Beau Papa, Chapitre 10.Quelques Années Plus Tard
Beau-papa
Chapitre 10
Vous vous souvenez ?
Ps : Cette histoire date de quelques années. Quelle na pas été ma surprise quand mon gynéco a du prendre un successeur et que je suis tombé sur Claude, (lire aussi le Mâle dominant et réunion Tupperware). Son physique sétait bien amélioré. Le jeune homme que javais connu sétait bien étoffé.
Jai eu droit à une visite médicale très « poussée » et je me demande si la aussi il ny avait pas eu du changement. Les souvenirs sont si trompeurs
Mais quand il a voulu me sodomiser, je nai pas pu laccepter. Il va falloir que je mentraine avant mon prochain rendez-vous pour renouveler lexploit réalisé chez monsieur Paul
Je vais donc vous conter ce quil est advenu de cette nouvelle rencontre avec ce jeune homme qui avait pris quelques années de plus pour faire médecine.
Depuis que je sais ce quil est advenu à mon « poulain » qui est devenu un bel étalon, je ne me domine plus. Je veux retrouver les sensations extraordinaires que je nai connues quavec lui.
Et pour une fois je serai seule, nayant pas à le partager avec dautres femmes avides de se faire défoncer par son boutefeu.
Comme une groupie, je me suis mise à lespionner, à le suivre pour connaître ses habitudes et où il réside. Le problème, cest quil est rarement seul, il y a toujours une ou deux filles pendues à ses basques. Plusieurs fois, je déclenche des rencontres fortuites et je crois quil commence à se douter de quelque chose.
Je prends une bonne fois le taureau par les cornes et me décide à faire ma demande lors dune énième rencontre:
-Oh bonjour Docteur XXX
Ou devrais-je dire Claude. Vous vous souvenez de moi ? Je suis madame YYY, je suis patiente dans votre cabinet et ça a un peu dérapé. Mais je ne sais pas si vous vous souvenez de moi, je vous ai connu il y a de deux ans chez monsieur Paul lors une réunion Tupperware assez spéciale et encore quelques années plus tôt avec vos amis Ben et Pierre.
Sans même sourcilier il me répond :
-Je dois dire que je men souviens vaguement, il mest arrivé tant de choses depuis ce temps-là mais notre petite incartade de lautre jour semblait me rappeler quelques souvenirs.
-Eh bien moi, Claude, je men rappelle comme si cétait hier et je voudrais tant pouvoir revivre de tels moments. Sil vous plait, même si jai remarqué que vous nêtes pas en manque de filles pour la plupart moins âgées que moi, Claude. Vous voulez
Tu veux bien me baiser, je veux revivre les sensations que donne une telle verge.
-Eh bien ! On peut dire que vous ne tournez pas autour du pot. Dhabitude, je me débarrasse vite des folles qui croient que je ne suis quune bite sur patte mais pour vous cest différent car vous avez été une des premières avec qui jai fais lamour. Rendez-vous chez moi demain à 18h00, je crois que je nai même pas à vous donner ladresse ! Me répond-t-il dans un sourire.
Je me pomponne, me parfume, mets les même sous-vêtements que le jour où je suis allé chez monsieur Paul avec Jean, mon beau-père que je gardais précieusement comme des reliques.
Je suis en avance mais jattends lheure, le temps semble figé, les minutes défilent avec une extrême lenteur. Il est enfin 18h00, je sonne à sa porte, il mouvre
Jentre pour la première fois chez lui, dans un lieu intime. Le mobilier est succinct et dépouillé, un peu comme lui. Il ne porte quun bermuda et un marcel.
Je jeune homme presque ascétique est devenu un homme bien musclé, il doit prendre soin de son corps. Il sest étoffé, son visage dado a laissé la place à celui dun homme sûr de lui, de son pouvoir sur les femmes.
-Entre Lucie ! Cest bien Lucie ?
-Oui.
-Je toffre un café ?
Pendant une heure, nous parlons comme de vieux camarades qui se sont perdu de vue sans quil nessaie une seule fois de me toucher. Je ny tiens plus, je me lève de mon fauteuil pour le rejoindre sur le divan.
Il ne réagit toujours pas. Je pousse un peu plus loin pour que mes doigts épousent son tuyau. Il continue de me causer pendant que je masse doucement son pénis que je sens frémir. Par petites avancées successives, je le sens croître irrésistiblement. Son membre gonfle sous ma main.
La taille de ce que je tripote semble déjà imposante mais continue de gonfler sans cesse. Son souffle se fait plus rapide mais il reste stoïque.
Claude fait lindifférent à ce qui se passe entre ses cuisses mais la manche de son bermuda un peu rétractée depuis quil se laisse allez sur le divan laisse apparaître son gros gland mafflu qui essaie de se redresser.
Jenfouis ma main sous son bermuda et tâte son pénis, ne pouvant mempêcher dexulter.
Est-ce parce que je suis contente ou par lappréhension de ce sexe très long que ma petite main nen recouvre quune petite partie. Ce qui me fait encore plus peur, cest sa grosseur dont mes doigts nen font pas le tour ! Le gland violacé dégage une impression de puissance fascinante.
Jai beau avoir eu pas mal de partenaires, je suis toujours surprise de réaliser que les très gros calibres ne sont pas une légende urbaine.
Je reste subjuguée en pensant à ce monstre encore caché que ma main tient fermement. Jose enfin lui poser la question :
-Je peux Claude ? En mettant mes mains de chaque coté de son bermuda.
Il ne dit rien mais ânonne de la tête en relevant son bassin.
Je tire sur son bermuda faisant apparaître la souche de cet arbre si puissant, de son baobab. Les centimètres sajoutent aux centimètres de ce braquemard hors-normes.
Comment peut-il avoir aussi raide un épi de cette taille ?
Je referme ma petite main qui se sent perdu sur son jonc vigoureux, en ressentant toutes les bosses et tous les creux, la grosse veine du dessous gonflée de sang brûlant, le gland lisse et presque violet.
Je le masturbe avec douceur, agaçant de mes ongles le frein ou le chapeau, pressant ses boules prometteuses de giclées toujours très abondantes. Mais il continue de me parler de la pluie et du beau temps comme si on était au bar dun café.
Je ne lécoute plus et plonge littéralement sur son chibre, mes deux mains et ma bouche sactivent comme des folles sur son vit. Dhabitude jarrive à faire cracher les hommes en moins de deux minutes mais ça va faire bientôt dix minutes que je mescrime sur sa formidable trique qui me déforme les mâchoires, ankylosées dêtre si longtemps ouvertes.
Son portable sonne, il décroche et répond comme sil était au bureau, très décontracté. Je fulmine quand jentends la conversation car il a mis le haut-parleur.
-Salut Sonya, comment tu vas ?
-Bien et toi ? Je peux venir ?
-Non, je suis déjà en main.
- Que veux-tu dire par là ?
-Ce que je veux dire par là ? Tu me connais, je ne vais pas te mentir. En ce moment, jai une couguar en train de traire ma queue, et elle sait sy prendre la chaudasse.
-Tu veux dire que
Pendant que tu me parles, tu as une femme en train de sucer ton gros barreau ? Tu ne veux pas que je vienne lui donner un coup de main ?
-Non ! Je me réserve rien que pour elle. Je vais lui donner des souvenirs qui ne seffaceront jamais, bise Sonya.
-Bisous Claude, fais-la hurler comme tu sais si bien le faire.
Quel mufle mais rien ne me fera arrêter ! Jéprouve un réel plaisir à caresser cette queue, soupesant ces couilles, remontant le long de sa hampe pour exciter son frein, son gland. Je sens cette énorme queue réagir à mes caresses, voulant en profiter au maximum le plus longtemps possible.
Je lentends enfin exprimer son plaisir, heureuse de sentir mon pouvoir sur ce mâle. Je me laisse guider par ses paroles, ma main serrée du plus fort que je peux sur sa bite.
Je lemprisonne du mieux que je peux sans pouvoir lenserrer en entier. Je le branle très lentement sur toute sa longueur depuis si longtemps.
Le bougre a pris de lexpérience depuis ses débuts et ne se laisse pas dicter sa conduite. Il se lève enfin pour que je puisse magenouiller devant lui. Il pose ses mains sur ma tête et la guide sur cette barre toujours aussi raide. Je la reprends en bouche et cest lui qui rythme la pénétration de sa pine dans ma bouche. Jai des haut-le-cur quand il va trop loin mais il nen a cure, jai beau en avaler le plus possible, je narrive pas et narriverai jamais à faire disparaître un tel monstre dans ma bouche.
Il accélère le rythme et je sens comme si cétait encore possible, enfler un peu plus sa lance.
Je sais à quoi mattendre avec Claude et je le redoute.
Je force sur ses cuisses avec mes mains pour faire sortir sa queue de ma bouche quand se déclenche son éjaculation toujours aussi abondante. Jessaie den avaler le maximum mais je ne peux pas, métouffant sous la dose, Il relâche enfin ma tête et son engin à peine sorti de ma bouche lâche encore quelques bordées sur mon visage.
-A toi maintenant ! Je vais te faire hurler de plaisir.
Il me dénude avec douceur et métend sur le divan. Ses mains sont toujours aussi douces.
-Dis-moi que ton corps a faim de caresses.
- oui ! Caresse-moi, je te donne mon corps!
A suivre
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