Marie-Jeanne Se Lâche...
Avant que débute la matinée dansante et à lissue dune demi-journée bien chargée, les responsable de lassociation mont invité à prendre un verre de vin blanc. Que le directeur avait emmené du domaine de son beau-frère. Un petit break qui allait me faire un grand bien. Aussi acceptais-je.
Dans le groupe du jour il se trouvait une femme qui ne métait pas inconnue. La soixantaine passée, environ le double de mon âge. Jai toujours était attiré par les femmes plus âgée que moi. Cela me vient sans aucun doute de mes relations que je dirai très intime avec certaines de mes voisines, délaissées par leurs conjoints et qui trouver en ma jeune personne une bonne récréation jouissif.
Il ma fallut pas moins de deux heures avant de retrouver la mémoire et par la même occasion la réponse à ma question. Cétait tout bonnement la mère dAnnie. Une fille de mon âge qui habitait à lépoque, le quartier. Elle était tombée folle amoureuse de moi. Au point de devenir une vraie sangsue. Épiant tous mes faits et gestes, alors que moi javais le béguin pour sa grande sur. De dix ans mon aînée. Elle se nommé Viviane, oui Viviane. Mais javais un trou de mémoire concernant celui de la mère. Sachant tout de même que cétait un nom composé. Un Marie quelque chose. Anne non ! Sophie, non plus
! Pour que cela ne me gâche pas encore des heures, je me suis décidé daller lui poser la question. Jai attendu quelle est fini avec le client au bar pour mapprocher.
- Vous désirez prendre quelque chose, jeune homme ? Me fit-elle en me souriant.
- Alain, je me nomme Alain.
- Je le savais mais je nen étais pas sûr. Me fit-elle.
- Vous êtes la maman de Viviane ?
- Oui ! Mais aussi dAnnie. Tu te rappelle delle.
Et comment !
- Bien sûr que je me souviens.
- Cela va lui faire plaisir de savoir que jai parlé avec toi.
- Quest-ce quelle devient ?
- Elle est mariée avec un ingénieur des télécoms, et mère de deux filles.
- Et bien félicitation.
- Quant à Viviane est en instance de divorce, et mère elle-aussi de deux filles.
- Bravo ! Enfin
- Et toi ? Ma-t-elle lancé.
- Marié, trois s
- Des filles aussi ?
- Non ! Deux gars
- Je devine quils ont autant de charme que leur père. Tu es sûr que tu ne veux rien prendre ?
- Non, merci madame.
- Je ten pris Alain, tu peux mappelé par mon petit nom.
- Je voudrais bien mais je ne me le rappel plus.
- Marie-Jeanne.
- Maintenant que vous me le dîtes. Je savais néanmoins que cétait un double prénom.
- On se revoit après. Au repas servit par lassociation.
- Oui peut-être si je suis convié.
- Je tinvite, moi. Je partagerais mon dîner avec toi.
- Cest gentille.
Enfin soulagé, je suis retourné jusquà ma loge, attendant patiemment que les heures tournent. Puis pour mon plus grand plaisir la musique sest tût. Un signal comme un autre pour mindiquer que le thé dansant était fini. Dailleurs quelques minutes plus tard jeus le plaisir de voir apparaître Marie-Jeanne à la porte de ma loge me conviant de la suivre pour dîner. Une vingtaine de personne étaient attablée. Un buffet froid était servi un peu à lécart. Marie-Jeanne ma invité à prendre place à ses côté.
Dès les premiers mots elle a aiguillé la conversation sur la vie de couple de ses filles, puis de la sienne. Jai alors appris quelle était veuve depuis dix huit mois et quelle habitait une maison à dix kilomètre dici. Jai attendu de finir mon verre de rosé pour prendre congé. Prétextant du travail décriture a terminé.
Invoquant une curiosité, Marie-Jeanne ma demandé si elle pouvait maccompagner. Jai bien sûr acquiescé.
Une fois tout deux assis derrière le bureau, et tout en discutant de chose et dautre je mai mis à lévaluer du regard. Un chemisier blanc légèrement décolleté, des seins plantureux, une jupe sombre, ses jambes était musclés et gainées de ce que jespérais être des bas.
Un après lautre les gens de la troupe ont défilé au bureau pour nous saluer avant de quitter le lieu. Le travail terminé elle ma proposé de partager un verre chez elle. Jai accepté avec un plaisir évident.
Arrivé dans son salon elle sest empressée de sortir les albums photos. Et dexposer fièrement les clichés qui sy trouvé, avec à chaque fois une petite indication. Elle avait même consacré un classeur entier aux travaux de la maison. Mindiquant par la même occasion la pièce où était tombé son époux. Foudroyer par une fulgurante crise cardiaque, alors quil réalisait les travaux de la chambre dédié à laînée des petites filles. Et qui depuis bien sûr après cette tragédie navait pas été fini pour cause de manque de moyen.
- Si cela peux vous arrangez je peux peut-être la finir cette chambre.
- Avec plaisir, me fit-elle, mais cela va me couter combien ?
- Un certain prix ! Vous permettez que jaille jeter un coup dil pour me faire une estimation.
- Ce soir ?
- Pourquoi pas. Plus vite cela sera fait, plus vite la petite fille pourra prendre ses quartiers.
- Si tu y tiens, alors suis-moi.
Très vite jai fait le tour. Hormis les enduits il fallait finir lélectricité, et la peinture.
- Alors ! Le résultat ?
- Il y a du boulot de finition.
- Ça va monter à combien ? Ma-t-elle lancé anxieuse.
- Je me propose de faire les travaux sans rien vous prendre. Par contre vous devrez acheter les matériaux.
- Oui bien sûr ! Mais cela mennuie pour toi.
- Si je fais ça cest par pur gentillesse.
- Cela me touche. Répondit-elle, la larme à lil.
Et cest comme ça quune quinzaine de jour plus tard jai attaqué la rénovation de la chambre. Consacrant les trois premiers jours à lenduit et au ponçage. Qui après chaque fin de journée menvoyait dans la salle de bains pour prendre une douche réparatrice.
Javais noté que Marie-Jeanne était toujours dans les parages quand je me sécher après la douche. Piqué par ce petit jeu, je ne métais mis au troisième jour une simple serviette autour de la taille. Au quatrième elle ma donné une serviette si petite que jeus du mal à en faire le tour de mes hanches avec. Et cerise sur la gâteau, elle avait oublié ce soir là de me déposer mes vêtements quelle se faisait un plaisir de me laver. Jai bien essayé de lappelé à plusieurs reprises pour quelle me les ramène, sans succès. Il ny a pas plus sourd quune personne qui ne veut pas entendre.
Alors je me suis avancé jusquau salon. Elle se tenait assise dans son fauteuil, mobservant attentivement.
- Je pourrais avoir mes vêtements sil vous plaît, Marie-Jeanne ?
- Mais où ai-je la tête. Je mexcuse Alain. Je temmène cela dans les plus brefs délais. Mais je perds vraiment la tête. Je les ai mis là. Ma-t-elle dit en me désignant du doigt le tas soigneusement plié sur la table basse.
- Mais il ne fallait pas.
- Cela ma fait plaisir. Et dailleurs je te dois bien cela. Cela tennui de venir les prendre.
Je me suis avancé jusquà elle. Pas du tout gêner par le spectacle que joffrais à ses rétines. Exhibant mon pénis, dont la petite serviette était loin de dissimuler son intégralité. Dailleurs elle na pas mis longtemps à sen apercevoir. Portant sa main sur sa bouche comme pour un cri de surprise. Feignant navoir rien remarqué, jai pris le tas et je suis retourné jusquà la salle de bains. Alors quune fois sur place, je cherchais mon slip, la porte sest ouverte dun bloc. Je me suis retrouvé nu devant elle. Lui offrant le spectacle de mon sexe dans son intégralité, que son intrusion a commencé à mettre en appétit.
- Tu as oublié de prendre ton slip. Fit-elle en faisant le pas qui la séparé de moi.
- Jétais pourtant sûr davoir tout pris.
Sa bouche est restée muette, alors que ses yeux sont allés de ma verge qui peu à peu se gonfler, à mon visage que je me suis ef de rendre agréable.
- Quel bel appendice, que tu as là ! Sest-elle exclamée dune voix Insolente.
Avec le pulpe de son index, elle a effleuré le méat dilaté par lérection. Elle sest extasiée, en parfaite comédienne.
- Cest quelle durci encore
Elle sest penchée avec une curiosité médicale pour examiner au plus près ma verge. Elle a entreprit de me branler lentement, guettant ma réaction. Jai tangué sur place, alors quelle me masser avec deux doigts, mobligeant à pousser des gloussements.
Pour mon plus grand désarroi, Marie-Jeanne sest alors redressé. Mais sest jetée sur moi pour embrasser mes lèvres. Très vite sa langue agile s'est insérée pour venir rejoindre la mienne.
Jen ai profité pour regarder ce quelle portait sous sa jupe, en le lui retroussant jusquà sa taille. Jy ai découvert des jambes gainées de bas couleurs chair. Étirés sur les côtés par un porte-jarretelles de satin, couleur champagne. Dont les froufrous de dentelle encadraient ses reins comme des tutus de danseuses de ballet. Latmosphère dans cette salle de bains était devenue très sulfureuses. Jai posé une main sur sa cuisse gainée, sentant la finesse du nylon. Cela ma fait un effet incroyable de caresser enfin la mère de Viviane. Au bout dun moment, lasse elle ma murmuré, comme si nous nétions pas seul :
- Caresse-moi ! Jen ai très envie. Et cela depuis le depuis le thé dansant. Je ne te cache pas que je mouille pour toi.
Jai caressé ses jambes des deux mains, aussi délicatement que je le pouvais. Arrivé au niveau des cuisses, je me suis attardé à les masser. Ému par la douceur de sa peau nue au-dessus des bas. Tout en continuant à manipuler ma verge, Marie-Jeanne a donné plusieurs bises sur ma poitrine. Jen ai profité pour enfouir mes doigts dans sa culotte. Y découvrant un sexe tout juteux. Une mouille épaisse ruisselait sur ses lèvres. Plus haut, son clitoris était aussi dur que mon gland. Je me suis empressé de branler entre deux doigts. Très vite elle fut happée par un orgasme. Poussant un cri tout en crispant convulsivement ma verge entre ses doigts.
Les sens attisé, je me suis soustrait de sa prise, pour maccroupir à ses pieds. Devinant ma pensée elle a écarté ses jambes autant quelle le pouvait. Assez pour que jy passe ma tête. Jai collé mes lèvres contre celles de son con. Lendroit était soyeux, et chaud. Jai entrepris de suçoter les muqueuses distendues. La première odeur qui mest venue à mes narines ce fut celle durine. Marie-Jeanne a glapit à chacun de mes coups de langue. Là un râle, ici un hoquet. Cétait incroyable excitant. Des cris si étranges que lon ne sattendait pas à entendre semblable son sortir dune bouche dune charmante femme. Pourtant cétait plus que réel et jen étais le responsable, à défaut den être lauteur.
Sous mes lèvres, les fragrances de son intimité menchantaient. Je devais rêver. Ce nétait pas possible. Moi avec la mère de Viviane. Alors, je devais profiter au maximum de ce rêve.
Pour cela, jai inséré ma langue entre ses lèvres, à la recherche du bourgeon des délices. Je lai dégagé de son manteau de chair. Elle a sursauté. Sa respiration sest accélérée. Elle sest saisie de ma tête entre ses mains, comme pour la guider sur son chemin du plaisir. Sa vulve a libéré des fluides de désir en abondance. Jai aspiré, jai balayé, jai lapé, jai vrillé, jai suçoté, tant que je le pouvais. Elle sest mise à gémir dune façon animale. Une ivresse alors sale ma submergé. Je lui ai planté mon index dans lanus. Elle sest arc-boutée sous lintroduction. Sest trémoussée en poussant des couinements, tandis que je branlais le trou du cul, elle a frétillé du croupion, faisant balloter ses seins dans tous les sens.
Je me suis redressé, pour prendre Marie-Jeanne dans mes bras et la poser sur le lavabo. Elle a ondulé des reins jusquà ce que ma verge trouve lentrée de son con. Une fois en place, je me suis enfoncé dun grand coup de reins qui lui a fait arracher un feulement.
- Défonce-moi ! Ma-t-elle lancé.
Elle avait la voix dune gamine capricieuse et exigeante. Elle m'a adressé un sourire tendre. Ondulant des reins. Embrochant sa fente sur ma verge. Je lui ai rendu son sourire et je lai baisé comme elle lavait souhaité. Elle sest donnée à moi. Voulant me faire don de sa jouissance. Jai résisté, retardant au maximum mon orgasme, malgré la raideur et la tension de mon sexe excité en tous sens par la furie des mouvements de Marie-Jeanne. Avec un hoquet et un long feulement de plaisir, elle a jouit, secouée des pieds à la tête par une onde interminable.
- Tu sais ! Ma-t-elle quelques minutes plus tard, alors que nous étions assis sur le canapé devant une coupe de champagne. Je ne veux pas que tu penses que me donner au premier inconnu est une habitude chez moi.
- Je pense que jai vécu un moment merveilleux avec toi et que pour rien au monde je voudrais que cela change.
- Merci, tu es si gentil. Tu sais, même sil ny a pas de lendemain à notre aventure tu mas donné beaucoup de plaisir.
- Qui te dit quil ny aura pas un lendemain ? Ai-je dis.
- Je ne sais pas, moi
parce que tu ai marié.
- Lun nempêche pas lautre.
- Alors ten mieux. Je ne suis pas contre. Tu mas procuré tellement de plaisir que jai besoin dune suite
.
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