Amour En Musique 15
C'était bien plus que baiser
Laura maccordait toute sa confiance. Elle soffrait à moi, toute entière. Dans le plus simple appareil, elle me défiait.
Mona Lisa de Nat King Cole
Oui, Laura était directe dans ses mots et dans ses actes. Oui, son langage avait beau être parfois plus cru que dhabitude. Mais, cétait sur le moment quelle me parlait de cette manière. Elle vivait le moment. Elle était toute entière, et elle vivait corps et âme notre rencontre charnelle. Peu mimportait. Cétait à moi quelle sadressait et avec qui elle vivait ce moment intime, à deux. Moi, Benoit.
Ils te donnent envie, mes seins, Benoit ?
Laura était insistante. Mais
Elle sétait faite un devoir, en elle-même, de faire le point sur les désirs que je refoulais. Il ne faut pas oublier quelle mavait dans la peau, Laura. Elle savait que jétais prêt à tomber à ses pieds. Jétais tombé pour elle. Elle en avait conscience. Dans un sens, elle cherchait à me faire définitivement succomber.
Je ten prie, Benoit ! Ne perdons plus un moment ! Je sais que tu as envie de moi, plus que tout. Je ten prie !
OK
Jétais peut-être, inconsciemment, en train de jouer avec Laura. Elle, elle avait envie de mon sexe entre ses seins bénis des dieux. Et, à présent, je le savais. Pourtant, et là, elle marquait un point : javais envie delle. Elle avait raison.
Je vois comment tu regardes mes seins, Benoit. Tu penses que je ne le remarque pas. Mais, tu te trompes. Je ne suis pas dupe, tu sais. Je ne suis pas idiote. Je suis tout sauf ça.
Là, ses yeux étaient dans les miens. Profondément. Cétait difficile de maintenir le contact avec son regard.
Tu ne fais rien de mal, tu sais ? Mes seins sont gros, et tu les aimes. Point final. Nous ne sommes que tous les deux, Benoit ! Laisse-toi aller, enfin quoi !
Je nétais pas du tout habitué à ça. Laura, elle, je ne la connaissais que depuis la fin de notre concert.
La Fièvre du duo rap français NTM
Laura, pratiquement dun moment à un autre, avait lesprit dinitiative. Là encore, ça ne faisait toujours pas exception. Elle restait juste elle-même. Ni plus, ni moins.
Viens...
Une sirène était en train de mappeler. Tout du moins, cétait à ça que je pensais. De son grain de voix quelle voulait sexy, Laura me faisait du charme. Elle nen avait plus besoin. Jétais à elle depuis longtemps.
Viens
Benoit
Glisse ta queue entre mes seins. Fais-toi du bien
Je ten prie !
Cétait à mon plaisir quelle pensait en premier. Sa générosité était sans bornes. Oui, son corps létait, généreux. Magnifique. Mais
Cétait un tout, et ça faisait que jétais sous le charme. Laura connaissait les mots quelle devait employer et leur tonalité, pour me parler. Pour ne pas me brusquer. Elle pensait à mon plaisir et à ma jouissance dabord, et puis, seulement après que le plaisir sétait emparé de moi, seulement à ce moment-là, elle me demandait de porter mon attention sur le sien.
Ce nétait pas à sens unique. Nous étions liés, corps et âme et sexe. Nous nous rendions baiser pour baiser, caresse pour caresse, émotion pour émotion. Cétait bien plus que baiser. Ça allait bien au-delà.
Là, elle sétait doutée que jaimais beaucoup sa belle poitrine. Elle navait aucun doute là-dessus. Depuis, elle mettait tout en uvre pour que jen jouisse, de quelque manière que ce soit.
Lucky Star de Madonna
Laura estimait quelle me connaissait un peu. De plus en plus, même. Elle pensait que dans ma tête, je me disais que je ne méritais pas lintérêt et lamour dune femme. Elle pensait que je me sous-estimais et que, de ce jugement ultra négatif que je me faisais de moi, je trouvais normal, à mes yeux, que aucune femme noriente son regard vers moi lorsquelle me voyait.
Laura, rappelons-nous, nous suivait dun concert à un autre. Cétait pour moi en bonne partie. Javais titillé son attention dès le premier concert auquel elle avait assisté. Cétait peut-être un homme coincé, réservé quelle avait vu sur scène. Mais, et là, cétait le plus important, cet homme lui avait plu. Elle avait eu immédiatement un faible pour cet homme qui avait la musique dans la peau et qui fermait les yeux quand il chantait ou quand il touchait les touches noires et blanches de son synthétiseur. Cet homme, elle lavait senti réservé, maudit, faible. Dès le départ. Pourtant
Il lui plaisait, cet homme. Ça ne faisait même pas lombre dun doute à ses yeux. Cet homme, elle ne le connaissait pas le moins du monde. Et pourtant
Cétait comme si elle pensait le connaître, dune manière ou dun autre. Cétait une sensation étrange mais agréable et quelle ressentait au plus profond delle-même.
Et, en ce moment même, dans cette maison qui était située dans un lotissement pavillonnaire de Montpellier et qui appartenait à son amie Sarah, cet homme, cétait moi.
Je surplombais Laura, et mon sexe était en érection. Tout dur. Laura, elle, était dans le plus simple appareil, et elle était belle. Ravissante. Irrésistible.
Ses seins étaient nus. Généreux. Elle les empoignait, et elle les caressait. Ils étaient lun contre lautre, et jaimais les regarder ainsi. Oui, je lavoue : jen étais fou. JEN SUIS ENCORE ET TOUJOURS FOU, dailleurs !
De temps à autre, et ce, même si elle était allongée et que je la dominais plus ou moins, elle posait ses mains sur mes fesses, et elle les prenait à pleines mains. Comme pour me rapprocher delle. Comme pour que je fasse quelque chose. Comme pour que je me sente pousser des ailes, que je fasse table rase du passé et que je me libère. Pour résumer, pour que je réalise les désirs et les fantasmes que jai refoulés pendant des années et des années.
Et, alors quelle avait saisi mes fesses à pleines mains, je lai vue, clairement, distinctement, hocher la tête, de haut en bas, de bas en haut, tout en me regardant intensément. Elle acquiesçait. Sans dire un mot. Glisser mon pénis entre les seins dune femme et my masturber
Cétait lun de mes fantasmes. Ça létait depuis que javais été ado. Et là, Laura était en train de moffrir ses jolis gros seins voluptueux, en cadeau. De par ce hochement de tête, Laura me montrait quelle y consentait et quelle en avait envie, elle aussi.
Jen avais envie. Plus que tout, à présent. Mais
Avant dinsérer mon membre dans le clivage doux, chaud et tendre de la poitrine de la mignonne jeune femme rousse, je me suis penché sur elle. Je me suis allongé sur elle, et je me suis remis à lembrasser. Sur ses lèvres. Sur les joues. Sur le menton. Dans le cou. Ça, cétait ma manière de lui témoigner lattirance et la tendresse que je ressentais pour elle. Ce nétait pas baiser. Ça allait plus loi, bien plus loin. Elle était venue dans notre loge, quelques minutes après la fin de notre concert, au café des Amours mortes. Elle était venue maborder, elle en avait eu le cran. Et moi, en faisant sa connaissance puis en apprenant à la connaître au fur et à mesure, elle mattirait. Et non seulement elle mattirait, mais aussi et surtout je me prenais daffection pour elle.
Jétais si bien à ses côtés. Jai cessé de lembrasser et je me suis remis à la surplomber. Puis, comme si je la chevauchais. Je me suis rapproché delle, ma virilité en première ligne, braquée dans sa direction. Braquée en direction de ses seins.
Laura, elle, les maintenait encore et encore, lun contre lautre. Moi, je me suis léché le bout des doigts, avec ma salive, et jai passé ma main entre ses seins, pour humidifier et lubrifier la vallée de ses seins magnifiques.
Nous nous sommes regardés. Laura a encore hoché la tête. Elle était prête et là, elle me venait de me donner son feu vert. Cest alors que jai glissé tout doucement ma queue entre ses seins. Mon
dieu
!
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C'était une réalité
Oui ! Benoit ! Je veux sentir ton sexe entre mes seins ! Je veux le sentir coulisser !
Après quelle ait dit ça, elle soupira. Elle braqua ses yeux dans les miens, et elle me regarda ainsi, intensément. Moi, je menais les va et vient de mon sexe avec un rythme lent, moelleux, dabord. Cétait une sensation étrange mais agréable que de sentir les seins voluptueux de Laura enserrer doucement et délicatement mon membre. Une sensation à laquelle je navais pas du tout lhabitude, mais que je savais au plus profond de moi, incomparable.
Shiver de Natalie Imbruglia
Oui ! Oui ! OUI ! Benoit ! Mon Benoit ! Laisse-toi aller, maintenant ! Ne pense plus à rien...
Laura était décidément la tentation incarnée. Quand elle sest aperçue que ses seins me plaisaient et que mes yeux sy perdaient, en secret, elle avait tout de suite compris. Elle avait tout compris : jétais tombé fou amoureux de sa poitrine. Du coup, elle en avait déduit, et ce, même si jétais encore puceau, que je serais heureux de me masturber entre ses seins. Et moi, je dois avouer que
Cétait bien une chose sur laquelle javais un peu beaucoup fantasmé quand jétais adolescent. Et à présent, Laura avait fait en sorte que ce fantasme devienne réalité.
Even Though Our Love Is Doomed du groupe Garbage
Laura tenait ses seins dans ses mains. Ses seins étaient proches lun de lautre. Lun contre lautre. Moi, jétais à califourchon sur elle, et je la chevauchais. Pour le moment, cétaient des mouvements de va-et-vient lents que jexerçais avec mon pénis. Il coulissait, certes lentement, mais sûrement, entièrement, profondément. Cétait une sensation incomparable. Certes, je navais jamais connu ça auparavant. Mais, cétait si bon. Délicieux. Ses seins magnifiques enserraient mon attribut viril, et cétait parfait. Cétait très agréable.
Elle avait bien fait de me tendre ce fameux petit flacon dhuile de massage, un peu plus tôt. Ma baguette magique coulissait à merveille, avec délice, dans la vallée tendre qui séparaient ses deux lourds monts damour. À chaque fois que mon gland, en particulier, se frottait contre sa peau, ça en était limite un supplice. Je mexplique : jétais excité. Beaucoup. Tellement. Et quand mon clivage pénétrait le clivage de la poitrine de Laura, je ressentais, au fur et à mesure, une envie de plus en plus forte, intense, inexorable déjaculer. Mais
il fallait que je me retienne. Je voulais que nos ébats puissent durer le plus longtemps possible.
Girl Gone Wild de Madonna
Laura voulait satisfaire lun de mes désirs, un désir parmi dautres que javais refoulés pendant des années et des années. Certes, je me masturbais entre ses seins, avec sa complicité, mais, cétait bien plus que ça entre nous. On ne se quittait pas des yeux. Limite
On navait pas besoin de nous parler : nos yeux parlaient pour nous.
Ça te fait quoi de te branler avec mes seins, Benoit ?
Laura ma demandé ça en braquant ses yeux dans les miens. Un sourire aguicheur sétait dessiné sur ses lèvres et ça se reflétait dans ses yeux, dans le regard quelle me lançait. Elle était clairement en train de me faire du charme.
Hmmmm
Ce
nest
que
pur
délice, Laura
Jaime
tes
seins...
Le plaisir était en train de reprendre possession de moi. Je commençais à avoir des difficultés à reprendre mon second souffle parce que le moment était de plus en plus intense. Le plaisir, de plus en plus intense et jouissif, narrangeait rien à laffaire. Jen avais le souffle court. Ma respiration était plus rapide. Javais soupiré entre chaque mot, puis javais fini par émettre un gémissement. Et bien sûr, ce gémissement, Laura la entendu. Et linstant daprès, nos yeux se fixaient toujours. Et là, jai vu le beau sourire de Laura. Ce beau sourire, il voulait tout dire. Ses yeux étaient brillants, ils pétillaient. Ses lèvres cerise, elles, formaient ce beau sourire. Laura ne me quittait pas des yeux. Elle était émue parce que je venais de gémir. Je faisais lamour à ses seins, et javais du plaisir. Elle en était fière.
Benoit
Oui ! Oui ! OUI ! Baise mes seins ! Je ten prie ! Encore
Encore
ENCORE !
Laura, elle, semblait déchaînée. Ça lui faisait un je-ne-sais-quoi daccueillir ma verge entre ses gros seins magnifiques. Putain de parfaits
Lovesong de The Cure
À un moment donné, Laura a deserré létreinte de ses seins imposants autour de mon sexe. Ils ne lenserraient plus comme elle le faisait depuis quelques minutes. Non
Là, ma queue était comme collée à sa peau rose. Puis, Laura ma regardé :
Jaimerais te prendre dans ma bouche et te pomper une nouvelle fois, Benoit. Sil te plaît...
Comment le lui refuser ? Satisfaire mes désirs, ça lui tenait à coeur. Jai alors braqué mes yeux dans ceux de Laura, comme pour lui demander si cétait vraiment ce quelle voulait, elle.
Rapproche-toi de moi, Benoit
Je veux te sentir près de moi
Et jai encore envie de te sucer...
Laura était irrésistible. Cétait aussi simple que ça. Je fondais pour elle. Les hommes aient ou décrocheraient la Lune pour avoir une chance de pouvoir être avec elle. Mais
Cétait moi quelle avait choisi, et elle comptait encore bien en profiter, cette coquine.
Quand soudain
Hmmm
Non
Ça ne va pas. Tout compte fait
Je nai pas envie de te pomper comme ça, dans cette position. Tu peux tallonger sur le dos, sil te plaît, Benoit ?
Sans dire un mot, je lai regardée dans les yeux, et jai hoché la tête. Jai acquiescé. Moi aussi, je ne voulais pas quelle me fasse une pipe de cette manière. Nous nétions pas dans un film porno. Et bien quelle avait dit que trop de fleurs et trop de chocolats, ce nétait pas pour elle, notre rencontre charnelle était basée sur le respect de lautre, la sensualité
et le romantisme.
Love of My Life du mythique groupe Queen
Je me suis alors redressé, permettant ainsi à Laura de pouvoir se redresser, elle aussi. Nous avons alors pu intervertir nos places.
Cest moi qui me suis allongé.
Laura, elle, sest mise à quatre pattes, dans ma direction. Elle se tenait entre mes jambes.
Body Language, toujours du groupe de Freddie Mercury, Queen
Tu as envie que je te suce encore, mon Benoit ?
Elle a bien dit « mon Benoit » ! Jétais à elle. Je lui appartenais. Elle voulait de nouveau me prendre dans sa bouche. Je le voulais, moi aussi.
Cest de ça dont tu as envie, mon mystérieux ?
Si Laura me posait ces questions, ce nétait pas pour rien. Elle, elle avait envie de savoir si mes désirs allaient de pair avec les siens. Et bien
Là, encore, ça en était le cas. Oh oui
Tu as envie
de ma bouche, Benoit ? Dis-moi...
Suce-moi, Laura. Sil te plaît...
Je savais que cétait ça que tu voulais. De toute façon, je sais presque tout ce dont tu as envie...
Ça, elle la dit avec un grain de voix à la fois sexy et énigmatique. Inutile de préciser que ça me plaisait et que ça mexcitait quand elle faisait ça.
Laura était à quatre pattes. Elle regardait dans ma direction. Elle ne détournait pas le regard. Elle avait envie de savoir leffet que ça me faisait. Je mabandonnais à elle, et elle comptait bien en profiter.
Quelques mèches rousses lui tombaient devant les yeux. Dun geste de la main, elle écarta ces quelques mèches de cheveux. Puis, elle me fit un clin doeil, quelle agrémenta dun beau sourire aux lèvres. Ses lèvres cerise
Rhoo
Elles allaient de nouveau me prendre, dun instant à lautre
Laura me prit tendrement mais fermement dans sa main, et commença à me branler lentement.
Jai gémi.
Puis, tout en me lançant un regard intense, lourd de sens. Elle approcha sa tête de mon membre, et elle me prit en bouche.
Jai crié. Et jai fermé les yeux. Cétait si bon
Putaaaaiiiinnn
Cétait une réalité : Laura me redonnait du plaisir.
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La plus heureuse des femmes
Hmmm
Hmmm...
Laura, avec ses lèvres, enserrait doucement, agréablement, délicieusement, mon pénis. Ça en était limite un supplice tellement cétait bon. Oh
oui...
Bien quelle était en train de me pomper, elle émettait ces bruits de plaisir. Ces bruits très sexy. Ça me rendait fou. Laura me donnait tellement envie delle. Elle était juste
irrésistible. Quant à moi, javais limpression que je pouvais jouir et éjaculer à tout moment : la bouche chaude de Laura était parfaite pour lart délicat de la fellation. Ses lèvres et sa langue me faisaient chavirer. Voyager. Succomber. Entrer dans une autre dimension.
Loba de la chanteuse colombienne Shakira
Laura ne me quittait pas des yeux. Mon plaisir était sa priorité. Sa quête. Elle, elle était à quatre pattes et elle me faisait face. Avec mon membre dans sa bouche, elle était jolie. Sensuelle. Cétait, là aussi une belle image, digne dêtre immortalisée en photo. Moi, jaurais bien aimé...
Jétais allongé sur le dos, et javais les jambes écartées. Laura, à quatre pattes, sagitait et tourbillonnait autour de ma queue, de haut en bas, de bas en haut, et cétait si agréable. Ses lèvres coulissaient à merveille autour de ma virilité. Lune de ses mains me prenait et me masturbait. Je dépendais de Laura et jétais soumis au plaisir quelle me donnait. De Benoit, elle avait fait de moi une boule de plaisir.
Hmmm
Hmmm
Ah !
Quand elle a dit « Ah ! », ça tenait davantage du son, du bruit que du mot. Cétait au moment où elle relâchait son étreinte, son emprise autour de mon sexe. Linstant daprès, sa main me prit davantage. Laura ouvrit la bouche et tira la langue. De sa main, elle porta mon sexe à sa langue et elle le tapota à quelques reprises, avec douceur. Que cétait bon
Mais que cétait bon
! Jentrouvrais petit à petit, grâce à Laura, les portes du plaisir intense.
Say You Will de Foreigner
Ça te plaît ?
Ah
Ça
Laura ne me quittait pas des yeux. Et quand elle me parlait pendant quelle soccupait de mon sexe, cétait pour sassurer que jy prenais toujours autant de plaisir et quelle me maintenait ainsi sous son charme.
Je te suce bien, Benoit ? Dis-le moi !
Laura connaissait déjà ma réponse à sa question. Pourtant
Elle navait pas pu sen empêcher de la poser, cette question. Laura savait que jaimais bien quand elle se mettait à me parler comme ça, de manière un peu plus crue. Laura avait beau mourir denvie de faire lamour avec moi, ça ne lempêchait pas de vouloir être provocante, audacieuse, davoir des manières directes. Moi ? Jaimais ça.
Advice for the Young at Heart de Tears for Fears...
Je voulais jouir de ce moment-là, à deux, au lit. Que Laura me suce
Soit
Je voulais quelle en jouisse, elle aussi. À mon avis
Ça devait en être le cas, la connaissant. Laura, du peu que je la connaissais, était une jouisseuse, une hédoniste. Elle se donnait corps et âme. Plus précisément
Corps et âme et sexe. Le plaisir de son partenaire était sa priorité. Elle faisait tout ce dont elle était capable pour quil ait le plus de plaisir possible ET quil jouisse, grâce à elle. Quand son partenaire jouit, Laura est la plus heureuse et la plus fière des femmes. Et ça
Laura en a rêvé plus dune fois quand elle pensait à moi et quelle se faisait menotte. Elle sen était donnée à cur joie, avec ses doigts, son vibromasseur en faux cristal ou bien avec son gode préféré.
Elle jouissait du moment. Au moment où elle me prenait en bouche, elle se sentait comme la femme la plus heureuse du monde.
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