Pure Agnès 2


Toujours coincée sous son amant, Agnès m'implore avec une étonnante humilité. Habituée à "porter la culotte" comme on dit depuis la fin du XVIIIe siècle pour désigner la personne qui exerce l'autorité dans un couple, mon épouse surprise en flagrant délit d'adultère, oublie de parler haut ou d'ordonner. La fourche souillée de fumier dont je fais aller les pointes sur la peau des accouplés a renversé les tendances. J'ai su me montrer assez persuasif pour m'imposer par la crainte d'une blessure peut-être mortelle. Et ainsi l'amante oublie le plaisir donné par l'amant pour se plaindre de la position dans laquelle je les maintiens et elle ose :

- Mon amour, Paul est lourd, il commence à peser. Permets lui de se retirer de mon corps. Un bon mari l'exigerait !

Oui, elle ose encore prononcer, en s'adressant à moi "Mon Chéri".Espère-t-elle m'attendrir, faire tomber ma colère et me faire lâcher l'instrument dangereux avant de tenter de me remettre à ses pieds ? Elle doit se rendre compte que l'adultère observé non seulement n'est pas à mon goût mais a transformé son gentil toutou de mari en molosse enragé capable d'appuyer sur le manche de la fourche assez fort pour percer le corps placé au-dessus d'elle et pour pénétrer également le sien.

La déception d'avoir laissé filer le pouvoir de me soumettre se traduit dans le tremblement inhabituel de sa voix. Donc elle tente de sauver sa peau en jouant la femme aimable, celle qui a toujours su me rendre serviable, moi, l'idiot amoureux, qu'elle menait par le bout du nez. Hélas pour elle, Agnès a franchi les bornes de l"acceptable. Depuis des semaines elle se fait sauter en cachette par ce Paul. Si l'amant est lourd, trop lourd tout à coup, que ne s'en est-elle pas aperçu plus tôt ? Elle est prisonnière sous lui, ce n'est pas moi qui ai choisi la position de l'union actuelle de leurs deux corps. Je suis intervenu alors qu'ils copulaient depuis assez longtemps pour qu'Agnès réclame des prolongations.

Les tremblements de ma voix n'ont rien de commun avec les siens. Elle meurt de peur, je me sens fort dans la fureur du cocu :

- Il t'écrase? C'est ton choix, surtout qu'il voulait s'arrêter et que tu lui as intimé l'ordre de reprendre. Je veux, quant à moi, vous garder unis, nus, chair dans chair, devant moi, aussi longtemps que la nature le permettra de manière que vous soyez punis par où vous avez fauté. Vous vous aimiez en cachette de moi, continuez sans gêne devant moi. L'impensable est arrivé, il n'y a plus de raison de m'y opposer Continuez ce que vous avez entrepris.

- Laisse nous prendre un peu de repos. Sa quéquette flanche, je la sens moins. Par contre je sens des picotements dans mon vagin. Tu ne voudrais pas que je tombe malade. Que ferais-tu d'une femme abîmée par les excès? Pense à demain.

- C'est out réfléchi. Il n'y aura plus de demain entre toi et moi. Tu étais ma femme, tu ne l'es plus depuis que je vous ai vus collés l'un à l'autre.

- Jean, pas ça. C'est mon premier faux pas. Tu sais si bien pardonner. Je te jure de ne plus recommencer. Nous oublierons et notre amour sortira plus fort de l'épreuve.

- Ton amour? Tu l'as offert à celui qui te pénètre en ce moment. Ce don de toi à un étranger à mis fin à mon amour.

- Dans ce cas tu peux nous libérer. A quoi ça sert de rester comme ça, lui en moi et moi incommodée par une conjonction trop longue? Allez, chasse tes idées de vengeance. Personne n'en tirera avantage.

- J'en recueille une satisfaction, celle de rendre insupportable ce qui vous a poussé à vous retrouver unis dans l'inconfort. Avant tu l'as souhaité, du désir tu es passée à la réalisation avec l'idée que je n'en saurais rien. Tu t'es donc trompée, tu vois que je sais. Ce sentiment de pouvoir te démontrer que je ne suis pas la couille que tu croyais me console de la perte d'une épouse devenue infidèle. Je te perds, tu me perds, cela doit t'arranger. Désormais ton monsieur Paul pourra t'emmener et te grimper comme un singe aussi souvent que l'envie lui en viendra.
Enfin placés l'un sur l'autre, toi les jambes ouvertes et lui enfoncé dans ton sexe, vous êtes plus faciles à garder avec ma fourche. Tu n'as même plus le réflexe de râler à cause de l'odeur de fumier.

- Mon chéri, tu t'emballes pour presque rien. Il ne s'agit de rien d'autre que d'un peu de sexe entre deux humains. N'en fais pas une montagne. Quand Paul s'en ira, il n'y aura plus trace de l'incident. Pourquoi en faire un drame ?

- Parce que tu ne comprends pas que c'est pour moi le pire des drames. Après cette tromperie plus jamais je ne pourrai te faire confiance. Ma profession m'éloigne régulièrement de notre foyer et la tentation de me remplacer l'a emporté sur ces promesses maintes fois répétées d'un amour sans faille et d'une fidélité à toute épreuve. Tu as tout cassé. Paul t'a séduite et conquise. Qu'il te garde et t'emmène avec lui.

- Le voudrais-je que cela ne serait pas possible,Paul est marié, a une femme et deux s. Que ferait-il de moi ?

- Ce qu'il fait précisément à l'instant. Avait-il oublié sa situation de mari et de père quand il t'a suivie dans ton lit de femme mariée. Est-ce lui qui t'a tentée ou a-t-il seulement cédé à tes propositions de chienne en chaleur. Peu importe, vous avez chacun votre part de responsabilité. Sa présence, à ma place dans mon lit et dans ton ventre est une circonstance aggravante pour toi. Tu as souillé la couche conjugale plusieurs fois, tu t'es moquée de tes engagements, tu m'as ridiculisé

- Tu exagères. Personne n'est au courant de notre liaison parce qu'elle est relativement récente. Alors, Paul peut-il se relever et te rendre mon ventre? Tu seras le seul à y pénétrer désormais, je le jure

- Pas question. Je veux que ce voleur de femme mariée jouisse le plus longuement possible de son butin. Pour moi,tu m'as montré trop de sollicitude. Tu prétendais vouloir ménager ma santé. En réalité tu te réservais pour vos séances de parties de cul. Tout a un prix, tout finit par se payer.
En prolongeant vos étreintes vous payez une partie de la dette. Je veux justement vous conserver unis pour qu'enfin votre liaison soit connue. Qui est Paul, comment en êtes vous arrivés à vous retrouver en train de forniquer dans mon lit ? Ce n'est pas le hasard qui fabrique la bête à deux dos.

- Paul est le mari d'une collègue de travail. Elle m'a tellement vanté ses mérites que j'ai voulu savoir si elle ne sublimait pas ses qualités

- Tu l'as donc mis à l'épreuve et ne réussissant pas dès la première fois à mesurer toutes ses vertus de bon citoyen, de bon mari et de bon père, tu as jugé bon de remettre ça à plusieurs reprises pour qu'aucun aspect de cet homme incroyable ne t'échappe. Aujourd'hui tu lui as vraisemblablement fait subir une épreuve d'endurance. Ne te plains pas de sa lourdeur ou de quelques démangeaisons vaginales consécutives à vos abus.

- Calme-toi, mon amour, j'ai fait le tour du personnage. Je te promets que c'est notre dernier coup. Allez, permets nous d'éviter l'ankylose.

- D'accord. Je vous accorde la permission de vous remettre en mouvement. Cher ami Paul, veux-tu avoir l'amabilité de reprendre la baise interrompue par mon intrusion. Si, vas-y, sors un peu ta zigounette du troutrou de ma femme puis replonge au fond. Que tes mouvements de va-et-vient fassent circuler le sang. Chasse la crampe en bougeant. Tu te soulèves lentement, fais attention aux dents de ma fourche. Quand tu atteins la limite du con, retourne vite au plus profond. Bon, je fais du vent inutilement, tu sais aussi bien que moi comment on fait l'amour. Mieux que ça, s'il te plaît, ne me fais pas douter de ton pouvoir de faire jouir une salope.

- Oh! Non, Jean. Ne me traite pas comme ça. Je suis toujours ta femme.

- C'est bien ce que je vois. Ma femme serait autorisée à s'envoyer en l'air et je devrais me taire et applaudir Mais si ton type ne met pas plus d'entrain à te tringler, je vais devoir demander à ta collègue de travail si elle ne vous a pas tendu un piège en espérant se ? débarrasser d'un paresseux.
Elle t'a vendu un piètre amant et rigole avec un gars super efficace pendant que vous pensez la rouler dans la farine. Attends, cette veste ne m'appartient pas. Pas plus que ce tas de linge sur la chaise. Je parie que je vais trouver dans une poche un petit téléphone... Mais oui, voilà. Alors, adorable salope, comment s'appelle la brave mère de famille que tu cocufies actuellement sous mes yeux? Réponds ou je pique.

Cette fois Paul l'ouvre et demande pitié, le con !

- Aie, non, ça fait mal. Je ne veux pas mourir. Mais laissez ma femme en dehors de ça. Agnès m'a tendu un piège. Elle avait facile à me rencontrer parce qu'elle copinait avec Mireille. Elle a déployé ses charmes, m'a invité ici pour une réparation. Quand je suis venu elle s'est jetée à mon cou. Sa robe de chambre s'est ouverte. Je l'ai trouvée belle. Sa poitrine a attiré mes mains. Ses mains ont saisi mon entrejambe, j'ai perdu la tête et...

- N'insiste pas, je devine le reste : elle à genoux en train de baisser le zip de ton pantalon, ses lèvres sur ton gland. C'est vrai que lorsqu'elle veut elle sait branler, sucer et même avaler le foutre. Or c'est ce qu'elle ne me fait que trop rarement depuis un certain temps. Comme moi, ta femme a le droit de savoir. Et oui, mon bon monsieur, il faut savoir assumer. Alors, son téléphone, vite ou je pousse sur le manche....

Une simple fourche crotteuse vaut les arguments les plus fins quand on veut des réponses

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