L'Algérie (7)
La Porte du Désert
Jai passé tout le vol collé au hublot, ne me lassant pas de contempler ce paysage si varié du Nord au Sud, allant de petites villes ramassées sur elles-mêmes, à des déserts, puis des oasis, et enfin, Tamanrasset, capitale de la wilaya qui portait son nom depuis peu dannées. Après un atterrissage quelque peu chaotique, nous nous sommes dirigés vers « laéroport », simple édifice récemment construit pour relier la ville à Alger et à Oran. Je ne sais pas si des vols réguliers existaient déjà à lépoque, en tous les cas, les appareils de lAéropostale étaient conçus pour accueillir quelques passagers, la région commençait à souvrir au tourisme.
La chaleur était suffocante, lair marin de la Méditerranée était bien loin, et nous nous sommes dirigés vers le bâtiment, pour les formalités douanières. Même sil sagissait dun vol intérieur, lAlgérie avec conservé les mêmes habitudes administratives procédurières quen France. La « carte ministérielle magique » de Karim nous a offert un laisser-passer immédiat, avec juste un simple coup dil sur mon passeport.
La famille nous attendait à la sortie, avec force effusion dembrassades, de serrements de mains, daccolades, pour enfin nous conduire dans la demeure ancestrale, qui par des règles dhéritage que je ne comprenais pas vraiment, restait toujours en leur possession, chacun dentre eux lentretenant, lembellissant et lagrandissant. Ils étaient un peu gênés mais très fiers daccueillir chez eux un français pour la première fois. Farid les a rassurés, en arabe, leur expliquant que jétais le correspondant de Rachid et que cétait moi qui avais demandé à connaître leurs origines.
Un véritable festin nous attendait, préparé avec soin par les femmes, mais qui, selon la tradition ne partageaient pas notre table, venant senquérir régulièrement de nos besoins. Quel que soit leur âge, chacun deux se montrait hyper attentif à mon égard, me posant des questions, soit en français, soit en arabe que traduisait Rachid ou Karim, aussi bien sur la France, que sur mon ressenti sur leur pays.
Même si la maison était vaste, il était prévu que je partage ma chambre avec Rachid, sans doute pour que je ne me sente pas seul, ce qui était loin de me déplaire. Une fois le thé savouré, il a quand même constaté ma fatigue, et nous sommes allés nous coucher. Jétais épuisé, cest vrai, mais javais envie de me sentir contre lui, son corps épousant le mien, ses bras menserrant et son torse velu sur mon dos.
Son sexe sest naturellement introduit dans « le mien », possédant ce qui lui appartenait, sans que je noppose la moindre résistance, bien au contraire. Moffrir à lui me rassurait tellement, à la fois de son amour pour lui, mais aussi sur mon orientation sexuelle, que je savais définitive maintenant, sans retour possible. Inimaginable, inconcevable dans mon pays
« le Pays des libertés individuelles » dans les années 75
Lorsque Rachid sest déversé dans moi avec sa puissance mais aussi avec sa tendresse, jenvisageais avec angoisse mon retour en France.
Pour me faire honneur, ils avaient prévu de me faire découvrir la vie de nomades dans le désert, sous une tente traditionnelle, vers une oasis qui était le berceau de leur origine, qui même si elle navait plus sa splendeur dantan, modernité oblige, conservait toutefois une majeure partie de son originalité.
Lexpédition sest mise en route au beau matin, exclusivement masculine évidemment, avec comme accompagnateurs, Hassan, leur cousin, et ses deux fils qui avaient à peu près notre âge, à Rachid et moi. Les chameaux nétant plus dusage, cest un super 4/4 qui nous a conduit jusquà notre destination finale. Jétais autant fasciné par cette traversée de désert que lors de notre vol, yeux grands ouverts sur le paysage, mais aussi sur Mon Rachid, et le cousin Djibril, entre lesquels jétais assis.
« Laissez vous aller les jeunes
Baisez
!!! Le trajet est long et ça va vous faire du bien »
« On peut niquer Tonton ? On a trop envie Rachid et moi. »
« Amusez-vous les jeunes
On va soccuper de vous à larrivée »
Il ne men fallait pas davantage pour assouvir ma convoitise de ces deux mâles, soulevant sans vergogne nos vêtements pour me laisser apparaitre ces mâles dans toute leur splendeur. Putain
. Des vrais Touaregs
. Djibril lavait encore plus grosse que Rachid, sans atteindre celle de Farid, mais comparable au pieu de Karim, un peu moins long, mais plus large. Ces fragrances arabes mavaient envouté pendant tout le trajet et ma bouche a enserré Djibril pendant que Rachid menculait de toute sa vigueur que jappréciais tant. Tout à larrière du véhicule, seuls dans ce désert, jétais possédé par ces hommes en chaleur, sous le regard des autres dont la convoitise devenait de plus en plus exacerbée.
Hassan sest soudain arrêté, dans un endroit assez plat et a sorti une couverture assez épaisse, venant de je ne sais où. Rachid my a allongé, cuisses à lair, exhibant à tous, ce que je devrais appeler « ma chatte » maintenant, à leur concupiscence exacerbée.
Je navais plus 7 gandouras devant moi, mes 7 toiles de tente dont le mat les tendait dans un triangle parfait, tous plus volumineux les uns que les autres.
Ils mont tous pris, les uns après les autres, les uns avec les autres, même en double avec Djibril et Rachid pendant que je suçais Hassan et Karim en même temps. Farid, quant à lui, sest réservé le droit denfoncer ses 37cm en dernier, avec une force quil navait pas encore utilisée, mais le passage lui était tellement ouvert et offert.
De retour dans la voiture pour la fin du voyage, épuisé mais repu se sexe, affalé contre mon Rachid, je réalisais que je ne pourrais plus me passer de ces plaisirs une fois en France et je me suis mis à pleurer.
« Tu as mal ? Tu es pas bien ? »
« Oui Chéri
Jai mal, mais dun plaisir sain et que jaime trop »
« Pourquoi tu pleures alors ? »
« Jai peur de rentrer, de vous quitter, dêtre trop malheureux après »
« On y a pensé Marc
. Repose-toi
On en reparlera
Ok ? »
« Jai honte Rachid de me donner autant et daimer autant ça
!!! »
« Tant mieux
. Tu verras ce qui nous attend à loasis »
Jai fermé les yeux, collé contre lui, le visage sur ses poils, sa main entre mes jambes, qui ondoyait ma chatte malmenée, de cette crème si bénéfique. Jétais rassuré, tout en me demandant, ce qui allait mattendre à notre arrivée.
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