La Saga Des Esclaves Au Château Du Marquis D'Evans (Épisode N°1323)
Conte d'Halloween au Château - (suite de l'épisode N°1313) -
Si ce n'est de lui et des plaisirs qu'il avait à m'offrir. Car une soumise en bonne santé est plus à même de servir et satisfaire les besoins et exigences du Maître... Je fus soudain, et sans raison, prise dun subit sommeil qui memporta très vite dans les bras de Morphée, sans même que je puisse comprendre la raison de ce si rapide besoin de dormir. Quand je rouvrais les yeux, je me retrouvais nue et assise à même le sol, adossée tout près de limmense double-porte dentrée dans limmense grande salle de bal
Par quel prodige je me trouvais là ? Etonnée de ce fait, je nosais bouger et jobservais silencieusement autour de moi. Aucun bruit, aucun mouvement
un grand silence
la nuit
Une atmosphère pesante, voire angoissante
Rien navait changé, il faisait nuit et lobscurité était juste trahie par un clair de lune donnant une faible clarté près des hautes fenêtres éclairant lugubrement la vaste pièce par des ombres funestes aux tableaux délabrés, provoquées par le jeu spectral de cette faible lumière. Il ny avait aucune âmes qui vivent, le silence était total et visiblement le lieu était déserté depuis longtemps à voir les nombreuses toiles daraignées et la poussière envahissante. Instinctivement, ma main toucha un objet placé juste à côté de moi sur le sol poussiéreux, cétait mon téléphone portable. Comment se trouvait-il ici ? Je le pris en main et je fus très surprise de lire la date et lheure affichée : le 31 octobre - 23h30
Cétait le soir dHalloween ! Cétait comme si javais fait un retour en arrière de quelques jours, comme si je devais revivre tout ce que javais vécu depuis mon arrivée en ce château visiblement abandonné. Soudain tout se passa très vite. Cela démarra par la disparition subite du clair de lune occasionnant une nuit complète dans limmense grande salle de bal. Je compris vite que le ciel devait sassombrir rapidement quand le tonnerre gronda et soudainement une violente volée déclairs fusa
Des éclairs de plus en plus rapprochés qui éclairaient en une fraction de secondes la pièce tout entière dans un bruit assourdissant dudit tonnerre.
Lorage grondait donc désormais de plus belle, orage venu doù on ne sait où
Quand subitement, là devant moi, et comme par magie la lumière fusa dun seul coup éclairée au splendide plafond par une multitude de lustres aux dizaines bougies ! Ce qui eut pour immédiate conséquence que la musique de la danse se fit entendre. Les spectres danseurs continuaient comme si rien nétaient, femmes et hommes de la cour du roi se saluant avant dattr un bras fin de faire tourner un partenaire dansant. Jétais médusée, la bouche bée, ouverte détonnements, mes yeux grands ouverts ne perdaient rien du spectacle qui se déroulait comme si jétais absente car personne ne fit attention à ma présence, comme si je nétais pas là mais juste spectatrice devant un écran de télévision. Mais je ne suis pas folle, je navais aucun écran, je voyais bien que tout cela se déroulait sous mes yeux ébahis
La danse dura encore plusieurs minutes
Je pouvais distinguer derrière les sourires des fantômes, les mâchoires squelettiques et cela me glaçait le sang
Quand la danse se termina et que chaque duo face à face se saluèrent en de multiples courbettes, jentendis distinctement et très très proche de moi que lon frappa une seule fois des mains, je tournais et levais la tête pour voir qui avait frappé des mains du côté de limmense double-porte dentrée, proche de moi.
Le spectre du Châtelain tenait fermement en main une laisse mais je ne voyais pas encore quel esclave, le fantôme du Noble tenait au bout de cette laisse
Et ce qui me sidéra sur place davantage, cest ce que je vis quand Monsieur le Marquis savança un peu
Il était accompagné par
moi !
En effet, jétais encore plus stupéfiée car je me voyais nue et à quatre pattes, au bout de cette laisse à mon collier que je me voyais porter à mon cou. Javais la tête baissée et semblait être heureuse de mon état. Ce qui me figea dhorreur, cest quà linstar du Noble, je me voyais en
fantôme bleuté et tout comme Lui, je nétais pas squelettique contrairement aux danseurs qui ne bougeaient plus et regardaient tous larrivée du fantasmagorique Châtelain. Javais une corde liée faisant le tour de ma taille et sur laquelle était attachée une autre corde à demi-tendue partant en direction derrière moi, comme si un autre esclave était attaché en cordée à ma suite tels des alpinistes. Le Noble spectre savança encore et je voyais très distinctement mon propre fantôme évoluer derrière Lui, à quatre pattes. Assise au sol, je me mis alors à crier dhorreur de me voir en fantôme mais javais beau hurler que lon ne mentendit pas, comme si je nétais pas dans la pièce. Alors je voulu me lever du sol mais je ne le pus, tout mouvement métait impossible, comme si mes membres pesaient mille kilos, jétais clouée assise au sol, cantonnée au rôle de spectatrice. Mais le spectacle que jallais voir était des plus incroyable, alors que lorage était à son paroxysme
Le Noble spectre savança encore, mais cette fois sans sarrêter, il évoluait avec grâce la tête haute, dune fière allure, tenant cette laisse avec une majestueuse délicatesse et cest fou car je me voyais en fantôme derrière Lui ! Oui, à me déplacer à Sa suite en quadrupédie.
Je me suis évanouie par la peur qui mavait saisi
Je revins à moi par le son dune douce musique de chambre de Jean-Sébastien Bach. Tous les fantômes étaient toujours présents dans limmense grande salle de bal. Mais ce qui minterpella, à ma grande surprise, cest que tous ces spectres squelettiques avaient pris une véritable forme humaine daspect normal, visiblement, en chair et en os.
Toujours assise et immobilisée au sol, jétais encore une fois, simple spectatrice de ma propre soumission, me voyant nue, collier au cou, en chair et en os, sur le point de me faire besogner. Jétais debout et penchée en avant, les cuisses largement écartées, prête pour la bestiale saillie, avec le Noble tout en me forçant donc à me pencher ainsi en équerre, afin de bien dégager ma croupe... "Le Châtelain me saisit alors prestement par les hanches et défaisant d'un geste leste sa culotte, dégageant sa queue déjà extrêmement tendue :
- "Ah la bonne salope ! Comme elle m'a excité ! Je dois la fourrer, là maintenant, tout de suite" lance-t-il
Joignant le geste à la parole, le Noble mencula brusquement, moi sa simple femelle qui ne laissa échapper qu'un bref petit couinement tandis qu'il commençait à me besogner ardemment. Monsieur le Marquis dEvans allait et venait dans mon fondement, calquant le rythme de ses coups de boutoir sur celui de la musique sur laquelle quelques nobles couples sillonnaient la piste de la vaste salle si richement décorée, tandis que dautres aux quatre coins de la pièce besognaient de nombreux esclaves subissant le bon vouloir de ces Dominants de la Haute société, esclaves offrant leurs divers orifices aux plaisirs de Celles et Ceux qui le voulaient...
Je me voyais mappliquer à demeurer dans la bonne position pour que mon cul soit agréable à fourrer... Au bout dun long moment le Châtelain cessa de menculer et se retira, puis Il me força à m'agenouiller et Il me fourra directement son sexe gonflé et dégoulinant entre mes lèvres buccales et s'enfonça dans mon fourreau humide, jusquà Son éjaculation en de longs jets de sperme que javalais avec délice
La nuit dHalloween était bien avancée... les danseurs avaient enchaîné gavottes, passacailles et menuets durant de longues heures tout en allant baiser et se soulager, quand bon leur plaisaient, la cinquantaine desclaves chiennes et chiens mis à leur disposition. Sous les luxueux lustres de cristal de cette grande salle, Monsieur le Marquis d'Evans me fit lever et sans dire mot, me fit danser pour me faire tournoyer et jétais apparemment ivre du bonheur d'être ainsi entre les Mains du Seigneur et Maître et sous le regard amusé des autres nobles présents ...
(A suivre
)
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