Karine Et Le Plaisir De La Soumission 5

 
CHAPITRE 5 : Les vacances, mercredi matin, soumise à Hugo
Ma mère a des soupçons. Quand je suis rentrée mardi soir, j’ai crié
- « Salut maman, salut papa. Ça va ? Désolée, ça urge je vais faire pipi »
Je n’ai pas attendu de réponse, je n’ai même pas passé la tête dans la cuisine, j’ai été m’enfermer dans les toilettes à l’étage. J’ai écouté si j’entendais quelque chose, puis je me suis faufilée dans ma chambre. Je me suis déshabillée, j’ai caché ma jupe, mon haut et mon string, j’ai pris mon jogging et des sous-vêtements et je suis passé sous la douche. Je me suis lavée en faisant attention de ne rien oublié de douteux, puis une fois habillée, je suis allée voir mes parents pour les embrasser. Mon père était tout content de me voir, mais ma mère a eu un doute :
- « Tu as déjà pris ta douche ? »
- « Oui, j’ai vraiment eu trop chaud »
- « Tu as fait quoi ? »
- « J’ai retrouvé Hugo en ville, on s’est promené le matin, à midi j’avais préparé un pique-nique, on a grignoté au parc, et l’après-midi un footing au parc, j’ai récupéré le panier et je suis rentrée à pied, le scooter de Hugo n’a pas démarré. Tout à pied, je suis crevée. »
Ça au moins, c’est vrai, je suis crevée. J’ai bien récité le texte que j’avais préparé.
Je ne pensais pas que faire l’amour était aussi fatiguant. C’était génial. Quand je pense qu’on est bloqué par ma virginité, j’ai hâte de trouver une bonne raison de m’offrir totalement à mon Hugo. Il a déjà ma bouche, je pense qu’il faut que j’aille plus loin. Mes fesses puis mon minou, ou l’inverse… ou les deux. J’ai peur de choisir.
Maintenant que Hugo a fait de moi sa soumise, il va faire le pour que je lui cède ma virginité, même s’il a promis de ne pas essayer. Ma décision est prise, s’il me demande je le laisserai faire… mais il faudra quand même qu’il me le demande…
J’aide mes parents pour le repas, rêveuse, je me demande ce que Hugo va m’imposer en premier… Soirée TV ce soir, je vais pouvoir repenser à ma journée sans risque.


La première quinzaine de juillet se passe bien, nous nous voyons régulièrement, nous nous échappons dès que possible vers notre petit paradis où nous restons nus à nous baigner en nous tripotant pour nous faire jouir. Le bonheur !
Depuis une semaine, je n’ai presque pas vu Hugo, il est furieux. Ma mère fait tout pour m’occuper et me coincer à la maison. Dans une semaine, son père sera en vacances, et Hugo sera obligé de partir en Espagne avec ses parents. Il faut que ma mère me lâche un peu, il faut que je retourne à ma cachette avec Hugo. Je veux le sucer, j’ai trop envie. Je vais voir mes parents pour leur parler. Je leur dis qu’Hugo va partir un mois, que je voudrai le voir avant son départ. Je leur fais mes yeux de cocker triste, et mon père cède bien sûr, ma mère fait la tronche, elle est persuadée que je lui ai menti et que mes relations avec Hugo sont nettement plus chaudes que ce que j’ai laissé entendre : les vêtements qu’elle a lavés ont été pour elle un révélateur, certaines tâches surtout. Elle m’a posé pleins de questions indiscrètes, et quand je lui ai dit que j’étais toujours vierge, elle a eu un regard plein de doute. Elle hésitait à me croire, alors, plus agressive, je lui ai dit que je l’autorisais à contacter mon gynécologue pour lui demander confirmation de ma virginité. Elle a été contrainte de valider ma version… mais son doute subsiste.
Mes parents ont repris le travail tous les deux après exceptionnellement une seule semaine de congés d’été : ils ont gagné un voyage pour deux aux Antilles par le comité d’entreprise de la société de papa, et le voyage est prévu en septembre ou octobre. Je leur dis que Hugo n’étant pas disponible aujourd’hui alors je vais retourner bronzer dans ma cachette en attendant qu’Hugo trouve un moment pour me voir. Pieux mensonge.
Je remonte dans ma chambre en faisant semblant d’être triste pour me préparer. Dès que je rentre dans ma chambre, j’envoie un SMS à mon chéri : c’est bon cette semaine, je serai à notre cachette tous les jours.
Je me fais une queue de cheval, prends ma serviette, je mets mon jogging, un livre comme excuse. En embrassant ma mère, je prends les deux sandwichs que j’avais préparés, des biscuits et de l’eau.
- « Je serai de retour en même temps que vous, vers 17h30/18h, à toute… »
Et je sors toujours officiellement « triste ». Dès que je suis dans la forêt, j’ouvre ma veste de jogging, et je pars en courant. La veste s’ouvre et montre à tous mon soutien-gorge de sport. Je ne peux pas m’exhiber plus malheureusement, je connais trop de monde sur ce sentier. Arrivée à la cachette, je mets mes lunettes de soleil et me déshabille sans même vérifier la présence de voyeurs. Je reçois un SMS de Hugo : il n’arrivera que vers midi. Zut ! Je m’approche de l’eau, je nage dix minutes, enfin nue.
Puisque j’ai beaucoup de temps à l’attendre, je me dirige vers l’autre rive, je pars en exploration, à droite cette fois, je n’y suis jamais allé. La trace descend lentement le long de la rivière, au bout d’une demi-heure, j’arrive dans une grande propriété avec une bâtisse en ruines. Les herbes hautes et les orties me rassurent, personne ne vient plus ici. J’entends des jeunes qui jouent bruyamment, je me rapproche de la clôture. Il y a une falaise d’une dizaine de mètres qui empêche de continuer. D’ici, je peux voir ma rue, ma maison est cachée par la végétation de la forêt, la ville est en léger contrebas. J’en suis à 300 mètres à peine à vol d’oiseau. J’ai fait un bon bout de chemin à poil. Soudain j’entends une voix
- « Bonjour, Mademoiselle, vous êtes très belle »
Surprise et apeurée, je m’accroupis et me retourne… personne. La voix reprend doucement
- « N’ayez pas peur, vous êtes trop belle, je vous veux pas de mal »
J’ai l’impression que la personne est très proche, deux mètres maxi, mais je vois personne.
- « En bas, sur l’échafaudage. »
Je me penche un peu vers la falaise… cinq ouvriers sont en train de faire la réfection du mur de soutènement.
Le plus près pourrait presque me toucher en tendant le bras. Instinctivement, j’avance pour mieux les voir ;
- « Faites attention de ne pas tomber, c’est dangereux »
Habituée à mes exhibitions, je ne pense pas à cacher mon anatomie. Accroupie, j’ai les genoux écartés, les ouvriers sont au spectacle. Ils ne me paraissent pas très vieux.
- « Pourquoi vous êtes toujours toute nue Mademoiselle ? » demande l’un d’eux.
Je vois les autres l’engueuler à voix basse pour avoir parlé de ma nudité. Je mets une main sur mon minou, et le bras sur mes seins. Il en prend pour son grade le pauvre.
- « Arrêtez, laissez-le, il a raison, j’aurai du me cacher »
Mais j’enlève mon bras et ma main, et leur laisse voir mon intimité. J’aime m’exhiber et ils ont déjà tout vu. Je pose une question sans intérêt pour alimenter la conversation et changer de sujet.
- « Qu’est-ce que vous faites là exactement ?»
- « Merci » les cinq me remercient de ne plus rien leur cacher. « On est étudiant en deuxième année de Prépa au lycée du bâtiment rue Jean Mermoz, on est en travaux dirigés pendant les vacances d’été, c’est organisé bénévolement par un prof, c’est sa propriété. Il est plus bas pour s’occuper des autres élèves. On est monté sur l’échafaudage quand on vous a vu. »
- « Une prépa ? Alors vous avez déjà le Bac ? »
Je m’inquiète, je suis tombée sur des jeunes adultes, j’aurai préféré montrer ma chatte à des ados, c’est moins risqué.
- « On va rentrer en 2ème année en septembre, après le Bac, on a tous entre 19 et 20 ans si ça vous inquiète... Mademoiselle… on pourrait toucher vos seins ? »
Inquiète, ils sont cinq tout de même, je trouve un subterfuge :
- « Désolée mais vous ne pourrez pas grimper jusqu’à moi sans tomber »
A mon grand étonnement, ils redescendent, et disparaissent tous dans les fourrés. Je repars explorer en m’éloignant de la falaise pour ne pas être vue depuis la ville… Et je les vois arriver, tous les cinq.
Ils ont fait le tour, ils arrivent tous pour me toucher les seins, comme prévu ! Je décide de les laisser me tripoter un peu. Le plus grand est le premier à me toucher les seins, ce n’est pas vraiment un tendre, je suis obligée de lui dire qu’il me fait mal pour qu’il fasse attention. Je sens une main me caresser les fesses, une mon visage, deux sur les seins, et bien sûr, une s’égare entre mes cuisses. Je les guide dans l’exploration de mon corps. Maintenant ils sont doux, mais me visitent partout. Je suis rapidement obligée de retirer deux mains qui s’introduisent dans mon minou. Je bloque les mains, et les pose sur les lèvres de mon sexe. « Caressez-moi là sans rentrer à l’intérieur ». En cœur, j’ai droit à un « oui Mademoiselle » Je sens un doigt qui rentre dans mon cul. Malgré le manque de préparation, en une seconde, il m’a mis tout le doigt. J’adore le sentir dans mon fondement, mais je me remets à genoux pour faire sortir le doigt inquisiteur, il a le réflexe de suivre mon mouvement et reste dans mon cul en bougeant, caressant les parois de mon colon. J’adore ça. J’att sa main, et sans retirer son doigt, je lui dis
- « On ne doit pas faire ça à une fille sans lui demander avant son autorisation, votre maman ne vous l’a jamais dit ? »
- « Mais vous aimez ça ! Non »
- « Qu’est-ce qui te fais penser que j’aime ça ? »
- « Vous n’avez pas enlevé mon doigt »
Logique ! C’est sans faille, c’est vrai que j’adore. Il faut absolument qu’Hugo m’encule rapidement. Je suis certaine que je vais aimer.
- « On ne doit pas mettre un doigt dans le cul d’une fille et lui demander après si elle aime. On fait l’inverse, on demande et si elle dit oui, alors on peut. Je ne t’aurai jamais dit oui, même si j’aime beaucoup ton doigt, mon petit ami ne m’a pas donné l’autorisation pour me faire mettre un doigt dans le cul ».
- « Moi, c’est Henri, on se connait maintenant ! »
L’étudiant me fait un grand sourire, je lâche son poignet, et au lieu de retirer son doigt, il recommence à le bouger dans mon petit cul. J’adore ce doigt qui force sur ma rondelle. Je me détends, je sens mon plaisir arriver : avec cinq paires de mains qui me tripotent c’est inévitable. Je leur dis
- « Ne bougez plus, je vais jouir, c’est trop bon ce que vous me faites. »
Je commence à trembler, un spasme tord mon ventre, je crispe mon anus sur le doigt qui m’encule et je gémis de plaisir. Une fois silencieuse, ils retirent leurs mains, le doigt de mon anus est le dernier à sortir, comme à regrets. J’entends un « ha c’est dégueu », je regarde le doigt enculeur, il est couvert de mes excréments. Je demande pardon, je l’aide à frotter son doigt dans l’herbe pour enlever le plus gros, il résiste un peu, alors je rapproche sa main de mon visage. Etonné il se laisse faire, je prends son doigt encore sale et le mets dans ma bouche pour le nettoyer. C’est vraiment pas bon, mais je m’applique à le nettoyer et lui dis :
- « Je suis désolée, mais quand une fille sait qu’elle va se faire enculer, généralement elle se lave l’intérieur du cul pour que le doigt et la bite ressortent propres » Je vois leur regard interrogatif, « On appelle cela un lavement. On met de l’eau dans le cul, et on va aux toilettes pour pousser et évacuer la merde. On le fait plusieurs fois puis c’est de l’eau propre qui ressort… Mais on ne le fait pas si on ne doit pas se faire enculer. C’est pas très agréable » je me suis sentie obligée de leur expliquer
- « Tu nous prends pour des puceaux avec tes explications à la mords moi le nœud ? Et pourquoi tu ne te fais pas enculer toi ? Alors que t’es toujours à poil? » Me dit le propriétaire du doigt inquisiteur ;
- « Non pour le doigt…c’est la première fois, mais comment tu sais que je suis toujours toute nue ? »
- « On t’as vue plusieurs fois quand tu vas à la gare ou quand tu bronzes. La première fois c’était quand t’as sucé la bite des vieux de la locomotive » Je tombe des nues
- « Vous êtes là souvent ? »
- « Deux fois par semaine jusqu’à la rentrée, les autres jours on est en vacances comme tout le monde. T’es belle alors on se faufile pour te voir. Tu nous suceras la bite à nous aussi ? »
J’ai les larmes aux yeux de honte, mais aussi de la gentillesse avec laquelle est faite cette demande que je trouve charmante.
- « Je ne peux pas te dire oui, j’ai donné mon corps à mon petit ami, il est le seul à pouvoir m’autoriser à vous sucer » J’ai envie de les provoquer pour voir leur réaction. « Je suis une soumise. J’appartiens à mon Maître »
- « Mais vous venez de sucer Henri, alors pourquoi pas nous ? »
- « Ce n’est pas le doigt du chauffeur de la locomotive que j’ai sucé à la gare, et pour ça je dois être autorisée par mon petit ami, par contre, je peux te lécher un doigt si tu veux. » Ils tirent la gueule.
Mon téléphone se met à vibrer. C’est Hugo : il arrive dans 30 minutes. Chouette, il est en avance, il ne faut pas que j’arrive en retard. Je leurs demande s’il y a une route plus rapide que le bord du ruisseau, ils me disent de les suivre, mais de faire attention aux gens qui se promènent. 15 minutes pour faire le trajet, j’ai aperçu des gens mais eux ne m’ont pas vue. Mes cinq voyeurs sont venus. On arrive à la cachette. On se baigne tous ensemble, ils ont gardé leur slip. Alors je nage sous l’eau je m’amuse à le leur baisser. Ils crient à chaque fois, mais comme je passe souvent ma main sur leur sexe, ils se laissent faire. Le plus vieux, Henri, s’est mis à l’écart, il m’attend le slip au niveau de ses genoux. Je ne peux pas le descendre, alors je sors de l’eau devant lui, le regarde dans les yeux, puis je replonge pour lui caresser le sexe. Je m’attarde presque une minute à le branler, et sous l’eau je vois les jets de sperme sortir de sa bite et être entrainés par le courant. Je ressors devant lui, et je lui murmure :
- « Je te demande pardon, mais je n’ai pas l’autorisation de te sucer »
Il s’éloigne pour remonter son slip.
C’est le moment que choisit Hugo pour arriver. Quand il voit les mecs, il me regarde interrogateur.
- « Ce sont des étudiants qui travaillent un peu plus bas. Je viens d’apprendre qu’ils jouent les voyeurs avec moi depuis que j’ai découvert cet endroit. Mon corps n’a plus de secret pour eux. Ils ont assisté à tous, y compris à ma fessée et à ma soumission. Ils n’ont jamais rien dit. Ils m’ont même vue quand j’ai sucé les chauffeurs du train »
En le disant, je me rends compte que je viens de rappeler à Hugo un vieux truc qu’il avait oublié. Cela risque d’être ma fête.
- « Tu veux dire que tu m’as trompé avec les chauffeurs du train ? »
Hugo n’est pas content.
- « S’il te plait, je ne t’ai pas trompé, je t’en ai déjà parlé le mois dernier. Rappelle-toi. Je leur ai dit que j’étais encore pucelle quand ils voulaient baiser avec moi, alors je leur ai sucé la bite afin de leur changer les idées, juste un peu, juste le gland. Le contrôleur a sifflé pour le départ du train, ils sont partis, je ne les ai pas revus depuis. Ça fait plus d’un mois. Je ne t’ai pas trompé. »
- « Génial ! Je n’avais pas compris que tu avais sucé les deux mecs. Tu as bouffé leur sperme, tu as bouffé le sperme d’inconnus avant d’avoir gouté le mien ! Qu’est-ce que tu ne m’as pas dit encore ? »
Je suis étonnée de la réaction d’Hugo. Il est jaloux, mais ce n’est pas le fait que j’ai sucé deux autres hommes qui semble le gêner, mais plutôt de n’être pas le premier à avoir été sucé par moi!
Heureusement, j’ai encore en mémoire une vieille histoire que je me remémore souvent en pensant à mon Hugo le soir dans mon lit en me masturbant. Mon meilleur souvenir d’enfance ! Soulagée, je sais que je vais pouvoir me justifier et calmer sa colère. Je lui dis alors :
- « Ce n’est pas vrai, tu te trompes. C’est ton sperme que j’ai gouté en premier. Tu ne t’en rappelles peut-être plus, mais moi si, jamais je ne l’oublierai. Souviens-toi ! C’était pendant ta période masturbation, tu avais découvert ce plaisir. Tu t’en vantais souvent devant tes copains. Ce jour-là, il y avait une grosse bosse au niveau de ta braguette, pour me moquer de toi, je m’étais frottée contre ton pantalon, rappelle-toi ! Je t’avais fait jouir dans ton slip en jouant aux chatouilles, tu étais furieux… Alors, pour voir, j’avais glissé ma main dans ton pantalon et je l’avais ressortie couverte de sperme. C’était gluant, j’étais étonnée, mais voyant ta tête renfrognée, pour te faire rire, j’ai soulevé mon teeshirt, j’ai mis du sperme sur mes 2 tétons. Tu as ri, alors j’ai sucé un de mes doigts, je t’ai montré ton sperme dans ma bouche. Il n’y en avait pas beaucoup d’accord, mais ce jour-là, tu as été le premier… Je me rappelle… j’aime trop ce souvenir de nous… j’ai ouvert ton pantalon, tu m’as laissé faire, j’ai sorti ton sexe, c’était le premier que je touchais, je t’ai regardé dans les yeux, tu m’as laissé te faire un bisou sur ton gland couvert de sperme. Là il y en avait beaucoup. Je me rappelle bien, c’est toujours un très bon souvenir pour moi ! Pourquoi as-tu attendu si longtemps avant qu’on recommence à se toucher, moi, j’avais envie mais je n’osai pas. Tu te rappelles ce jour-là ? Moi comme si c’était hier, c’était la première qu’on jouait à touche-pipi comme dit ma mère. Tu te rappelles ce qui s’est passé après ? Je t’ai pris par la main, je t’ai emmené au début de la forêt, au bord du ruisseau, je t’ai dit d’enlever ton short et ton slip tout tachés pour les laver, moi j’ai soulevé ma jupe et j’ai enlevé ma petite culotte. Je te l’ai tendue en disant « on a la même taille, tu ne seras pas tout nu. » J’ai nettoyé tes vêtements dans l’eau, et je les ai mis à sécher au soleil. Je suis restée deux heures sans culotte debout près de toi sans bouger, tu étais immobile, tu n’osais pas me toucher, assis par terre le temps que ça sèche. Je t’ai vu plusieurs fois regarder sous ma jupe trop courte, quand le vent l’a soulevée, tu as regardé mon minou, j’avais un peu honte mais j’étais fier que tu regardes entre mes jambes parce que je t’aimais déjà. Tu as toujours été le premier pour moi Hugo. Je ne t’ai pas trompé. Aujourd’hui, j’aime m’exhiber c’est vrai et je suis ta soumise. Aucun sexe d’homme ne pénétrera sans ton accord dans ma bouche, mon minou ou dans mon cul. Je te le promet »
Attendri, Hugo me regarde, moins en colère… il se souvient très bien qu’il n’avait pas osé me toucher pendant tout le temps où j’étais sans culotte près de lui. Magnanime, il reprend
- « C’est bon, je te crois, mais n’oublies pas, tu me racontes tout ce que tu fais lors de tes explorations, toutes tes cochonneries »
Je décide de profiter de sa bonne humeur retrouvée.
- « Je sais que ce n’est pas le moment, mais mes amis voudraient que je les suce, ils ne l’ont pas dit comme ça, mais c’est en quelque sorte en remerciement de leur silence sur mes exhibitions publiques. Je leur ai dit que tu devais être d’accord pour cela... j’aimerai bien que tu dises OUI, pour les remercier… Aussi… Euh… moi… je voudrai aussi que tu m’encules, le plus rapidement possible »
Hugo est stupéfait de ma dernière réclamation, faite crument en plus, devant les étudiants qui n’en reviennent pas.
-« D’accord pour les sucer, mais pas aujourd’hui, et pourquoi veux-tu te faire enculer rapidement ? »
Je frémis d’humiliation, je demande publiquement à être enculée !
- « Je prends de plus en plus de risque pour m’exhiber nue, je vais ment me faire prendre par un mec qui voudra me baiser. Il faut que je puisse lui proposer mon cul pour ne pas être défloré. En plus, (en me tournant vers les étudiants) ils m’ont tripotée tout à l’heure, je me suis laissée faire, et l’un d’eux m’a mis un doigt dans le cul. Il a été très rapide. Et j’ai aimé. Alors s’il te plait, encule-moi vite, je veux que tu sois le premier. »
Henri, les yeux baissés, dit
- « C’est moi pour le doigt dans le cul, pardon »
- « T’excuse pas, j’aurai du vous dire où était la limite quand vous avez commencé à me tripoter. J’ai pensé aux doigts dans ma chatte, je n’ai pas pensé à mon cul. Hugo n’a jamais essayé » Hugo dit alors
- « En tant que maître, je confirme que Karine a fait une faute, et a provoqué le doigt dans son cul. Elle doit donc être punie. Elle sera fessée cul nu devant tout le monde. »
Je frissonne de plaisir, il va encore me fesser, chouette. J’espère que ça va durer assez longtemps, que je puisse jouir fort. Hugo reprend
- « Pour ce qui est de les sucer, je ne serai pas là pendant trois semaines à partir de la semaine prochaine. Karine aura donc tout le temps pour vous sucer dans cette période, sans limite de fois à votre discrétion. En échange pendant cette période vous serez chargés d’assurer sa protection pendant ses exhibitions. Si vous êtes d’accord pour la protéger, on pourra procéder à la punition. Il n’y a plus de remarque ? » Je risque un mot
- « Sans limite ? Sans limite, c’est peut être beaucoup ? Pendant trois semaines, ça ne va pas faire trop ? Non ? Surtout si je dois avaler ? »
J’aime sucer et avaler du sperme, mais là… sans limite… pour un mec jaloux, il se lâche beaucoup.
- « Tu avales, et tu les suces sans limite de fois, comme une bonne soumise. »
Il a confirmé ma « punition », je baisse les yeux afin qu’il ne voit pas mon large sourire, je dois paraitre la parfaite fille soumise à son maître. Hugo continue
- « La punition : 15 coups sur les fesses, tu comptes sans te tromper sinon … Henri fera office de bourreau»
Je n’arrive plus à respirer, celle-là je ne m’y attendais pas ! D’un côté, je suis déçue, seulement 15 coups sur les fesses, je ne vais commencer à bien mouiller qu’à 10, je parie que je ne vais même pas jouir… il faudrait que je me trompe en comptant… mais pourquoi Henri ? Je vais être fessée cul nu, en public, par un mec que je ne connaissais pas il y a 2 heures. Je me dis qu’après tout, je risque de jouir plus facilement avec l’excitation d’être fessée par un quasi inconnu. La honte me serre déjà la poitrine et je sens mon minou se liquéfier rien qu’en pensant à la position que je vais devoir prendre pour recevoir cette fessée. Je demande avec une voix altérée
- « Si je me trompe on recommence aussi à zéro, même avec Henri ? »
- « Petite salope perverse ! »
Mon maître a deviné tout de suite le sens caché de ma question, il me connait trop bien.
- « Oui, aussi avec Henri, mais si tu te trompes, il y en aura aussi 15 avec les 4 autres. »
Outch ! Mon maître m’a piégée là, si je veux recevoir une fessée plus longue par Henri, j’en recevrais 60 de plus, par les autres. L’enfer pour mes fesses. Je vais devoir prendre une décision qui risque d’être très douloureuse pour mes fesses. Non, c’est impossible, soixante-quinze coups sur les fesses, je ne pourrai plus m’assoir, et probablement plus marcher non plus. Mes parents sauront. J’ai envie de pleurer de dépit.
- « Pour le bâillon, Maître, je compte sur mes doigts de 10 en 10 ? »
Il acquiesce. Je vais bientôt devenir une experte en fessée cul nu en public. Je me rends compte que les étudiants se sont rhabillés, je serai la seule personne nue de l’assemblée. Une humiliation de plus, j’adore. Henri s’installe sur le même tronc d’arbre qu’Hugo avait utilisé. Il a donc assisté à ma première fessée ! Je rougis. Soudain j’ai une illumination, je sais comment je vais faire : Hugo doit penser qu’il s’agit d’une erreur, je lui fais confiance, il me fera cadeau des fessées par les autres, pour les quinze d’Henri, Hugo décidera, ce sera le hasard. Je regarde Hugo dans les yeux, la bouche un peu ouverte, je m’approche, et lui dit d’une voix bien posée, confiante
- « Merci, Maître, votre soumise vous remercie pour son supplice »
Et je m’allonge sur les genoux d’Henri, les cuisses très écartées de façon qu’ils aient tous une vision parfaite de ma chatte quand elle va se mettre à luire. Mon maître enfourne ma culotte de sport dans ma bouche pour atténuer un peu mes cris. Mes mains s’agrippent aux jambes d‘Henri.
- UN
- DEUX …
- … QUATORZE…
Les larmes coulent, en continue, ma chatte est bien luisante, je n’ai pas jouis. Je ne me suis pas trompée en comptant. Maintenant, que le hasard décide si la punition continue ou pas
- …
Je reçois le 15ème coup, je ne dis pas un mot, je ne compte pas. Que le hasard fasse son œuvre ! Mes fesses chauffent, je pleure à chaud de larmes, ma chatte coule abondement quand je me lève ma cyprine ruisselle le long de mes cuisses. Je n’ai pas jouis, c’était presque, mais non. Soudain, je trésaille, Aléa Jacta Est comme dirai ce bon Jules César, Henri demande
- « Pourquoi tu n’as pas compté QUINZE ? »
Le hasard est en marche. Henri s’est aperçu de ma faute « involontaire ». Hugo doit penser que je ne l’ai pas fait exprès et me juger en toute impartialité. Je dois faire semblant, alors comme si je venais de me rendre compte de mon erreur, je réponds vite, trop vite, précipitamment
- « C’était le dernier, pas besoin »
Maintenant, le cœur battant fort dans ma poitrine, j’attends sans oser regarder Hugo qu’il annonce le verdict du hasard. L’idéal pour moi, les quinze coups supplémentaires d’Henri, et cadeau du reste, sinon, je me contenterai d’une amnistie générale tant pis.
- « Henri a raison, on doit recommencer à zéro. Les autres, préparez-vous !»
Hugo, m’a-t-il encore devinée ? Malgré mon plaisir de savoir que la fessée va continuer, je pâlis en pensant à mes fesses après les cinq fois quinze… Oh ! c’est bien SOIXANTE-QUINZE coups que je dois encore recevoir. Si le hasard est l’ami de mon plaisir, je sens qu’il ne l’est plus pour mes fesses. Je dois faire quelque chose pour diminuer ou répartir un peu ce merveilleux supplice : je ne serai plus capable de rentrer à la maison après !
- « Je t’en supplie, je ne supporterai pas la fessée par les autres »
Je me jette à ses pieds. Je profite que je suis en larmes pour essayer d’infléchir son air inflexible. Je reprends en chougnant
- « Je t’en prie, mes fesses ne le supporteront pas, je ne pourrai plus marcher, mes parents vont s’en rendre compte. Je t’en supplie, pas tout aujourd’hui, répartie les fessées, je dois déjà les sucer quand ils en auront envie, ils pourront aussi choisir quand ils me fesseront. J’aurai non seulement tous les jours l’appréhension de ne pas savoir quand ce sera la fête à mes fesses, et je devrai me promener quatre autres jours avec les fesses rougies par une fessée cul nu. »
Un peu tendue, ma supplique semble avoir atteint sa cible mais sans certitude aucune, je m’installe sur les genoux d’Henri. Hugo me place pour qu’Henri puisse mieux voir ma chatte. Hugo prend alors la parole, je tremble en attendant sa décision
- « Henri te fesse aujourd’hui, les autres te fesseront les semaines prochaines chacun choisira un jour… trente coups chacun »
Je suis soulagée, j’ai gagné. Je vais non seulement encore être fessée ce soir, mais plusieurs fois le mois prochain, et tant mieux pour les trente coups au lieu de quinze, je suis heureuse de si bien connaitre mon Hugo… En fait je suis très soulagée, et vite maintenant j’attends ma fessée moi !
- UN …
- SEPT …
Premier orgasme sur les genoux d’Henri, je ferme les yeux de honte et de plaisir. Il doit voir ma cyprine ruisseler de ma chatte ouverte.
- … QUINZE
J’ai eu encore un autre orgasme. Je suis vraiment masochiste. Je regarde Hugo au milieu de mes larmes, je lui souris, et mes lèvres forment les mots « je t’aime » Il m’ordonne
- « Ne bouges pas ! Toi, prends ton mouchoir. »
Il a désigné le plus malingre des étudiants, le plus timide aussi. Qu’a-t-il bien pu imaginer pour prolonger mon supplice ?
- « J’ai pas de mouchoir sur moi Hugo !»
- « Retire ton slip alors, et viens là »
Le mec intrigué enlève son slip, remet son short pour ne pas rester la bite à l’air devant ses copains, et s’approche.
- « Essuie-lui la chatte, vas-y essuie tu voies bien qu’elle est trempée, frotte… Karine, ouvre ta chatte à 2 mains qu’il puisse nettoyer tes cochonneries ! »
La honte me submerge mais je tremble de plaisir, Hugo me connait si bien maintenant. Il demande à un presque inconnu d’essuyer ma chatte baveuse. Même si je suis une salope maso, il exagère mais c’est tellement le top de ce que je pouvais rêver… je ne peux pas refuser de me soumettre à cette déchéance. Un mec m’éponge la chatte. Je m’ouvre la vulve à me déchirer et il m’essuie consciencieusement le minou. Il a peur de mal faire, alors il s’applique, cela dure. Hugo me dit
- « Karine, assise à la place du fesseur, allonge-toi, écarte les cuisses et ouvre bien ta chatte. Avec tes pouces, décalotte ton bouton qu’il termine ton nettoyage».
Hugo a encore trouvé une position plus humiliante : présenter à un inconnu mon clito décalotté. Je m’exécute avec plaisir, au fur et à mesure de ses demandes. Je suis rouge. Pour le clitoris, j’ai peur de l’effet du moindre contact tant je suis excitée.
- « Allez, fini de l’essuyer, on n’a pas que ça à faire, et passe bien sur son clito. »
Comme s’il était blasé, Hugo joue avec le feu ! Mon agent d’entretien personnel m’essuie, en tournant bien sur mon bouton. Mon orgasme est instantané. Je gémis en tremblant. Je suis de nouveau trempée, tout est à refaire, je suis parcourue de spasmes de bonheur qui ne veulent plus s’arrêter. Ils reprennent à chaque contact avec mon clitoris. Hugo demande au mec de se dépêcher. J’enlève le bâillon de ma bouche tout en écartant les lèvres de ma vulve, et je dis à Hugo
- « Pitié Maître ! Pas mon clito. Pitié je n’en peux plus »
Malgré tout le plaisir que cela me donne, je commence à fatiguer, ma jouissance devient douloureuse. Il donne son accord d’un hochement de tête, je cache mon bouton sous mon pouce, le mec essuie juste mes lèvres et mes nymphes. Une fois ma vulve presque sèche, Hugo me dit
- « Karine, lève-toi, et vas te baigner pour te rafraichir les idées. »
Il se moque ouvertement de moi et de mes orgasmes sans fin. Je me lève, mes fesses sont rouges, mes jambes flageolent. Je regarde mon maître, provoquante jusqu’au bout, j’écarte les genoux et me cambre pour exposer mon intimité. Je fais les quelques mètres jusqu’au lac à quatre pattes, comme une chienne en chaleur. L’eau me soulage. La brulure de mes fesses se calme lentement, mais mon désir sexuel lui diminue rapidement. Je suis bien, heureuse, repue de sexe. Je repense à la honte de m’être fait nettoyer la chatte par un des étudiants devant les autres… Je me dis que c’est une idée à retenir, après chaque fessée, l’un d’entre eux devra m’essuyer la chatte, j’en frémis de plaisir. Hugo reprend la parole
- « Karine, petite salope, je ne viendrai pas demain. Profite-en pour aller chez une esthéticienne. Je veux une épilation intégrale. Plus de poil sur ta chatte. »
- « Maître, si ma mère ne voit pas le moindre poil, elle comprendra, elle a déjà des soupçons, pas intégral s’il vous plait. Je suis d’accord pour une épilation permanente si vous voulez »
- « D’accord. Va pour une très petite touffe. Par contre à partir de la semaine prochaine, plus de soutien-gorge ni de culotte. Et progressivement, tu supprimes les pantalons, que des mini-jupes. Tu peux déjà jeter tes collants. Tu n’en mettras plus jamais. Même l’hiver, je te veux la chatte à l’air, même s’il gèle. Compris ? »
Je regarde mon Maître. Je suis inquiète pour l’avenir, mais aujourd’hui, j’ai adoré me faire humilier et fesser.
Les étudiants se lèvent, il est l’heure pour eux de rentrer manger. Ils me disent qu’ils seront dans le coin tous les jours. Dès qu’ils sont partis, Hugo se déshabille et vient me rejoindre dans l’eau. J’ai mal partout : mes fesses bien sûr, le sexe, le clitoris, mes muscles sont douloureux, les spasmes des orgasmes ont provoqué des courbatures. Je suis restée trop long les jambes écartées à l’extrême, j’ai mal aux adducteurs. J’espère que je vais pouvoir marcher normalement pour rentrer à la maison.
- « Ma chérie, tu vas bien ? Tu n’as pas trop mal ? »
- « Je suis fatiguée, j’ai trop jouis. Il ne faut plus autant. Tu vas me faire mourir de plaisir, comme dit Sardou ! Et mes fesses me brulent... Tu croix que tu auras le temps de m’enculer d’ici vendredi soir que tu partes ? »
- « Je vais trouver du temps, tu l’as bien mérité, mais il faut que tu ailles voir un gynéco pour qu’il te donne la pilule »
- « Hugo il n’est pas prévu que tu me prennes par le vagin.» Je sais qu’Hugo a l’intention de me dépuceler prochainement, je m’en réjouis d’avance.
- « C’est simplement au cas où. Si tu vas le voir rapidement demande lui pour tes fesses. Il pourra te prescrire une crème apaisante pour les fessées. »
- « Je veux pas qu’il sache pour les fessées cul nu »
- « Il le verra bien tout seul, surtout si les étudiants te fessent tous les jours » J’avais déjà oublié les fessées probables de la semaine prochaine ;
- « S’il te plait, Hugo, tu crois que je pourrai te sucer ce soir avant de rentrer. J’ai envie de ton sperme dans ma bouche. »
- « Une gorge profonde ? »
- « Je préfère pas mais si c’est ce que tu veux »
- « Non c’est bon. Ah ! Au fait, pour les photos que tu voulais, j’ai trouvé, j’ai un copain de classe, William, tu le connais, le blond beau gosse, il fait de la photo. Il pourra nous prendre en train de baiser. »
- « Hugo, si c’est lui qui fait les photos, elles ne pourront pas être anonymes puisqu’il nous connait. Faut un photographe professionnel que l’on paiera en espèces, et d’une autre ville. On fournira l’appareil photo numérique de mon père, il est super perfectionné. »
Je sors de l’eau. Je marche presque normalement. D’ici l’heure du retour ce sera parfait.
- « On mange un peu maintenant Hugo il est plus de midi »
- « j’ai amené du McDo, mais il sera un peu froid»
Le sac était resté au soleil, les hamburgers sont encore tièdes, mais le Coca est chaud. On ne peut pas tout avoir. Je regarde Hugo par en dessous. Vivement que je le suce, je veux du sperme !

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