Garçons! Une Double !
Il y a de cela une quinzaine de jours, jétais - comme tous les soirs -, avec Rémi ( voir « Rémi »). Après avoir, comme chaque soir, pris notre douche ensemble, on est allé se coucher.
Jamais, au grand jamais, on ne sendort direct. Du haut de ses vingt ans et de toute la fougue qui va avec, Rémi me câline chaque soir, chaque nuit, souvent plusieurs fois par nuit. De mon côté, je lui rends bien la pareille, no problem. Ce soir là, cest moi qui lavais entrepris. Je vous lai déjà dit, Rémi est dune infinie douceur. Cest là son tempérament profond. Même si, de temps à autres, il nhésite pas à me bousculer. Je sais que, si je veux lui faire plaisir, il faut que je le prenne très doucement, très voluptueusement. Jai rien contre. Je passais donc un temps infini - mais délicieux -, à le chauffer, à le caresser, à le doigter, à le rimmer, à le suçoter, à le sucer, à le pomper
pour finir par le pénétrer avec une infinie lenteur. Je restais en lui, très longtemps, sans bouger. Il adorait ça. On en profitait pour discuter de tout et de rien, à mi voix. Cest lui qui par de petits mouvements, me fit comprendre que je pouvais commencer à le limer. La montée en puissance fut très lente, savoureuse, pour lui comme pour moi. Au final, je lui remplis le ventre de sperme chaud. On resta ainsi, enchassés, lun dans lautre, merveilleusement bien.
Il me chuchota à loreille :
« -Je vois que tu es fatigué, je te prendrais plus tard dans la nuit. Tu veux bien ?
-Bien sûr mon petit ! »
On sendormit. Au cours de la nuit, je fus réveillé par ce que je crus être un rêve érotique. Très vite, je compris que cétait Rémi qui frottait sa bite dans ma raie, lentement. Jécartais mes globes de mes deux mains, il se glissa sous le drap et se mit à me lécher de sa langue pointée. Très vite, il se concentra sur ma rondelle, cherchant à me pénétrer par de petites poussées de sa langue pointée. Trop bon ! Jadore me faire rimmer, ça me rend fou.
Cest précisément à ce moment là quon entendit, tous les deux, la clef tourner dans la serrure
Ca ne pouvait être que Paulo, ment. Rémi eut une seconde dhésitation, je lui attrapais les fesses et lui fit comprendre de continuer. Une seconde plus tard, Paulo était dans la chambre et contemplait le charmant tableau quon offrait tous les deux. Il nous rassura aussitôt :
« -Come on, Rémi. Come on ! Go ! Give him pleasure ! » ( Vas y Rémi ! Donne lui du plaisir !)
Paulo a accueilli Rémi chez nous, avec tout ce que cela supposait. Il sait bien quen son absence, on se donne du plaisir. Et que, quand il est là, on en profite à trois. Je ne le remercierai jamais assez pour cela. En une fraction de seconde, il se débarrasse de tous ses vêtements et vient se joindre à nous. Sa bite est déjà dressée vers le ciel, raide comme la justice. Il se frotte doucement à Rémi et vient se glisser sous moi pour venir me dévorer la bouche. Puis il se redresse à genoux, face à moi pour venir embrasser Rémi. Jen profite pour lui attr la bite et me la glisser entre les lèvres. Son gland est déjà luisant de mouille. Je remarque que, depuis sa dernière venue, il a encore laissé pousser légèrement sa toison, tout en la zébrant de traits sans poils et en la délimitant parfaitement sur les bords.. Il me pousse doucement sa pine jusque dans le fond de ma gorge. Je lui caresse doucement les couilles quil a gardées rasées.
Paulo, bien bien chaud, demande alors sil serait possible quon lui fasse une double pénétration
On ne peut rien refuser à Paulo. Rémi dit que ce sera une première pour lui et quil ne demande quà apprendre ! Je demande à Rémi de sallonger sur le dos. Paulo vient se placer à califourchon au dessus de lui et sempale doucement sur sa queue bien raide. Moi, je viens me placer au dessus des cuisses de Rémi et japproche mon gland du trou de Paulo, déjà bien occupé par la bite de Rémi. Je sais que ce nest pas toujours évident ( voir « black is black » partie1)
Je vais faire de mon mieux pour ne pas faire de mal à meu Paulo et lui donner du plaisir, si possible.
« -Try with the dildo ! » (Essaie avec le gode !)
Je lenduis copieusement et essaie de lui passer doucement. Paulo souffle mais, visiblement, il y tient. Alors, jinsiste. Ca finit par passer complètement et je me mets à le limer avec le gode.
« -Come, now ! » (Viens, maintenant !)
Je retire le gode et viens assez facilement le remplacer. Je me mets à coulisser doucement.
« Go there both, now ! » (Allez y tous les deux maintenant !)
Rémi se met à bouger et moi aussi. Instantanément, ça procure des sensations à Paulo qui se met à nous encourager à y aller carrément. On ne se fait pas prier. Paulo couine, gémit, crie de plaisir. Ca nous encourage vachement de le voir réagir ainsi. Paulo se met à coulisser de plus en plus vite sur la bite de Rémi. Jai parfois du mal à ne pas le perdre mais je peux maintenant le reprendre sans problème. Paulo a empoigné ses cheveux et se met à dodeliner de la tête, de plus en plus vite en gémissant de plus en plus fort. On est trop fier de réussir à lui donner tout ce plaisir. On dirait quil va jouir du cul cette fois encore. Oui, mais pas tout de suite. Ca va être une longue montée de folie. Il se met à hurler des mots en portugais. Rémi, impressionné, se déchaîne et donne tout ce quil a. Cest lui qui va jouir en premier dans le ventre de Paulo. Cest ce qui va déclencher lorgasme de fou de Paulo. On ne le tient plus. Il hurle, il pleure, il seffondre sur Rémi. On le laisse redescendre tout doucement. On sent son corps qui tressaille régulièrement. Quel pied ! Quand il a un peu repris ses esprits, il nous serre dans ses bras, nous couvre de baisers, nous remercie dans toutes les langues quil connaît.
Quant à moi, je suis toujours aussi raide mais je ne men fais pas trop. Je sais bien que ces deux là vont soccuper de mon cas.
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