Itinéraire D'Une Pute - Ch 4 - Simonard Mon Maitre
-- ATTENTION HISTOIRE FICTIVE POUR LECTEURS AVERTIS --
Je rentrais assez tôt ce vendredi après midi, le soir était une soirée spéciale, je devais retrouver Mamadou et ses deux compères.. pour remplir ma part du contrat.
Je me suis douchée et je me relaxais tranquillement lorsque la sonnette a retenti.. Passant un déshabiller jai ouvert et je suis tombée nez a nez avec Simonard
qui est entré en me poussant
- Non mais ca ne va pas pour qui vous prenez vous ?
IL alla sassoir dans le canapé sous mes yeux ébahis devant mon incompréhension. Debout devant lui furieuse
- Simonard ! vous sortez
Sans soccuper de moi il mannonce froidement que
- desormais pour toi cest Monsieur et tu me vouvoies
bientôt ce sera maitre.. mais la portée de ce mot sera tout autre que celui que tu as utilise chez moi lautre jour.
Et moi subjuguée, interloquée ne comprenant pas très bien ce qui marrivait incapable de réagir et de penser je lui dit bêtement.
- oui Monsieur
Il sest levé sest approchez de moi et ma giflée violemment et je me suis retrouvée par terre sur lépais tapis de mon salon
ma main sur ma joue, folle, pleurant je tentais de me relever
- Désormais tu obéis ou tu seras punie
Alors il ma attrapée par le bras et ma mise à genoux mon déshabiller sétait ouvert entre temps.. il me la arrache et je me suis retrouvée nue devant lui
J ai tentée de me relever et il ma gifflée à nouveau
- excuse toi !
Je me suis remise à genoux pas pour obéir juste pour me redresser en caressant ma joue
Il a répété en criant
- EXCUSE TOI !
Comme je ne répondais pas les yeux baisses toute à ma douleur, il a pince mon mamelon gauche et jai crié à nouveau de douleur
- arrêtez ! pitié arrêtez !
Son sexe toujours sorti, il bandait cela lexcitait de me punir et de mhumilier
- Excusez moi dis je dune voix à peine audible
- PLUS FORT SALOPE !
Cette fois vaincue j ai obéis et je me suis exécutée dune voix placée clairement audible
Et là encore une fois, jai senti mon corps réagir
mon esprit senflammer
jétais troublée et excitée de devoir plier, dêtre e à obéir, dêtre humiliée, même aussi davoir été punie.
Alors de ma propre initiative je me suis approchée de lui pour le sucer
jen avais vraiment envie, très envie même.
Le regardant dans les yeux vaincue jai commencée par lécher son gland, lécher son frein.. puis lentement je lai avale mes joues creusées je voulais le pomper, le vider
Je lavalais profondément forçant ma gorge à ne plus pouvoir respirer mon nez touchant son pubis
étouffée
Avec sa main il ma maintenu la tête
et ma dit
- Désormais je tautorise de tadresser par « maitre »
je dégoulinais, je métouffais
Il ma relâchée, jai pu alors remplir mes poumons dair et jai recommencé à le pomper à faire aller venir ma tête sur sa hampe dure raide.
Une nouvelle fois il bloqua ma tète sa bite au fond de ma gorge et dit à nouveau
- Maintenant la bourgeoise ce nest plus quand tu veux comme tu veux avec qui tu veux, cest quand je veux où je veux comme je veux
dailleurs il ny a plus de bourgeoise il ny a plus quune pute un objet !
Il ma relâchée et j ai recommencé à le pomper avec ardeur avec le désir de le boire de lui appartenir
je lui ai montré ainsi que désormais jétais sa propriété.
Lorsque quil sest déversé dans ma bouche jai pose ma main sur ses fesses pour le garder ne rien perdre de son sperme si désiré
Je lai avalé avec désir passion et bonheur oui bonheur
je crois que je comprenais que jétais à ma place
- As tu bien compris ce qui vient de se passer
désormais tu es à moi ma chose
je fais de toi ce que je veux !
- oui maitre jai compris
- Va me chercher ton collier desclave
.
Comment savait il ? peut être lavait il vu lorsquil avait choisi ma robe
Sans discuter je me suis levée et je suis allée le chercher
- A genoux offre le moi
- Voilà maitre je vous offre mon collier desclave
Je me suis exécutée troublée mon ventre bouillait, je coulais, mes seins qui allaient devenir mes mamelles étaient durs à en être douloureux
Lorsquil me la passé
rien que cet acte a déclenché en moi un orgasme violent cétait fou
jouir ainsi je tremblais je criais mon plaisir sans aucune retenue, sans pudeur, sans plus aucun amour propre
jétais bien
Ce collier en métal se ferme avec un petit cadenas .
- je garde la clé tu le porteras quasiment en permanence même pour sortir même pour aller travailler ..
Devant mon étonnement
- tu en veux encore une ????
- non maitre oui je le porterai en permanence.
Un reste de pudeur surement mais jaimais sentir mon collier autour de mon cou
Mon désormais maitre sest déplacé dans l entrée et a pris un des doubles des cles de mon appartement.
- Desormais je suis ici chez moi
!
- bien maitre !
- Désormais tu ne sorts quavec mon autorisation est ce clair ?
- Oui maitre très clair.
Je ne songeais même pas à le contredire.
- Ce soir normalement je dois aller retrouver trois hommes ..
Je lui ai alors expliqué le deal qui mavait permis dobtenir les documents.
- je viendrai te chercher pour ty emmener je livre ma marchandise moi même..
Il est sorti sans un mot sans un regard pour moi
Je me suis faite couler un bain
jessayais de réfléchir de comprendre ce qui venait de se passer
comment sortir de cette situation complètement folle. En sortir ??? mais comment ? pourquoi faire dailleurs ?
Rien ! les faits étaient là je navais qua accepter en plus jaimais cela
Comments:
No comments!
Please sign up or log in to post a comment!