Pure Agnès 3



Agnès retrouve son ironie qui me devient insupportable

- Ca y est. Il fallait s'y attendre. Avec ta fourche menaçante dans le dos de Paul, tu as obtenu le contraire du résultat que tu souhaitais. Tu n'es pas malin, tu aurais dû t'en douter. Heureusement pour moi, au point où nous en somme, ça correspond à mes souhaits. Te voilà Gros-Jean comme devant.

- Que veux-tu dire. Qu'est-ce qui se passe de nouveau ? Ton amant tremblant de frousse n'est-il plus toujours sur toi, comme je l'ai ordonné ? Son poids ne t'incommode plus ? A la longue il finira par te fatiguer et cette punition provisoire me convient. Savourez ces moments d"accouplement au lieu de vous moquer de moi. Allez, baisez. Paul faut-il t'éperonner pour que tu défonces ma chienne de femme?-

- Justement, reprend Agnès avec un grelot de satisfaction dans la voix, penche-toi et regarde nos sexes. Celui de Paul est devenu tout rikiki, il est sorti de mon vagin et repose en paix entre mes nymphes. Voilà il va quitter mon vestibule. Merde, il m'a pissé dedans, son bouchon retiré, l'urine s'écoule avec le sperme sur mes fesses et notre matelas sera trempé par ta faute. Ca va puer.

- Ce n'est pas moi qui ai planté sa queue en toi. Quand je suis arrivé, il était déjà en train de te bourrer. Tu es la fautive. Te voilà malheureuse, ton amant débande? Il faut mettre fin à cette panne que tu attribues à ma présence et à ma fourche. Tu connais comme moi le meilleur moyen de ressusciter ce mort... Mais oui, ne fais pas semblant de ne pas comprendre.

- Ah! Non, mon chéri, pas ça! Non. Je veux bien essayer avec les doigts. Qu'il se relève et je le branlerai. Sans grand espoir, mais puisque tu me le demandes avec insistance et pour me faire pardonner mon erreur, j'obéis. Laisse-le bouger ...

- Tu veux rire ? Tu sais que les doigts ont peu de chance de lui redonner un aspect convenable. Mais si, je l'exige, tu le prendra en bouche, tu le placeras bien au chaud et tu le travailleras avec la langue.

Le sang affluera, il allongera la chose et la raffermira. Tu me faisais ça si bien avant de te soucier de ma santé. Rien de tel qu'une fellation bien faite pour redresser un pénis et le transformer en pieu raide et efficace. Bouffe sa bite et tu jouira

- Mais Jean, pourquoi? Tu veux vraiment que je recommence à faire l'amour avec lui ? Je ne peux pas le croire. Si Paul m'épuise, je ne serai plus en forme pour t'aimer comme je le dois.

- Tu ne le dois plus. Tu le lui a déclaré tout à l'heure, c'est lui le meilleur. Donc c'est à lui que tu dois consacrer tes forces et ton grand savoir faire. Avec moi, c'est fini. Jamais je n'accepterai d'être le second, le remplaçant du titulaire absent ou en panne.Jamais je ne boirai sur ton pubis le sperme de ton amant. Je suis cocu parce que tu l'as voulu, je ne suis ni consentant ni complaisant et ma fourche est là pour te le rappeler. Tu l'as voulu, tu l'as choisi, tu te le gardes.

- Tu es en colère, tu dis n'importe quoi. Je t'aime, j'ai commis une faute, je le reconnais et je le regrette. Ce n'est pas impardonnable. D'autres avant moi ont déjà fait cela et n'en sont pas mortes. Leurs mari ont su fermer les yeux sur un écart passager.Tu verras, j'ai comparé et je sais maintenant avec certitude que c'est toi l'homme de ma vie. D'ailleurs, même si je le voulais, je ne pourrais pas te quitter. D'abord parce que sans moi tu serais perdu. Ensuite Paul est marié à ma collègue de travail.

- Ca ne t'a pas empêchée de cocufier cette bonne amie. Au contraire, tu as utilisé votre amitié pour te rapprocher sans risque de lui et lui piquer son homme. Et toi, l'ami Paul ça t'a étouffé de tromper ta femme et de baiser la mienne qui était mariée ? T'es-tu soucié de mon existence et des dégâts que tu causais ? Apparemment non, puisque tu es encore couché sur la mienne. Une femme mariée, selon toi, c'est moins encombrant qu'une célibataire collante. Enceinte elle peut toujours désigner son mari comme géniteur.
Personne ne s'en étonnera. Elle-même aura avantage à mentir.

- Comme tu compliques les choses. Je ne suis pas enceinte ! Essaie de comprendre que j'ai couché avec Paul sans avoir la plus petite intention de te quitter. C'est un accident de parcours dû à une courte période d'égarement passionné. Un point c'est tout. C'est fini, reprenons notre route en commun. Paul retourne chez Gaby et tout rentre dans l'ordre.

- Je complique trop ? Peut-être ! Toi par contre tu simplifies à l'extrême. J'ai failli oublier l'autre cocue. Il me paraît juste qu'elle ait aussi son mot à dire à propos de vos élans passionnés sur une période de quelques semaines. Parce que j'ai entendu que vous n'en êtes pas à votre coup d'essai, votre liaison dure. Vous vous absolvez trop légèrement de vos tromperies, de vos négligences conjugales et de vos mensonges par omission. Sans mon retour inopiné, vous n'auriez pas imaginé de mettre fin à l'adultère. Vous devez payer. Paul, prends mon téléphone et appelle Gaby.

Oh! Non, de grâce, ne dis rien, je te dédommagerai. Mais ne casse pas ma famille. Pense à mes s.

- As-tu pensé à tes s ce matin en franchissant la porte de ma maison ? Non. As-tu pensé à ta famille ou à ta femme en possédant ma putain ? Pourquoi devrais-je penser à eux alors que tu les oublies? Tu fais cet appel ou je pique un bon coup dans les couilles?

- Aïe, stop! Que veux-tu que je dise à ma femme?

- Fais le numéro et rends-moi l'appareil. Je me charge du reste. Rappelle-moi ton nom de famille?

- Bein, c'est Dupont. Tu ne le savais pas?

- Ecrase.... Allo, Madame Dupont? Je suis le mari de votre collègue Agnès...Oui, ce n'est pas seulement une collègue, oui, une excellente amie.... Oui...Pourriez-vous venir chez nous... Votre mari en visite a été victime d'un accident...Oui à cette adresse. . Vite. La porte est ouverte et vous monterez à l'étage... C'est ça.


Je coupe.

- Jean tu n'as pas le droit de briser notre amitié.
Laisse-nous nous rhabiller, je t'en prie.

- Tu veux rire. Bon, assez plaisanté. Agnès, reprends la pose sur le dos, ouvre les jambes. Et toi l'amant retourne.... Si, si. Tu sens? Ca pique, hé, il fallait pas commencer... Vise bien, c'est en bonne place? Non! Quel abruti. Tu veux que je t'aide à trouver le trou ? Comme ça, avec ma main...C'est facile quand la nana ne se débat pas. Chanceux elle est trempée, ça doit glisser tout seul. On n'arrête plus, baisez, pompe, bien au fond. Entraînez-vous, à l'avenir vous pourrez tirer votre coup tous les jours, matin, midi et soir.

- Pitié... Elle va me .

- Qui "elle"? Ma salope qui t'épuise ou ta bobonne furieuse ?

- Les deux

- Il t'en fallait deux. Tu as eu les yeux plus grands que la queue. J'espère que tu sauras expliquer à ta femme ce que ta bite faisait et refait dans le vagin de la mienne. Allez, mieux que ça...

- Aie, fais attention, ça fait mal. Je fais ce que je peux. Ecoute, Agnès commence à gémir. Si ma femme l'entend jouir, je suis fichu.

-Garde ton souffle pour la défoncer et ferme ta gueule.

Une voiture s'arrête. Des pas précipités traversent la cour, la porte s'ouvre une voix crie:

- Paul, où es- tu? Ca va ? Il n'est pas mort ?

-Je réponds amusé:

- Montez. Oui ça va, ça vient, ça entre, ça sort. Ca va, bien sûr! Approchez, ici, voyez le malheureux...

- Quoi? Qu'est-ce que c'est? Où est Paul?

- Vous ne reconnaissez pas le dos de votre mari. Le type qui lève ses fesses puis replonge dans ma femme, c'est Paul. D'habitude vous voyez plus le côté face que le côté pile. Mais c'est bien lui.Regardez de plus près. Identifiez-le.

- Paul que fais-tu ? C'est ce type qui t'oblige à ... avec sa fourche. Mais vous êtes un salaud, vous obligez mon mari à sauter une bonne femme? Cochon C'est dégoûtant. Enlevez cette fourche, vous pourriez le blesser.Chéri cesse de t'activer.
..tu auras de la fièvre

- Regardez mieux. Reconnaissez-vous la femme qui accroche ses talons à l'arrière des cuisses du bienheureux amant qui la chevauche.

L'amant...? Agnès? Expliquez... C'est quoi ce bordel ? Pourquoi cette mise en scène ? Il n'y a pas d'accident. Vous êtes un menteur.



Gaby me fait un clin d'oeil. Nous devenons complices. Je l'éclaire :


- Quand je suis revenu chez moi, je me suis posé les mêmes questions. J'ai vite compris que ma femme et votre mari étaient en train de faire l'amour dans mon lit. Alors je me suis servi de cet outil de jardin pour les obliger à garder la position. Ils se sont reposés quelques instants et viennent juste de reprendre leurs ébats. J'avoue que je les encourage un peu avec la fourche. Par chance je ne les ai pas encore blessés. Je ne garantis rien. Pour moi la situation est claire.

Gaby enchaîne :

- Maintenant je te comprends Agnès. Tu te renseignais. Tu voulais savoir si Paul était un bon mari, combien de fois par semaine il me prenait, combien de temps il était capable de baiser sans arrêter, s'il pouvait me posséder plusieurs fois de suite. Au début tes questions m'ont paru indiscrètes. Un jour je me suis amusée à chanter les mérites et les exploits sexuels de mon mari. Je t'ai décrit ses assauts sauvages, mes orgasmes successifs et bruyants, je t'ai raconté mes reins brisés, j'ai inventé des scènes ahurissantes de sodomie. Conne, tu as cru tout ce que je te livrais comme réponses pour te rendre jalouse.

- J'ai gobé tes histoires. Alors j'ai voulu savoir. Ce n'est pas un gros péché. Soyez cool

- Toi, mon amie, tu as osé. Etre cool et quoi encore ! Tu es dérangée. Et toi, mon gros con de mari tu t'es laissé prendre à son jeu d'obsédée sexuelle. Te voilà en train de limer laborieusement, sans véritable entrain. Tu manques d'énergie mon coco. C'est mou, tout ça. Toi le mari de cette gourde à foutre, mets-toi là avec ton arme. Tu surveilleras ta truie. Laisse moi faire. Je veux voir pourquoi mon homme fait le fainéant. Paul descends de ce ventre, couche-toi sur dos à côté d'elle.

Le toutou se soumet , abandonne le corps de sa maîtresse et s'allonge contre elle. Gaby l'éloigne en deux mots.

Pendant ce mouvement Gaby lève sa robe, décroche son soutien-gorge, laisse tomber une poitrine lourde de mère allaitante, puis descend sa culotte à fleurs roses, passe les genoux, lève un pied, puis l'autre. Ciel quelles hanches et quelle croupe.C'est une femme solide. Ses formes imposantes ne gênent pas sa montée décidée sur le lit. Au passage elle claque Agnès. Elle est debout, un pied de chaque côté des hanches de Paul, elle plie les genoux, elle s'accroupit et saisit la zigounette mi molle d'un mari qui ne la mène pas large. Avec la justesse de l'habitude, elle s'assied sur le gland, engloutit le membre en semi érection et entame une cavalcade incroyable.
Agnès baisse les paupières sur ses larmes, joint ses mains pour une prière inutile.. Paul demande grâce, Gaby cavale, s'arrête brutalement, se relève et se moque:

- Tu es vraiment un bon à rien. C'est encore une fois la panne? Te voilà tout flasque. Peureux comme un lièvre, ton engin se cache dans ton ventre bedonnant. Bien sûr, tu te faisais vider les roustons par cette envieuse et tu me revenais avec des batteries déchargées. Mais mon pauvre, j'ai compris dès la première fois pourquoi tu prétendais être fatigué le matin comme le soir. Une surveillance discrète m'a permis de découvrir où tu allais. Merci Jean de m'avoir fait observer les activités de monsieur couilles molles. Il ne pourra pas nier son adultère. Elle te plaît la pouffiasse, garde-la. C'est une cette garce sans scrupules faite pour toi. Je trouverai certainement mieux qu'un coureur. Ne t'avise pas de remettre les pieds à la maison si tu veux vivre vieux.

- Voilà qui est bien parlé madame. Vous ne voulez plus de lui. Et moi je ne veux
plus de cette femelle trop chaude pour respecter un mari. Vous deux, dans cinq minutes je pique fort celui ou celle qui n'aura pas quitté la maison. Vous n'avez plus rien à faire ici. Je vous conseille de trouver une chambre d'hôtel pour copuler. Habillez-vous vite ou vous devrez courir nus dans la rue.

Paul a sauté dans son pantalon et file sans demander son reste. Robe enfilée, Agnès se heurte aux dents de la fourche lorsqu'elle essaie une dernière fois de m'apitoyer. Elle court en vitesse derrière son amoureux.
Le divorce ne sera qu'une formalité.
C'est arrivé il y a quelques jours, peut-être existe-t-il une femme fidèle. Je ne veux pas désespérer.

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