Je Réalise Un De Mes Fantasmes Avec Ma Cousine Dorothée (7)

Aujourd’hui j’ai eu une journée de merde au boulot, je préviens Dorothée (avec qui je vis depuis maintenant un an) que je vais rentrer tard et qu’elle dine sans moi. Quand j’arrive enfin à la maison, il est 21h30 passé. Je n’ai qu’une seule envie c’est de me doucher et aller directement au lit. Je suis énervé de cette mauvaise journée alors j’espère pouvoir éviter la discussion au maximum.

Quand j’ouvre la porte, je vois la table dressée pour deux personnes avec des bougies au milieu. Ma cousine m’a attendu pour manger, c’est gentil de sa part mais j’aurai préfère qu’elle soit déjà au lit devant la télé prête à s’endormir. Comme elle commence à me connaitre, elle insiste pas trop pour savoir pourquoi je suis dans cet état. J’avale mon repas sans lever les yeux de l’assiette à tel point que je ne pourrai même pas vous dire ce qu’elle porte.

Une fois le diner terminé, je me lève pour aller me doucher mais d’abord je l’embrasse langoureusement pour la remercier de ce bon diner. Je reste un bon moment sous le jet de la douche afin de me détendre au maximum. Je commence enfin à me décontracter. Cela doit bien faire 30 minutes que je me prélasse sous les gouttes d’eau qui masse ma nuque et mon dos quand je me décide enfin à fermer les robinets.

Je prends encore un peu de temps dans la salle de bain à me nettoyer les oreilles et me brosser les dents comme ça je suis sûr que ma maniaque de cousine à tout rangé et m’attend dans le lit. Quand je quitte enfin la pièce toutes les lumières de la maison sont éteintes. Instinctivement je vais vers la chambre à coucher mais elle est éteinte et vide. Je retourne dans le salon mais je vois personne par contre je reconnais la voix de Dorothée qui me demande:
« C’est moi que tu cherches? »

Eclairée uniquement par la lumière de la lune, je la vois assise sur un tabouret de bar qui séparent la salle à manger de la cuisine américaine. Je me rapproche un peu et me rends compte que ma compagne, qui ne supporte même pas de dormir nue, est complètement à poil.

Tout un coup j’oublie ma journée de merde et finis par me détendre complètement.

Alors que je m’approche, elle se lève et vient vers moi. Je profite des lumières extérieures qui éclairent différentes parties de son corps plus elle avance. Elle ne porte rien d’autre que des chaussures à talons qui accentuent encore plus sa cambrure et par la même occasion mon excitation.

Quand elle arrive à ma hauteur, elle passe sa main sur mon torse velu et ramasse au passage quelques gouttes qui continuent de perler. Elle ouvre ma serviette et la fait tomber à terre pour que je me retrouve dans la même tenue qu’elle. Puis elle s’agenouille devant, dépose ses lèvres sur mon genou, remonte sur ma cuisse. Ensuite elle embrasse mon gland et ma tige qui commence à grossir. Mais elle ne s’arrête pas là car son visage continue vers mon ventre puis mon téton droit, mon cou et enfin mes lèvres sur lesquelles elle dépose un timide baiser.

Elle me demande:
« Je te plais? »
Je dois dire que l’insécurité des femmes ne m’excite pas trop alors je réponds, même si je sais que ce n’est pas ce qu’elle attend:
« D’après toi? »
« Dis le moi s’il te plait »
Je me résous et lui réponds:
« Tu me plais énormément mais à quoi tu joues? »
« Je joue à rien mais ce soir c’est toi qui va jouer à un nouveau jeu »

Je ne vois pas où elle veut en venir, elle m’att par la main et m’entraine vers le salon. Une fois devant la grande porte fenêtre du balcon, elle s’arrête, se tourne vers moi et m’embrasse langoureusement. Alors que nos langues dansent ensemble, elle continue de m’entrainer vers la terrasse. Même si je me laisse encore plus aller parce que ses mains commencent à se balader sur mon corps, comme les miennes sur le sien, je suis très étonné.

Dorothée sait depuis un moment que j’aime bien m’exhiber mais comme elle est très pudique, elle a toujours refusé de me suivre dans ce délire. Que se passe-t-il pour qu’elle ait changé d’avis.
Je ne veux pas lui demander pourquoi ce changement car je n’ai pas envie de casser ce moment. Plus nous avançons vers l’extérieur plus je sens son stresse augmenter. Ses mains serrent mon corps de plus en plus fort, son corps se colle encore plus au mien, comme pour se cacher. Je sens ses tétons, hérissés à cause de mes poils, s’écraser contre mon torse.

Elle nous dirige vers les transats mais je nous fais tourner afin qu’elle soit elle devant le transat. Nos bouches se dessoudent et elle me dit:
« C’est à toi de t’allonger, c’est ta soirée! »
« Vu que c’est ma soirée, j’ai d’abord envie de m’occuper de mon jouet. »
Je l’allonge en laissant collé son corps contre le mien. Une fois allongée, j’ouvre ses cuisses pour caler mes jambes entre elles.

Je plonge mes doigts dans sa longue chevelure et reprend notre baiser. Mes lèvres descendent sur son cou laiteux que je couvre de baisers. Alors que je descends rapidement sur sa poitrine puis son petit ventre, je sens mon sexe se tendre de plus en plus. Alors que ma bouche passe sur son petit ticket de métro, elle déplace sa jambe pour la frotter contre ma bitte tendue.

Plus je m’approche des ses lèvres intimes plus son souffle est saccadé. Je passe ma langue tout autour de son petit clito pour le faire sortir avant d’aller lécher ses grandes lèvres. Elle est déjà bien humide et j’adore ça alors je profite un peu de sa douce cyprine avant de retourner vers son petit bouton. Je le prends entre mes lèvres, l’aspire et le mordille même.

Quand je le quitte de nouveau, elle est tellement ouverte que j’atteins tout de suite ses petites lèvres et très rapidement l’intérieur de sa moule. Je sais qu’elle adore quand je la baise avec ma langue alors je ne m’en prive pas et la fais rentrer le plus profondément possible. Elle gémit de plus en plus fort, à tel point que je suis sûr qu’elle a oublié qu’on est en extérieur et que les voisins peuvent nous surprendre.

Je remonte vers son clito et remplace ma langue en elle, directement par 2 doigts.
Alors que je fais tournoyer ma langue autour de son petit bouton, j’introduis aussi mon petit doigt en elle pour l’humidifier avant d’aller titiller sa rondelle. Elle est tellement excitée qu’elle est, même, déjà ouverte du cul. Du coup je n’ai aucun mal à la sodomiser avec ce qui la fait encore plus vite décoller.

Elle plaque ses mains sur ma tête et la presse contre sont entre jambe pour accen la pression. Je sens que ses parois internes se mettent à palpiter alors je m’applique à la faire jouir de la meilleur façon possible. Ses gémissements se font de plus en plus rapide, elle plante ses ongles dans mon crâne en atteignant le nirvana. Quand elle commence à redescendre du septième ciel, elle relâche la pression et pousse mon visage pour que j’arrête mon léchage.

Dorothée m’aide à me redresser et une fois debout, ma queue bien raide est face à son visage. La coquine se jette dessus et me gobe directement jusqu’à ce que je touche sa glotte. Elle me fait lentement ressortir alors que sa langue tournoie autour de ma tige. Elle joue avec mon gland et mon frein pendant je peigne ses cheveux du bout de mes doigts.

Sa langue se met à glisser, avec douceur, le long de mon sexe. Ses gestes sont tendres et précis comme si elle suivait une chorégraphie. Alors que Dorothée aspire une de mes couilles, elle lève les yeux vers moi dans la nuit calme bercée par mes gémissements. Pour rajouter encore plus de piment, elle pose ses mains à l’arrière de mes genoux, les remonte le long de mes cuisses et vient caresser/griffer le bas de mon dos et mes fesses.

Sa bouche retourne sur ma tige qu’elle fait soit glisser entre ses lèvres entrouvertes soit qu’elle prend en bouche de plus en plus profondément. Malgré le noir qui nous entoure, je vois bien que ses yeux ne quittent plus les miens à scruter le plaisir qu’elle est en train de me donner. Une de mes mains quitte ses cheveux pour lui caresser le visage, j’adore sentir ma bitte se balader de l’autre côté de la joue.


Je sens la jouissance approcher mais comme j’ai envie que le jeu continue, je quitte lentement ses lèvres et sa langue. J’aide ma cousine à se relever et je l’accompagne vers la rambarde pour qu’elle y prenne appuie. Je fais reculer ses jambes, pour qu’elle soit encore plus cambrée et je viens m’agenouiller derrière elle.

Je commence par caresser et embrasser ses deux magnifiques fesses qui me donne tant d’envies et de plaisir. Puis a deux mains j’écarte son cul pour faire passer ma langue tout le long de son sillon, évidement je m’attarde sur son petit trou plissé qui est déjà prêt à m’accueillir. Pour faciliter le passage de ma langue dans ses entrailles, je redescend jusqu’à sa chatte, récupérer un peu de cyprine. Elle mouille tellement qu’elle doit être aussi excitée que moi, si ce n’est plus.

Son oeillet accueille très rapidement ma langue que je fais aller et venir en elle. Régulièrement je la ressors pour la passer tout le long de son sillon sans oublier ses lèvres intimes qui dégoulinent de plaisir. Avec mes mains je palpe ses cuisses et ses fesses. Pendant que ma langue explore son intimité anale, je titille à deux doigts son clito qui a bien gonflé depuis mon cuni. Mais si elle gémit bien, je sens qu’elle se retient pour ne pas attirer l’attention de nos voisins sur nous.

Après une bonne dizaine de minutes de cet anulingus endiablé elle me tape sur l’épaule. Je continue de la caresser et lève mon regard vers elle. Malgré l’obscurité qui nous entoure, je sens ses yeux libidineux me supplier de la prendre. Je dépose encore quelques baisers sur ses deux trous et me relève.

J’att ma cousine par la taille pour la faire encore un peu reculer et qu’elle soit dans une position plus accessible car avec ses talons, elle est plus grande que moi. Sans que je n’ai rien besoin de lui dire, le compas de ses jambes s’écarte encore plus. J’empoigne ma queue que je fais passer de sa moule à au dessus de son petit trou, comme tout à l’heure avec ma langue.

Mon gland s’arrête sur ses lèvres intimes et je commence à m’enfoncer tout doucement en elle. Plus je la pénètre plus sa respiration se fait profonde. Une fois que ma tige est complètement en elle, je reste planté un moment avant de faire quelques allers retours très lents. Je me retire de son sexe alors que le mien dégouline de sa mouille et je retourne caresser son sillon fessier. Mon gland s’attarde sur son petit trou et commence à forcer le passage.

Nous nous emboitons à merveille, lentement et tendrement jusqu’a ce que mes couilles viennent taper contre le bas de ses fesses. Je commence à aller et venir délicatement en elle, ce qui la fait gémir de plus en plus fort à croire qu’elle a oublié totalement la possible présence de nos voisins.

Je sens ses entrailles, chaudes, s’ouvrirent lentement à chacun de mes vas et viens. Maintenant que je suis bien calé en elle, mes mains quittent sa taille pour entourer son bas ventre et titiller son mont de Vénus. A chaque fois que je bute au fond de sa grotte serrée, ma cousine pousse un petit cri rauque qui me donne envie d’accélérer le rythme.

J’appuie une main sur le haut de ses fesses pour la cambrer encore plus, puis je m’agrippe à sa hanche alors que l’autre continue de lui titiller le petit bouton. J’accélère progressivement la cadence. Mon ventre et mes couilles tapent plus fermement le haut et le bas de ses fesses. J’ai l’impression qu’à chaque rentrée je m’enfonce encore plus profondément en elle mais ce n’est pas pour nous déplaire.

Ma main droite descend vers son sexe, je la passe entre ses grandes lèvres dégoulinantes de plaisir et j’enfonce lentement 2 doigts dans sa grotte inondée. Je les replie pour venir caresser ma bitte à travers la fine membrane qui les sépare. J’adore cette sensation de posséder ses deux trous et de faire doublement du bien à ma queue. Mais je ne suis pas le seul car je sens déjà son sphincter palpiter autour de ma tige qui continue de la ramoner.

Pour augmenter son plaisir, j’accélère progressivement la cadence et tout en laissant mon index et mon majeur en elle, mon pouce vient titiller son clito. L’effet est immédiat car son cul se met à convulser autour de ma queue et je sens même les répercussion sur mes doigts toujours en elle.

Mon pouce tourne autour de son petit bouton alors que son corps est emporté par un puissant orgasme. Dorothée ne se retient plus de gémir alors que tous ses membres sont pris de spasmes de plus en plus violent. Je ne sais pas si c’est uniquement ce que je lui fais ou le fait de s’exhiber mais je sens qu’elle dégouline à gros flot sur mes doigts et ses cuisses. Je continue mon rythme effréné jusqu’à se que les granule de sa peau commencent à disparaitre.

Je ralentis progressivement la cadence en prennent toujours bien soin de la sodomiser le plus profondément possible. Quand je sens qu’elle redescend de son petit nuage sur lequel je l’ai propulsé, il y a plus que la tête de ma tige qui titille son fourreau bien serré. Je sais qu’elle aime quand je me concentre sur l’entrée de ses orifices et je veux faire durer le plaisir le plus lentement possible.

Alors que sa respiration ralenti doucement, je la quitte définitivement. Une fois ses fesses libérées, je la retourne pour la prendre dans mes bras et lui rouler une pelle langoureuse. Après un petit moment, je décolle mes lèvres des siennes pour aller laper sa cyprine qui dégouline toujours de son intimité. J’adore le goût de sa mouille alors je mets du coeur à l’ouvrage. Ma langue fouille d’abord l’intérieur de sa grotte avant de s’attarder sur ses grandes et petites lèvres sans oublier son petit bouton. Je sens que son corps est parcouru de frissons qui ne viennent pas des petits coups d’air qui caressent nos corps.

Une fois que j’ai tout bien nettoyé, je me redresse en soulevant avec moi sa jambe gauche. Ses bras partent en arrière pour serrer fermement la rambarde alors que je me plante d’un coup sec dans son sexe tout propre. Elle ne peut retenir un cri franc qui déchire le silence de la nuit. Même si la possibilité d’être surpris m’excite encore plus je pose ma bouche sur la sienne pour ses gémissements.

Ne pensant plus qu’à mon plaisir, vu qu’elle a déjà bien joui, je la besogne comme si je n’avais pas baisé depuis des mois. Nos langues dansent au rythme de mes coups de reins mais elle casse cette valse pour me dire qu’elle va de nouveau jouir. Je continue dans mon élan pour besogner son corps jusqu’à je que je sente sa paroi interne me compresser, ce qui représente le feu vert pour me répandre en elle.

J’ai l’impression de ne pas arrêter de gicler en elle tant ma jouissance est forte. Quand la source finit par se tarir, je reste planté en elle et pose une main sur la sienne alors que mes lèvres lui dévorent le cou avant de remonter sur sa bouche. Nous nous embrassons langoureusement puis elle me demande de la libérer. J’étais tellement pris par mon plaisir que j’ai oublié que je maintenais toujours sa jambe gauche en l’air.

Je me retire lentement de sa grotte alors que je sens mon sperme, mélangé à sa mouille, quitter sa moule grande ouverte. Nous nous embrassons et caressons encore pendant un moment, bien collé l’un contre l’autre. Une fois remis de nos émotions, enfin pas complètement, ma main descend le long de son dos et vient caresser ses fesses. Puis mes doigts entrelacent les siens et je l’entraine à l’intérieur en lui signifiant que je n’ai pas fini de jouer avec elle mais que nous allons continuer dans notre chambre…

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