Karine Et Le Plaisir De La Soumission 5
 
CHAPITRE 5 : Les vacances, mercredi matin, soumise à Hugo
Ma mère a des soupçons. Quand je suis rentrée mardi soir, jai crié
- « Salut maman, salut papa. Ça va ? Désolée, ça urge je vais faire pipi »
Je nai pas attendu de réponse, je nai même pas passé la tête dans la cuisine, jai été menfermer dans les toilettes à létage. Jai écouté si jentendais quelque chose, puis je me suis faufilée dans ma chambre. Je me suis déshabillée, jai caché ma jupe, mon haut et mon string, jai pris mon jogging et des sous-vêtements et je suis passé sous la douche. Je me suis lavée en faisant attention de ne rien oublié de douteux, puis une fois habillée, je suis allée voir mes parents pour les embrasser. Mon père était tout content de me voir, mais ma mère a eu un doute :
- « Tu as déjà pris ta douche ? »
- « Oui, jai vraiment eu trop chaud »
- « Tu as fait quoi ? »
- « Jai retrouvé Hugo en ville, on sest promené le matin, à midi javais préparé un pique-nique, on a grignoté au parc, et laprès-midi un footing au parc, jai récupéré le panier et je suis rentrée à pied, le scooter de Hugo na pas démarré. Tout à pied, je suis crevée. »
Ça au moins, cest vrai, je suis crevée. Jai bien récité le texte que javais préparé.
Je ne pensais pas que faire lamour était aussi fatiguant. Cétait génial. Quand je pense quon est bloqué par ma virginité, jai hâte de trouver une bonne raison de moffrir totalement à mon Hugo. Il a déjà ma bouche, je pense quil faut que jaille plus loin. Mes fesses puis mon minou, ou linverse
ou les deux. Jai peur de choisir.
Maintenant que Hugo a fait de moi sa soumise, il va faire le pour que je lui cède ma virginité, même sil a promis de ne pas essayer. Ma décision est prise, sil me demande je le laisserai faire
mais il faudra quand même quil me le demande
Jaide mes parents pour le repas, rêveuse, je me demande ce que Hugo va mimposer en premier
Soirée TV ce soir, je vais pouvoir repenser à ma journée sans risque.
La première quinzaine de juillet se passe bien, nous nous voyons régulièrement, nous nous échappons dès que possible vers notre petit paradis où nous restons nus à nous baigner en nous tripotant pour nous faire jouir. Le bonheur !
Depuis une semaine, je nai presque pas vu Hugo, il est furieux. Ma mère fait tout pour moccuper et me coincer à la maison. Dans une semaine, son père sera en vacances, et Hugo sera obligé de partir en Espagne avec ses parents. Il faut que ma mère me lâche un peu, il faut que je retourne à ma cachette avec Hugo. Je veux le sucer, jai trop envie. Je vais voir mes parents pour leur parler. Je leur dis quHugo va partir un mois, que je voudrai le voir avant son départ. Je leur fais mes yeux de cocker triste, et mon père cède bien sûr, ma mère fait la tronche, elle est persuadée que je lui ai menti et que mes relations avec Hugo sont nettement plus chaudes que ce que jai laissé entendre : les vêtements quelle a lavés ont été pour elle un révélateur, certaines tâches surtout. Elle ma posé pleins de questions indiscrètes, et quand je lui ai dit que jétais toujours vierge, elle a eu un regard plein de doute. Elle hésitait à me croire, alors, plus agressive, je lui ai dit que je lautorisais à contacter mon gynécologue pour lui demander confirmation de ma virginité. Elle a été contrainte de valider ma version
mais son doute subsiste.
Mes parents ont repris le travail tous les deux après exceptionnellement une seule semaine de congés dété : ils ont gagné un voyage pour deux aux Antilles par le comité dentreprise de la société de papa, et le voyage est prévu en septembre ou octobre. Je leur dis que Hugo nétant pas disponible aujourdhui alors je vais retourner bronzer dans ma cachette en attendant quHugo trouve un moment pour me voir. Pieux mensonge.
Je remonte dans ma chambre en faisant semblant dêtre triste pour me préparer. Dès que je rentre dans ma chambre, jenvoie un SMS à mon chéri : cest bon cette semaine, je serai à notre cachette tous les jours.
- « Je serai de retour en même temps que vous, vers 17h30/18h, à toute
»
Et je sors toujours officiellement « triste ». Dès que je suis dans la forêt, jouvre ma veste de jogging, et je pars en courant. La veste souvre et montre à tous mon soutien-gorge de sport. Je ne peux pas mexhiber plus malheureusement, je connais trop de monde sur ce sentier. Arrivée à la cachette, je mets mes lunettes de soleil et me déshabille sans même vérifier la présence de voyeurs. Je reçois un SMS de Hugo : il narrivera que vers midi. Zut ! Je mapproche de leau, je nage dix minutes, enfin nue.
Puisque jai beaucoup de temps à lattendre, je me dirige vers lautre rive, je pars en exploration, à droite cette fois, je ny suis jamais allé. La trace descend lentement le long de la rivière, au bout dune demi-heure, jarrive dans une grande propriété avec une bâtisse en ruines. Les herbes hautes et les orties me rassurent, personne ne vient plus ici. Jentends des jeunes qui jouent bruyamment, je me rapproche de la clôture. Il y a une falaise dune dizaine de mètres qui empêche de continuer. Dici, je peux voir ma rue, ma maison est cachée par la végétation de la forêt, la ville est en léger contrebas. Jen suis à 300 mètres à peine à vol doiseau. Jai fait un bon bout de chemin à poil. Soudain jentends une voix
- « Bonjour, Mademoiselle, vous êtes très belle »
Surprise et apeurée, je maccroupis et me retourne
personne. La voix reprend doucement
- « Nayez pas peur, vous êtes trop belle, je vous veux pas de mal »
Jai limpression que la personne est très proche, deux mètres maxi, mais je vois personne.
- « En bas, sur léchafaudage. »
Je me penche un peu vers la falaise
cinq ouvriers sont en train de faire la réfection du mur de soutènement.
- « Faites attention de ne pas tomber, cest dangereux »
Habituée à mes exhibitions, je ne pense pas à cacher mon anatomie. Accroupie, jai les genoux écartés, les ouvriers sont au spectacle. Ils ne me paraissent pas très vieux.
- « Pourquoi vous êtes toujours toute nue Mademoiselle ? » demande lun deux.
Je vois les autres lengueuler à voix basse pour avoir parlé de ma nudité. Je mets une main sur mon minou, et le bras sur mes seins. Il en prend pour son grade le pauvre.
- « Arrêtez, laissez-le, il a raison, jaurai du me cacher »
Mais jenlève mon bras et ma main, et leur laisse voir mon intimité. Jaime mexhiber et ils ont déjà tout vu. Je pose une question sans intérêt pour alimenter la conversation et changer de sujet.
- « Quest-ce que vous faites là exactement ?»
- « Merci » les cinq me remercient de ne plus rien leur cacher. « On est étudiant en deuxième année de Prépa au lycée du bâtiment rue Jean Mermoz, on est en travaux dirigés pendant les vacances dété, cest organisé bénévolement par un prof, cest sa propriété. Il est plus bas pour soccuper des autres élèves. On est monté sur léchafaudage quand on vous a vu. »
- « Une prépa ? Alors vous avez déjà le Bac ? »
Je minquiète, je suis tombée sur des jeunes adultes, jaurai préféré montrer ma chatte à des ados, cest moins risqué.
- « On va rentrer en 2ème année en septembre, après le Bac, on a tous entre 19 et 20 ans si ça vous inquiète... Mademoiselle
on pourrait toucher vos seins ? »
Inquiète, ils sont cinq tout de même, je trouve un subterfuge :
- « Désolée mais vous ne pourrez pas grimper jusquà moi sans tomber »
A mon grand étonnement, ils redescendent, et disparaissent tous dans les fourrés. Je repars explorer en méloignant de la falaise pour ne pas être vue depuis la ville
Et je les vois arriver, tous les cinq.
- « On ne doit pas faire ça à une fille sans lui demander avant son autorisation, votre maman ne vous la jamais dit ? »
- « Mais vous aimez ça ! Non »
- « Quest-ce qui te fais penser que jaime ça ? »
- « Vous navez pas enlevé mon doigt »
Logique ! Cest sans faille, cest vrai que jadore. Il faut absolument quHugo mencule rapidement. Je suis certaine que je vais aimer.
- « On ne doit pas mettre un doigt dans le cul dune fille et lui demander après si elle aime. On fait linverse, on demande et si elle dit oui, alors on peut. Je ne taurai jamais dit oui, même si jaime beaucoup ton doigt, mon petit ami ne ma pas donné lautorisation pour me faire mettre un doigt dans le cul ».
- « Moi, cest Henri, on se connait maintenant ! »
Létudiant me fait un grand sourire, je lâche son poignet, et au lieu de retirer son doigt, il recommence à le bouger dans mon petit cul. Jadore ce doigt qui force sur ma rondelle. Je me détends, je sens mon plaisir arriver : avec cinq paires de mains qui me tripotent cest inévitable. Je leur dis
- « Ne bougez plus, je vais jouir, cest trop bon ce que vous me faites. »
Je commence à trembler, un spasme tord mon ventre, je crispe mon anus sur le doigt qui mencule et je gémis de plaisir. Une fois silencieuse, ils retirent leurs mains, le doigt de mon anus est le dernier à sortir, comme à regrets. Jentends un « ha cest dégueu », je regarde le doigt enculeur, il est couvert de mes excréments. Je demande pardon, je laide à frotter son doigt dans lherbe pour enlever le plus gros, il résiste un peu, alors je rapproche sa main de mon visage. Etonné il se laisse faire, je prends son doigt encore sale et le mets dans ma bouche pour le nettoyer. Cest vraiment pas bon, mais je mapplique à le nettoyer et lui dis :
- « Je suis désolée, mais quand une fille sait quelle va se faire enculer, généralement elle se lave lintérieur du cul pour que le doigt et la bite ressortent propres » Je vois leur regard interrogatif, « On appelle cela un lavement. On met de leau dans le cul, et on va aux toilettes pour pousser et évacuer la merde. On le fait plusieurs fois puis cest de leau propre qui ressort
Mais on ne le fait pas si on ne doit pas se faire enculer. Cest pas très agréable » je me suis sentie obligée de leur expliquer
- « Tu nous prends pour des puceaux avec tes explications à la mords moi le nud ? Et pourquoi tu ne te fais pas enculer toi ? Alors que tes toujours à poil? » Me dit le propriétaire du doigt inquisiteur ;
- « Non pour le doigt
cest la première fois, mais comment tu sais que je suis toujours toute nue ? »
- « On tas vue plusieurs fois quand tu vas à la gare ou quand tu bronzes. La première fois cétait quand tas sucé la bite des vieux de la locomotive » Je tombe des nues
- « Vous êtes là souvent ? »
- « Deux fois par semaine jusquà la rentrée, les autres jours on est en vacances comme tout le monde. Tes belle alors on se faufile pour te voir. Tu nous suceras la bite à nous aussi ? »
Jai les larmes aux yeux de honte, mais aussi de la gentillesse avec laquelle est faite cette demande que je trouve charmante.
- « Je ne peux pas te dire oui, jai donné mon corps à mon petit ami, il est le seul à pouvoir mautoriser à vous sucer » Jai envie de les provoquer pour voir leur réaction. « Je suis une soumise. Jappartiens à mon Maître »
- « Mais vous venez de sucer Henri, alors pourquoi pas nous ? »
- « Ce nest pas le doigt du chauffeur de la locomotive que jai sucé à la gare, et pour ça je dois être autorisée par mon petit ami, par contre, je peux te lécher un doigt si tu veux. » Ils tirent la gueule.
Mon téléphone se met à vibrer. Cest Hugo : il arrive dans 30 minutes. Chouette, il est en avance, il ne faut pas que jarrive en retard. Je leurs demande sil y a une route plus rapide que le bord du ruisseau, ils me disent de les suivre, mais de faire attention aux gens qui se promènent. 15 minutes pour faire le trajet, jai aperçu des gens mais eux ne mont pas vue. Mes cinq voyeurs sont venus. On arrive à la cachette. On se baigne tous ensemble, ils ont gardé leur slip. Alors je nage sous leau je mamuse à le leur baisser. Ils crient à chaque fois, mais comme je passe souvent ma main sur leur sexe, ils se laissent faire. Le plus vieux, Henri, sest mis à lécart, il mattend le slip au niveau de ses genoux. Je ne peux pas le descendre, alors je sors de leau devant lui, le regarde dans les yeux, puis je replonge pour lui caresser le sexe. Je mattarde presque une minute à le branler, et sous leau je vois les jets de sperme sortir de sa bite et être entrainés par le courant. Je ressors devant lui, et je lui murmure :
- « Je te demande pardon, mais je nai pas lautorisation de te sucer »
Il séloigne pour remonter son slip.
Cest le moment que choisit Hugo pour arriver. Quand il voit les mecs, il me regarde interrogateur.
- « Ce sont des étudiants qui travaillent un peu plus bas. Je viens dapprendre quils jouent les voyeurs avec moi depuis que jai découvert cet endroit. Mon corps na plus de secret pour eux. Ils ont assisté à tous, y compris à ma fessée et à ma soumission. Ils nont jamais rien dit. Ils mont même vue quand jai sucé les chauffeurs du train »
En le disant, je me rends compte que je viens de rappeler à Hugo un vieux truc quil avait oublié. Cela risque dêtre ma fête.
- « Tu veux dire que tu mas trompé avec les chauffeurs du train ? »
Hugo nest pas content.
- « Sil te plait, je ne tai pas trompé, je ten ai déjà parlé le mois dernier. Rappelle-toi. Je leur ai dit que jétais encore pucelle quand ils voulaient baiser avec moi, alors je leur ai sucé la bite afin de leur changer les idées, juste un peu, juste le gland. Le contrôleur a sifflé pour le départ du train, ils sont partis, je ne les ai pas revus depuis. Ça fait plus dun mois. Je ne tai pas trompé. »
- « Génial ! Je navais pas compris que tu avais sucé les deux mecs. Tu as bouffé leur sperme, tu as bouffé le sperme dinconnus avant davoir gouté le mien ! Quest-ce que tu ne mas pas dit encore ? »
Je suis étonnée de la réaction dHugo. Il est jaloux, mais ce nest pas le fait que jai sucé deux autres hommes qui semble le gêner, mais plutôt de nêtre pas le premier à avoir été sucé par moi!
Heureusement, jai encore en mémoire une vieille histoire que je me remémore souvent en pensant à mon Hugo le soir dans mon lit en me masturbant. Mon meilleur souvenir denfance ! Soulagée, je sais que je vais pouvoir me justifier et calmer sa colère. Je lui dis alors :
- « Ce nest pas vrai, tu te trompes. Cest ton sperme que jai gouté en premier. Tu ne ten rappelles peut-être plus, mais moi si, jamais je ne loublierai. Souviens-toi ! Cétait pendant ta période masturbation, tu avais découvert ce plaisir. Tu ten vantais souvent devant tes copains. Ce jour-là, il y avait une grosse bosse au niveau de ta braguette, pour me moquer de toi, je métais frottée contre ton pantalon, rappelle-toi ! Je tavais fait jouir dans ton slip en jouant aux chatouilles, tu étais furieux
Alors, pour voir, javais glissé ma main dans ton pantalon et je lavais ressortie couverte de sperme. Cétait gluant, jétais étonnée, mais voyant ta tête renfrognée, pour te faire rire, jai soulevé mon teeshirt, jai mis du sperme sur mes 2 tétons. Tu as ri, alors jai sucé un de mes doigts, je tai montré ton sperme dans ma bouche. Il ny en avait pas beaucoup daccord, mais ce jour-là, tu as été le premier
Je me rappelle
jaime trop ce souvenir de nous
jai ouvert ton pantalon, tu mas laissé faire, jai sorti ton sexe, cétait le premier que je touchais, je tai regardé dans les yeux, tu mas laissé te faire un bisou sur ton gland couvert de sperme. Là il y en avait beaucoup. Je me rappelle bien, cest toujours un très bon souvenir pour moi ! Pourquoi as-tu attendu si longtemps avant quon recommence à se toucher, moi, javais envie mais je nosai pas. Tu te rappelles ce jour-là ? Moi comme si cétait hier, cétait la première quon jouait à touche-pipi comme dit ma mère. Tu te rappelles ce qui sest passé après ? Je tai pris par la main, je tai emmené au début de la forêt, au bord du ruisseau, je tai dit denlever ton short et ton slip tout tachés pour les laver, moi jai soulevé ma jupe et jai enlevé ma petite culotte. Je te lai tendue en disant « on a la même taille, tu ne seras pas tout nu. » Jai nettoyé tes vêtements dans leau, et je les ai mis à sécher au soleil. Je suis restée deux heures sans culotte debout près de toi sans bouger, tu étais immobile, tu nosais pas me toucher, assis par terre le temps que ça sèche. Je tai vu plusieurs fois regarder sous ma jupe trop courte, quand le vent la soulevée, tu as regardé mon minou, javais un peu honte mais jétais fier que tu regardes entre mes jambes parce que je taimais déjà. Tu as toujours été le premier pour moi Hugo. Je ne tai pas trompé. Aujourdhui, jaime mexhiber cest vrai et je suis ta soumise. Aucun sexe dhomme ne pénétrera sans ton accord dans ma bouche, mon minou ou dans mon cul. Je te le promet »
Attendri, Hugo me regarde, moins en colère
il se souvient très bien quil navait pas osé me toucher pendant tout le temps où jétais sans culotte près de lui. Magnanime, il reprend
- « Cest bon, je te crois, mais noublies pas, tu me racontes tout ce que tu fais lors de tes explorations, toutes tes cochonneries »
Je décide de profiter de sa bonne humeur retrouvée.
- « Je sais que ce nest pas le moment, mais mes amis voudraient que je les suce, ils ne lont pas dit comme ça, mais cest en quelque sorte en remerciement de leur silence sur mes exhibitions publiques. Je leur ai dit que tu devais être daccord pour cela... jaimerai bien que tu dises OUI, pour les remercier
Aussi
Euh
moi
je voudrai aussi que tu mencules, le plus rapidement possible »
Hugo est stupéfait de ma dernière réclamation, faite crument en plus, devant les étudiants qui nen reviennent pas.
-« Daccord pour les sucer, mais pas aujourdhui, et pourquoi veux-tu te faire enculer rapidement ? »
Je frémis dhumiliation, je demande publiquement à être enculée !
- « Je prends de plus en plus de risque pour mexhiber nue, je vais ment me faire prendre par un mec qui voudra me baiser. Il faut que je puisse lui proposer mon cul pour ne pas être défloré. En plus, (en me tournant vers les étudiants) ils mont tripotée tout à lheure, je me suis laissée faire, et lun deux ma mis un doigt dans le cul. Il a été très rapide. Et jai aimé. Alors sil te plait, encule-moi vite, je veux que tu sois le premier. »
Henri, les yeux baissés, dit
- « Cest moi pour le doigt dans le cul, pardon »
- « Texcuse pas, jaurai du vous dire où était la limite quand vous avez commencé à me tripoter. Jai pensé aux doigts dans ma chatte, je nai pas pensé à mon cul. Hugo na jamais essayé » Hugo dit alors
- « En tant que maître, je confirme que Karine a fait une faute, et a provoqué le doigt dans son cul. Elle doit donc être punie. Elle sera fessée cul nu devant tout le monde. »
Je frissonne de plaisir, il va encore me fesser, chouette. Jespère que ça va durer assez longtemps, que je puisse jouir fort. Hugo reprend
- « Pour ce qui est de les sucer, je ne serai pas là pendant trois semaines à partir de la semaine prochaine. Karine aura donc tout le temps pour vous sucer dans cette période, sans limite de fois à votre discrétion. En échange pendant cette période vous serez chargés dassurer sa protection pendant ses exhibitions. Si vous êtes daccord pour la protéger, on pourra procéder à la punition. Il ny a plus de remarque ? » Je risque un mot
- « Sans limite ? Sans limite, cest peut être beaucoup ? Pendant trois semaines, ça ne va pas faire trop ? Non ? Surtout si je dois avaler ? »
Jaime sucer et avaler du sperme, mais là
sans limite
pour un mec jaloux, il se lâche beaucoup.
- « Tu avales, et tu les suces sans limite de fois, comme une bonne soumise. »
Il a confirmé ma « punition », je baisse les yeux afin quil ne voit pas mon large sourire, je dois paraitre la parfaite fille soumise à son maître. Hugo continue
- « La punition : 15 coups sur les fesses, tu comptes sans te tromper sinon
Henri fera office de bourreau»
Je narrive plus à respirer, celle-là je ne my attendais pas ! Dun côté, je suis déçue, seulement 15 coups sur les fesses, je ne vais commencer à bien mouiller quà 10, je parie que je ne vais même pas jouir
il faudrait que je me trompe en comptant
mais pourquoi Henri ? Je vais être fessée cul nu, en public, par un mec que je ne connaissais pas il y a 2 heures. Je me dis quaprès tout, je risque de jouir plus facilement avec lexcitation dêtre fessée par un quasi inconnu. La honte me serre déjà la poitrine et je sens mon minou se liquéfier rien quen pensant à la position que je vais devoir prendre pour recevoir cette fessée. Je demande avec une voix altérée
- « Si je me trompe on recommence aussi à zéro, même avec Henri ? »
- « Petite salope perverse ! »
Mon maître a deviné tout de suite le sens caché de ma question, il me connait trop bien.
- « Oui, aussi avec Henri, mais si tu te trompes, il y en aura aussi 15 avec les 4 autres. »
Outch ! Mon maître ma piégée là, si je veux recevoir une fessée plus longue par Henri, jen recevrais 60 de plus, par les autres. Lenfer pour mes fesses. Je vais devoir prendre une décision qui risque dêtre très douloureuse pour mes fesses. Non, cest impossible, soixante-quinze coups sur les fesses, je ne pourrai plus massoir, et probablement plus marcher non plus. Mes parents sauront. Jai envie de pleurer de dépit.
- « Pour le bâillon, Maître, je compte sur mes doigts de 10 en 10 ? »
Il acquiesce. Je vais bientôt devenir une experte en fessée cul nu en public. Je me rends compte que les étudiants se sont rhabillés, je serai la seule personne nue de lassemblée. Une humiliation de plus, jadore. Henri sinstalle sur le même tronc darbre quHugo avait utilisé. Il a donc assisté à ma première fessée ! Je rougis. Soudain jai une illumination, je sais comment je vais faire : Hugo doit penser quil sagit dune erreur, je lui fais confiance, il me fera cadeau des fessées par les autres, pour les quinze dHenri, Hugo décidera, ce sera le hasard. Je regarde Hugo dans les yeux, la bouche un peu ouverte, je mapproche, et lui dit dune voix bien posée, confiante
- « Merci, Maître, votre soumise vous remercie pour son supplice »
Et je mallonge sur les genoux dHenri, les cuisses très écartées de façon quils aient tous une vision parfaite de ma chatte quand elle va se mettre à luire. Mon maître enfourne ma culotte de sport dans ma bouche pour atténuer un peu mes cris. Mes mains sagrippent aux jambes dHenri.
- UN
- DEUX
-
QUATORZE
Les larmes coulent, en continue, ma chatte est bien luisante, je nai pas jouis. Je ne me suis pas trompée en comptant. Maintenant, que le hasard décide si la punition continue ou pas
-
Je reçois le 15ème coup, je ne dis pas un mot, je ne compte pas. Que le hasard fasse son uvre ! Mes fesses chauffent, je pleure à chaud de larmes, ma chatte coule abondement quand je me lève ma cyprine ruisselle le long de mes cuisses. Je nai pas jouis, cétait presque, mais non. Soudain, je trésaille, Aléa Jacta Est comme dirai ce bon Jules César, Henri demande
- « Pourquoi tu nas pas compté QUINZE ? »
Le hasard est en marche. Henri sest aperçu de ma faute « involontaire ». Hugo doit penser que je ne lai pas fait exprès et me juger en toute impartialité. Je dois faire semblant, alors comme si je venais de me rendre compte de mon erreur, je réponds vite, trop vite, précipitamment
- « Cétait le dernier, pas besoin »
Maintenant, le cur battant fort dans ma poitrine, jattends sans oser regarder Hugo quil annonce le verdict du hasard. Lidéal pour moi, les quinze coups supplémentaires dHenri, et cadeau du reste, sinon, je me contenterai dune amnistie générale tant pis.
- « Henri a raison, on doit recommencer à zéro. Les autres, préparez-vous !»
Hugo, ma-t-il encore devinée ? Malgré mon plaisir de savoir que la fessée va continuer, je pâlis en pensant à mes fesses après les cinq fois quinze
Oh ! cest bien SOIXANTE-QUINZE coups que je dois encore recevoir. Si le hasard est lami de mon plaisir, je sens quil ne lest plus pour mes fesses. Je dois faire quelque chose pour diminuer ou répartir un peu ce merveilleux supplice : je ne serai plus capable de rentrer à la maison après !
- « Je ten supplie, je ne supporterai pas la fessée par les autres »
Je me jette à ses pieds. Je profite que je suis en larmes pour essayer dinfléchir son air inflexible. Je reprends en chougnant
- « Je ten prie, mes fesses ne le supporteront pas, je ne pourrai plus marcher, mes parents vont sen rendre compte. Je ten supplie, pas tout aujourdhui, répartie les fessées, je dois déjà les sucer quand ils en auront envie, ils pourront aussi choisir quand ils me fesseront. Jaurai non seulement tous les jours lappréhension de ne pas savoir quand ce sera la fête à mes fesses, et je devrai me promener quatre autres jours avec les fesses rougies par une fessée cul nu. »
Un peu tendue, ma supplique semble avoir atteint sa cible mais sans certitude aucune, je minstalle sur les genoux dHenri. Hugo me place pour quHenri puisse mieux voir ma chatte. Hugo prend alors la parole, je tremble en attendant sa décision
- « Henri te fesse aujourdhui, les autres te fesseront les semaines prochaines chacun choisira un jour
trente coups chacun »
Je suis soulagée, jai gagné. Je vais non seulement encore être fessée ce soir, mais plusieurs fois le mois prochain, et tant mieux pour les trente coups au lieu de quinze, je suis heureuse de si bien connaitre mon Hugo
En fait je suis très soulagée, et vite maintenant jattends ma fessée moi !
- UN
- SEPT
Premier orgasme sur les genoux dHenri, je ferme les yeux de honte et de plaisir. Il doit voir ma cyprine ruisseler de ma chatte ouverte.
-
QUINZE
Jai eu encore un autre orgasme. Je suis vraiment masochiste. Je regarde Hugo au milieu de mes larmes, je lui souris, et mes lèvres forment les mots « je taime » Il mordonne
- « Ne bouges pas ! Toi, prends ton mouchoir. »
Il a désigné le plus malingre des étudiants, le plus timide aussi. Qua-t-il bien pu imaginer pour prolonger mon supplice ?
- « Jai pas de mouchoir sur moi Hugo !»
- « Retire ton slip alors, et viens là »
Le mec intrigué enlève son slip, remet son short pour ne pas rester la bite à lair devant ses copains, et sapproche.
- « Essuie-lui la chatte, vas-y essuie tu voies bien quelle est trempée, frotte
Karine, ouvre ta chatte à 2 mains quil puisse nettoyer tes cochonneries ! »
La honte me submerge mais je tremble de plaisir, Hugo me connait si bien maintenant. Il demande à un presque inconnu dessuyer ma chatte baveuse. Même si je suis une salope maso, il exagère mais cest tellement le top de ce que je pouvais rêver
je ne peux pas refuser de me soumettre à cette déchéance. Un mec méponge la chatte. Je mouvre la vulve à me déchirer et il messuie consciencieusement le minou. Il a peur de mal faire, alors il sapplique, cela dure. Hugo me dit
- « Karine, assise à la place du fesseur, allonge-toi, écarte les cuisses et ouvre bien ta chatte. Avec tes pouces, décalotte ton bouton quil termine ton nettoyage».
Hugo a encore trouvé une position plus humiliante : présenter à un inconnu mon clito décalotté. Je mexécute avec plaisir, au fur et à mesure de ses demandes. Je suis rouge. Pour le clitoris, jai peur de leffet du moindre contact tant je suis excitée.
- « Allez, fini de lessuyer, on na pas que ça à faire, et passe bien sur son clito. »
Comme sil était blasé, Hugo joue avec le feu ! Mon agent dentretien personnel messuie, en tournant bien sur mon bouton. Mon orgasme est instantané. Je gémis en tremblant. Je suis de nouveau trempée, tout est à refaire, je suis parcourue de spasmes de bonheur qui ne veulent plus sarrêter. Ils reprennent à chaque contact avec mon clitoris. Hugo demande au mec de se dépêcher. Jenlève le bâillon de ma bouche tout en écartant les lèvres de ma vulve, et je dis à Hugo
- « Pitié Maître ! Pas mon clito. Pitié je nen peux plus »
Malgré tout le plaisir que cela me donne, je commence à fatiguer, ma jouissance devient douloureuse. Il donne son accord dun hochement de tête, je cache mon bouton sous mon pouce, le mec essuie juste mes lèvres et mes nymphes. Une fois ma vulve presque sèche, Hugo me dit
- « Karine, lève-toi, et vas te baigner pour te rafraichir les idées. »
Il se moque ouvertement de moi et de mes orgasmes sans fin. Je me lève, mes fesses sont rouges, mes jambes flageolent. Je regarde mon maître, provoquante jusquau bout, jécarte les genoux et me cambre pour exposer mon intimité. Je fais les quelques mètres jusquau lac à quatre pattes, comme une chienne en chaleur. Leau me soulage. La brulure de mes fesses se calme lentement, mais mon désir sexuel lui diminue rapidement. Je suis bien, heureuse, repue de sexe. Je repense à la honte de mêtre fait nettoyer la chatte par un des étudiants devant les autres
Je me dis que cest une idée à retenir, après chaque fessée, lun dentre eux devra messuyer la chatte, jen frémis de plaisir. Hugo reprend la parole
- « Karine, petite salope, je ne viendrai pas demain. Profite-en pour aller chez une esthéticienne. Je veux une épilation intégrale. Plus de poil sur ta chatte. »
- « Maître, si ma mère ne voit pas le moindre poil, elle comprendra, elle a déjà des soupçons, pas intégral sil vous plait. Je suis daccord pour une épilation permanente si vous voulez »
- « Daccord. Va pour une très petite touffe. Par contre à partir de la semaine prochaine, plus de soutien-gorge ni de culotte. Et progressivement, tu supprimes les pantalons, que des mini-jupes. Tu peux déjà jeter tes collants. Tu nen mettras plus jamais. Même lhiver, je te veux la chatte à lair, même sil gèle. Compris ? »
Je regarde mon Maître. Je suis inquiète pour lavenir, mais aujourdhui, jai adoré me faire humilier et fesser.
Les étudiants se lèvent, il est lheure pour eux de rentrer manger. Ils me disent quils seront dans le coin tous les jours. Dès quils sont partis, Hugo se déshabille et vient me rejoindre dans leau. Jai mal partout : mes fesses bien sûr, le sexe, le clitoris, mes muscles sont douloureux, les spasmes des orgasmes ont provoqué des courbatures. Je suis restée trop long les jambes écartées à lextrême, jai mal aux adducteurs. Jespère que je vais pouvoir marcher normalement pour rentrer à la maison.
- « Ma chérie, tu vas bien ? Tu nas pas trop mal ? »
- « Je suis fatiguée, jai trop jouis. Il ne faut plus autant. Tu vas me faire mourir de plaisir, comme dit Sardou ! Et mes fesses me brulent... Tu croix que tu auras le temps de menculer dici vendredi soir que tu partes ? »
- « Je vais trouver du temps, tu las bien mérité, mais il faut que tu ailles voir un gynéco pour quil te donne la pilule »
- « Hugo il nest pas prévu que tu me prennes par le vagin.» Je sais quHugo a lintention de me dépuceler prochainement, je men réjouis davance.
- « Cest simplement au cas où. Si tu vas le voir rapidement demande lui pour tes fesses. Il pourra te prescrire une crème apaisante pour les fessées. »
- « Je veux pas quil sache pour les fessées cul nu »
- « Il le verra bien tout seul, surtout si les étudiants te fessent tous les jours » Javais déjà oublié les fessées probables de la semaine prochaine ;
- « Sil te plait, Hugo, tu crois que je pourrai te sucer ce soir avant de rentrer. Jai envie de ton sperme dans ma bouche. »
- « Une gorge profonde ? »
- « Je préfère pas mais si cest ce que tu veux »
- « Non cest bon. Ah ! Au fait, pour les photos que tu voulais, jai trouvé, jai un copain de classe, William, tu le connais, le blond beau gosse, il fait de la photo. Il pourra nous prendre en train de baiser. »
- « Hugo, si cest lui qui fait les photos, elles ne pourront pas être anonymes puisquil nous connait. Faut un photographe professionnel que lon paiera en espèces, et dune autre ville. On fournira lappareil photo numérique de mon père, il est super perfectionné. »
Je sors de leau. Je marche presque normalement. Dici lheure du retour ce sera parfait.
- « On mange un peu maintenant Hugo il est plus de midi »
- « jai amené du McDo, mais il sera un peu froid»
Le sac était resté au soleil, les hamburgers sont encore tièdes, mais le Coca est chaud. On ne peut pas tout avoir. Je regarde Hugo par en dessous. Vivement que je le suce, je veux du sperme !
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