Terma 66 - Omar Le Rouquin (2) :
Mais à 30 ans, cétait difficile de continuer à refuser sous peine dattirer leurs soupçons. Il y avait une jeune fille de mon oncle paternel quils mavaient toujours destinée, alors, jai enfin accepté de me marier après leurs tentatives durant ces 5 années . En réalité, cétait Moussa, mon patron et maître de ma Terma, qui mavait persuadé, bien avant, de laisser pousser une petite barbiche et des moustaches, pour éloigner les soupçons. Cétait aussi pour éloigner les dragueurs et destiner mon cul seulement à lui. Mais maintenant il ma ordonné daccepter de me marier, avec un double objectif, camoufler mes tendances homosexuelles et avoir une vie familiale plus ou moins normale. Bien entendu, les relations de son zob avec ma Terma resteraient inchangées. Et en effet, jai eu une vie familiale presque normale, pendant au moins 8 ans. En plus, sur aides et conseils de Moussa, jai fait des affaires, en louant un magasin de vêtements pour s, puis assez enrichi, jai acheté une petite maison pour ma famille. Mes relations sexuelles avec le zob de Moussa, quoique plus espacées quavant, nont donc jamais cessées et , parfois, avec son parent Si Sourdi. Ces deux hommes représentaient mon univers sexuel et contentaient les désirs de ma Terma. Entre temps, Moussa sest aussi remarié avec une parente et a eu deux s. Dès quil avait envie de mon cul ou cest moi qui avait besoin de son zob, jallais le rejoindre, à la fermeture, au fond de son magasin, et il me faisait une ou deux sodomies bien éjaculées, en vitesse. Et quant Moussa réussissait à envoyer sa femme et ses s chez ses beaux parents, même pour une journée ou une nuit, je méclipsais de chez moi, avec excuse de voyage daffaires, et jallais coucher chez lui, dans son lit. Alors, complètement nus, libres, sous un seul drap comme dans le temps, on passait toute la nuit à niker jusquà laube. Cétait la fête pour son zob et pour ma Terma. Ces sodomies, en cachette de ma famille avaient un gout de danger qui amplifiait mes fantasmes et mes jouissances.
La première nuit a été laissée à Moussa qui ma sodomisé par derrière deux fois, rythmées de nos gémissements et cris de jouissances, entre coupées du repas. Puis la troisième, juste avant laube, les corps délicieusement chauds par le sommeil. Chaque sodomie a eu ses éjaculations hurlantes et bien fournies, par trois ou quatre chaudes bordées de sperme dans mes entrailles. Le lendemain, pendant la journée, puisque Moussa était au travail dans son magasin, ce fut le tour de Si Sourdi.
On a préparé de quoi manger et on sest restauré rapidement dans la cuisine puis, rhabillés, on sest installé au salon avec un bon café chaud.
Pour être à laise, on avait mis juste une gandourah sur nos corps nus. Cétait presque une provocation, qui sest avéré ensuite très agréable et délicieuse. En effet, ainsi habillés, il suffisait dun simple mouvement pour créer lenvie de niker encore. Je suis allé manipuler un bouton de la télé pour changer une chaine et, mabaissant, jai ressenti la gandourah qui sincrustait entre mes fesses. Jétais sûr que le profil entier de ma Terma était bien visible et agréablement offert à Si Sourdi et, sûrement encore, cela aurait des effets sur son zob. En revenant à mon fauteuil, jai remarqué, en effet, tout de suite son zob gonflé et qui faisait une bosse et un grand chapiteau sur sa gandourah. Le zob de Sourdi avait encore envie de mon cul et moi aussi jétais pour. Alors, je me suis assis à ses coté et, à travers le vêtement, jai empoigné son zob pour le serrer avec envie. On sest regardé et on sest levé pour aller vite dans la chambre. Le profil de mon derrière qui ondulait, layant aguiché, Si Sourdi ma saisi la Terma à pleine mains de désirs et la caressait presque avec violence et à travers le vêtement comme je faisais moi-même avec son zob. On était vraiment à cran et on voulait niker coute que coute. Javais le cul en feu et il suait son désir. Jétais impatient et lui aussi, à tel point quavant datteindre le lit, il ma plaqué ventre contre la porte et sest collé à mon derrière. Jai bien ressenti la puissance de son zob gonflé qui piquait mon cul à travers les deux gandourahs. Et vite, on sest dénudé et plongé sur le lit. Il ma poussé à magenouiller, tête sur matelas et derrière haut levé et sest installé derrière ma Terma, le zob à la main. Jai écarté à fond mes cuisses et une seconde plus tard, jai senti son zob qui senfonçait dans mon cul, nullement gêné par mon anus. Comme à son habitude, il a poussé à fond et avec un hurlement de victoire et moi aussi, je savais ce quil allait marriver. Et dès que le zob à écarté mon anus, en force et glissé jusquaux couilles dans mon fond, jai crié ma jouissance. Ce geste, ce mouvement, quant il est rapide, puissant et surtout lorsque le zob est gros et large, provoque toujours en moi ce hurlement de bonheur, presque automatique. Par contre, si la pénétration est lente, lécartement de mon anus et de mon cul, provoquent autre chose, un long gémissement qui suit le glissement petit à petit du zob le long de mon cul. Ce sont deux réactions automatiques de mon corps avec le zob. Puis Si Sourdi démarra ses vas et viens puissants, rageurs et surtout avec un choc et un « han » lors de chaque enfoncement du zob. Pendant plus dun quart dheure, il ma pilonné le cul en saccrochant à mes hanches et à mes fesses. Parfois, il sappuyait sur mon dos pour le creuser encore plus et faire gonfler mon derrière vers lui. Jimaginais le tableau quil avait devant lui. Mon gros derrière, mes larges fesses blanches, rondes, douces bien offerts et lentre fesses quil écartait de ses doigts pour voir son zob qui se mouvait dans mon cul. Cela devait ajoutait à son excitation et au gonflement interne de son zob. Et moi, cela augmentait aussi mon désir et les démangeaisons agréables de mon cul. Enfin, Si Sourdi arriva à ses fins. Saccrochant encore mieux, me tirant sur son bas ventre, il éjacula par quatre fois. Chaque jet, accompagné dun coup de rein supplémentaire et dun « han » de victoire. Moi aussi, la chaleur et labondance du sperme dans mon intérieur ajoutaient à ma jouissance. Bien rempli et par le gros zob et par labondance du sperme, ma Terma était satisfaite. Puis Sourdi se retira de mon cul et sessuya, comme à son habitude sur mes fesses et même sur mon dos. Epuisé mais satisfait je me suis allongé complètement sur le ventre et cuisses écartées. Je sentais le sperme qui coulait de mon anus, entre mes fesses et sur mes cuisses. Soudain, jai senti les lèvres de Si Sourdi qui me léchait les fesses et lanus. Cétait tout nouveau, une surprise, jamais il navait osé faire cela. Alors jai relevé mon derrière et essayé douvrir mon cul à ces attouchements. Je sentais la bouche et le souffle chaud et haletant de Si Sourdi sur mon cul et mes fesses. Alors jai ondulé un peu du derrière, comme pour lexciter encore plus. En réalité jétais pris au dépourvu et je ne savais plus quoi faire. Cest Sourdi qui décida. Quant il ma bien léché le cul et les fesses, il ma pratiquement nettoyé la Terma, puis il ma retourné presque brutalement sur le dos. Jessayais de comprendre en voyant son gros zob toujours gonflé et quil empoignait et branlait avec vigueur. Jai donc écarté les cuisses et levé les jambes. Jai même pris le coussin sous ma tête et, me soulevant un peu, je lai glissé sous mes fesses. Javais compris quil voulait encore me niker mais de face. Et jai attendu. Il ma manipulé le cul avec sa main libre et ses doigts, puis il sest penché pour me lécher lanus encore une fois en louvrant avec ses doigts. Et jai laissé faire sans bouger. Puis, il sest redressé et dun geste brutal, comme les autres fois, il a enfoncé son zob rapidement dans mon cul bien lubrifié par les restes de sperme et les lècheries de Si Sourdi.
Ensuite, ses mains sous mes hanches et fesses il ma soulevé les reins et commencé ses coups de bélier qui enfonçaient son zob profond dans mes entrailles, jusquaux couilles qui me battaient les fesses. Il écarta le coussin et me souleva encore plus les reins qui nétaient plus en contact avec le lit. Je ne sais pas ce qui a poussé Sourdi dans ce choc de désir soudain et plus violent que dhabitude, mais jai laissé faire, ça me plaisait, ça menchantait, ça maffolait même le corps. Jétais en lair, avec le zob qui se mouvait à fond dans mon cul, le corps qui tremblait de désir et je recevais avec joie les coups de zob de Sourdi. Je navais plus aucune décision, ni liberté sur mon corps. Secoué, niké et presque violé, jai fermé les yeux et essayé de gouter à fond la situation. Cela a duré avec bonheur, un long moment. Et, comme auparavant, ce sont les premières éjaculation du zob qui mont réveillé de ma torpeur. Si Sourdi sest épanché par trois jets de sperme ou plus, je nai pas maitrisé le nombre, puis il ma déposé sur le lit, son long zob toujours enfoncé dans mon cul par dessous. Et soudain, il a retiré son zob et ma retourné pour se coucher sur mon dos. Puis il a empoigné son zob et a cherché mon anus. Facilement il la trouvé et a enfoncé de nouveau son zob jusquaux couilles, cela a été aisé grâce au sperme que javais encore au cul. Et Si Sourdi, a redémarré ses vas et viens, dans son sperme, ou du moins dans ce qui en est resté. En plus des frottements agréables du zob dans mon cul, jentendais aussi les flop flop que faisaient le zob et le cul mouillés quant ils glissaient lun sur lautre. Une musique de ma Terma que jentendais avec jouissance et sajoutait au bonheur de la sodomie. Javais déjà un peu entendu cela une ou deux fois avec Moussa, mais cétait bref car il nikait rarement dans son sperme et sarrêtait ou se retirait vite. Mais, là, Si Sourdi a décidé de me niker avec son sperme qui me remplissait encore une bonne partie de mon cul. Cétait inédit pendant un long moment. Jétais sûr que cétait par fantaisie quil faisait cela et quil naurait pas beaucoup de plaisir car son zob ne frottait pas directement la chair de mon cul mais son sperme. Et jétais étonné de lentendre gémir et haleter de plaisir. Et il restait ainsi à me pilonner malgré le sperme qui, heureusement, sévadait peu à peu de mon cul. Et à un certain moment, la majeure partie sétait échappée, alors je recommençais à ressentir le zob qui me frottait chair contre chair et se gonflait de plus en plus, comme à ses débuts. Et le plaisir renaissait et augmentait, beaucoup de plaisir, au point de me faire gémir de nouveau. Cest alors que Sourdi me donna quelques tapes sur le dos et les fesses et je lentendais, dans ses halètements, rigoler car il avait réussi à mexciter de nouveau. Et on a continué ainsi jusquà son top. Et comme dhabitude, il se colla à fond à ma Terma et avec un hurlement de bête blessée, il éjacula. Ce fut par quatre fois et ça ma tellement choqué, car jétais loin de penser à cet abondance, que je lai accompagné dans ses « han » de victoire. A la fin, je lentendais lancer un long, très long gémisement, un souffle continu tout en restant collé à mes fesses et le zob au fond de mon cul. Cette sodomie, vraiment spéciale a été certes inédite pour ma Terma et mon cul, mais aussi pour mes fantasmes. Cetait une autre vitrine de Si Sourdi que je ne connaissais pas. Me lécher le cul et son propre sperme, je naurais jamais penser à cela de sa part, mais jaimais, car, par cette sensibilité, ce geste de désir, il me plaisait encore plus quavant et je le désirais encore mieux. Cest un homme viril, puissant et très sensible, et ça me chatouillait les nerfs, le cur et en séfinitive la Terma. Enfin, il se dégagea et sécroula à coté. Moi, je lai observé un instant, il avait les yeux fermés et goutait sa sodomie parfaite et ses performances de la journée. Alors, Je suis allé me nettoyer et mieux, je me suis douché à fond, car il était tard, presque 18h et Moussa allait arriver avant 19h. Sourdi sest douché après moi, puis à mis son pyjama complet et sest installé à la télé, au salon. Moi aussi jétais au salon, mais seulement en gandourah, nu par-dessous, attendant le retour et les désirs sexuels de Moussa. En attendant, Jai posé la question à Sourdi, mais en vain, il a gardé le secret de ce brusque désir de sa bouche sur mon anus et de la sodomie dans un cul encore plein de sperme. Peut-être quune autre fois, il me confiera cette autre partie de sa personnalité. Il avait réussi à me sodomiser par cinq fois durant cette journée. Mais je savais maintenant que Si Sourdi était un homme spécial, dune résistance sexuelle de zob, formidable, étonnante pour son âge. Et il allait se reposer la nuit pour laisser la place de mon cul à Moussa.
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