Le Thermomètre (La Suite).
- Cathy est là ? A fait la mère dAudrey en posant son pied droit sur le carrelage de mon salon, après que je lui ai ouvert la porte.
- Non, elle est
- Tant mieux, ma-t-elle coupé, Béatrice. Cest toi que je venais voir.
Elle sest retirée le manteau, comme elle le faisait à chaque fois quelle venait chez moi, avant de prendre place sur une chaise.
- Tu devines peut-être pourquoi je suis là ?
- Non ! Mais je pense que tu vas me le dire.
- Tu as couché avec ma fille Audrey ?
- Non
- Elle me la avoué.
- Alors si elle te la dit, cest sûrement vrai. Il faut mexcuser, il se trouve que ses derniers temps jai des pertes de mémoire.
- Oui ! Fou toi de ma gueule !
Elle portait ce matin là des bas clairs qui gainaient ses jambes leurs donnaient un aspect soyeux. Dans le même temps, ils soulignaient la sensualité des cuisses galbées, à la courbure parfaite, ainsi quà ses chevilles merveilleusement fines. Que jai fixé un instant avant de remonter mon regard le long des jambes que jai estimé être sublime, dont mes rétines se sont délectées.
- Et elle ta dit cela comme ça, de but en blanc ?
- Elle ma rien dit, je lai lu. Dans son cahier intime.
- Tu nas pas honte de lire ses secrets.
- Et toi de la sauter.
- Tu sais alors tout ce qui sest passé ?
- Tout ! Enfin se qui était écrit.
- Et tu voudrais savoir pourquoi jai fait ça.
- Si cela ne te dérange pas, oui. Dailleurs je nai pas lintention de quitter ce lieu sans avoir entendu ta version.
Alors je me suis lancé dans une explication cohérente. Elle ma laissé parler sans minterrompre une seule fois.
- Voilà tu sais tout maintenant. Ai-je lancé à la fin de mon récit. Je peux à mon tour te poser une question ?
- Je técoute !
- Cest normal que je ne sente pas chez toi dirritation.
- Ce qui est fait et fait.
Tout en discutant, elle a machinalement décroisé les jambes et les a recroisé ingénument dans lautre sens. Cela eu pour moi un effet inouï, dautant plus que le mouvement a fait encore un peu plus glissé lourlet de sa jupe sur ses cuisses. Exhibant la dentelle du haut de bas, là où étaient fixées les baleines de son porte jarretelle. Jétais comme en plein extase, devant. Et que dire quand mon regard a glissé jusquà ses les pieds, à lérotisme accentué par le nylon clair, dont les renforts châtain recouvraient les orteils saillant du bout ouvert de lescarpin.
- Je suis heureux que tu le prennes comme ça. Tu sais
Béatrice !
- Tout au moins, jaimerai savoir si tu as pris ton pied avec mon bébé, dis-moi ?
- Je ne devrais pas le dire, mais oui je te lavoue, jai pris un pied denfer.
Elle a gigoté sur sa chaise, tout en faisant tanguer ses jambes, ce qui ma autorisé dentrevoir une fine petite culotte de dentelle noire. Le spectacle quelle moffrait à son insu, ou pas, était véritablement incroyablement alléchant. Cétait le petit plus qui allait me faire basculer dans le scepticisme. À men faire perdre mon self contrôle. Dailleurs elle la tout de suite détecté, puisquelle men fit part :
- Quas-tu, Alain ? Tu me regardes bizarrement
- Cest juste quavec tout ça, je suis entré dans un grand état dexcitation.
Jai sentis des fourmillements dans le bas-ventre. Il me fallait une chatte, et quimporte laquelle. Et cela tomber bien, jen avais une à porté de main, si je puis dire. En toute assurance, je lui ai exhibé la bosse que faisait mon érection sous mon pantalon. Son visage sest immédiatement coloré, alors quelle portait le dos de sa main sur sa bouche, puis elle ma lancé tout en bafouillant :
- Et, et
si tu veux, je peux
enfin. Tu vois ce que je veux dire.
- Non ! Répondis-je. Honnêtement, NON ! Je ne vois pas ce que tu veux dire.
- Enfin Alain arrête de jouer. Je ne suis pas assez téméraire pour tavouer... Mon
- Et pourquoi ? Jaimerai lentendre de ta bouche.
- Bien si tu veux lentendre, alors tu vas lentendre. Tu veux que je te suce ?
- Ce serait avec plaisir mais je tai toujours entendu dire que tu ne tromperais jamais ton mari pour rien au monde.
- Moi jai dit cela ? Tu en es sur ?
- Parfaitement sûr.
- Oui, daccord, mais si il ny a pas de pénétration, il ny a pas dinfidélité.
- Vue comme de cette façon, effectivement.
- Alors cest oui ?
- Si tu me promets de ne pas le notifier sur ton cahier intime.
- Si cela peut te rassurer, je nen ai point
- Tu ne sais pas à quel point tu me réconfortes là ! Mais dis-moi, ton mari dans tout ça ?
- Tu ne sais sûrement pas, mais avec Tony, ce nest plus comme avant. Il ne soccupe plus de moi. Je mets sur le compte de la routine, de lâge. Mais ce quil ignore, cest que moi je suis en manque. Les plaisirs solitaires sont loin de calmer ma soif sexuelle.
- Et tu as pensé à prendre un amant ?
- Pas avant davoir lu le cahier dAudrey. Maintenant si, jy pense fortement. Et je commence aujourdhui si tu veux le savoir, avec toi.
- Tu en as envie ?
- Oui
oui
- Dis le moi.
- Dire quoi ?
- Que tu veux me la sucer.
- Oui je veux
- Mieux que ça
- Alain, je veux sucer ta verge.
- Plus cochon !
- Alain je veux te faire une PIPE
TU ENTENDS UN PIPE
- Et moi je veux que tu mes montres tes nichons, avant. Ça fait si longtemps que jattends ce moment.
- Ah oui ! A-t-elle répondu en déboutonnant son chemisier. Bouton après bouton, tout en me fixant droit dans les yeux. Le dernier déboutonné, elle a écarté les deux pans, mexhibant dessous un beau soutien-gorge noir, assortie à sa culotte.
Puis, sans que je le lui en réclame, elle a fait sortir ses seins lourds des bonnets, tout en riant, heureuse de ce quelle accomplissait. Elle avait comme je le pensé, des seins volumineux, mais allongés. Avec de larges aréoles d'un brun carmin. Ses tétons étaient gros et épais. Elle les a caressés, sans me lâcher du regard. Les pointes se sont dardées. Une lueur farouche dansait dans son regard. Je me suis levé jai baissé mon pantalon, mon slip, lui exhibant ma verge toujours bandé. Et je me suis pompé la queue. Mon regard rivé sur ses mains qui malaxaient sa poitrine. Le souffle court, jai lâché ma semence. Qui a aspergé sur ses nichons. Quelle sest empressée détaler sur ses seins, comme elle laurait fait avec une pommade.
Mon excitation retombée, il a fallut que je la trompe avec un mensonge élaboré pour men débarrasser. Elle avait tout de même assisté pour quen ce revoie le lendemain. Ce que jai approuvé.
Cette nuit là, mes rêves furent peuplés de sexe poilu. De fesses offertes et odorantes. À mon réveil, jai trouvé mon sexe englué dans mes poils par le sperme de mon éjaculation nocturne. Heureusement pour moi Cathy était parti de bonne heure.
Alors que je prenais un café en a toqué à la porte. Pas besoin dêtre Devin pour savoir qui se trouvait derrière la porte. Dailleurs que dy pensé, jen avais des démangeaisons au fond de mon slip.
Elle portait ce matin là sous son manteau, une jupe noire portefeuille, et léternel chemisier blanc. Sitôt la porte fermée, elle a collé sa bouche sur la mienne. Dans un baiser fougueux. Puis elle ma attiré jusquau divan. Elle a écarté ses cuisses, pour métaler une chatte que je classerais dans la catégorie très poilue.
- Elle te plaît ? Je sais que tu les aimes touffue.
- Qui ta dit cela ?
- Mon petit doigt. A-t-elle rétorqué, en posant une jambe en appui sur laccoudoir. Délicatement, à laide de ses doigts, elle a déniché son clitoris de son lit, dun rose un peu plus sombre que sa chair.
De son autre main, la coquine a glissé un doigt, puis deux, dans son vagin. Se branlant comme si elle avait été toute seule dans la pièce.
- Tu ne peux pas savoir comment cela me fait de leffet de faire ça devant toi. Jai limpression de vivre un rêve tout éveillé
- Tu ne préfères pas que je te mette ma queue ?
- Branle toi
veux-tu
cela téviteras de dire des conneries !
Et comme la veille, je me suis masturbé. Et comme hier elle a rivé son regard sur ma main qui coulisser le long de ma verge, dun geste vif et régulier. Mais il était écrit que ce matin là, je nallais pas jouir comme la veille, par contre.
- Je veux que tu me suce
- A oui
A-t-elle répondu. Un sourire salace aux lèvres. Je veux que tu me le dises, comment dire ? Plus cochon
- Salope de Béatrice, je veux que tu me taille une pipe, et pas plus tard que maintenant, aller salope au boulot.
- Dit comme ça ! A-t-elle répliqué en approchant ses lèvres de mon gland, avant de labsorber. Une sensation des plus particulières m'a envahi. C'était intimement chaud et onctueux. Ses lèvres, épousant parfaitement la circonférence de mon sexe. De sa main libre, elle ma malaxé les couilles. Avec un tel traitement je nai pas mis longtemps à lui offrir ma faveur.
Avant de partir elle a insisté pour revenir le lendemain.
- Ah non cela ne sera pas possible.
- Et pourquoi ?
- Demain Cathy ne travaille pas.
- Merde, la tuile !
- Oui, comme tu dis
- Alors je tattends à la maison.
- Mais cest que
- A demain, et tu nas pas intérêt de me poser un lapin.
- Sinon ?
- Je te laisse deviner
à demain !
Avant de trouver le sommeil, je me suis imaginé en train de la lécher. Je me suis aussi imaginé lattacher pour la sodomiser dans son lit conjugal. Et lui affligé par la suite une belle fessée pour la punir.
Le lendemain fidèle au rendez-vous jai sonné à sa porte. Qui sest déverrouillé électriquement. Jai grimpé les escaliers en béton pour arriver sur la terrasse. Là une voix ma invité de regarder par la fenêtre. Je lai trouvé, allongée, en culotte de dentelle noire et en porte-jarretelles, ses seins hors du soutien-gorge. Cest un spectacle magnifique, un corps de femme, je ne men lasserai jamais.
- Viens-vite, je ne tiens plus
Je bandais comme un damné. Jai chevauché la fenêtre. Elle ma fait marrêté net tandis quelle se caressait. Mobservant un instant qui me parut une éternité.
- Déshabille-toi ! Ma-t-elle ordonné.
Je me suis hâté de me défaire de mon pantalon, de mon slip. Son regard sest éclairé subitement lorsquil sest posé sur mon pénis fièrement tendu.
- Viens, maintenant ? Ma-t-elle commandé.
Elle sest emparé de ma queue pointée vers elle et la serré comme pour en vérifier la fermeté. Elle sest penchée vers elle en ouvrant sa bouche. Je me suis senti littéralement aspiré à lintérieur.
Comme à chacune de nos rencontres elle ma fait jouir. Mais alors que je mapprêtais à prendre congé comme après chaque jouissance, je lai vu se cambrer sur le lit, me tendant ses fesses. Et me dire explicitement, avec une lueur de folle au fond des yeux. .
- Touche-moi le cul.
Sans réfléchir, jai palpé son derrière rebondi à la peau chaude et douce. Jai fait glissé sa culotte, dévoilant la raie de ses fesses. Jai pétri les fesses que javais devant moi, à pleines mains. Toute cette chair élastique me rendait fou. Me prenant par le cou, elle ma attiré contre elle. Elle a frotté ses tétons aussi durs que ma queue, contre mes lèvres.
- Suce-moi, mon bébé ! Suce bien maman !
Jai tout de suite eu en bouche le goût fade de ses mamelons. Elle a gémi quand je les ai léchés. Tout est allé très vite, après. Elle ma poussé à la renverse. Avant que je sache ce qui marrivé, je me suis retrouvé allongé de tout mon long sur le lit conjugal. En tête à tête avec son sexe. Sans aucune hésitation, jai plongé ma langue dans la fente visqueuse.
Jai trouvé cet instant vraiment curieux. Si on mavait dit un jour que je serais attiré par cette femme, je ne laurais pas cru.
Au-dessus de moi, Béatrice tremblait de plus en plus. Il ma semblé même apercevoir les battements de son cur dans les parois internes de son vagin ouvert.
Tout en fouillant son antre, jai pointé à tâtant, mon index à lentrée de son anus. Très vite sous le toucher, son cul sest dilaté, et la pression du sphincter autour de mon doigt a diminué. Je lai rentré entièrement en elle, sans rencontrer dobstacle. Jai continuais quelques secondes, puis jai retiré mon doigt que je me suis empressé de renifler. Me grisant de lodeur intime de son cul.
Jai léché le sexe comme un fou. Dans tous les sens. Ivre de lodeur que son vagin libérer. Elle a jouit pas moins de trois fois sous les caresses de ma langue.
Sans lui donner le temps de récupérer je lai sorti de son lit pour lamener jusquà la fenêtre. Au loin, je voyais le trottoir où circuler quelques mamans de retour davoir déposé leurs s à lécole.
Je lai basculé en avant, et jai glissé ma verge dans son cul. Cétait serré. Elle a poussé un râle de surprise sous lintrusion. Cela ne la pas empêché de reculer dun coup sec pour senculer plus profondément. Jétais à cet instant, lhomme le plus heureux de la terre.
Putain que cétait bon ! Elle sest servit de moi sans scrupules, sans tabou, sans question inutile. Elle sest mise subitement à sempaler, davant en arrière, fiévreusement sur ma queue en marmonnant des mots insensés. Usant au maximum de toute la longueur de ma verge. Je me suis employé pour ma part, de lui masser son clitoris. Après seulement quelques instants de cette théutique, jai sentis des contractions de son anus autour de mon sexe.
Elle a jouit assez longuement. Après mettre retirer, je me suis agenouillé derrière elle, et jai léché lanus, fixant la photo du couple qui trôner sur le mur.
Nous étions en train de prendre un café lorsquAudrey a fait son entrée.
- Tiens ! Toi là ?
- Oui ! À cause de toi !
- De moi ?
- Quest-ce qui ta pris de tout notifier sur un cahier ?
- Mais maman !
- Tu nas pas honte ! Faire ça. Cest abominable. A dit Béatrice.
- Cela mérite punition. Me suis-je exprimé.
- De quoi te mêles-tu toi !
- Tu entends Béatrice, tu vas punir ta fille. Parce que tout est de sa faute. Si tu refuses, ou si tu ne frappes pas assez fort, vous ne me revoyez plus. Je te le garantis.
- Si il y a que ça pour vous faire plaisir, alors allons-y ! a-t-elle répondu en faisant glisser son slip le long de ses cuisses. Elle sest penchée sur le bord de la table ses fesses étaient ronde. Les poils noirs de son sexe formaient une petite touffe qui pendait entre ses cuisses.
- A toi de jouer. Ai-je dis à Béatrice
La mère sest placée derrière sa fille. Elle a levé le martinet, et la abattu sur le fessier de sa fille. Les lanières claquèrent sur les fesses, Audrey sest crispée.
- Plus fort. Ai-je lancé. Sil ny a pas de traces, cela ne compte pas.
Comme pour me faire plaisir, la mère a levé de nouveau le martinet et la abattu sèchement sur les fesses de sa fille. Lune delles a mordu une lèvre du sexe, entre les cuisses écartées. Audrey sest redressée en criant.
- Mais tu es folle ! Fait attention où tu frappes.
Audrey sest remit en position. La mère la fouetté en prenant bien garde de ne viser que les fesses qui se crispèrent à chaque coup. Les impacts sentrecroisaient, formant un grillage rouge sur la peau. Audrey serrait les dents, sursautant quand le martinet sabattait sur elle. Peu à peu, cependant, le regard trouble, elle ne paraissait plus souffrir. Bien au contraire, elle remuait des fesses dune manière lascive. La mère dut sentir lexcitation naissante de sa fille car elle a frappé avec plus dardeur. Elle ne sest arrêtée quune fois essoufflée.
- Tu as mal ma fille.
- Bien sûr que jai mal. Lui fit-elle. Tu veux que je te le fasse pour savoir.
- Bonne idée. Ai-je répondu.
- Ça ne va pas ! Sest exclamée la mère.
Je lai saisi par le poignet et je lai à se coucher sur mes genoux. Malgré ses propos menaçant, elle remuait des hanches, trahissant son excitation. Jai retroussé sa jupe et je lai déculottée. Audrey sest emparée du martinet. Elle semblait exulter. Au premier coup, la mère a poussé un véritable hurlement. Pourtant ses fesses étaient à peine entamées. La fille sest mise à frapper. À tour de bras. La mère a gémit sous les impacts. Remuant les fesses dans tous les sens. Peu à peu les plaintes de la mère sont devenu plus rauques, plus sensuelles. .
- Cela suffit. Ai-je dis, en mettant fin à la punition.
Jai attendu quAudrey se soit éloigné pour promette à Béatrice quon allait se revoir.
- Séparée jespère ? Fit-la mère.
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