Partie Fine Dans Les Chiottes...
Je mapprêtais à rejoindre mon collègue, qui était en train de discuter avec une femme, quand une connaissance ma abordé.
- Toi là ! Vielle canaille ! Ma-t-il dit en me tapant dans le dos, le visage rougeaud, déjà à moitié ivre.
- Tu prends un verre ?
Jai bien cherché à décliner linvitation, mais il sest montré si insistant que jai finis par accepter. Et alors quil était en train de remâcher le passé, un couple est venu se joindre à nous. Il me les a présenté comme étant les s dami. La femme qui se nommait Corinne ma tendu une main molle, en murmurant un bonjour à peine audible à cause de la musique.
Elle devait avoir la vingtaine passée. Petite aux cheveux clairs. La robe de soirée quelle portait sur elle, dénudée ses épaules et laissait déborder la chair moelleuse de sa poitrine. Alors que son mari a accepté le verre qui lui avait été proposé, sa femme sest avancée jusquà la piste de danse. Cétait un spectacle à elle seule. Elle faisait des gestes incongrus avec les bras, la tête. Elle bougeait de la croupe de façon, très explicite. Les lumières syncopées la découpaient, lhabillaient pour mieux la déshabiller linstant daprès. Elle na pas arrêté un seul moment. Son corps semblait bouillir. Ses aisselles brillaient de sueur. Jai imaginé sans peine, la moiteur de ses zones intimes.
Ses nombreux regards appuyés étaient là comme pour mattester que je ne lui étais pas insensible.
Le hasard a fait que jai croisé cette même jeune personne un peu plus tard dans la soirée. Elle sortait des toilettes. Son visage sest éclairé dun coup en mapercevant.
- Je suis allée me laver les mains. Ma-t-elle dit, comme si elle devait se justifier auprès de moi. Mais tu tombes bien, jai décelé comme un problème dans les toilettes.
- Un problème ! Jespère que ce nest pas grave ?
- Ça je ne saurais te dire, ce nest pas de mon ressors. Si tu le permets je passe devant toi pour te montrer cela.
- Je ten pris.
Elle sest empressée de me précéder en bougeant lascivement son cul, plus que nécessaire, comme si elle voulait me loffrir. Malgré lagréable spectacle quelle moffrait, je suis tout de même resté lucide, assez pour savoir quen ne prenait pas la direction des toilettes femmes.
- Mais Corinne, cest les chiots des hommes !
- Oui, je le sais
- mais alors pourquoi ?
- Tout simplement parce que je suis à la recherche dun homme, un vrai
Ma-t-elle dit, tout en mentrainant à lintérieur dentre eux. Un assaut que je jugeai être celui dune parfaite nymphomane. Jai eu du mal à déglutir, tant javais la bouche sèche.
- Je ne me trompe pas au moins, Alain ? Tu es bien un homme, dis-moi ? Ma-t-elle lancé en se frottant à moi, tout en me lançant des illades.
Avec une certaine rage, essoufflée par lexcitation, elle a collé sa bouche à la mienne. Je lai serré contre moi et emporté dans mon élan jai glissé une main sous sa robe pour y caresser la chair pleine de ses fesses à travers la culotte. Que jai deviné au toucher, être en résille. Je me suis arraché de sa bouche pour picorer son cou. Elle a renversé la tête en arrière. Levant vers moi un regard fiévreux, à lexpression impatient.
- Il faut faire vite ! Mon mari va sinquiété. Ma-t-elle lancé en reculant. Je nai pas pu résister de plonger ma main dans son décolleté. Empoignant par ce geste un sein moite. Trop dodu pour tenir dans ma paume.
- Prends au moins le temps de me défaire. Tu vas déchirer ma robe. Jaurais lair fine de me pointer devant mon connard de mari avec ma robe déchirée. Ma-t-elle dit, en déboutonnant les quatre boutons du haut de sa robe. Au moment dôter son soutien-gorge, elle a marqué un temps darrêt pour attirer mon attention et avec un sourire aguicheur elle la dégrafé. Projetant ses mamelles en avant.
Je me suis jeté dessus pour les lécher, les mordiller, les malmener. Soumis à un tel traitement elles nont pas tardé à devenir aussi dur que du marbre.
Je lai regardé, le cur battant, le souffle court. Elle a poussé un râle quand elle a sentit ma main glissée au fond de sa culotte. Quavec le tranchant de cette dernière, jai investis son intimité. Quelle a accueillit, avec une plainte de soulagement.
- Tu aimes ça cochonne, quen te tripote ?
Jai enfoncé mon pouce dans son vagin. Mon index dans le cul, dans la même impulsion. Elle a gémi lubriquement en tremblant sur ses escarpins. Lançant des :
-Oui !
oui ! Cest bon
je suis en train de mourir de plaisir. Mais ne tattarde pas trop. Je suis sûr que mon mari me cherche en ce moment.
Jai récupéré mes doigts de sa culotte, pour les porter à mes narines. Pendant ce temps là, Corinne sest hâtivement troussée de sa robe, et a fait glisser sa culotte en résille noir sur ses hanches. Quelle a posé sur le haut du réservoir du bidet. Avant de me tendre ses fesses pour que je la prenne en levrette. Mais cétait sans compter sur mes intentions. Que je me suis empressé de lui faire savoir, en la forçant à pivoter sur elle-même. Jai remonté sa robe jusquà ce que je voie apparaître une paire de cuisses bien galbées, un ventre replet, un monticule renflé dun pubis où sétaler un beau gazon de poils.
Delle-même, elle a écarté les jambes, retenant lourlet de sa robe pour que je puisse profiter un peu plus longtemps du spectacle. Puis elle a soulevé une jambe. Jai approché mon visage pour détailler sa chatte. Dont les petites lèvres violacée étaient luisantes et le clitoris, mince et pointu était à demi enfoui sous les crins blond.
Ne pouvant résister, jai commencé à goûter la longue fente où coulait une source de mouille. En-dessous palpitait lanus. Lodeur intime de la femme envahi le périmètre. Jai pu humer son odeur.
Puis jai léché chacune des pointes des nymphes. Elle a respiré bruyamment, tendant son ventre au-devant de ma bouche.
Sans prendre la peine de reprendre son souffle, elle ma demandé de lui donner ma verge.
- Je croyais que tu étais pressé.
- Tu es sourd ! Donne-moi ta queue
a-t-elle répété, tout en
posant son pied en appui sur le bord de la tinette de chiotte. La verge à lair, jai plié les jambes pour lamener à bonne hauteur sur la cible désirer.
- Oui ! Oui ! Je la veux !
Elle sest agrippé à mon cou et a enroulé ses jambes autour de mes reins. Ma verge a glissé comme une grande dans le sexe humide, quelle a maintenu grand ouvert de par sa position. Jai sentis les parois tièdes engloutir ma verge, jusquau plus profond delle-même. À en cogner son ventre contre le mien.
- Cest bon ! Ma-t-elle murmuré à loreille avant de me la mordre à sang.
Excité par tant de brutalité, jai empoigné les fesses et je me mis à la besogner à grand coups de riens. Haletante, elle a posé sa tête sur mon épaule, se laissant aller contre moi pendant que je la baisais fougueusement, à longs coups de reins. Malgré cela, je nai pas eu besoin de faire de gros efforts pour contrôler ma jouissance. Tant notre position inconfortable additionné à la crainte dêtre surpris mempêchait darrivé jusquà lorgasme.
Ce qui nétait pas le cas pour ma partenaire qui elle a jouit en jetant avec force sa chatte à la rencontre de ma verge, tout en poussant des petits cris étouffés, les traits contractés.
Heureusement pour les muscles de mes jambes, dur comme du roc, au bout du deuxième orgasme, elle a finit par reposer ses pieds sur le sol.
- Moi, cest comme ça que jaime un homme ! Me fit-elle en disparaissant.
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