Hélène 32 Hélène Fouettée Deuxiéme Partie
Hélène 32 Hélène fouettée : deuxième partie
Hélène.
Elles bloquent mes chevilles, et elles tirent mes poignets vers le haut. Jaime être étirée, mes jambes sont affinées par létirement, et la cambrure remonte mes fesses, ça met mes courbes en valeur.
Je reprends mon souffle, je sens mon clitoris palpiter, ma mouille coule le long de mes cuisses.
Elles se replacent derrière moi.
Rien, elles me font attendre
Alors, par défi, je me cambre, et jagite mon glorieux popotin.
Ca ne loupe pas, une première cinglée énergique arrose mon cul et mes cuisses. Une deuxième cible le haut de mon dos. Une pause, elles me laissent déguster ce premier round.
Puis elles recommencent méthodiquement, sans hate, alternant fouet et martinet, descendant et montant de mes épaules à mes cuisses.
Cest lenfer, je nai jamais étè traitée sur tout le corps. Pierre ne soccupait que de mon cul, de mes cuisses, parfois de mes seins.
Et surtout, il ajoutait toujours une pointe de plaisir à mes souffrances.
Là, en ce moment, je ne suis plus quune bête à fouet.
Je me perds, je ne distingue plus les cinglées, seulement une douleur continue, jhoquète, je pleure.
Et pourtant entre mes cuisses, je coule comme si je jouissais.
La mèche du fouet sest enroulée autour du bas de mes cuisses et frappe le creux derrière mes genoux. Jai limpression que mes muscles sont coupés. Jai un vertige. Mes jambes me lâchent.
Je pends au bout de mes bras crucifiés.
La croix qui me supporte est basculée vers lavant jusquà lhorizontale. Ma poitrine pend entre les branches de bois.
Lucie rassemble mes cheveux et y entremele un long lien de cuir. Derrière moi une main écarte mes pauvres fesses rougies. Elle me fouille, ses doigts crochent la rose de mon bijou, et tire. Je suis crispée, et elle doit forcer pour retirer mon rosebud, marrachant un gémissement.
Pas besoin de me faire un dessin, cest un crochet anal. Kate att le lien de ma chevelure et le passe dans lanneau de métal, elle tire, cabrant ma tête en arrière.
- Ouvre les yeux.
Et une main fine me présente une paire de pinces dentelées, reliées à des poids.
Des doigts massent et malaxent mes tétons qui se gorgent de sang et sallongent.
En temps normal, jadore ce travail des seins, mais à cet instant, je sais que ce nest que la promesse de nouvelles douleurs. Les deux machoires mordent dans ma chair, étirant mes nichons.
Shrac. Je perçois le craquement dune allumette, une odeur de cire. Nora présente devant mes yeux une bougie.
- Pas besoin dexplication, ma belle, me lance-t-elle.
Japprouve de la tête. Puis je me laisse aller, docile. La première goutte percute sur mon omoplate gauche. La brulure est terrible sur ma peau à vif.
Les perles de cire brulante tombent en progressant le long de ma colonne vertébrale. A chaque impact, je me cabre, secouant ma poitrine lestée et pincée, et meurtrissant mon illet.
Quelques gouttes de plus et jajoute la douleur de mes mamelles bléssées à celle de la morsure de la cire. Et à chaque fois mes mouvements de tête malmenent mon anus et mon rectum.
Lentement mais surement les larmes de feu sapprochent de mon cul zebré. Jappréhende ce moment. Je me crispe.
La goutte atteint ma fesse gauche, elle touche en milieu de la trace de la cravache. Je suis percée comme par un poignard chauffé au rouge. Je crie. Je me débats dans mes liens. Une deuxiéme larme me touche sur une autre cicatrice. Je me cabre. Je ne peux même plus crier, je pleure. Les suivantes percutent en pluie ma pauvre peau martyrisée.
Je mabandonne inerte à la souffrance, je sanglote. Enfin la brulure frappe mon périnee entre mon anus et ma fente. Sen est trop, je mabandonne.
Le reste passe comme un rêve. On libére mes pauvres seins, on lache le lien qui me cassait la nuque, on débarrasse mon oignon de son envahisseur, on délie mes membres. Pierre me prend dans ses bras. Douloureuse , et épuisée , je menfonce dans le sommeil.
Je ne sais ce qui ma réveillée, la lumière qui filtre à travers les volets, ou le clapotis du bain à remous.
Jessaie de me lever, mais jai mal partout, et jai limpression que si je fais un mouvement, ma peau flagellée va craquer comme les coutures dun vétement trop étroit. Mon chéri sest déjà réveillé, et il me soutient.
- Attend, je taide. Me propose mon valet de chambre préféré
- Sil te plait, met moi debout, et accompagne moi au jacuzzi, mon chaton.
Je marche comme une petite vieille, il faut toute la sollicitude de mon gentil bonhomme pour maider à enjamber le rebord et me couler dans leau chaude.
Les yeux fermés, je profite du chatouillis des bulles. La détente est immédiate.
- Sil te plait, passe-moi mon shampoing, je veux me laver la tête.
- Ne bouge pas, jarrive
Il sassoit sur le bord de la vasque, une jambe de chaque côté de mes épaules.
Il me mouille avec la douche, puis ajoute une bonne rasade de savon.
Il commence à pétrir ma chevelure, quand débute une petite musique de fond.
Je tends loreille, et je reconnais la musique dOut of Africa. Sur lécran de mes paupières fermées, passe la scéne où Robert Redford lave les cheveux de Merryl Streep. La douceur de la musique malanguit. Quel bonheur davoir un compagnon si romantique. Je me glisse dans la peau dune Baronne Blixen soumise, dans les mains dun Finch-Hatton exigeant.
Je ne sens plus le temps passer. Pierre masse mon cuir chevelu, mais cest plus pour me détendre que pour me laver. Jadore quand il est aux petits soins pour moi
Une image chasse la précédente. Celle dune Cléopâtre au bain, dans les mains de son grand eunuque.
Jai posé ma tête contre sa cuisse droite, mais contre ma joue gauche, je commence à sentir lintérêt croissant de mon chéri. Sa verge érigée frotte doucement contre ma peau.
Je tourne la tête, et de mes lèvres, jhappe son gland.
- Tss, Tss, Ma belle, laisse la tranquille.
- Mais cest que jai faim, il me faut quelque chose pour me remplir lestomac.
- Le plateau est prêt, je vais le chercher.
Il se dégage, et dépose lassortiment de sushis et de sashimi, ainsi que les verres à saké, sur le support amovible de la baignoire.
- Attends un peu je minstalle. Fait-il en se glissant entre la paroi et mon dos.
Il mentoure de ses bras et de ses jambes. Il att un morceau de thon rouge.
- Pour toi ou pour moi.
- Pour moi, fais-je en ouvrant la bouche.
Il introduit entre mes levres ouverte cette délicieuse pièce de poisson. Jen profite pour lui sucer les doigts.
- Et celui, la pour qui ? lance-t-il en présentat un rolls au saumon.
- A toi, mon cur
- Saké ??
-
Et le petit jeu continu pendant toute la dinette.
Cest fini, les assiettes sont vides. Je suce les doigts de mon homme, pour les nettoyer.
- Ça va mieux, on va au lit sil te plait mon chat ? fais-je en me levant.
Je noue une serviette en turban sur ma chevelure. Pendant ce temps, il me tamponne avec une serviette toute douce. Il ne messuie pas pour que le frottement nirrite pas ma peau maltraitée.
- Au plumard, ma chatte, sur le dos, bras et jambes écartées, ferme les yeux
Jobéis, en fermant les yeux, offerte et impatiente des caresses qui me sont promises.
Je perçois un craquement, puis un parfum de cire chaude.
Jouvre les yeux. Pierre est au-dessus de moi, avec un sourire carnassier, une bougie à la main.
Instinctivement, je croise mes cuisses et je protége mes seins, je panique.
- Mon chéri, je te supplie, pas la cire, pas la cire !
- Ecartes tes jambes, enlève tes mains, bras en croix. Mordonne-t-il, autoritaire.
Pourquoi veut-il me r, jétais si bien, tant de douceur, et puis dun coup cette violence.
- Ouvre-toi. Ma chérie.
Je pourrais me refuser, je sais quil sarrêterait, il ne me reprocherait rien.
Bras écartés, tremblante, joffre sans défense mes seins, mon sexe à la brulure.
Je regarde le verre contenant la bougie, Pierre incline la coupe, la goutte liquide se forme sur le bord.
Je fixe cette goutte qui déborde et bascule. Hypnotisée, fascinée, je la vois qui tombe comme au ralenti. Elle va percuter mon mamelon, à la limite de laréole.
Je panique, je serre les dents, la cire percute ma peau. La brulure va être effroyable sur ma poitrine déjà martyrisée. Je vais hurler...
Rien, je ne sens presque rien, le stress maurait-il anesthésié. Mais non, au point dimpact, je ne ressens quune douce chaleur, comme celle de leau chaude dune douche.
Jouvre les paupières, trois gouttes suivent la première, toujours accompagnée de cette délicieuse sensation.
Je leve les yeux vers mon bourreau, il me sourit, bienveillant. Sa bouche sentrouvre sur ces mots.
- Bougie de massage !!!
Mes nerfs me lâchent, jatt mon amour, je létreins passionnément et je viole ses lévres. Je lui roule un patin denfer, je noue ma langue autour de la sienne, je létouffe par mon baiser. A bout de souffle, nous nous écartons.
- Salaud, salaud chéri, jai cru mourir de peur.
- Jaime assez réussir mes effets, et faire battre ton cur.
- Mon cur, il a failli exploser à cause de toi.
Il reprend son arrosage avec lhuile, puis il me masse mon petit ventre dans un mouvement circulaire. Longuent à certainement des propriétés échauffant car une bienfaisante chaleur envahit mon bedon.
Ses mains remontent sur ma poitrine. Elles commencent à petrir mes seins, mes tétons se gorgent de sang et se dressent. Je bande des mamelons, je suis au septième ciel. Il me les pince avec douceur.
Mords les sil te plait.
Il embouche le mamelon gauche et laspire comme sil pouvait encore gonfler. Je sens les pointes de ses canines qui senfoncent dans ma framboise, Il serre doucement, puis une légère sensation de douleur. Juste ce que jattendais, cest délicieux.
Mais ce coquin se relève et abandonne mon petit bout.
- Déjà
Il reste dautres zones sensibles à traiter, me répond-il en posant ses mains sur mes cuisses.
Il reprend son application circulaire, se rapprochant de mon sexe. Je le soupsonne de faire durer le plaisir. Je cache mes yeux de mon avant-bras, impatiente de la prochaine carresse.
Avec précaution, il caresse mon mon de vénus. Jécarte mes cuisses en repliant mes jambes. Mon clitoris attend avec impatience le coup de langue rappeuse qui me propulsera au septième ciel
- Retourne- toi !
- Mais.
- Cest comme ça, il faut que je moccupe durgence de ces pauvres fesses martyrisées
- Cest comme toujours, il ny en a que pour mon cul.
- Arrette de te plaindre. Fait Pierre en glissant une paire de boules dacier dans mon vagin.
Je me mets à plat ventre, la joue sur loreiller, et les bras glissés dessous
Il commence par mes épaules et mon dos. Sous ses mains, mes brulures sadouccisse.
Mon homme a des mains magiques, Et aussi une belle baguette de magicien.
Il descend sur mes reins pour finalement sattaquer à mes fesses. Il sait que jaime quelles soient pétries avec vigueur, il les malaxe energiquement sapprochant de mon oeillet. Il le masse de ses deux pouces, Il lassouplit, mais ne le pénétre pas. Il va encore me laisser sur ma faim.
Il est temps de prendre les choses en main
- Sil te plait, Chéri, encule-moi. Baise mon gros cul de jument.
Et je joins le geste à la parole. Jécarte mes fesses à deux mains, mais en même temps je bride mon anneau.
La belle verge de mon amant pousse sur mon étoile anale. Je résiste exprès une fraction de seconde et je cède.
Son gland passe mon bourrelet sans douleur.
Me serrer, puis mouvrir sous la poussée décuple le plaisir le plaisir dêtre pénétrée, et aussi celui de mon amant qui se sent gainé par mon muscle circulaire.
Jadore cette sensation dêtre e, puis envahie.
Mon amant sallonge sur moi, son corps épousant le mien, son petit ventre se coule dans la cambrure de mes reins. Il sappuie sur ses coudes pour alleger son poids et glisse ses mains entre ma poitrine et le drap. Ce coquin en profite pour soccuper de mes pointes.
Les seins pincés, le cul empalé, avec mon amour qui me tient chaud comme une couette, je suis au paradis.
Il se recule, tirant mon illet vers larriere, puis il savance doucement. Puis son pistonnage saccelère. Dans mon vagin, les deux billes sentrechoquent.
Je lencourage.
- Trop bon mon amour !
- Plus fort. Mon chéri !
- Encore
- Encule ta salope. !
- Baise mon cul de pouffe !
Dans lélan, il décule, je sens un petit courant dair dans mon tunnel rectal. Puis il mempale à nouveau avec force, bousculant les boules de geisha.
Jexplose
Je reprends pied. Il commence à se reculer.Je larrette.
- Non reste dans mon cul.
Sa main fouille ma chatte et att le cordon et lentement il retire les sphéres dacier. Il bouscule les muscles de mon vagin et masse mon ampoule rectale déjà hyper sensibilisée. Je spasme à nouveau.
Pierre
Cest le dimanche en fin daprès-midi.
Nous venons de sortir du lit et nous nous sommes installés dans le canapé, moi en kimono, elle en peignoir de soie. Je lenlace, une main sur son sein gauche, et lautre sur son petit bidon.
Elle est bien. Tout doucement, elle murmure.
- Cétait terrible. Pourquoi ?
- Tu voulais aller plus loin, nest-ce pas.
- Oui !
-
Puis un silence et elle reprend.
- Pierre, promets-moi, tu recommenceras !
- Oui.
- Et tu tiendras le fouet.
-
- Et je veux la cire !!!
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