La Saga Des Esclaves Au Château Du Marquis D'Evans (Épisode N°1322)

Camélia au Château - (suite de l'épisode N°1316) -

Le Maître assit dans un confortable fauteuil, un esclave mâle était en train de le sucer, agenouillé entre Ses jambes … Le Majordome s’arrêta en plein milieu de la vaste pièce et attendit un instant en silence dans une totale immobilité. Je m’arrêtais alors instantanément et garda la tête baissée pour ne pas fauter mais je pus quand même remarquer rapidement que le salon était richement décoré. Je me sentais très excitée d'être nue, aux pieds du Maître Vénéré, et tenue en laisse. Je restais silencieuse, immobile attendant ainsi le bon vouloir du Châtelain. Après quelques minutes qui me parurent une éternité, je sentais le regard du Noble se poser sur ma petite personne, un regard que je devinais Dominant presque pesant, me scrutant, m'inspectant sous toutes mes formes et coûtures. Bien que la noble Verge de Monsieur le Marquis était encore en train d’être sucé par cet esclave mâle, le Seigneur et Maître Vénéré se redressa légèrement pour s’adresser à Walter :

- Bien, mon bon Walter, tu peux nous laisser. Ah, je compte sur toi pour vérifier que toutes mes exigences ont bien été respectées. Je reçois du beau monde ce soir au Château et je ne peux pas me permettre le moindre faux pas car le soirées sont toujours attendues avec beaucoup de plaisir et d’impatience par mes Invités. Je tiens donc à la réputation de celles-ci et je ne veux qu'aucune maladresse puisse venir gâcher ces si bons moments d’une soirée qui s’annonce des plus festive. Comme tu le sais déjà, tu peux sanctionner mes esclaves, soumises et soumis, s'ils viennent à fauter durant cette soirée… Bien je te laisse aller à tes nombreuses occupations qui t’attendent pour organiser cette soirée, conclut Monsieur le Marquis avec son charisme légendaire et naturel .
- Oui, Monsieur le Marquis, Vou pouvez compter sur moi, tout sera fait comme vous l’avez exigé.

Le Majordome fit ensuite un signe de tête respectueux et quitta la pièce.

Je restais donc toujours immobile au milieu de ce salon, alors que l’esclave mâle continuait à prendre en bouche la verge du Maître. La tête baissée, je pouvais entendre les bruits de succions et cela m’excitait encore plus. Je n’osais pas lever la tête pour regarder mais j’imaginais aisément, par mon écoute attentive, que le Noble devait plaquer Ses larges mains derrière la nuque du soumis afin de lui imposer le rythme cadencé de ses va-et-vient dans la bouche du Châtelain. Au bout d’un long moment, le Maître s'adressa à moi en claquant des doigts et m’exigea de sa voix si charismatique, élégante que je reconnaitrai parmi mille et d'un ton autoritaire :

- Viens-là, approche Ma belle chienne, viens à quatre pattes comme la bonne salope que tu es, de manière féline et séduisante pour lécher le cul de Mon chien. Et je veux que tu t’appliques.

Immédiatement, je m’approchais du postérieur de l’esclave placé en quadrupédie entre les jambes du Maître, et qui continuait à le sucer en silence et avec gourmandise. Il avait les jambes les plus écartées qu’il lui était possible en cette position, le cul relevé et l’exhibait largement par ses reins creusés alors que ses couilles restaient prisonnières dans une cage de chatseté lui piégeant sa nouille de chien. Alors, comme une véritable chienne animale, je sortis ma langue pour venir lécher l’anus de cet homme. Ma langue baladeuse passait de bas et haut et vice-versa sur la peau tendre à cet endroit de l’anatomie et totalement imberbe, épilée à la perfection. Puis j’introduisis le bout de ma langue à l’intérieur de son anus qui me paraissait se dilater sous l’effet de l’agilité de mon appendice buccal. A l’évidence, cet esclave avait l’habitude d’être pénétré par cet orifice et de fait son anus s’écartait facilement par un réflexe récurrent. Entre deux succions de sa bouche emcombrée, je l’entendais gémir de plaisirs. Sans ordre contraire de la part de Monsieur le Marquis, je continuais à me délecter du cul de l’esclave et j’avoue que ça me faisait grandement mouiller, parce que je léchais un cul, oui bien sûr, mais aussi et surout parce que j’obéissais à une exigence du Maître.
Cela dura environ un quart d’heure quand soudain le Châtelain claqua de nouvau des doigts en lançant assez laconiquement :

- Ca suffit ! A genoux, Chienne Maera

Je me mis donc à genoux, les jambes bien écartées, les mains derrière le dos, les fesses bien relevées ne touchant pas mes talons et la tête baissée. Je restais immobile et silencieuse. Je vis alors le Maître Vénéré et Seigneur auquel j’avais l’immense de chance d'appartenir me tendre Sa main ainsi que le bout de Ses doigts pour que je puisse lui montrer ma sincère soumission et ma totale dévotion.

Il n'avait pas besoin de me donner d'ordre, je compris instantanément ce qu'Il attendait de moi et afin de lui montrer ma sincère gratitude, ma reconnaissance grandissante augmentant chaque jour de plus en plus d’avoir l’immense chance d’être sous Son joug, je m’empressais d’embrasser Sa main et Ses doigts, ce qui restait pour moi un grand honneur de pouvoir lui montrer ainsi ma totale dévotion, agenouillée à Ses pieds. Je remarquais très rapidement que j’étais irrémédiablement en chaleur car je mouillais par pure dévotion. J’étais excitée d’être à Lui...

J’étais trempée et sentais ma cyprine couler. Après un bon et intense moment à Lui embrasser les doigts avec beaucoup d'application, j’entendis soudainement le bruit si distinct d’un nouveau claquement de doigts de Son autre main. Je m’arrêtais alors et je me remis en position d’attente agenouillée. La voix du Maître Vénéré s'adressa à moi d'un ton calme mais directif :

- Bien la chienne soumise, je veux pouvoir par Moi-même constater tes progrès dans le domaine de la fellation car il est inconcevable pour Moi qu’une de Mes soumises, même à l’essai, ne sache pas donner du plaisir avec Sa bouche de chienne dans le domaine de la fellation et vérifier ainsi tes progrès avec l’entraînement que tu as pu avoir lors de ta dernière venue au Château… Quand à toi chien e3469MDE, tu vas aller prendre en bouche, mon ami le Commandant, dont je vois la verge déjà bien dressée et qui n’attend plus que tu la suces afin qu’il puisse prendre du plaisir et se soulager s’il en a envie, en éjaculant dans ta bouche de chien soumis.
..

Je découvris alors qu’il y avait une autre personne dans le salon. Car ayant la plupart du temps la tête baissée, je n’avais pas fait attention que le Commandant et ami du Maître était présent. Il avait fait preuve jusqu’à présent d’un silence absolu et se tenait assis à l’opposé de la pièce dans un confortable fauteuil, les jambes écartées avec son pantalon et caleçon à ses chevilles. Il exhibait une verge en érection, bien dressée. J’appris aussi le nom de l’esclave, chien e3469MDE, qui s’empressa d’aller en quadrupédie entre les jambes du Commandant pour lui produiger une bonne fellation…

- Quant à toi ma chienne soumise Maera, reprit le Maître, je vais pouvoir constater dès maintenant si ta bouche de salope, qui était complètement inutile, est devenue un écrin bien plus accueillant, chaud et humide pour toute verge que l’on voudra bien te fourrer dans ta cavité buccal, conclut Monsieur le Marquis d'une voix très claire, calme et autoritaire qui le caractérisait tant.

Je me mettais donc à sucer avec application le Maître Vénéré et Seigneur, contente et heureuse de l’honneur qu'Il me faisait de pouvoir prendre Sa noble et imposante Verge dans ma bouche de salope, ce qui restait pour moi un privilège que je ne voulais pas gâcher et ainsi ne surtout pas décevoir Monsieur le Marquis auquel j’avais l’immense chance et plaisir d’appartenir…

(A suivre…)

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