Collection Libertinage. Le Domaine. Saison Iv (17/21)
Il est de nouveau revenu, mon sexe inconnu est venu me baiser.
Il prend de lassurance car cest en plein jour quil me couche les seins sur ma table de salle à manger.
Il finit même par menculer sans que jy retrouve à redire.
Il est vrai que les exploits de Laurette avec ses amants ont dû marquer mon cerveau car fréquemment elle me parle de cette pratique.
Cest dans cette position les seins sur la table et le cul en lair quelle me trouve quand elle arrive.
Elle me lèche la minette découvrant que je suis remplie de sperme.
- Tu as encore du sperme sur le bord de tes lèvres donne-moi tout ce que tu as que jy goûte aussi.
- Tu vas me faire jouir, enlève ta main de mon pantalon, jai du travail moi madame.
Je lui défais la ceinture et le descends afin de dégager son vagin.
Je la couche les seins sur la table dans la position que je viens de quitter et qui semble être la position de toutes les femmes de notre famille.
Jai limpression que la révolution a aplani les barrières entre serviteur et maître.
La seule femme dont jignore si elle sest trouvée dans la position où je viens de mettre Laurette, cest maman !
Les soirées nuisette que les couples pratiquaient ont bien dû les amener à la placer dans cette position sur la table de la salle à manger.
À si les objets pouvaient parler !
Je la lèche comme elle la fait avec moi et je trouve son anus aussi gluant que le mien devait lêtre.
Levant la tête vers elle sans la voir bien sûr.
- Toi, tu viens de te faire enculer, tu es aussi rempli de sperme !
Tu as baisé avec ton client, tu avais dit plus dhomme à cause de ta grossesse !
- Dans ma chatte oui, mais mon cul a fait laffaire.
Surtout que jignorais que son petit cul sautant sur sa selle devant moi me ferait envie.
Cest un jeune marié qui avait envie de faire du cheval sa femme refusant de monter sur nos animaux.
- Et où ta-t-il baisé ?
- Presque comme toutes les fois que jai envie de lun d'eux.
Je vais à létang où je prétexte que les chevaux ont soif pour mettre pied à terre.
Lherbe y est grasse et Rocco adore se remplir lestomac pendant que je me fais remplir le fondement.
- Tu es immorale mon amour, un garçon jeune marié !
- Ce sont les meilleurs neuf fois sur dix.
Il rêve que leur jeune épouse se donne à eux comme je lai fait à quatre pattes dans lherbe.
Ces jeunes pucelles ignorent ce quelles perdent et les maris sont ravis et moi aussi.
Ça tennuie que je te trompe comme je lai fait ?
- Pourquoi, jai bien joui moi aussi quand mon inconnu à commencer à me prendre sur la table comme toi et nos mères ?
Je te lai dit, il faut que nous profitions de la vie même si mes yeux vont mempêcher de faire tout ce que tu fais.
- Merci, les sexes dhommes ou de femmes, jaurais du mal à men passer.
- Pourquoi es-tu déjà là ?
- Ma copine vient dappeler, elle a eu une information et les pièces vont nous être rendues, c'est de simple Louis dor.
- Mais qui nous rende riche pour ruiner ce salopard dOlivier.
- Jai intérêt de faire attention à moi il semble que tu aies la rancune tenace.
- Pas avec toi ma Laurette chérie.
Elle part retrouver ses chevaux jusqu'au bruit caractéristique de ma future auto se faisant entendre.
Ces vieilles voitures ont un bruit bien à elle, celle-là ne déroge pas à la règle.
Mon chevalier servant se présente à moi.
- Olivier va dans ta cuisine et enlève tes vêtements et va mettre ton tablier !
Fait le ménage, Laurette ta préparé tout ce quil faut, jai horreur de la poussière.
Mets-le et viens nous servir, demain nous irons faire des courses au supermarché, nous arrivons à la fin des victuailles préparés par ma gouvernante.
Ne te tracasse pas, je vais te donner de largent.
Tu noublieras pas de me rendre la monnaie.
Humiliation suprême, je jouis moins quavec mon inconnu.
Non, on peut dire que je jubile, lui demander la monnaie ça doit le casser et pourtant il doit fermer sa grande gueule.
Il part.
Laurette revient le gloussement quelle émet en venant sasseoir sur mes genoux me dit quil est nu comme je lui ai demandé mais avec le petit tablier blanc que je lui fais mettre depuis lautre jours.
Une de mes mains soccupe de sa chatte pour lexciter étant dénudées toutes les deux.
- Véronique dommage que tu ne le vois pas.
Comme lautre fois, il est mignon avec son petit tablier blanc !
Comme lautre fois il bande nous montrant son baobab qui est loin dêtre impressionnant, là encore il se vante.
Jentretiens son sexe en érection par les baisers enflammés que nous nous échangeons.
- Tu aimes mon Olivier, regarde comme cest beau deux femmes qui saiment.
Jaime te faire voir comme elle est à moi et moi à elle.
- Continue ta caresse dans mon vagin tes doigts sont divins.
Je plane chérie, regarde Olivier un jour tu nous auras toutes les deux riens quà toi.
- Comme je te lai dit moi aussi lautre fois, il faut que je taime Véronique pour supporter vos turpitudes.
Mais, je peux vous laisser quelques minutes, je dois retourner chez moi, je viens de recevoir un message ses gens de mon chai, lE.D. F est là pour me couper le courant.
- Va mais revient dès que tu auras fini.
- Sers-nous le café et va.
Une fois de plus, le rire nous prend rendant incrédule notre valet qui retourne vers sa cuisine et reviens nous servir un bon café.
Il part, jentends quil démarre sa voiture.
- Dis-moi, quand je parle de mes amants, jespère que tu nétais pas jalouse de ne pas en avoir eu avant ton inconnu ?
- Pas avec toi ma petite Laurette chérie, depuis le temps que lon se connaît tu aurais pu tester ma rancune quand tu te laissais draguer pendant que je tenais la chandelle.
- Tu étais jalouse ?
- Plus que cela, plusieurs fois jai failli t.
- Et dire quune fois ou deux mes amants voulaient que je tinvite à te joindre à nous, mais tu vois tu voulais m.
- Oui mais pour notre plaisir, à la fin tu ressuscitais et à confesse jexpliquais sans les détails à notre curé que javais eu des pensées impures.
- Étais-tu punie ?
- Oui un notre Père et quelques Vierge Marie.
- Si peu pour se faire baiser ?
- Jétais vierge, je te rappelle avec une éducation plus rigoriste que la tienne.
- Je voulais éviter les foudres du ciel.
- Si je te comprends bien, le faîte de te faire sauter par ton inconnu et surtout daimer cela a fait tomber la foudre sur ta chapelle et la détruite ?
- Sûrement.
- Tes histoires de curé, on permit de découvrir ton trésor, alors quen dis-tu ?
- Que ces voix sont impénétrables.
- Mais moins que les verges de mes amants et de ton amant mystérieux.
- Jentends ta future voiture revenir.
Que vas-tu trouver aujourdhui pour lhumilier ?
- Rien, dès quil arrive, je veux quil se rende dans son panier et quil y passe la nuit.
Demande-lui les clefs de sa voiture et emmène-moi au restaurant.
Je voudrais manger un Kébab pour fêter la récupération de mon argent de poche en Louis dor.
Ce que je veux surtout cest dessayer les tenues sexy que nous avons achetés avec celui qui se dit mon fiancé.
Une nouvelle fois il sécrase, nous donne les clefs et monte vers notre chambre.
Bien sûr, cest Laurette qui conduit.
- Elle marche bien sa voiture, lenvoyé coucher et lui demander ses clefs évite daller trop loin mon amour.
Lui piquer son domaine oui et nous sommes bien parties mais il faut éviter quil pète un joint et que la transaction soit impossible.
- Ce soir tu le récompenseras, tu te feras sucer la chatte avant que je le renvoie coucher au bout du lit.
- Les corvées sont toujours pour moi.
- Tu refuses, tu veux me contrarier ?
- Si tu insistes, sors ta main, le chemin est cour et il faut éviter de terminer dans lune de tes vignes que nous longeons.
La voiture garée elle me dirige vers la terrasse du restaurant où elle me fait asseoir.
Nous sommes servis et je commence à manger.
- Bonjour, madame Véronique, cest Louis, vous vous souvenez, le jeune pompier qui est venu éteindre votre incendie ?
Je vous présente ma fiancée Agnès, nous allons nous marier après les vendanges que nous allons faire pour avoir un petit pécule.
La vie est belle grâce à elle mais difficile car nous sommes aux chômages tous les deux.
- Je croyais que tu travaillais ?
- Oui, elle aussi mais nous avons fait partie dun plan de restriction de personnel.
- Laurette met les en contact avec maître Mathieu.
Quil les prenne dans son équipe au double de ce quil toucherait où ils ont prévu de vendanger.
Dès que nous aurons réglé le problème Olivier nous verrons ce que nous pourrons faire pour eux.
- Vous avez des nouvelles du capitaine, ils sont tous étonnés au club il a loupé le premier match de la saison.
- Le capitaine des pompiers ?
- Non, Olivier le capitaine de notre équipe de foot.
- Et cela vous pose un problème ?
- Non, le capitaine cest moi maintenant et léquipe est moins stressée.
- Tu te trompes Louis tu sais que le capitaine cest moi.
- Oui bichette, jai tellement de chance que tu maies dit oui.
Je vais vous envoyer une invitation à notre mariage, vous viendrez ?
- Sûrement et jaimerais être la marraine de votre premier .
- Pourquoi portez-vous ces sacs de supermarché ?...
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