Amour En Musique 14
Viens...
Elle ne portait plus rien, et pourtant
Vu la manière avec laquelle elle me regardait, dune intensité
lhomme en face delle et quelle fixait, autrement dit
moi, pouvait facilement comprendre que cétait pour lui quelle avait du désir. Cétait de ce désir puissant, palpable et brûlant dont elle était habillée.
Quel homme ne rêverait-il pas de caresser un corps aussi beau ? Quel homme ne rêverait-il pas de profiter dune telle beauté et dautant de sensualité ?
Lovefool de The Cardigans
Telle la Vénus dUrbino du peintre Titien ou bien la Rose de Jack dans le film Titanic, Laura semblait être, à ce moment-là, quand je la regardais à mon tour et que je ne la lâchais pas des yeux, lincarnation de la beauté ET de la sensualité.
Elle me regardait. Elle me fixait. Elle me braquait de ses yeux, intensément. La tension était
palpable.
Javais envie delle. Je ne cherchais pas à résister à la tentation. Javais cédé il y a bien longtemps.
Cétait MOI quelle était venue chercher dans notre loge de cette salle de concert, à Montpellier, pas un autre mec.
Cétait pour MOI quelle avait fait tout ça, jusquà présent.
Elle sétait mise à nu, dans le sens propre comme dans le sens figuré du terme, et cétait pour MOI. Elle avait assisté à notre concert, puis elle sétait permise de se rendre dans notre loge jusquà en soudoyer Baptiste, notre roadie, dans lespoir de pouvoir me parler, et
plus
si affinités
Elle mavait dit, plus ou moins quelle mavait cerné
et ça mavait intrigué. Pour tout dire, Laura avait mis ma curiosité en ébullition. Et moi, je me suis laissé séduire par son audace, par son charme, par ses charmes. Et moi, je suis tombé en esclavage de sa sensualité, delle.
Cétait MOI
Sweet but Psycho de Ava Max
Elle était étendue, langoureusement, lascivement, sur ce lit, où des centaines de pétales de roses de couleurs variées ont été disposées.
Elle me regardait dans les yeux, comme si elle me provoquait.
Elle me regardait dans les yeux, et elle maintenait le contact de nos yeux, et cétait comme si elle avait lintention de mhypnotiser.
Ses formes et ses courbes, peut-être pas parfaites mais néanmoins magnifiques, mattiraient. Cétait comme le chant des sirènes.
Ses jambes étaient écartées, juste ce quil fallait, et javais une vue sur son intimité mouillée
que je nétais plus du tout en mesure de négliger.
Viens
Benoit
Viens...
(
)
Viens
Benoit
S'il te plaît
Quand elle a dit ça, Laura me regardait dans les yeux. Elle a posé l'une de ses mains sur sa jambe, et elle se la caressait. C'était une belle image
Laura était entièrement nue, et elle était étendue sur ce lit. Qu'elle était belle
Ses jambes étaient écartées, juste ce qu'il fallait. Son origine du monde était mouillée, et c'était visible à lil nu, incontestablement.
Seules ses lèvres semblaient se distinguer dans ce tableau pour lequel elle jouait le rôle du modèle, juste pour moi. Elles étaient violettes et elles étaient délicieuses. Ça, moi, je le savais. Elles étaient cerise.
High on Emotion de Chris DeBurgh
Laura était allongée sur ce lit, et sa peau rose pâle contrastait, non seulement avec le rouge à lèvres cerise qu'elle portait, mais aussi avec les pétales de roses qui semblaient avoir été disposées, je le soupçonne encore là, par elle.
Cette impression était multipliée et rene par les seins
magnifiques et alléchants de la jeune femme : un joli 90D qui serait, à mon avis, susceptible de faire tourner la tête de la plupart des hommes. À mes yeux, il ne pouvait pas en être autrement.
Laura était allongée sur ce lit.
Je mourais d'envie de poser mes lèvres sur elle et de l'embrasser
partout.
Je mourais d'envie de poser ma langue sur elle et de la lécher.
Et Laura, elle, m'attendait.
Undisclosed Desires du groupe Muse
Viens, Benoit
Quand elle a dit ça, elle ma fait un signe avec son doigt. Elle lagitait, son doigt. Et moi
je lai vu ce doigt, SON doigt quelle agitait et qui mordonnait presque de venir la rejoindre.
Sans que je ne la quitte des yeux un seul instant et que je ne rompe le contact, je me suis décidé à bouger enfin et à aller la rejoindre.
Head over Heels de Tears for Fears
Dune démarche lente et sans que je ne lâche Laura du regard, jai marché le long du lit, et je me suis rendu sur le côté, afin de pouvoir être tout près de ma petite rousse. Elle non plus ne ma quitté des yeux, et elle a soutenu mon regard. Nous nous faisions face, et cétait dune intensité
Puis, je me suis penché vers elle, ma tête en direction de la sienne. Laura a tout de suite deviné ce que javais lintention de faire, et elle a rapproché sa tête de la mienne.
Nous allions nous embrasser
Nous le voulions plus que tout, tous les deux.
I Will Always Love You de Whitney Houston
Nos lèvres se sont retrouvées. Étaient-ce les siennes sur les miennes, ou bien linverse ? Ça navait plus la moindre importance. Cétait le cadet de nos soucis, et on sembrassait parce quon en avait envie. Point.
Je retrouvais les sensations que javais ressenti lorsquelle mavait embrassé, la toute première fois. Nos lèvres qui se moulaient
Hmmm
Cétait si bon
Jy prenais du plaisir, vraiment, à embrasser Laura. Ses lèvres
Ses putains de lèvres à la cerise
Je ne men lassais pas, et je ne le voulais pas.
Jétais penché au-dessus delle, et on sembrassait. On était si bien, elle comme moi, elle ET moi, seuls au monde.
Puis, dans un instant de folie ou dinsouciance, peu importe comment on pourrait qualifier ça, jai posé une main sur la joue de Laura. Et, tout en caressant Laura de la sorte, on continuait de se donner des smacks et des baisers. On se roulait même des pelles. On aimait beaucoup tout ça
Sun Is Shining du duo de musique dance suédois Axwell/Ingrosso
Jétais penché au-dessus delle, et je la surplombais. Quelle était belle
Pour être honnête, javais
une très belle vue
En effet, de là où jétais, je pouvais aisément sentir le parfum dont elle avait déposé quelques gouttes sur son corps. Si je ne m, un parfum
dagrumes. Une senteur agréable, et qui lui allait bien.
De là où jétais, et ce même si mes yeux étaient rivés sur Laura, je pouvais voir ses seins qui tressautaient et qui ballottaient dès lors quelle esquissait le moindre petit mouvement. Je lavoue et je plaide coupable : je glissais parfois un petit coup doeil à son décolleté et à sa poitrine. Laura nétait pas dupe : elle sen doutait vu quelle savait que jétais tombé sous le charme de ses seins ronds et plantureux et que jen étais donc fou désormais.
Ce sont mes seins que tu regardes, Benoit ?
Quand elle ma demandé ça, elle me regardait fixement, profondément, intensément. Je suppose quelle a fait ça pour que je le lui dise, une fois pour toutes.
(Thats the Way) I Like It de KC and the Sunshine Band
Je nétais pas allongé sur Laura, mais je nen étais pas loin : jétais penché sur elle. On continuait de sembrasser, et ce même si mes yeux ségaraient et dérivaient de temps en temps sur ses jolis monts, gros, ronds. Je ne p, ce ouvais pas men empêcher. Je ne le voulais pas.
Ils te plaisent, mes seins, hein !
Jai regardé Laura, et je lui ai répondu en hochant la tête rapidement, de haut en bas, de bas en haut.
Viens, Benoit...
Et, sur ce, elle passa ses bras autour de mon cou, ce qui me fit encore plus me rapprocher delle.
Jétais à présent allongé sur elle.
Nos deux corps nus se touchaient et se caressaient.
La tension était
palpable, intense.
Trust You Again de Muttonheads et dÉden Martin
Jétais allongé sur Laura. Elle, elle pouvait sentir mon érection qui se frottait contre son ventre ou bien contre son sexe. Elle pouvait me sentir ainsi, dur, pendant quon sembrassait, corps à corps, dans le lit bordé et couvert de pétales de roses. Moi, je faisais frotter ma verge durcie par lexcitation tout contre sa porte du plaisir glabre
et mouillée, incroyablement excitée. Cétait si bon
Nous allions définitivement céder à la tentation...
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"Toi"
On était allongé sur le lit. Moi, jétais couché sur elle. Nous étions corps-à-corps : nos deux corps faisaient plus ample connaissance. Ils se découvraient. Se connaissaient et se reconnaissaient. Se caressaient. Nous étions à fleur de peau, à proprement parler, au sens propre et physique du terme, non au sens figuré et littéral.
On the Beach de Chris Rea
Jétais couché sur Laura et je lembrassais, tantôt tendrement, tantôt avec fougue. Elle, elle me répondait en passant ses bras autour de mon cou ou bien ses mains sur mes fesses. Ainsi, elle semblait mencourager à lui faire sentir le poids de mon corps sur le sien. À ce que je me frotte langoureusement contre elle pour que lon continue à sexciter.
Dont Stop the Dance de Bryan Ferry
Nous étions dans le feu de laction. On ne calculait rien du tout. On écoutait juste le désir qui brûlait et pulsait en nous, ce désir que nous avions, lun pour lautre, et qui avait pris possession de nous. Ça avait été notre rencontre. Cétait à présent notre nuit. Notre première nuit. Notre toute première fois.
I Took a Pill in Ibiza (version remix) de Mike Posner
Petite touche par petite touche, elle me laissait prendre linitiative. À vrai dire, ça lui plaisait. Elle, elle ne voulait pas seulement coucher avec moi
Elle désirait, plus que tout, découvrir ce que je pouvais bien cacher sous mes airs de musicien maudit.
Lessons in Love du groupe britannique Level 42
Elle a posé ses mains sur mes fesses, et elle les a saisies. Elle me collait à elle, contre elle. Ainsi
elle voulait sentir et ressentir mon corps sur le sien ? Très bien. Si cétait ce dont elle avait envie, ce quelle désirait, plus que tout
Ses désirs étaient des ordres, et son plaisir, ma priorité.
Stripped de Depeche Mode
Nous étions tous les deux nus, en tenues dÈve et dAdam. Jétais allongé sur elle, et je me frottais contre elle. Le contact de nos peaux était tout simplement agréable. Délicieux. Savoureux. Excitant. On se frottait, lun à lautre. Lun contre lautre. Mon membre était tantôt collé à son ventre, tantôt il coulissait et exerçait des mouvements relativement réguliers de va-et-vient sur sa vulve excitée, gonflée de désir et de plaisir, trempée. Si ça navait tenu quà moi et ce malgré mon inexpérience, jy aurai plongé et noyé ma verge à lintérieur, dans ses profondeurs.
Private Eyes de Hall and Oates...
En me saisissant tantôt les fesses, et en posant tantôt ses mains sur le bas de mes reins, Laura savait ce quelle voulait : elle voulait, plus que tout, sentir ma peau contre la sienne, quand jétais allongé sur elle. Nous nous embrassions. Nous nous roulions des pelles. Baiser chaste
Baiser mouillé
Baiser profond
French kiss
Des myriades de baisers
Cest tout pour elle. Rien que pour elle.
Eternal Flame de The Bangles...
Laura était allongée sur le lit, et elle était belle. De là où jétais, au-dessus delle, je lembrassais et le seul objet de ma concentration ET de mon attention, de mes attentions, cétait elle, cette petite coquine de Laura. Pourtant, jarrivais à apercevoir, par intermittence, quelques mèches de sa chevelure auburn sur loreiller où elle avait posé sa tête. Cétait beau. Mais, que cétait
beau. Laura était très agréable à regarder, à admirer. Un délice. Oh oui
Strangelove de Depeche Mode
Mes yeux continuaient de se poser sur ma partenaire. Je la regardais attentivement, tantôt avec tendresse et douceur, avec émotion, tantôt avec intensité. Elle, elle en faisait de même. La tableau pour lequel on posait, dans lintimité, en toute intimité, dans le plus grand secret, était beau. Émouvant. Pour un peu, nous aurions aimé faire comme un arrêt sur image, et immortaliser cet instant sous la forme dun cliché. Ça aurait été une très belle image, jen suis sûr. À la limite de la perfection. Nous laurions fait
si nous nétions pas autant et intensément rongés de lintérieur par le désir. Il ny avait plus rien à faire. Les dégâts étaient perpétrés depuis longtemps.
Hes the Greatest Dancer de Sister Sledge
Elle avait envie de moi. Elle avait hâte. Elle était impatiente. Son souffle était court. Elle narrêtait pas de se tortiller sous mon corps. Elle ne parvenait pas à se tenir tranquille : le désir brûlait si fort en elle que cétait tout simplement impossible pour Laura de se calmer, à présent. Pour être tout à fait honnête
cétait la même chose pour moi : jétais puceau mais jétais au seuil de la perte de ma virginité et javais plus que hâte, désormais, dintroduire mon membre dans le sexe de ma partenaire. Oh
oui
In Demand du groupe écossais de rock Texas
Benoit
Benoit
Jai envie de toi...
Laura haletait. Elle soupirait quand elle me parlait. Elle avait des difficultés à articuler convenablement, à présent, à mesure quelle nétait plus quune boule de désir. Et moi, javais fait delle une boule de plaisir, insatiable. Elle en avait fait de même avec moi : elle, elle mavait fait tomber dans son piège damour et de sexe. Et pourtant
Là, cétait moi quelle était en train de supplier : elle mourait denvie que je la prenne. Elle nattendait plus que ça. Ça faisait depuis trop longtemps quelle rêvait de ça et surtout quelle en fantasmait. Là, Laura avait tout simplement envie de réaliser ses fantasmes avec moi. Le reste navait pas dimportance.
Lady Marmelade (Voulez-vous coucher avec toi, ce soir) de Patti Labelle...
Benoit...
Elle prononçait mon prénom comme si elle me suppliait. Jétais presque allongé sur elle et elle, elle avait glissé lune de ses mains dans mes cheveux. Elle me les caressait tendrement.
Jusqualors, je marrangeais pour que ma verge, que je sentais lubrifiée par la cyprine de Laura et par un tout petit peu de sperme qui sécoulait de mon méat, se collait tantôt à son ventre et à son bas-ventre, et se frottait et coulissait tantôt contre son sexe mouillé, éclos. Jaimais ça, et, ELLE aimait ça, elle aussi. Cependant, à un moment donné, alors que je croyais que je continuais mes va-et-vient et que je faisais coulisser mon sexe sur le minou délicieusement juteux de Laura, jai justement remarqué que nos deux sexes ne se touchaient plus. Jétais à présent en train de faire ces va-et-vient dans le vide. Le temps dun instant, je me suis senti idiot.
Ne tinquiètes pas, Benoit ! Jaime ce que tu fais
Elle soupira aussitôt quelle dit ça.
Tu me donnes beaucoup de plaisir, tu sais ? Jaime ça. Continue
Tu prends ton temps pour toccuper de moi. Quand je te disais tout à lheure que tu nes pas comme ces mecs qui se prennent pour des acteurs porno
Cétait ce que tu as dit tout à lheure
Tu croyais que tu nallais pas être incapable de toccuper de moi et de me donner du plaisir
Ne mens pas ! Tu nes pas comme eux, et moi, cest toi
Cest toi que je veux et pas un autre, Benoit.
Cétait intense, comme moment. Une fois quelle a prononcé ces mots, Laura avait les yeux braqués droit dans les miens, et je my noyais.
Oui, Benoit. Cest toi. Pas un autre que je veux, mais toi. Et ce, même si les autres tournent autour de moi...
Ces mots, ils étaient tirés de la chanson Toi de la chanteuse Vitaa, lune de mes chansons préférées, dailleurs. Et
visiblement
cétait une chanson que Laura semblait apprécier, elle aussi.
Les yeux de Laura étaient brillants. Elle était émue.
Elle tendit une main dans la direction. Lentement. Doucement. Tendrement, vers mon visage. Cette main, douce, aimante, rose et qui ne portait pas encore les marques du temps qui passe, Laura la posa sur ma joue. Elle me caressa la joue.
Got to Be Real de Cheryl Lynn
Dis-moi, Benoit...
Hmmm, Laura...
Tu es encore tout dur ! Cest moi qui texcites autant comme ça ? Réponds-moi !
Cest toi qui me fais bander, Laura. Hmmmm
Et
Cest toi que je veux. Je te veux autant que tu me veux, Laura. Jai envie de toi. Corps et âme.
La jeune femme gloussa en entendant ces mots, sortis de ma bouche.
Hmmmm
Moi aussi, jen ai envie, Benoit. Mon bel homme mystérieux. Tu es à moi ! Et moi aussi, jai envie de toi
Je ne lui ai passé laissé un mot de plus à dire : jai penché mon visage vers le sien, et jai posé mes lèvres sur les siennes. Dabord, ça a été un tout petit baiser. Simple. Délicat. Juste nos lèvres qui se touchaient. Puis deux, puis trois, puis
des baisers en cascade, en voulait-elle, en voilà. Je me suis mis à embrasser la belle rousse fougueusement.
Laura, elle, passa ses bras autour de mon cou. À son tour, elle membrassa fougueusement. Presque sauvagement. Cest quelle avait envie de faire lamour, elle aussi ! Une vraie tigresse ! De nouveau je fis frotter mon érection langoureusement contre son ventre.
Puis, je me suis détaché de ses lèvres pour pouvoir regarder, avec tendresse mais aussi avec intensité, ma coquine de partenaire. On se regardait, les yeux dans les yeux. Pendant ce moment, on ne se disait pas un mot. On se contentait de se parler avec les yeux. On se mangeait des yeux. On se bouffait des yeux, je dirais même. Ça ne faisait pas lombre dun doute.
Shake Shake Shake de KC and the Sunshine Band
Benoit
Tu bandes encore dur pour moi, et moi, je continue de couler, entre mes cuisses, pour toi. Et
nous avons toute la nuit devant nous
Profitons-en
De sa voix qui me rappelait ce que aurait pu être le chant des sirènes de Ulysse, Laura cherchait à faire en sorte que je succombe définitivement à la tentation. Elle nen avait pas besoin : jy avais déjà succombé. Depuis longtemps...
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En parlant de désirs...
Nous venions d'arrêter, je ne savais pas pour combien de temps, de nous peloter et de nous frotter l'un à l'autre. Et pourtant
Je me tenais encore pour le moment au-dessus de Laura. C'était un peu comme si je la dominais, du fait de ma position.
Nous n'arrêtions pas de nous regarder. Nous aimions bien nous observer. Ça nous permettait, à elle comme à moi, d'avoir une idée de comment l'autre se sentait, s'il était bien et s'il continuait de prendre du plaisir.
Who's that Girl de Madonna
L'intensité du moment était palpable. Éprouvante même, par intermittence. Nous avions envie l'un de l'autre. Nous n'attendions que ça. Rien n'aurait pu nous détourner de ce que nous désirions.
Puis, je n'arrivais plus à mempêcher de regarder, d'observer et d'admirer son corps tout entier. En quelque sort, je la caressais avec les yeux. En particulier, sa belle poitrine sur laquelle mes yeux finissaient toujours par revenir.
Laura n'était pas dupe. Elle savait depuis un bon moment déjà que ses seins me plaisaient énormément et que j'en étais tombé amoureux.
Je suis toute à toi, Benoit. Et je suis trempée. C'est toi qui me fais mouiller. Je suis folle de toi, Benoit. J'ai envie de toi. Je t'en prie !
Je la regardais dans les yeux. Le regard que l'on s'échangeait était intense. Lourd de sens, si l'on peut dire. Il y avait bien un feeling entre nous. Ce n'était pas baiser. Ça allait bien plus loin. Laura m'avait dans la peau, et ça se reflétait dans ses yeux. À aucun moment, elle ne faisait semblant.
J'aimais ça.
Je continuais de plonger mes yeux dans les siens, et je m'y perdais volontiers. Je perdais pied, je perdais le contrôle
et j'aimais ça. J'étais sous l'emprise de Laura. C'était parce qu'elle avait usé et
un tout petit peu abusé de son charme. De ses charmes. Avec subtilité. Sans être racoleuse. Tout en restant elle-même. Laura ne surjouait jamais. Elle prenait juste note du désir de son amant, et, alors, elle voulait le satisfaire du mieux qu'elle pouvait.
Elle était directe. Elle disait ce qu'elle avait en tête, à n'importe quel instant. Mais, en aucun cas, elle ne faisait semblant. Elle ne calculait rien. Elle ne se prenait pas pour ce qu'elle n'était pas. Elle laissait juste libre cours à ses désirs.
En parlant de désirs
Elle savait que j'étais raide dingue de ses deux seins voluptueux aux larges aréoles rose pâle. Ça ne faisait plus du tout l'ombre d'un désir pour elle à ce moment-là. Elle n'était pas dupe, Laura.
Oui, mes yeux étaient dans les siens.
Oui, j'étais presque allongé sur elle, et que je maintenais au mieux mon rythme pour que Laura continue de prendre du plaisir.
Mais, Laura était tout sauf une idiote : mes yeux, de temps à autre, s'arrêtaient sur ses seins. Elle m'avait surpris, plus d'une fois, alors que ses monts d'amour avaient pris possession de moi. Laura est une femme qui est tout sauf dupe.
Quand elle me prenait sur le vif, Laura, elle, était discrète, ce que moi, je n'étais pas, homme oblige, et elle regardait en direction de ma virilité. Ce qu'elle voyait la confirmait dans sa confiance, dans son désir, et dans ses choix.
J'étais loin d'être insensible à elle. Et, elle voyait bien que mon sexe était en verve.
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