Dragué Par Un Hétéro

DRAGUÉ PAR UN HÉTÉRO


A cette époque je ne savais pas que je deviendrais un jour ce célèbre auteur érotico-pornographique que je … Enfin si un peu quand même … Non ?

Bon d'accord … Pfff ... C'pas une vie !

Donc à cette époque je ne savais pas que j'écrirais un jour ces conneries cochonnes que vous êtes en trains de lire et qui ne me donneront certainement pas le prix Nobel de littérature ( faut pas rêver ) mais déjà j'avais le feu au cul. Et puis pourquoi je me sens obligé de donner des précisions, comme si je présentais des excuses, tout le monde s'en fout, et de toutes façon c'est une fiction alors … Il y a un petit peu, un tout petit peu de vrai dans cette histoire mais pas plus, alors … Bonne lecture.

…

Je connaissais tout le monde dans le bar et tout le monde me connaissait. Tout le monde savait que j'étais gay et tout le monde s'en moquait. Une fille peut être le regrettait, elle m'avait dragué au tout début, avant que je lui dise … On était restés très bonne copines !

Un soir ou je dégustais délicatement un boisson au houblon fermenté ( en d'autres termes, un soir ou je me pochetronnais la tête à la bière comme un goret ), un des habitué que je connaissais bien venait discuter avec moi.

Tony : Dis moi Charly, tu es avec quelqu'un en ce moment ?
Moi : Non pas en ce moment, pourquoi ?
Tony : Comme ça, histoire de dire quelque chose.

…

Tony : Et tu fais comment toi alors ?
Moi : Euh … Je fais quoi comment moi ?
Tony : Tu vois ce que je veux dire, on est des mecs. Même si toi …
Moi : Je te remercie pour le '' Même si toi ''. Mais je ne comprends toujours pas ou tu veux en venir.

Il parlait tout bas, de toutes évidences, c'était une discussion qu'il voulait discrète, de toutes façons avec le reste de la bande de poivrots pires que moi qui braillait dans tout le bar, c'était pas difficile de ne pas se faire entendre.

De plus comme je le disais, tout le monde me connaissait, et ça ne surprenait personne qu'on me parle à l'oreille. Personne n'y trouvait rien à redire.

Tony : Avec les mecs, tu fais comment toi ?
Moi : Tu veux que je te donne un cours de sexualité entre homme ?
Tony : Non c'est pas ça, tu sais, moi ça ne m’intéresse pas ( Il pouffait de rire ). Juste comment tu trouves … Un partenaire ?
Moi : Oh, c'est donc ça ! Il y a les boîtes de nuit, tu peux même consommer sur place, mais le préservatif est obligatoire, même si tu as une bonne mutuelle ! Ensuite, il y a les lieux de drague, les bars … Et de toutes façons ou que tu ailles le préservatif est obligatoire.

Je le regardais du coin de l’œil.

Tony : Tu me charries là ! Non c'est juste pour …
Moi : Bein non, tu me demandes je te réponds.
Tony : On peut consommer sur place ?!
Moi : Bein oui, enfin dans les endroits convenables !

Il n'avait pas l'air d'y croire.

On continuait à picoler.

Moi : Et toi, avec les filles, tu fais comment toi ?
Tony : ( il pouffait de rire ) Tu veux que je fasse un cours sur la sexualité hétérosexuelle ?
Moi : Non ça va, ça je connais mais, même si ça ne m'intéresse pas !
Tony : Tu as déjà essayé avec une fille peut être ?
Moi : Bien sûr, quand j'étais jeune. Tu évites de le répéter s'il te plaît, j'ai une réputation !
Tony : J'y crois pas !
Moi : Mais si, mais si, j'étais jeune à l'époque et quand on a vingt ans on fait des trucs qui nous surprennent encore des années plus tard. Je me souviens bien, je pense même que je serais capable de refaire …
Tony : Toi ! Avec une fille ! Je voudrais bien voir ça !
Moi : Pas moi ! J'ai déjà donné ! Tu as vraiment des idées … d'hétéro toi !
Tony : Bein on ne se refait pas.
Moi : Je sais, je sais !

On continuait à picoler, il commandait un verre, enfin un verre chacun, on est pas des sauvage et on ne se bourrait pas la gueule tout seul, surtout si on était en train de discuter.


Tony : Et tu trouves facilement ?
Moi : Pas toujours, tu es en manque ou quoi ?
Tony : Ouai, ça fait un moment que je n'ai pas touché une femme. Tu ne répètes rien de ce que je raconte là, je compte sur toi.

Je jetais un regard autour de nous.

Moi : Avec le bruit qu'ils font tous, si tu ne hurles pas personne ne sera jamais au courant.

Il jetait à son tour un regard circulaire, puis il se rapprochait de moi jusqu'à me toucher le bras et me parlait dans le creux de l'oreille. La discussion devenait vraiment intime.

Tony : Mais entre deux mecs, c'est violent ?
Moi : Pourquoi voudrait tu que ce soit violent ? Tu es violent avec une fille toi ?
Tony : Non mais … Deux mecs …
Moi : C'est pareil, c'est pas violent !
Tony : Oui mais avec une fille c'est viril !
Moi : Ça oui je sais, même si l'autre c'est aussi une fille !

Là il éclatait de rire.

Tony : Oui mais, un mec et une fille il y en a un qui est viril !
Moi : Et c'est pas toujours celui qu'on croit !

Là il rigolait de bon cœur.

Moi : Et avec un mec et un mec il y en a quelquefois un qui est viril !
Tony : Quelquefois ?
Moi : Bon je déconne, au moins un, c'est mieux … Parfois les deux.
Tony : Et toi tu fais l'homme ou la femme ?

La question con par excellence qui nous arrive souvent dans la figure.

Moi : Mais enfin, si on voulait qu'il y en ait un qui fasse la femme, on prendrait une femme, une vraie. Ce serait plus fonctionnel et certainement plus simple et au lieu de se faire traiter de tafiole on se ferait traiter de chaud lapin.
Tony : Alors vous échangez les rôle, à chaque fois ?
Moi : Non pas à chaque fois, ça dépend. Ça dépend du feeling, ça dépend de chacun, il y en a qui préfère être passif, d'autre qui préfèrent être actif. Il y en a qui aiment alterner alors que d'autre restent toujours dans le même rôle.
Il n'y a pas de règles.

Avec les hétéros, il faut toujours tout leur expliquer, c'en est fatiguant parfois, mais bon Tony il était sympa.

Tony : C'est pas si simple que je croyais alors ?
Moi : Bein non ! Surtout qu'il y en a aussi qui sont pas décidés …
Tony : C'est comme avec les filles alors !
Moi : Il y a des mecs, je peux te le garantir qui sont pires que des filles.
Tony : Ah ouai ?
Moi : Je te jure, une bande de mec qui parlent chiffon, même moi ça me fatigue.
Tony : Et toi tu es passif ou actif ?

Là c'est clair, si c'était la première fois que je le rencontrais je me serais dit qu'il était en train de m'allumer. Je lui répondais toutefois avec un brin de malice, juste dans le creux de l'oreille.

Moi : Tu n'as qu'un seul moyen pour le savoir bonhomme !

Il me répondait par un sourire, baissait la tête, regardait devant lui et comme les verres étaient vides …

Moi : Tu n'essayes pas de me faire boire pour r de moi au moins !

Il pouffait de rire.

Tony : Non là, c'est au dessus de mes moyens !
Moi : Mais ça veut dire quoi ça ?
Tony : J'ai pas les moyens de te saouler, tu picoles trop !

Là c'est moi qui pouffait de rire.

Moi : Et c'est comme ça que tu dragues toi ?
Tony : Non je ne te drague pas … Enfin, tu crois que …
Moi : Là c'est une proposition !
Tony : Mais moi je me fais pas enculer !
Moi : Même pas un tout petit peu ?
Tony : Tu rêves !
Moi : Et tu veux faire quoi alors ?

Il réfléchissait longuement avant de répondre.

Tony : Je sais pas moi.
Moi : Câlin ?
Tony : Ouai ça, ça marche !
Moi : Caresses ?
Tony : Pareil !
Moi : Étreintes ?
Tony : Ouai si tu veux !
Moi : Étreintes folles qu'on ne contrôle plus et qui nous conduisent vers …
Tony : On se calme là ! Ok ! Ça marche !
Moi : Bon, alors je te propose un truc simple … Tu me suces et je t'encule !

Il fronçait les sourcils, me regardait.


Tony : Euh, non là ça marche pas !
Moi : Alors je te propose … Le contraire …

Il relevait les sourcils, me regardait l'air interrogatif.

Tony : Précise.
Moi : Je te suce et tu m'encule !
Tony : Là ça marche !

Suivait une bière pour se donner de l'entrain. ( je vous avais bien dit qu'à l'époque je picolais ).

Tony : Tu sais j'en ai une grosse !

Je pouffais de rire.

Moi : Tous les mecs disent la même chose … Pfff !
Tony : Non mais là je ne déconne pas !
Moi : Pas de problème, ça marche !

Il se levait pour aller pisser, quand il revenait il rapprochait sa chaise de la mienne, on était installé au bout du bar, dans un coin. Il y avait du monde partout autour de nous, mais personne ne faisait attention à nous. Il s'asseyait, appuyait sa cuisse contre la mienne. Moi, déjà à l'époque je n'étais pas farouche et je ne m'en offusquais pas.

Il prenait alors ma main et la posait sur sa cuisse. Il avait glissé sa queue contre sa cuisse dans son pantalon et il bandait. Je l'avais fait bandé, un hétéro, c'est cool non ? Bon, là je délire, mais je pouvais constater qu'il ne m'avait pas menti, il en avait une belle, et quand je dis belle … Je ne sais pas je ne l'avais pas vue mais elle était vraiment énorme, comme il venait de me le dire. C'était du lourd.

Tony : Il y a des filles qui en ont peur, et qui ne veulent pas.
Moi : Ouai, je comprend un peu, c'est du très lourd.
Tony : Toi aussi ça te fait peur de te la prendre dans le cul ?
Moi : Moi euh ! Même pas peur ! Les filles c'est des petites natures, moi je suis un mec ! Je suis ton homme !
Tony : Je préférerais une fille !
Moi : Je suis ta fille alors si tu préfères.

Il rigolait.

Tony : Tu es un marrant toi, je ne savais pas que tu étais comme ça.
Moi : Tu devais bien t'en douter un peu, non ? Au moins un petit peu !
Tony : Par contre on est clair, tu ne m'encules pas et je ne te suce pas !
Moi : C'est d'accord mais dans ce cas il y aura une condition.
Tony : Une condition ?
Moi : Tu n'auras pas droit à ma quéquette !

Il me regardait, visiblement sans comprendre.

On terminait le verre que nous avions devant nous et on sortait. Je jetais un œil avant que son manteau ne se referme, on la voyait bien sa queue au travers de son pantalon, on voyait bien sa forme, elle était énorme, j'étais à la fois terriblement excité et un peu effrayer. Là il y avait de quoi faire du dégât.

Je n'habitais pas très loin du bar ou on était, un petit quart d'heure plus tard on arrivait. On entrait, on se mettait à l'aise, il retirait son manteau, je retirais mon blouson, j'enlevais mes chaussures il se retrouvait pieds nus. Je lui ouvrais sa chemise, il me laissait faire. Je le prenais dans mes et lui donnais un baiser dans le cou. Il semblait hésiter puis refermais ses bras sur moi, il m'embrassait à son tour.

On se caressait, nos lèvres se rencontraient, encore une hésitation puis ce sont nos langues qui se caressaient. Il se détendait, je l'avais senti un peu crispé au début mais ça semblait lui passer. Il se décidait à me retirer mon T-shirt. On était torse nue. Il avait de la fourrure sur tout le corps, comme moi. Je suis du genre nounours moi, et lui c'est pareil.

Je le caressais partout sur le corps et je le couvrais de baiser. Il m'encourageait en me rendant mes caresses et il m'embrassait également.

Tony : Tu avais raison, c'est pas violent. J'aime bien comment tu es doux et tendre …

Je le faisais taire en l'embrassant sur la bouche, je me serrais contre lui et j'en profitais pour lui ouvrir son pantalon, il laissait tout tomber sur le sol, d'un mouvement rapide des pieds il repoussait son pantalon et le reste un peu plus loin. Il était nu devant moi, il était nu dans mes bras.

Je sentais quelque chose qui remontait entre mes cuisses, je m'écartais lentement, regardait, elle était belle et là je ne veux pas seulement dire grosse. Il en avait une belle, grosse, sa formes et ses proportions étaient parfaites, sa taille était effrayante. Il devait donner pas loin des vingt cinq centimètres sur six je dirais mais c'est à peu près. Vous imaginez bien que là j'ai pas osé mesurer !

Je m'accroupissais et sans hésiter lui suçais le gland, il était circoncis, j'adore. Je le sentais il sursautait, sans doute parce que c'était la première fois qu'un mec lui faisait ça mais rapidement il se détendait et pendant que je me déboîtais la mâchoire pour pouvoir lui sucer la queue dans les règles de l'art, il me caressait les cheveux. Il n'appuyait pas sur ma tête, c'est vrais qu'il devait être très conscient du fait que sa queue était énorme vu qu'il m'avait prévenu.

Je ne vous dis pas mais je n'ai pas réussi à me la prendre en entier dans la bouche, et c'était pas seulement à cause de la longueur. J'en faisais pas le tour avec les doigts. Bien sûr une bite pareil n'est pas aussi ferme, aussi dure qu'une plus modeste ou qu'un gode. J'en avais un qui n'était pas loin de cette taille et je vous jure que quand je me le gare dans le cul (encore aujourd'hui) je le sens passer.

C'est avec la langue que je lui suçais la queue, je lubrifiais puis je le branlais. Il avait l'air d'aimer, de toutes façons c'est ce qu'on pouvait faire de mieux avec une matraque comme celle là. Il gémissait de plaisir. Je faisais durer le plaisir un long moment, j'avais de plus en plus envie de me la prendre dans le cul, ça me faisait peur aussi un peu. Je me relevais, il avait un large sourire et me donnais un baiser sur la bouche.

Tony : Tu fais ça bien dis donc, on ne m'a jamais fait ça avant ;
Moi : Donc, tu ne veux toujours pas de ma bite ?
Tony : Euh c'est que vois-tu, non pas ce soir j'ai la migraine.

Je rigolais. J'ouvrais mon pantalon, le laissais tomber sur mes chevilles et le lançait dans un coin avec mes pieds.

Moi : Bien alors ne viens pas te plaindre, tu n'auras pas droit à ma quéquette.

Il me regardait dans les yeux, il rigolait. Nous étions nus face à face, je m'écartais pour mieux le voir, tout en le caressant. Il baissait les yeux et ne pouvait pas dissimuler sa surprise.

Tony : Mais c'est quoi ce truc ?

Il remarquait enfin mon dispositif de chasteté, C'était un truc maison fait en plastique, tout à fait fonctionnel. (si vous voulez voir la photo vous n'avez qu'à me suivre sur Twitter ) . Il était vraiment surpris.

Moi : C'est pour m'inciter à rester sage et accessoirement me faire découvrir de nouvelles sensations.
Tony : Et tu peux l'enlever au moins ?
Moi : Oui mais dans ce cas là je t'encule !
Tony : Et tu peux le garder alors ?
Moi : C'est ce qui était prévu.

Le sourire lui revenait, il regardait le truc, il était bluffé. Il me caressait les couilles avec la main, on se retrouvait allongé sur le lit. Je me penchais sur sa queue que je continuais à sucer, à tripoter. J'adore ces très grosse bite, c'est toujours rare, surtout des comme ça.

Lui me tripotait les couilles et la cage de chasteté, il prenait le gel et je le sentais me glisser un doigt dans mon cul. Rapidement il y mettait deux doigts, puis je suppose trois, je sentais que ça forçait.

Tony : C'est délire ton truc, j'adore, au moins on connaît le rôle de chacun et mon rôle me plaît. Met toi à quatre patte je vais t'enculer.
Moi : Vas y doucement, tu sais que tu peux faire du dégât avec ton truc.

Je prenais position, j'avais un peu d'appréhension et je me détendais au mieux. J'ai un gode qui est à peu près de sa taille, je me disais que ça devais passer sans problème.

Il lubrifiait à fond, je sentais une pression de dingue contre mon anus, il poussait, il poussait doucement mais il poussait fermement, je me détendais et doucement je sentais mon anus s'ouvrir, se dilater et se remplis. Il y allait doucement et ça passait. J'avais le souffle coupé et je sentais mon intestin se remplir jusqu'au nombril. La pression contre ma prostate m'arrachait des cris de plaisir et un peu de peur.

Avec un gode on contrôle, là je subissais, je ne contrôlais rien, je subissais. C'était bon, terriblement bon mais ça faisait peur. Il se penchais sur moi et me prenait dans ses bras, il me serrait avec force, pas avec violence mais avec force et virilité. Je serrais ses bras contre moi, sa queue continuait à s'enfoncer et son ventre s'écrasait contre mes fesses. C'était une sensation de plaisir qui faisait peur, mais il contrôlait, je ne sais pas pourquoi des filles faisaient des manières, il était tout simplement au top.

Je le savais concentré sur mes réactions au moment ou il se retirait, son visage collé sur ma joue quand il s'enfonçait de nouveau. Il faisait une pause, je reprenais mon souffle puis il reprenait. Il se retirait et accélérait ses mouvements. Je gémissais, je tremblais de plaisir autant que de peur mais c'était tellement bon.

Il n'a jamais fait de mouvements trop rapides, ça aurait été dangereux pour moi mais il a fait durer le plaisir. Il m'avait bien élargi, et mon cul bien détendu recevait sa queue sans difficulté, avec beaucoup de plaisir.

Pendant je ne sais combien de temps j'ai tremblé, j'ai vibré, j'ai râlé de plaisir, j'ai joui. Quand il faisait un pause, toujours avec sa queue bien enfoncée dans mon ventre, je reprenais mon souffle mais mon anus restait toujours élargi, distendu. Quand il reprenait ses mouvements il m'arrachait des cris de plaisir.

Il continuait ainsi jusqu'au moment ou il jutait en moi. J'ai senti son corps se contracter, convulser. Il a eu quelques mouvements incontrôlés, c'est à ce moment seulement qu'il m'a fait un peu mal, et là j'ai eu très peur.

Ensuite il à retrouvé son calme, j'avais joui, j'avais même joui plusieurs fois mais je n'avais pas juté. C'est seulement au moment ou il ressortait totalement de moi qu'un flux de sperme s'écoulait sans fin de mon dispositif de chasteté. Là encore j'ai joui mais d'une tout autre manière. Le plaisir venait à la fois de ma queue, de mon anus, de ma prostate, du contacte de son corps, c'était difficile à dire.

Il s'écroulait à côté de moi, je m'effondrait à côté de lui, on avait le souffle fort et irrégulier. On se regardait, il avait le sourire.

Tony : Tu veux bien devenir ma copine ?



N'hésitez surtout pas à me laisser une commentaire et à me retrouver sur Twitter … @CharlyChast

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