Les Aventures De Françoise (4)
Ce fut lors d'une hospitalisation suite à une vilaine pneumonie que Françoise retrouva une ancienne copine d'école primaire prénommée Viviane et devenue aide soignante. Elles s'étaient vues de loin en loin depuis l'enfance, se croisaient parfois dans la rue ou au supermarché, mais sans nouer de relations intimes. Chacune avaient connu son propre parcours professionnel et familial. Mais elles s'estimaient toujours et Françoise fut très heureuse d'être soignée par cette chère Viviane, devenue comme elle rondelette avec l'âge mais toujours attrayante avec son visage souriant, ses cheveux blond cendré et sa démarche vive, comme son prénom. Toujours pressée, Viviane ne pouvait guère s'attarder en longues conversations avec la malade mais elle laissait passer de temps à autre quelques bribes d'information d'où il ressortait qu'elle vivait désormais seule parce que divorcée et souffrant de solitude affective, bien qu'également satisfaite de sa liberté.
Françoise répondait que, tout en étant mariée, elle profitait aussi de sa liberté et finit par lui glisser un jour à demi voix que cette liberté impliquait aussi sa sexualité (lire les précédents épisodes des aventures de Françoise). Viviane fit des yeux ronds marquant son incrédulité mais aussi une réelle curiosité qui ne demandait qu'à être satisfaite. Françoise lui promit que dès sa sortie de l'hôpital, elle lui donnerait un rendez-vous tranquille et discret où elles pourraient s'épancher sans risque. Cette rencontre intervint une quinzaine de jours plus tard alors que la malade était désormais totalement rétablie. Viviane l'invita à prendre le thé durant son jour de congé et c'est leur discussion que nous allons reproduire ici.
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Une fois évacuée les banalités d'usage sur l'appartement de l'hôtesse et sur la santé recouvrée de son hôte, Viviane aborda le sujet qui lui tenait le plus à coeur :
- Alors, comme ça, tu batifoles en dehors du mariage. Ton mari est au courant ?
- Non mais je crois qu'il s'en doute un peu et préfère ne pas le savoir.
- Tu as un amant ?
- Non, pas attitré, juste quelques rencontres ici ou là. De préférence de plus jeunes que moi, tant qu'à faire. Ils me font vraiment jouir.
- Quelle chance tu as. Moi aussi, j'ai fait quelques galipettes depuis mon divorce et même un peu avant d'ailleurs mais le boulot me prend tellement de temps que je rentre crevée chez moi et je ne vois plus personne. Heureusement, j'ai mon gode mais ça ne vaut pas l'original.
- Pourtant, que ne dit-on pas sur le milieu médical. Tu ne t'es jamais fait sauter par un collègue ou même un médecin ?
- Si bien sûr mais à la hussarde. J'aime bien quand ça dure un peu quand même. Et puis, je ne rajeunis pas. On me drague moins qu'avant.
- Tu te fais sûrement des idées. Comme je te vois, je te trouve encore très attrayante. Je suis sûre que tu plairais encore si tu t'en donnais les moyens, par exemple en t'habillant vraiment sexy, en laissant entendre que tu es une femme qui baise. Est-ce que tu aimes toujours le sexe, d'abord ?
- J'adore ça. Et j'ai toujours adoré ça. Mais j'ai souvent été déçue. Il est vrai que mes expériences ont été assez limitées. Celle qui m'a vraiment marquée, c'est quand un de mes amants a voulu m'emmener dans un sauna libertin il n'y a pas très longtemps. Ce soir là, je me suis vraiment éclatée. J'ai baisé avec plusieurs mecs dans la soirée dont certains vrais canons. Mais le type qui m'avait conduite m'a larguée quelque temps plus tard et je me suis retrouvée à la case départ.
- Au moins, ça prouve que tu peux te lâcher si on t'aide.
- Pourquoi ? Tu veux me présenter ton fils ?
- Idiote. Pas mon fils mais celui de ma soeur. Mon neveu, quoi. Figure-toi que sa mère est inquiète pour lui parce qu'elle a peur qu'il soit homo. Il est toujours avec des mecs de son âge, jamais avec des filles. Elle m'a demandé si je connaissais quelqu'un qui pourrait le déniaiser. A mon avis, elle se fait des idées. Je suis sûre que le garçon n'est plus puceau et encore moins gay mais les filles comptent moins pour lui que la natation qu'il pratique en compétition. J'ai oublié de te préciser qu'il a un corps superbe, un vrai corps de nageur. C'est vraiment un beau mec et on s'aime beaucoup. Il s'appelle Kevin, il a 20 ans et si tu veux, je te le présente.
Viviane mit un temps à se remettre de cette masse d'informations. Finalement, elle lâcha :
- Pourquoi pas ? De toute façon, si j'ai l'âge de sa mère, ça m'étonnerait que je le fasse fantasmer.
- Détrompe-toi. Beaucoup de jeunes préfèrent les femmes mûres parce qu'elles les rassurent et seraient plus indulgentes en cas de fiasco. Sans compter leur expérience du sexe. Alors ?
- Bon, on peut essayer. Tu arranges tout ça et tu me tiens au courant.
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Quelques jours plus tard, Françoise invita sa soeur Micheline et Viviane chez elle afin de faire le point sur la situation. Viviane voulait s'assurer qu'il y avait bien un consensus familial pour qu'elle séduise le jeune homme, afin de ne pas être accusée non de détournement de mineur mais de harcèlement sexuel. Micheline, une plantureuse blonde aux cheveux coupés très court, la rassura :
- Je vous fais pleinement confiance pour séduire mon fils et in fine de le mettre dans votre lit pour lui montrer ce que c'est qu'une vraie femme. Je crains comme la peste ces midinettes qui ne pensent qu'à leur propre plaisir, à commencer par celui de sortir avec un beau mec pour épater la galerie.
Elle poursuivit en donnant quelques pistes pour que Viviane attire le beau Kevin dans ses filets. Rendez-vous fut pris au domicile de Micheline avec Françoise auprès de la piscine domestique.
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Dès le lendemain, les trois femmes bronzaient entièrement nues près du court bassin quand le nageur fit son apparition sur son scooter. Viviane fit un mouvement pour attr son maillot mais Micheline l'arrêta :
- Non, restez à poil comme nous. Il a l'habitude de nous voir nues mais une nouvelle venue attirera son attention.
De fait, le jeune homme s'approcha pour embrasser sa tante et Viviane sans paraitre s'étonner de leur nudité. Cette dernière masqua difficilement son embarras, se jugeant indigne de paraitre sans maillot devant un aussi beau garçon, avec ses rondeurs étalées sur la serviette, mais celui-ci ne parut pas s'en formaliser. Il se dévêtit aussitôt entièrement et plongea dans l'onde. Viviane reçut alors le choc visuel d'un corps masculin comme elle n'en avait jamais vu de près, parfaitement proportionné, aux muscles saillants mais aussi au membre viril long et fin, comme le reste du physique. Micheline et Françoise lui jetèrent un regard entendu et prétextèrent la préparation du goûter pour s'éclipser. Viviane se retrouva seule sur le bord de la piscine pendant que Kevin en sortait et s'allongeait à côté d'elle pour se sécher.
Une conversation s'engagea. Viviane l'interrogea sur sa pratique de la compétition tandis que lui la questionna sur son métier d'aide soignante. Micheline et Françoise n'apparaissaient pas mais guignaient de loin la suite des événements. Le désir gagnait de plus en plus Viviane, qui se tournait et se retournait sur la serviette avec des postures de chatte, exposant sans complexe son généreux postérieur et ses seins lourds.
Viviane mettait tout en oeuvre pour signifier au jeune homme, de manière implicite, qu'elle aimait baiser et qu'elle était tout à fait disposée à baiser avec lui. Elle nota une légère érection de la part de son interlocuteur et si elle n'avait pas été en terrain familial, il est probable qu'elle se serait penchée pour sucer cette belle queue qui ne demandait que ça. Mais l'appel de Micheline à venir boire frais rompit le charme. Viviane se releva et se dirigea vers la maison en ondulant légèrement de la croupe, sentant le regard du jeune homme posé sur ses deux globes charnus vibrant comme un appel.
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Quelques jours plus tard, Françoise invitait Viviane et Kevin à venir déjeuner. Gérard, le mari de Françoise, était également présent afin de donner une caution masculine au repas. Mais il s'échappa à l'issue de celui-ci, prétextant un tournoi de bridge déjà programmé, ce qui était vrai et avait motivé la date choisie par Françoise. Le trio se retrouva ensuite devant la piscine et les deux femmes se remirent en tenue d'Eve. Françoise sommeillait (d'un oeil) sur son bain de soleil tandis que Viviane et Kevin (qui s'était également mis nu) conversaient mezzo voce. Petit à petit, Viviane entraina le jeune homme sur le terrain du sexe en l'interrogeant sur ses amourettes puis carrément sur ses expériences érotiques. Histoire de le mettre en train, elle ne dissimula pas ses propres aventures, évoquant notamment l'épisode du sauna libertin qui laissa le jeune homme sans voix mais provoqua un début d'érection de sa part.
- Je vois que ça te fait de l'effet, ce que je te raconte, lui dit-elle.
- C'est que, euh, c'est assez excitant, mais je ne sais pas si j'oserais connaitre ça.
- Je n'étais pas à l'aise au départ mais l'excitation est venue avec le temps. Et je dois reconnaitre que j'ai pris un pied énorme à faire l'amour avec plusieurs hommes.
Kevin bandait maintenant franchement et Viviane se lança. Elle saisit la queue fine et commença à la branler, sans la moindre opposition.
- Laisse-toi faire, ta tante ne nous dérangera pas, elle roupille.
Puis Viviane avança sa bouche gourmande et entreprit de sucer le gland rose sorti de sa gangue de chair. Entre ses paupières mi-closes, Françoise suivait avec gourmandise l'avancée des rapports entre son neveu et son amie. Lorsque celle-ci escalada la jeune bite pour venir s'empaler dessus, elle jubila intérieurement. Son plan avait marché à merveille. Mais de voir Viviane cavaler en faisant danser croupe et seins déclencha en elle un début d'incendie qu'elle ne put maîtriser. Elle commença à se masturber. Puis lorsque Viviane se positionna à quatre pattes sur l'autre bain de soleil, invitant le jeune homme à la prendre par derrière, le spectacle des couilles de Kevin en folie lui fit franchir une barrière morale qu'elle n'aurait jamais imaginée. Se levant de son siège, elle se glissa derrière le couple et mit la paume de sa main sous les bourses du jeune homme pour les flatter et les stimuler. Ce toucher subtil déclencha chez le récipiendaire une rafale de coups de bite qui fit beugler Viviane de plaisir. Ravie de la tournure des événements, Françoise laissa libre cours à son instinct et après la main, mit la langue sur les couilles, débordant même sur l'anus du neveu littéralement déchainé mais parfaitement maitre de son sperme. Viviane explosa dans un orgasme ravageur et s'effondra à plat ventre sur le bain de soleil, laissant son jeune amant tendu comme un arc et toujours prêt à l'emploi.
Alors, Françoise prit une initiative qui devait plus tard l'épouvanter mais qui, sur le moment, lui paraissait incontournable. Saisissant la main du jeune homme, elle l'entraina vers l'autre bain de soleil où elle s'allongea, cuisses ouvertes, et ordonna :
- Baise-moi maintenant, je suis en feu.
Le neveu était trop excité pour s'arrêter dans sa frénésie érotique. D'autant qu'en son for intérieur, sa tante alimentait depuis longtemps ses fantasmes par ses rondeurs épanouies qu'elles dévoilaient sans complexe. Il était en outre instruit par elle-même de sa liberté sexuelle et avait souvent rêvé qu'il lui faisait l'amour. Aussi se laissa-t-il happer par l'entre-cuisses si complaisamment offert. Enfilant sa tante jusqu'à la garde, le regard plongé dans le sien et sur ses seins en houle, il la pilonna au risque de casser la couche qui tanguait sur ses bases. Françoise l'encourageait de la voix et des talons plantés dans ses reins. "Ne jouis pas, ne jouis pas, continue" implorait-elle en ruant à sa rencontre. Elle se focalisait désormais sur ce corps splendide, ces pectoraux puissants, ce damier en mouvement au-dessus d'une queue qui la fascinait par son activité et qu'elle observait avec attention dans son inlassable va et vient. Ce n'était plus son neveu qui la baisait mais un jeune mâle rendant hommage à sa maturité et elle n'en revenait pas de sa chance. Emergeant de sa torpeur, Viviane assistait estomaquée à cet accouplement hors normes. Elle s'en vit à son tour palper les couilles du jeune homme, totalement électrisée, au point d'ordonner :
- Prends-la comme moi par derrière.
Le couple s'exécuta aussitôt. En appui sur le sol, Kevin canardait gaillardement sa tante de sa queue, lui faisant totalement perdre les pédales. Elle avait oublié le contexte pour ne penser qu'à cette bite qui s'enfonçait profondément en elle à un rythme époustouflant. Subjuguée, elle s'entendit à peine dire à son neveu :
- Encule-moi maintenant.
Kevin crut avoir mal entendu. Jamais il n'avait pratiqué la sodomie dans sa jeune vie sexuelle. Et ce serait maintenant avec sa tante ? Il douta un court instant avant que Viviane n'apporte son aide en humidifiant l'anus de son amie en transes et en lui écartant les fesses afin de faciliter l'introduction du pénis, heureusement bien calibré pour l'exercice. Kevin entra sans difficulté, bien accueilli par cette croupe majestueuse qui entama quelques rotations destinées à montrer son adhésion. La sensation était particulière. Il se sentait au large et se mit à percuter la chair dense de sa tante au point de faire claquer la peau de son ventre contre celle de ses fesses. Cette fois, Kevin ne put plus se retenir et il éjacula à longs traits dans le rectum bien ouvert, ressentant aussitôt une mollesse dans ses jambes de nageur de compétition. L'entrainement était fichu aujourd'hui...
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Les ébats s'achevèrent dans la piscine, ce qui permit à chacun de reprendre un peu ses esprits. Chacun put alors prendre conscience de cette incroyable débauche. Kevin s'esquiva rapidement, laissant les deux amies seules dans l'eau pour évoquer ce moment de folie sexuelle :
- Je ne sais pas ce qui m'a pris, lâcha Françoise. Pourvu que ma soeur ne soit jamais au courant ! Surtout Viv, ne lui dit rien, hein ? Je t'en voudrais à mort.
- Ne t'en fais pas, je ne suis pas très claire non plus sur le coup. Mais bon, voyons les choses positivement. Ta soeur voulait que son fils couche avec une vraie femme, en l'occurrence moi-même, et il a couché avec deux. Enfin, quand je dis coucher... Je crois pouvoir dire qu'il a vu ce que c'était que baiser. C'était le but, non ?
- Ouais, si tu veux. Tu vas le revoir ?
- J'espère bien. Un mec comme ça, on n'en a pas toujours dans son lit. On n'en a même jamais. Certes, il est un peu jeune mais fais-moi confiance, je vais l'éduquer et le faire mûrir. Il me parait doué pour ça.
- Tu parles. Qu'est-ce qu'il m'a fait jouir ! Micheline est loin de se douter à quel point son fils est fait pour l'amour et donner du plaisir aux femmes. Tiens, rien que d'y penser, j'en ai encore des palpitations dans la chatte.
- Calme-toi. C'est mon tour maintenant. Bon, il est temps qu'on rentre.
Les deux amies se rhabillèrent et regagnèrent leurs pénates. Dès le lendemain, Viviane recevait un texto de Kevin l'invitant à venir le retrouver à la sortie de la piscine. Elle comprit alors que sa longue période d'abstinence sexuelle allait connaitre une chaude interruption. Restait à savoir sa durée.
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