Collection Cocu. Sophie. Saison I (2/5)

Damien mon mari malgré tous mes efforts me délaisse.
À 40 ans encore excitante, je me laisse séduire par Laëtitia la jeune femme chargée de s’occuper de mon corps.
Les jeux érotiques féminins que j’ai toujours ignorés et même repoussés dans ma jeunesse quand Antoinette mon amie d’enfance a tenté de m’initier.
À cette époque, j’avais repoussé les portes de la sexualité féminine toute en douceur.
C’est le manque de connaissances et surtout de peur mais quand Aurélie en venant il y a moins d'une demi-heure acceptée que ma main se pose sur son fessier, initié par Laëtitia, je me laisse entraîner.
Notre jeu devient rapidement très osé alors que je la dénude et que sa chatte épilée au laser m’apparaît.
Il est intéressant de voir l’évolution qu’il y a entre nous depuis que j’ai décidé de punir Damien de son manque d’intérêt et que dans ma tête le simple mot d’adultère ne m’est plus tabou.
Il y a encore quelques semaines quand il me prenait fougueusement partout où notre envie déclenchait notre besoin de sexe, à la limite du bestiale, j’étais persuadée de lui rester fidèle.
C’est bien lui le fautif d’avoir profité de mon état passager alcoolique pour évoquer le sexe d’un homme entrant à la place de la sienne dans mon intimité.
Il peut se trouver heureux que c’est simplement le clitoris d’Aurélie que je viens de prendre dans ma bouche pendant que sur le lit conjugal elle en fait de même avec le mien.
Jouir et jouir encore telle est ma nouvelle devise surtout quand deux de ses doigts viennent me perforer et être aussi efficaces que la verge de mon lâcheur.
Alors quand elle me place chatte à chatte pour qu’elles se caressent au rythme qu’elle m’impose.
Je comprends rapidement le mouvement tournant nous permettant de faire bander nos clitoris aussi fort que le moment où mon mari me sexait.
Un bel orgasme déferle dans mon corps.

- On est folle Aurélie.
Dire que nous étions à portée de vagin depuis des années et qu’il a fallu le manque d’entrain de mon homme doublé de la tromperie de Marion ta maîtresse qui t'a délaissée pour gouter aux plaisirs que nous venons d’éprouver.


Tu as joui toi aussi j’ai senti de petites sécrétions inonder ton nid d’amour.
Viens sur moi que ma langue te nettoie intégralement.

Elle se redresse enfourche mon visage et ma langue retrouve ce bon clitoris que je viens de faire éclater de plaisir car elle est clitoridienne alors que j’aurais tendance à être vaginale.
Ces petites cochonneries doivent s’arrêter car l’heure avance et Damien est près de revenir de son travail.
Quand je la raccompagne je la plaque derrière la porte lui arrachant le string qu’elle vient de remettre.
Ma main retourne une dernière fois explorée sa chatte et nos bouches se dévorent comme jamais.

- À jeudi, nous profiterons de notre repos pour faire vingt bornes sur nos tapis et finir la matinée par une douche dans la même cabine.
- Sophie toi qui était pur et chaste tu commences à m’intéresser car tu deviens une vraie salope.
- Pourquoi serais-tu la seule à t’éclater ?
Il est vrai que mon évolution sexuelle me conduit sur une pente savonneuse mais qu’il est bon d’y glisser.

C’est comme cela que nous nous sommes séparées.
Elle retourne chez elle et moi quelques minutes après recevant Damien de retour de son travail.
Comme il en a pris l’habitude il se plaint d’être épuisé.
J’ai envie de lui hurler cocu ce qui aurait pu déclencher une réaction chez lui mais mon éducation très stricte m’en empêche.
Jusqu’au lendemain la situation reste la même et heureusement que j’ai encore sur les lèvres le gout de ma maîtresse, même si je me suis douchée car je pense que si je m’écoutais je le violerais.

« Où Sophie rencontre fortuitement Antoine. »

Le lendemain je retrouve Aurélie à l’hôpital, mais un simple baisé chaste nous rapproche avant de partir dans nos services respectifs.
Comme prévu ce jeudi matin je retrouve ma belle petite pute au gymnase.
J’ai plaisir à lui caresser la vulve dans le vestiaire avant d’aller courir.

Comme le long de ma porte d’entrée le baiser que nous échangeons est tout aussi long et profond me chamboulant tout le corps.
Heureusement que la course que nous entamons me permet de penser à autre chose.

- Salut les filles, je vois que vous avez toujours de jolis petits culs.

Celui qui vient de nous apostropher d’une façon aussi élégante c’est Antoine collègue de travail qui chaque fois qu’il me voit essaye toujours de me draguer.
Certes c’est un beau gosse mais je veux éviter de devenir une note à côté du nom de Sophie dans le petit carnet qu’il range dans sa poche de veste où il semble que la plupart des femmes de notre hôpital s’y retrouvent.
C'est une collègue qui si est retrouvée quand elle lui a cédé sur la table d’opération une nuit où ils préparaient l’intervention du lendemain.
Elle m’en a parlé m’expliquant qu’il avait profité d’un moment de découragement son mari étant parti pour un déplacement de travail dans les pays asiatiques depuis plus de quinze jours.
Son manque de sexe avait grandement participé à ce qu’elle cède.
Ce salaud lui avait dit après lui avoir bien bourré la moule qu’il la classait dans les bonnes baiseuses avec une note de 18 sur 20.
Il lui a dit de remercier son mari à son retour de l’avoir si bien formée.

Je continue à courir mais mon tapis dans la salle est placé de telle façon que je le vois sans qu’Aurélie puisse le voir.
J’ai déjà fait cinq kilomètres à mon compteur quand il me regarde en se passant sa langue sur ces lèvres d’une manière très sensuelle.
Son regard est si intense qu’heureusement que je suis en sueur car par ce simple regard les gouttes qui inondent le tapis seraient des gouttes de cyprines mes cuisses étant complètement inondées.
Nous sommes tous les trois dans cette grande salle le surveillant semblant s’être absentés.
Quand je cours je dois garder le rythme que j’ai affiché et que je sais pouvoir suivre.

De son côté Antoine dans son short de course me montre ses muscles puissants.
Il les entretient en allant sur un appareil qui permet de soulever des poids faisant travailler ses abdos.
Cet appareil est toujours caché du regard d’Aurélie mais très près du mien.
Il est assis écartant les deux masses de fonte avec ses biceps surdimensionnés
Le fumier il profite de sa position pour se caresser le sexe avec l’une de ses mains.
Je viens de passer les dix kilomètres quand je vois que sous son short il bande.
Sa verge est tellement développée qu’elle a du mal à être contenue à l’intérieur de son slip.
L’immanquable se produit un kilomètre plus loin son gland fini par m'apparaître.
Celui de Damien est normal 4 à 5 de diamètre.
Le gland qu’il me dévoile doit faire au moins 7 voire 8.
J’essaye de fermer les yeux pour arrêter de sentir mon entrejambe coulée mais le soleil que je fais me rattrapant de justesse amène sur son visage un air de contentement.
Le pourrit sait que je suis obligée de le regarder et à partir de ce moment mon regard est dans l’impossibilité de se détourner de ces trois ou quatre centimètres de verge qu’il me montre.
Mieux même, il a arrêté ses mouvements de bras et se masturbe carrément devant moi s’étant entièrement dénudé.
Pour mon malheur, elle est moitié plus longue que celle de celui qui a oublié de me baiser depuis plusieurs semaines.
Je suis à deux doigts d’arrêter le tapis pour aller la prendre dans ma bouche quand le responsable revient dans la pièce.
Quel con, Antoine range son démonte pneu me laissant finir mes derniers kilomètres frustrées de la belle vision que j’avais.
J’ai mis cinq cents mètres dans la vue d’Aurélie et quand la machine ralentie avant d’arrêter, je suis obligée de la soutenir, car elle est loin d’avoir ma résistance.

« Quand Sophie résiste à Antoine. »

Résistance toute relative car moi qui me croyais très forte, j’ai failli céder et aller me faire mettre par Antoine.

Après coup, je remercie le moniteur qui m’a permis de rester la femme fidèle bien que je sente de plus en plus que la situation avec Damien m’échappe.
Je sens qu’un rien pourra me faire chavirer et qu’après avoir caressé mon clitoris il finira par me prendre sauvagement.
Antoine en me montrant son engin vient de m’amener à la porte des plaisirs adultérins avec un homme.

« Sophie doit se contenter de plaisir saphique en lieu et place de la verge d’Antoine. »

Il est parti de la salle le temps que je récupère Aurélie.
C’est ensemble que nous entrons dans le vestiaire des femmes, vide à cette heure.
Ma copine a du mal à se remettre de sa course aussi je la douche, lui caressant de nouveau sa fente que je nettoie consciencieusement.
Est-ce la fatigue ou l’envie quand elle tombe à genoux devant moi et qu’elle commence à me lécher.
La cabine possède un siège pour les personnes à mobilité réduite replié le long du mur.
Alors que l’eau chaude nous tombe dessus je m’assieds écartant largement mes cuisses.
En fermant les yeux revoyant la tige qui m’était proposée il y a quelques minutes je me contente des grands coups de langue qu’elle me prodigue.
Si son corps est fatigué, sa langue est en pleine forme me faisant sortir de mon vagin de grandes quantités de mouille.

- Ma salope, la course te fait de l’effet tu es deux fois plus mouillée que chez toi l’autre jour.
Sympa tu prends de plus en plus goût à nos petits jeux.
Je vais faire de toi une parfaite gougnotte…

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