Amour En Musique 13

Nous étions tous les deux entièrement nus...

«I saw the sign...»

Cette voix, c’était celle de la chanteuse du groupe de dance suédois Ace of Base. The Sign…

Nous étions nus, tous les deux, à présent. Entièrement nus…

Dans le plus simple appareil… En tenue d’Ève et d’Adam.

On était bien, elle et moi. Corps et âme et sexe…

Laura était somptueuse dans la plus dénudée des tenues, et c’était tout simplement im-po-ssi-ble de lui résister une seconde de plus.

Elle a un corps magnifique, il faut dire.

Depuis notre rencontre dans la loge de mon groupe de rock au café des Amours mortes, je trouvais déjà qu’elle était très jolie. Mais, depuis qu’elle m’avait masturbé et qu’elle m’avait fait une fellation dans sa voiture alors qu’on se dirigeait vers la maison de ses amis, je trouvais, mais ça ne regarde que moi, que Laura avait une sensualité épanouie. Débridée, à certains égards. Une sensualité à laquelle tous les hommes, à mon avis, voudraient goûter au moins une fois dans leur vie.

Nous étions face-à-face. Nous nous faisions face. L’un excitait l’autre, et l’autre excitait l’un. C’était aussi simple que ça.

Laura braquait ses yeux dans les miens, et elle me souriait. Qu’elle était belle… Oh oui… Laura me séduisait, au sens premier du terme, parce qu’elle m’avait détourné du droit chemin qui était le mien jusqu’à notre soudaine rencontre, et à présent, je la désirais tellement. J’avais envie d’elle, plus que tout.

Et, toute entière, nue, elle était belle comme une Vénus. Et à présent qu’on s’apprêtait à nous retrouver au lit, ça allait être encore autre chose entre nous. Je le voulais. Je la voulais.

Never Too Much de Luther Vandross…

Ses yeux étaient plongés dans les miens, et ses lèvres dessinaient un sourire. Qu’elle était belle… J’étais attendri.



Le désir que l’on avait l’un pour l’autre était indéniable. On avait soif, l’un de l’autre. On avait faim, l’un de l’autre. Et… cette faim ET cette soif, je sentais qu’elles n’allaient pas tarder à éclater au grand jour. Dans l’état où étaient les choses à ce moment-là, je me doutais qu’il ne pouvait pas en être autrement non plus pour la jolie jeune femme rousse. Je n’avais qu’à la regarder dans les yeux pour que son désir me parle. Elle attendait, voulait et désirait la même chose que moi.

Nous étions tous les deux entièrement nus.

Nous étions les principaux acteurs d’un nouveau, d’un énième remake du mythe d’Adam et d’Ève.

Nous nous désirions, l’un et l’autre, et nous avions le désir réciproque de faire l’amour. C’était à CE fruit que nous voulions succomber.

Runaway de The Corrs…

Nous étions tous les deux entièrement nus.

Il n’existait plus rien, à ce moment-là, autour de nous.

Non…

Plus rien n’avait d’importance à ce moment-là, si ce n’est le désir qui s’était emparé de nous et qui continuait de brûler et de se consumer en nous, jusqu’à la moelle. Le désir que nous avions de nous faire l’amour, nous voulions y succomber. Une fois pour toutes.

Everyday de Phil Collins…

Nous étions tous les deux entièrement nus.

Le corps de Laura est magnifique.

Impossible de résister à la tentation de le toucher, avec mes lèvres… avec ma langue… avec mes mains… avec ma peau.

Non…

Nue, dans le plus simple appareil, belle comme une Vénus, Laura était la tentation incarnée. Nos corps se touchaient et se retouchaient. On s’embrassait. On se picorait des lèvres. On se mangeait des yeux. On se roulait des pelles.

Nue, dans le plus simple appareil, belle comme une Vénus, on s’embrassait comme des fous et nous n’avions pas envie de nous arrêter parce que ça nous plaisait.
Nous en tirions beaucoup de plaisir, de nos baisers. Nos corps étaient collés, l’un contre l’autre. Ils se touchaient et se retouchaient.

Nous jouissions de nous toucher et de nous caresser ainsi, sans arrêt, comme bon nous semblait. Le reste… Ça n’avait aucune importance.

Je sentais la poitrine généreuse de la jeune femme taquiner mon torse, et je parvenais même à ressentir le contact de ses tétons sur ma peau. Hmmm…

Nos visages se faisaient face, et nous nous bécotions.

Nos deux corps ondulaient, et ainsi, nous parvenions, à certains moments, à faire en sorte que nos deux sexes se rencontrent. Et qu’ils se frottent, l’un contre l’autre.

Je sentais mon pénis frotter contre le pubis de Laura.

Je sentais une légère goutte perler sur mon gland. Je sentais, également, la cyprine chaude de Laura. Nos deux sexes coulissaient en harmonie… et nous aimions ça.

Je regardais Laura, et ce que je vis me bouleversa, encore et encore : Laura avait les yeux fermés, et sa bouche était entrouverte. Elle poussait de tous petits bruits. Elle avait du plaisir.

J’ai perçu des signes comme un message : elle aimait ça. Je devais continuer ainsi...
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... Et ça nous plaisait...

Nous étions si bien, l’un et l’autre. L’un… avec l’autre.

Nous nous faisions des câlins… et ça nous plaisait. On aimait ça.

Oh… oui…

Laura est une jeune femme charmante. Elle est d’une beauté… Ses manières sont à priori directes, et pourtant… elle m’avait aussi dévoilé une part d’elle que je ne soupçonnais pas quand nous nous sommes rencontrés : une sensibilité à fleur de peau, en profondeur. C’était ça, ce qu’elle avait essayé de ne pas montrer, mais le désir avait été plus fort que tout : je lui plaisais beaucoup, et elle n’avait pas pu résister davantage. J’étais sa chasse gardée, et elle avait attendu ce moment depuis longtemps.
Sa sensibilité et l’amour qu’elle ressentait pour moi avaient fini par la trahir.

Il avait suffi d’un petit jeu, à priori anodin, au moment où l’on se déshabillait et que l’on se mettait à nu au sens littéral du terme, pour qu’elle laisse son cœur s’exprimer et qu’elle m’avoue, non plus son désir ardent de faire l’amour avec moi, mais son amour.

Dreamers de Savoir Adore…

On se frottait, l’un et l’autre. L’un à l’autre. L’un contre l’autre. L’un… avec l’autre.

Nous nous plaisions dans ces préliminaires, encore et toujours… et ça nous plaisait.

Oh… oui…

Ces préliminaires nous permettaient de nous rapprocher et de faire que notre désir et notre amour naissant en soient rens. Il n’y a pas le moindre calcul. Nous nous contentions d’écouter le désir qui brûlait en nous et que nous ressentions, l’un pour l’autre. Nous nous contentions de faire, de nous faire que ce que nous avions envie. Que ce qui nous passait par la tête. Nous n’en faisions qu’à notre tête… et ça nous plaisait.

Les minutes avaient beau défiler, on s’en fichait. Ce qui comptait par-dessus tout, c’était elle. C’était moi. C’étaient nous. Rien d’autre.

On se sentait si bien. Comme si nous étions seuls au monde.

On se mangeait des yeux.

De la peau à perte de vue…

Les sens avaient commencé à s’en donner à cœur joie, mais là, ça allait être toute autre chose.

Puis, Laura relâcha notre étreinte et s’y détacha. Sur le coup, je n’ai pas compris. Avais-je dit ou fait quelque chose qui lui avait déplu ?

Je ne comprenais pas, et je le lui fis comprendre en la regardant d’un air étonné.
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Quand l'eau me vient à la bouche...

Pour toute réponse, Laura me fit une moue coquine puis, d’une démarche lascive, sensuelle, elle se dirigea sur le lit et s’y allongea.

Je n’y avais pas fait attention quand ma partenaire avait allumé la lumière de la chambre, mais… La couette du lit était tapissée de milliers de pétales de roses.
Et Laura, elle, venait de s’y allonger. Certes, nous n’étions pas dans une reconstitution de la Vénus d’Urbino du Titien, mais je devais reconnaître que Laura était particulièrement belle, allongée sur le lit, entourée de ces pétales de roses. La musique continuait, en fond sonore.

Laura était belle comme une Vénus.

Quand je la voyais et que je la regardais, ainsi allongée, j’ai encore et toujours, toujours plus envie d’elle.

C’était digne d’une peinture sensuelle pour laquelle elle posait, là.

Sa peau rose pâle contrastait, tantôt avec le rose plus vif des pétales, tantôt avec le rouge plus prononcé d’autres de ces pétales.

Unbreak My Heart de Toni Braxton…

Laura avait l’intention de me faire définitivement de succomber à la tentation, et elle savait qu’elle n’était plus loin du tout de parvenir à ses fins. Le désir qui avait pris possession d’elle la rongeait, la brûlait, la ravageait, elle avait la ferme intention de le consommer avec moi. Et moi… Je le voulais aussi. Je LA voulais. Oh… oui.

Elle était étendue sur le lit, et elle était tout simplement belle à regarder.

Attention.

Je ne dis pas que Laura est parfaite. Elle ne l’est pas. Je suis de ces hommes qui pense que la perfection n’existe pas.

Pourtant… Le corps de Laura est magnifique, et je le reconnais : je suis loin d’y être insensible. C’est impossible de résister au charme, aux charmes de cette femme.

Rooms on Fire de Stevie Nicks…

Laura, telle une sirène, m’appelait inexorablement, irrésistiblement.

Elle me fixait de ses yeux noisette, et un peu comme c’est le cas lorsqu’on se rend au musée du Louvre et que l’on admire La Joconde, il est impossible dès lors de détacher ses yeux de l’œuvre. Elle vous suit, peu importe dans quelle direction vous avez ou de quelle façon, VOUS, vous la regardez. Et bien là, c’était pareil.

Ses longs cheveux roux… Ses yeux noisette… Ses lèvres cerise… Le tout petit piercing qu’elle portait sur sa narine droite et qui étincelle…

Sa peau rose pâle… Sa poitrine généreuse aux larges tétons roses… Son nombril vierge de tout piercing…

Son «ticket de métro» roux… Son «origine du monde» dont elle s’occupe avec soin et qui, là, était ouverte, mouillée, lubrifiée… Ses lèvres intimes, ses chairs, d’un joli roses, écartées…

Ancré en son intimité, son clitoris, son bouton de rose, gonflé, en érection, stimulé… et qui pleurait de désir et de plaisir…

Ses jambes nues, ses belles jambes, finement mais jolies musclées, toujours d’une peau rose pâle…

Laura était irrésistible, et rien que de la voir, ainsi allongée sur ce lit, elle me faisait saliver. J’avais… l’eau à la bouche.








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