Le Message Du Corbeau...
Que fus ma surprise ce matin là de trouver parmi mon courrier un message mavertissant que ma femme me cocufier. Hormis ses quelques mots, le corbeau ma invité daller men rendre compte par moi même en me révélant le lieu de sa débauche, ainsi que le jour. Le mercredi après-midi, après 14H00.
Je me suis bien garder den parler à ma femme. Attendant patiemment le mercredi suivant pour honorer linvitation, si je peux dire. Pour cela jai contourné la maison que le corbeau avait mentionné, qui déboucher derrière une grande haie de thuyas, comme cétait noté. Cest alors que jai entendu une voix de femme prodiguait des motivations.
- Allez, vas-y, pompe-le à fond, plus fort, il aime cela
Étant donné que la voix que jai entendue nétait pas celle de ma femme, donc par déduction, et si le corbeau disait vrai la suceuse ne pouvait quêtre mon épouse. Mais de lendroit où je me trouvais il métait impossible de voir ce qui se dérouler dans la pièce, surtout que la baie vitrée était entrouverte.
Jai repéré à quelques mètres devant moi une haie de buis. Situé face de la porte fenêtre. Avec mille précautions, je me suis avancé jusquà lui. Après mêtre assuré que je navais pas été repéré jai porté mon regard dans la pièce, pour y apercevoir un spectacle hallucinant.
Où ma femme se trouvait bien sur place, à genoux devant un jeune homme, que je reconnu étant celui qui venait de temps à autre se baigner dans ma piscine. Je reconnais que la nature avait été bien généreuse avec lui. Il possédé un membre énorme que ma femme saffairait à rendre encore plus gros, et cela avec sa bouche. Je ne sus sur le moment que faire, quoi penser. Alors que là-bas, ma femme pressait doucement les couilles du jeune type qui en retour gémissait à tue-tête.
Son gland était aussi gros et de la même couleur quune prune. Que ma femme mordillait, léchait, lembrassait doucement avant de laspirer de nouveau. Faisant une série de va et vient bruyants en poussant des petits cris de plaisir.
Son implication sur linstant était dencouragé avec des mots crus, mon épouse à en donner encore plus. Soudain, le jeune homme sest cabré, alors que plus bas ma femme semblait s. Jai tout de suite compris que le garçonnet venait de libérer son plaisir.
La maîtresse a quitté son rôle dobservatrice pour prendre celui de suceuse. Très vite en parfaite experte, elle a redonné vie à la queue du garçonnet. Quelle la recraché, et tout en le branlant énergiquement elle sest adressé à ma femme.
- Dit Cathy, cela te dirait quil te la mette dans ta chatte. Regarde comme elle est belle.
Comme si elle aurait dit à un aveugle sil voulait voir.
- Je te laccorde, quelle belle queue !
Ma femme sest empressée de se placer à quatre pattes sur le fauteuil. La maîtresse a entrainé le jeune homme jusquà elle. De mon poste dobservatoire, jai éprouvais comme des bouffées de chaleur. Mon souffle sest accéléré lorsque jai vues le gland peu à peu disparaître dans le con de ma femme. Ça ma fait leffet dune injection de lave brûlante dans mes veines. Dans un dernier cri à demi étouffé, ma femme la absorbé complètement. Une sensation de malaise désagréable s'est emparée de moi. Doucement elle a envoyé ses entrailles voyager sur le bâton de chair. Elle aimait tellement ça, quelle a donné à sa voix des petits cris. Et ceci à chaque fois quelle a sentit le pubis du jeunot chatouiller son cul. Jai vu ainsi à plusieurs reprises la queue disparaître pour mieux réapparaître linstant daprès.
Ma femme râlait, comme je ne lavais jamais entendu avec moi. Suppliant au jeune homme de la baiser encore plus fort. Jai joui sans me toucher. Souillant mon slip de ma jouissance.
Madame Durand sest alors placée derrière le jeune homme et je lai vu lui enfoncer son index dans son cul. Donnant au doigt le même rythme que la pénétration. Ma femme a jouit à plusieurs reprises, avant de se découpler, et de se laisser tomber sur le tapis.
La maîtresse des lieux a alors relevé sa jupe sous laquelle elle portait une sorte de string fait de larges lanières de cuir. À la hauteur de son sexe de ce sous-vêtement bizarre, un court manchon y était solidement fixé. Sous mes yeux ébahis, elle a vissé un gode. Ma femme sest retournée dun bloc en sentant la pointe du gode sappuyer sur mon anus. Madame Durand sest agrippée aux hanches de ma femme pour mieux se positionner. Et dun coup de reins, jai vue le gode violait lentrée. Elle a remué du popotin jusquà ce que son cul bute contre le ventre de la femme. Les mouvements des deux femmes se sont accordé pour que le gode entame dans un premier temps un lent va-et-vient. Augmentant par la suite peu à peu la cadence. Les deux femmes ont joui presque en même temps.
Puis Cathy sest rhabillée et je lai vu sortir. Elle a pris la direction de la maison moi à ses trousses. Faisant attention de ne pas me faire repéré. Quand je suis rentré, elle se tenait devant un café.
- Ça était ton boulot ? La questionnais-je tout en emplissant ma tasse.
- Oui, très éprouvante, à un tel point que tu ne peux pas savoir. Me fit-elle. Je suis en sueur. Jallais mapprêter à prendre une douche.
- Moi ce nest pas dune douche que jai envie (bien que jen avais un grand besoin !) mais de te baiser, surtout que nous sommes seuls à la maison.
- Cest
cest que je ne suis pas bien propre, comme je te lai dit, mon chéri. Après la douche si cela te dit.
- Tu sais bien que je naime pas quand tu ai trop propre.
Après avoir verrouillé la porte et sans un mot, je lai serré contre moi. Après un baiser je lai plaqué contre la table. Dun geste brutal je lui ai arraché sa culotte.
- Comme tu vas, là ! Mon chéri
tu as vraiment très envie
- Tu ne peux pas savoir ! Ai-je répondu. En la forçant de se courber.
Elle a écarté les jambes, les deux mains appuyées sur la table. Jai pris lhabitude de la baiser dans cette position ces derniers temps.
Dune claque sèche, jai fais valser sa fesse gauche. Quelle a projeté vers larrière. Trois autres ont suivirent. Plus fortes, comme je lai souhaité.
- Mais Alain, que tarrive-t-il aujourdhui ?
- Petite chochotte va
Les bras tendues sur le bord de la table, elle a affermit la position en soupirant. Jai pétris ses chairs, malléables comme de la pâte à modeler. Jai écarté les fesses dodues. Sa raie sombre tranchait sur ses rondeurs crémeuses. Révélant un large trou du cul que la dernière pénétration avait ouvert. Jai descendu mes doigts vers sa chatte qui dégorger. Sans doute un mélange de sperme et de mouille. Du plat de la main, jai flatté sa vulve poissée. Quelques petites tapes qui la firent geindre.
- Dépêches-toi les s ne vont pas tarder à rentrer.
Mais ce quelle ne savait pas encore à cet instant, cest que je navais lintention de lui loger ma queue dans son sexe, mais ma langue. Pour cela je me suis agenouillé devant son fessier.
- Quest-ce que tu fais ?
Pour toute réponse, je lai reniflé bruyamment pour quelle entende bien. Il sen ai dégagé une saveur épicée tenace qui ma agacé les papilles. Loin de lécurement, je me suis laissé aller à la tentation deffleurer sa vulve de mes lèvres.
- Alain, je ne sais pas
si
- Si quoi
quest-ce qui tarrive aujourdhui ? Je ne reconnais pas
- Cnest pas ça ! Mais
Jai sortis la langue et lai passé de haut en bas sur le sexe éclaté, dont les chairs étaient à vifs. Cathy na pas osez minterrompre une nouvelle fois. Elle respirait bruyamment. Jai plaqué ma bouche contre son sexe, comme si javais lintention de lavaler. Aspirant les petites lèvres, le clitoris, le faisant rouler sous sa langue ce qui a arraché des grognements approbateurs à ma femme.
Mais hélas, mille fois hélas ! Les coups portés à la porte dentrée mont obligé dabréger mon festin. Cathy sest empressée de filer jusquà la salle de bain. Alors que pour ma part, je me suis occupé de donner accès à mes s. Qui se sont empressé de filer jusquà leurs chambres, me laissant en tête à tête avec ma belle-mère.
- Waouh ! Mais tu sens le cul ! Me fit-elle après mavoir embrassé.
- Si tu veux savoir, jétais avant que tarrive en train de sucer la chatte de ta fille. Lui murmurais-je à loreille.
- Je te pris de mexcuser !
- Mets tu es toute excusé ma chère maman. Lui ai-je répondu, en faisant disparaître ma main droite, sous sa jupe. Celle-ci a bien essayé de résister sans pour ça, empêcher mes doigts de remonter le long de ses jambes. Que la douceur du collant qui voilé ses cuisses ma exhorté de poursuivre mon exploration. Son entrejambe était trempée et chaude. La coquine ne portait pas de culotte sous le nylon. Jai même senti sous ma cajolerie la naissance de son bourgeon sous mes doigts.
- Alain
Voyons ! Fit-elle en se détachant de moi. En pourrait se faire surprendre.
Cest alors que je lai vu se pencher et ramasser quelque chose quelle sest empressée de mexhiber.
- Eh bien, quelle violence ! Tu sais Alain, je ne dirai pas non de subir pour ma part la même bestialité ! Bien au contraire, je
Elle neut pas le temps de finir sa phrase en voyant arrivée sa fille, emmitouflée dans son peignoir.
- De quoi parliez-vous, avant que jarrive ? Fit ma femme.
- De fessée, si tu veux savoir ! Répondit la mère.
- Et pour qui ?
- Pour ton mari
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