Avec Ma Chef, Une Relation Fusionnelle
Sandra est ma chef, et je suis son assistant. Nous travaillons ensemble depuis plusieurs années, je m'occupe de son agenda professionnel et de la conseiller dans ses choix pour l'entreprise. Pendant longtemps elle ne m'a jamais vraiment attiré physiquement. Elle a 58 ans, donc 20 ans de plus que moi, plutôt de petite taille, fine. Elle a des cheveux mi-longs, des yeux marrons et une petite poitrine (je suis généralement attiré par les femmes avec quelques rondeurs et aux belles poitrines).
Au fil du temps, notre relation est devenue plus que professionnelle. Le fait de gérer son agenda et prendre part aux décisions qu'elle prenait nous a beaucoup rapproché, notre vie privée s'est mélangée à notre vie professionnelle, et j'ai commencé à la voir comme une belle femme, et a être attiré par elle.
L'élément qui joue beaucoup en sa faveur est son style vestimentaire ! Elle porte quasi quotidiennement des robes chics, plutot courtes, et des chaussures à talons. Quand le temps est frais, elle ajoute une paire de collants fantaisies ou des bas et lorsqu'il fait plus chaud, elle porte des chemisiers légers qui laissent souvent deviner son soutien-gorge ou au moins un joli décolleté.
Petit à petit donc, notre complicité s'est développée, au point que je devenais son confident sur des sujets de sa vie privée. Elle est mariée, depuis ses 20ans au même homme, et a plusieurs s avec lui. Son amour pour sa famille a toujours été comme un mur de verre qui nous interdisait "naturellement" toute idée de relation intime entre nous.
Un après-midi, alors que nous étions ensemble au bureau pour faire un point sur les dossiers en court, je l'ai regardé se déchausser, en se plaignant de douleurs aux pieds.
- Ahhh ces chaussures toutes la journée me font un de ces mal aux pieds...
Il s'agissait d'escarpins à talons hauts en cuir noir, avec une fermeture en lanière au-dessus de la cheville. Elle portait ce jour-là une robe assez basique bleue qui lui arrivait mi-cuisses, et un gilet en laine pour la fraicheur.
Comme souvent, l'intimité que nous avions construite entre nous me permettait de lui répondre librement, toujours avec une pointe d'humour.
- Ohhh pauvres petits pieds ! Tu voudrais un massage peut-être ?
- Ah ben ça serait trop !
Sur le moment, je ne savais pas comment interpréter sa réponse. Voulait-elle réellement que je lui masse les pieds ou était-ce simplement en réponse à ma proposition "déplacée" et tellement inappropriée qu'il était évident que je n'allais pas le faire.
Puis quelques instants plus tard, ne me voyant pas bouger :
- Ben alors ? Ce massage ?
Mon cur s'est mis à vibrer tellement fort que j'avais l'impression que la pièce bougeait. Je suis devenu tout rouge, mais sans me dégonflé, j'ai pris la chaise à coté delle qui me tendait un de ses pieds. Elle le posa sur ma cuisse.
Très professionnellement, je commençai un massage du pied tout en discutant du boulot, sans la regarder directement, mais en portant mon attention aux feuilles posées sur la table.
J'étais terriblement excité par le contact de son pied, chaud, doux, voilé de nylon, légèrement humide et odorant. Mon sexe était gonflé dans mon boxer mais je tentais maladroitement de ne pas le montrer.
Elle semblait apprécier. "Ah oui ça fait du bien !"
Petit à petit, je m'autorisais à jeter des regards furtifs sur ses jambes, et sur son visage détendu et serein. Elle portait des bas, je pouvais maintenant distinguer la partie brodées sur ses cuisses.
Quelques minutes plus tard, elle me donna son autre pied, tout aussi chaud et délicieusement doux. Mes regards sur ses jambes étaient de plus en plus fréquents, et j'arrivais à distinguer entre ses cuisses qu'elle portait une culotte en soie grise.
Elle bougea un peu sur sa chaise pour mieux positionner son pied sur ma cuisse, et dans le mouvement son talons se posa au niveau de mon sexe.
Je continuai à masser ses adorables pieds. Je jouai avec les orteils, caressai les chevilles, remontai parfois un peu sur le mollet...
Alors qu'elle était à présent concentrée sur son téléphone portable, occupée à répondre aux multiples mails quelle avait dû recevoir ces dernières heures, je prenai le temps de prendre conscience de la scène que nous étions en train de jouer...
Javais le pied de ma patronne entre les mains, elle était assise sur la chaise à côté de moi, la jambe tendue et posée sur ma cuisse, les cuisses légèrement écartées. Elle me dévoilait ses bas et sa culotte, maccordait le privilège de la toucher et de sentir la chaleur de son corps dans mes mains. Pourtant je connaissais son attachement à son mari, de mon côté je pensais à mon épouse, mais je ne pouvais mempêcher de vouloir plus, de vouloir me rapprocher de son intimité, de vouloir la pénétrer...
Pour détourner mon attention des pensées salaces qui menvahissaient, je décidai de rompre le silence par une touche dhumour :
- Nous devrions faire cela plus souvent, ça te permettrait de marcher deux fois plus et dêtre encore plus active !
- Cest sûr quavec mon âge jai de plus en plus besoin de prendre mon temps...
- Rhooo tu nes pas si vieille !
- Arthur, des fois jai limpression que tu oublis que je suis bien plus âgée que toi, mes s ont ton âge...
- Et pourtant tu es pleine dénergie et de fraicheur, je suis admiratif.
- Jai un assistant merveilleux, ça aide !
- Tu sais que je suis à ta disposition quoi que tu es besoin.
- Je le sais, et je profite de mon massage.
- Tant mieux.
Si elle me parle de notre différence dâge, cest quelle a bien fait le lien avec mon appétit sexuel pour elle.
Ces pensées me confortaient dans lidée dentreprendre plus quun simple massage, au risque de my brûler les ailes.
Le plus simple étant de continuer mon massage et de grignoter doucement du terrain vers ses cuisses et son sexe.
Cela sapparentait plus à présent à des caresses quà un massage, et mes doigts glissaient le long de sa jambe, toujours plus haut mais pas encore plus loin que le genou.
Elle a dû trouver que je prenais trop de temps, ou que j'étais trop indécis, car elle finit par enlever son pied, et elle se lava face à moi.
Elle avait les yeux fixé sur la bosse de mon pantalon, un petit sourire aux lèvres.
- Mon Arthur, je ne sais pas si je t'ai encore suffisamment exprimé toute ma reconnaissance pour ta présence à mes côtés depuis ces années.
- Cela a été mentionné, mais il y a toujours des pistes d'amélioration...
- Viens par là...
Elle me fit signe de me lever face à elle. Et me pris dans ses bras, m'enlaçant autour du cou. Je mis machinalement mes mains dans son dos pour la serrer aussi contre moi.
J'étais toujours terriblement excité, et je ne cherchais plus à le dissimuler. Ma bite pliée dans mon boxer se pressait sur le bas de son ventre. Elle pris un longue inspiration, puis en expirant doucement dans mon cou, elle posa sa tempe sur mon épaule. Plusieurs secondes passèrent ainsi, l'un contre l'autre, comme si nous faisions déjà le deuil de notre vie professionnelle, de notre fidélité pour nos conjoints respectifs, et que nous tentions une dernière fois de lutter contre cette envie irrésistible de fusionner l'un avec l'autre.
Et après avoir mesuré une dernière fois la folie de ce que nous étions sur le point de faire, elle souleva doucement la tête, et m'embrassa.
Un baiser rempli de tendresse, comme si le temps s'était suspendu au contact de nos lèvres.
Mes mains ont rapidement trouvé ses fesses. Je lui soulevai sa robe pour aller directement toucher sa peau sous la soie de sa culotte.
De son coté, elle ne perdit pas de temps et déboutonna mon pantalon pour libérer mon sexe qui se tendit dans toute sa longueur et se reposa dans sa main.
Nos lèvres ne se quittaient plus, comme si les décoller aller signifier la fin de cette pause de folie dans nos vies et nous ramener à la réalité de notre acte insensé et destructeur.
Nous n'avons pas perdu de temps. A peine mon sexe libre, je la soulevai légèrement, elle était si fine et légère... et la déposai sur le bord de la table.
Une main dans sa nuque pour être sûr que nos bouches restent collées, l'autre entre ses cuisses pour écarter sa culotte et trouver sa chatte.
Elle était trempée, plus que je ne le pensai possible. Mes doigts glissèrent rapidement entre ses lèvres, comme pour récupérer son jus qui sortait. Plus je le sentais couler sur mes doigts, plus je me sentais excité, sauvage, bestial, sur le point de posséder cette femme, 20 ans plus âgée que moi, à qui j'obéissais chaque jour.
Ses jambes étaient totalement écartées, et repliées autour de mes hanches.
Mon gland se présenta naturellement au bord de son sexe chaud. Je sentis sa langue arrêter de tourner autour de la mienne, Sandra se figea, serra davantage la prise de ses mains sur ma nuque, comme pour s'accrocher à moi, pour ne pas tomber dans un gouffre invisible...
Ma bite s'enfonça doucement, je sentais la chaleur douce de son intimité m'envahir, je fis un premier va et vient, elle fit un premier gémissement qui résonna dans notre baiser.
J'étais tellement excité, frissonnant de plaisir, que je savais que je ne tiendrais pas longtemps.
Délicatement, je m'enfonçai en elle et ressortai, pour lui arracher à chaque coup un gémissement plus fort.
Ma main sur le bas de ses fesses me permettait de la presser contre moi et m'assurer que je m'enfonçais profondément.
Ses doigts, ses ongles s'enfonçaient eux dans mes cheveux et j'en mesurais le plaisir que je lui donnais.
Je sentis mon foutre monter rapidement, irrésistiblement, incontrôlable. Je m'excuserais plus tard de n'avoir pas pu contenir mon plaisir pour la faire jouir. Je m'excuserais de ma maladresse en lui disant que je ferais tout ce qu'elle me demandera pour me rattr. Je ne savais pas encore ce que cela allait impliquer, j'ignorais encore l'emprise qu'elle allait exercer sur moi, je voulais simplement me déverser en elle.
Je la serrai contre moi, ma bite se gonfla, je tentai de me retenir le plus longtemps possible, et j'explosai.
Je me sentis me vider littéralement, la remplir encore et encore.
On resta un moment l'un dans l'autre pendant que je débandais petit à petit.
Finalement nos lèvres se décollèrent, très légèrement, et ses yeux plongés dans les miens, elle me souffla "Merci Arthur, tu me fais me sentir tellement bien..."
Et elle m'embrassa encore, délicatement, un baiser remplit de douceur et d'amour. Sans m'en rendre compte, je lui appartenais maintenant totalement.
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