
« Oui »
« Ahmed est là ? »
« Oui, il est en train de lessiver les murs »
« Comment tu le trouves ? »
« Bof, je n’ai pas bien fait attention »
« Tu crois qu’il a une grosse queue ? »
« Comment veux-tu que je le sache ? J’imagine que oui vu ses origines ethniques »
« Tu aimerais la voir ? »
« Tu m’agaces avec tes questions stupides »
« Ma petite Clotilde, il semble me souvenir que lors d’une certaine soirée avec mes ouvriers, tu semblais très intéressée par leurs queues… Alors, dis-moi franchement, tu aimerais la voir ? »
« Je ne sais pas. Peut-être »
Rocier me demanda de passer dans la pièce où travaillait Ahmed.
« Comment es-tu habillée ? »
« Pantalon, chemise et pull, pourquoi ? »
« Tu as des sous-vêtements ? »
« Oui »
« Quoi comme ? »
« Ecoute… tu ne veux pas parler d’autre chose ? »
« Non »
« Culotte et soutien-gorge »
Ahmed continuait de lessiver le mur. Mais il avait entendu, c’était certain.
« Bon, demain, tu travailles ? »
« Non, pas avant lundi prochain. C’est ma semaine de repos. »
« OK, donc demain tu mets une jupe, des bas et pas de culotte et tu viens au cabinet pour neuf heures. Répète et ne chuchote pas ».
« Jupe et bas. Neuf heures »
« Non, non. Répète exactement ce que je t’ai dit »
« Une jupe, des bas, pas de culotte. Je serai là à neuf heures. »
« Et comment la jupe ? »
« Courte »

Ahmed me regardait bizarrement. Je lui souris et quittai le cabinet.
Le lendemain matin, après avoir pris une douche, j’enfilai une courte jupe rouge que je passai sur des bas noirs. Je me sentais excitée.
Je me doutais de l’issue de la matinée, je me ferais prendre par Ahmed ou par Rocier. Ou les deux. Je passais un pull en mohair sur mon buste nu. Ma poitrine se dessinait parfaitement, et le frottement de la laine sur mes seins en faisait saillir les têtons.
Neuf heures sonnaient à l’horloge de l’église quand j’entrais dans le cabinet. Ahmed était là, en short et tee-shirt, debout près d’un mur.
Mon téléphone sonna. C’était Rocier.
« Alors, où es-tu ? »
« Je viens d’arriver »
« Ahmed est là ? »
« Oui, il est là »
« Il est habillé comment ? »
« Un short et un tee-shirt »
« Et toi ? »
« Comme tu m’as dit : jupe courte, bas et pull »
« Très bien. Il bande ? »
« Non »
« Non quoi ? »
« Non, il ne bande pas. Pas encore »
« Je lui ai dit quelle salope tu es. Approche-toi de lui. Demande-lui de te toucher »
« Ahmed. Touchez-moi. J’en ai envie »
« Dis-moi ce qu’il te fait. Dis-moi ce que tu ressens. Dis-moi ce que tu fais. »
« Je suis devant lui. Il me regarde avec un petit sourire. Il a posé ses mains sur le devant de mon pull. Il me caresse les seins par-dessus le pull. C’est agréable. Je me laisse faire. Il vient de passer ses mains sous mon pull. Il remonte vers ma poitrine. Il les prend à pleine main. Il titille mes bouts. C’est bon tu sais. Il descend sur le côté. Il a mis ses mains sur mes fesses. Il retrousse ma jupe. Il me caresse les fesses. C’est bon. Il parcourt le sillon. Il a atteint mon sexe. Je mouille. Il … il vient de m’enfoncer un doigt dans l’anus. J’ai posé mes mains sur ses épaules. Je caresse son torse, il est musclé. Je descends sur son ventre. Je descends encore. Oh mon dieu. Il bande. Il est énorme. Beaucoup plus gros que toi. On dirait une bite de taureau. Je me frotte à lui. Oh, c’est agréable. Ça va être bon. Il se frotte contre moi. Oui, j’ai envie de le sentir en moi. »
« Demande lui de te baiser »
« Ahmed, je veux que tu me baises, que tu m’enfonces ton gros pieu dans ma chatte, que tu me remplisses.
Oh j’ai envie, je mouille comme une folle. Il me doigte l’anus avec son doigt. Il le rentre, il le sort. On dirait un petit sexe. Je plonge ma main dans son short. Je sors sa bite de son short. Elle est grosse. Courte, mais épaisse, entièrement décalottée. J’ai du mal à en faire le tour avec mes doigts. Chaude. Elle est chaude. Attends Ahmed, laisse-moi t’enlever ton short, je vais te sucer. Oh qu’elle est belle de près. Mmmmm…..mmmmh…. Il m’a relevée. Il me tourne. Je suis debout, devant le mur, il me fait poser les mains sur le mur, penchée en avant. Il m’a enlevé ma jupe. Il me fait écarter les jambes. Il se place derrière moi… il …il est à l’entrée de ma vulve…. il pousse….. il..il rentre….oh c’que c’est bon…vas doucement…tu es gros…..ça y est, il est entré….. il me lime…c’est bon… elle est bonne ta queue Ahmed…vas-y, vas plus vite, plus vite.. plus fort…vas-y, défonce moi…oh c’est bon…oh, je te sens bien, tu me remplis oh ça monte...ça vient...oh oui...oh c’est bon…vas-y…vas-y …..ouiiiiiiiiii…ah je jouis……oh oui…viens…viens toi aussi…il vient de sortir. Il cherche plus haut. Il…il…je sens son gland contre mon petit trou… vas doucement …. vas doucement….oh…ça rentre…. il est dans mon cul…. c’est trop bon… il me prend bien… oh vas-y , c’est bon….il accélère…il cogne plus fort…..ça y est, il jouit…. »
« C’était bon ? »
« Oh oui »
« Pendant la durée des travaux, tu seras à sa disposition. Bon, maintenant, laisse le travailler sinon ton chantier ne va pas avancer ».

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