Les Aventures De Dje Ep 81 : Saucisse Chaude
LES AVENTURES DE DJE
Ep 81 : SAUCISSE CHAUDE
C'est l'âge qui nous mettait dans cet état ou bien ? Je sais j'exagère un peu en disant ça, on a tout au plus trois ans de plus que les plus jeunes, quand je pense que nous sommes en quatrième année
Je réalisais à peine toute la route que nous avions parcouru. Là allongé sur le lit dans une cabane de vacance, mon camarade Antoine à côté de moi, je revivais dans ma mémoire les événements marquants
Il faisait chaud, à l'extérieur la chaleur montait toujours, dans les cabanes la température restait plus agréable, pas de doutes, ils avaient climatisé les baraques, si on ouvrait en grand les portes et fenêtres la température montait. J'étais rapidement réveillé de mes méditations par la voix d'Antoine qui était à côté de moi.
Antoine : Il fait chaud !
Moi : Il fait chaud !
Ant : On va se baigner ?
Moi : Pas le courage de me traiter jusqu'à l'eau !
Ant : Moi pareil !
Moi : Ils sont fatigants les petits jeunes !
Ant : Ouai !
Moi : Ils me fatiguent déjà !
Ant : Au fait, tu me montres comme ça marche cette espèce de saucisse de Francfort en caoutchouc ?
Moi : A ouai ! Je vais te montrer !
Je fouillais dans le sac à dos de Florian, il y avait le chargeur, je branchais le tout. Il est prévoyant le petit Florian, il l'avait rechargé ! Je me retournais alors vers Antoine.
Moi : Tu t'enfiles ça dans le cul.
Ant : C'est un gode ?
Moi : Mieux que ça !
Ant : C'est un gode vibrant ?
Moi : Encore mieux que ça. C'était une idée à Léa, c'est elle qui me l'avait acheté. Tu vas voir c'est génial.
Antoine se le glissait dans le cul, comme je lui avait demandé.
Ant : C'est un petit calibre !
Moi : C'est vrai on a connu pire !
Ant : Mais c'est mignon !
Moi : C'est mignon
On va le dire comme ça !
Antoine se relevais, il faisait comme des exercice de détente, il avait le sourire.
Ant : Le truc qui pendouille là derrière c'est un peu ridicule.
Moi : Tu l'enroule autour de ton sexe et tu l'attache à ta PK, on ne le verra plus.
C'est ce qu'il faisait. Ensuite, sans prévenir je prenait mon téléphone et enclenchait le mode vibration douce. Aussitôt j'entendais Antoine gémir de plaisir.
Ant : Ahhhhh oui ! Ça c'est bon, j'adore
C'est une gode vibrant, c'est bien ce que je disais
Il y a plusieurs vitesses je suppose
Pour seule réponse je rigolais.
Moi : Allez on va se baigner !
Ant : J'ai peur que si je bouge un peu trop, le truc il ne ressorte.
Moi : C'est prévu, la ficelle sert justement à le récupérer car les vibrations provoquent une contraction de l'anus, ça augmente les sensations, il ne risque pas de sortir tout seul et pour le retirer sans la ficelle il faut vraiment
Pousser !
Ant : Ça marche alors, je te fais confiance. Le premier dans l'eau à gagné .
Il partait en courant mais il était encore à porté de mon téléphone au moment ou j'enclenchais un programme un peu plus violent.
Je le retrouvais dans l'eau. Je l'avais bien regardé courir sur la plage, on ne pouvais absolument pas deviné ce qu'il avait dans le cul.
Ant : On le sens bien le truc, j'ai l'impression qu'il vibre plus fort
Ouah ! C'est pas une impression
Moi : Et c'est bon ?
Ant : Ah ça oui ! C'est génial ce truc.
Moi : On se fait une petite course jusqu'à la pointe la bas ?
Ant : Ça marche !
On courait ainsi en suivant la plage, je pouvais voir à sa manière de courir, de ne pas suivre une direction toute droite que le dispositif devait s'activer. Nous avions couru deux bons kilomètres quand il s'arrêtait brusquement ou gémissant. Se penchait en avant et s'appuyait sur ses genoux.
Ant : Ahhhh ! Oui
Non de dieu, c'est bon.
Il se contractait alors comme s'il avait reçu un coup de pied dans le cul et faisait une grimace.
Moi : Un petit problème ? ( d'un air détendu )
Ant : Djé tu es un enfoiré
Ahhhh
Il y a plusieurs programmes ?
Moi : Euh ! Oui !
Ant : Et tu les con
( nouvelle contraction, nouveaux gémissements )
tu les connais je suppose.
Moi : Bein oui !
Ant : Djé tu est un enfoiré
Moi : Allons jusqu'aux rochers là bas, tu pourras t'allonger, tu verras c'est génial . Ce programme je l'avais testé un jour de retour de week-end.
Il se prenait encore un coup de pied dans le cul
Pour ceux qui auraient loupé les épisodes précédents il faut que je vous rappelle que ce dispositif ne se contente pas seulement de vibrer il peut aussi se replier à quarante cinq degrés dans les deux sens. Il peut le faire avec douceur, façon massage, ou avec plus de force, de violence, et là à chaque fois que le dispositif se déclenche on peut avoir l'impression de se prendre un coup de pied au cul
C'est absolument génial.
Je n'avais pas choisi le programme massage en douceur !
Nous arrivions enfin sur les rocher, Antoine ne pouvais plus contrôler certains réflexes, il avait presque des convulsions. Moi je jubilais. Il s'allongeait sur le dos, son souffle devenait fort et irrégulier, il tremblait.
Ant : Djé, tu es un enfoiré !
Moi : Tu n'aimes pas ?
Ant : C'est génial, c'est le pied, j'en peux plus
Ça dure encore longtemps ton programme ?
Moi : Je ne sais pas tu en es ou exactement ?
Ant : La j'ai des coups répétés et fréquents sur la prostate. ( à chaque coups il avait comme une convulsion )
C'est à ce moment que nos deux camarades arrivaient tout joyeux.
Mike : Vous venez faire un tennis de plage avec nous ?
Les deux garçons s'approchaient.
Mike : Mais qu'est ce qu'il a, ça va pas ?
Florian : Il n'a pas l'air bien.
Antoine avait le souffle court, il arrivait à peine à parler et avait régulière des contraction avec des gémissements.
Moi : Non, non tout va bien. Dis moi Florian tu sais le petit dispositif que je t'avais donné, le gigoteur, tu te souviens ?
Florian : Oui je l'ai emmené d'ailleurs !
Moi : Justement ...
Florian : Non ?
Moi : si !
Florian était alors pris d'une crise de fou rire ! Mike regardait sans comprendre. Florian expliquait alors à son camarade en trois mots
'' Le truc que je t'ai montré, et bien il l'a dans le cul. '' . Antoine faisait de véritables grimaces et Mike restait impressionné par les réactions.
On le regardait, un peu comme si on veillait un blessé, il se calmais, se détendait, il se relevait et s'appuyait sur son coude.
Antoine : Je crois que le cycle est fini, le programme s'arrête là ! Purée, la vache, Djé tu es vraiment un enfoiré !
Florian : Tu lui a mis quoi comme programme ?
Moi : Le cinq !
Florian : Il a raison, tu es un enfoiré ! Je l'ai pas supporté jusqu'au bout !
Ant : Quoi, de quoi vous parlez les mec ?
Florian : Il n'est pas fini le programme !
Il n'avait pas fini sa phrase que Antoine était pris de convulsions, il tremblait, il se tordait, il se roulait sur le sol et je peux vous garantir que ce n'était pas de douleur. Il jouissait, il jouissait comme un fou, il jutait, il éjaculait plusieurs giclées de spermes au travers de sa cage avant de s'effondrer sur le sol, allongé sur le dos les bras en croix, le souffle fort.
Florian : Oui là je crois que le programme est fini !
Antoine : (complètement essoufflé ) Djé tu es un enfoiré !
Moi : A ta place je traînerais pas, je l'ai mis en mode répétition
Le programme va recommencer dans quelques instants
Antoine me lançait un regard de fou, se relevait comme il pouvait et courait vers la cabane pour pouvoir retirer le truc tranquillement.
Je rigolais comme un fou.
Florian : Et tu as mis le truc en répétition ?
Moi : Non, ça c'était pour le faire courir !
On se retournait vers Antoine !
Florian : Ça a l'air de marcher en tous cas ! Tu sais moi j'ai jamais tenu le programme cinq jusquau bout. C'est un truc de malade !
Mike regardait sans rien dire depuis un moment.
Mike : C'est ton truc qui l'a mis dans cet état ?
J'veux essayer moi aussi !
On revenait vers la plage en courant dans l'eau, au passage on s'arrêtait pour taper quelques balles avec des copains. On faisait quelques plongeons, on se poussait dans l'eau, on rigolait. Il nous fallait plus d'une heure pour faire les quelques kilomètres de retour.
Dans la baraque Antoine était allongé sur le dos sur son lit.
Antoine : Tu es un enfoiré Djé !
Je lui sautais dessus et le chevauchais, il se laissait faire.
Moi : Et tu vas me dire que tu n'as pas aimé !
Antoine : Enfoiré, c'est pas ça mais
Et puis ton truc il ne marche pas, il s'est arrêté là, il n'est pas reparti !
Moi : Normal, ça c'était juste pour te faire courir.
Antoine : Moi, là je suis mort, j'ai plus envie de bouger. C'est un truc de dingue ce machin et tu l'as trouvé ou tu me disais ?
Moi : Tu en veux un aussi ?
Antoine : Ouai, c'est un truc de fou mais c'est génial.
Moi : C'est Léa qui a trouvé ça, elle a un goût très sûr pour ce qui est de se faire défoncer le cul.
Antoine : Ah parce que tu lui as défoncé le cul toi ? Avec ta Pk ? Pffff ! Guignol !
Moi : Tu dis ça parce que tu es en colère, mais j'ai essayé son ex.
Antoine : Et il est comment son ex ?
Moi : Plus épais, plus large, plus long que le truc que tu avais dans le cul tout à l'heure. Celui là aussi tu le sens passer.
Antoine : Tu le sens aussi partir ?
Moi : Ça fait un bien fou à cet instant !
Antoine : Ça fait toujours un bien fou quand ça s'arrête.
Je m'étais allongé sur Antoine, je le caressais, il tremblait encore un peu mais je le sentais se détendre. Il me caressait les bras, on s'embrassait. Je m'allongeait juste à côté de lui, après ce long trajet en train je commençais à en ressentir la fatigue.
Antoine ne bougeais plus, il avait fermé les yeux, sa respiration était régulière et douce. Je me laissais aller et c'est juste avant le souper que nos deux camarades nous retrouvaient enlacés chacun dans les bras de l'autre. Il nous réveillaient, heureusement qu'on n'avait pas besoin de s'habiller, on n'en avait pas vraiment envie. J'avais à peine ouvert les yeux que j'entendais la cloche qui annonçait le repas.
Antoine avait récupéré, il était en pleine forme.
Moi : Tu vas mieux toi ? Tu m'en veux toujours ?
Antoine : Plus du tout mon doudou
Je cherche seulement comment je vais me venger.
Les deux autres rigolaient à cette réflexion. Puis on fonçait comme on était, presque à poil, juste vêtus de nos dispositifs de chasteté. J'étais reposé là, reposé et détendu. Mais ça ne devait pas durer, rapidement alors que je voyais avec un vrai plaisir pour les yeux les dispositifs de chasteté de mes camarades de balancer entre les cuisses de mes camarades, le mien se relevait, il ne se balançait plus. Ils avaient tous pris leur plaisir, moi j'avais bien rigolé c'est vrai mais je n'avais pas pris mon plaisir, je n'avais pas joui. J'avais dormi et j'étais en forme et mon dispositif se redressait fièrement comme il pouvait.
Dans la cantine, je remarquais que je n'étais pas le seul, à la fac, nous avions tous en permanence ce dispositif sur nous mais on ne se retrouvait pas à poil le soir pour le souper, le matin, toute la matinée, le midi pour le repas, l'après midi, tout l'après midi
Enfin à poil en permanence, pendant toutes les activité, toute la journée du soir au matin et du matin au soir
Tout le temps, en permanence
Franchement je ne sais pas si c'était plus facile à vivre que le reste de l'année ou les vêtements nous protégeaient de certaines stimulation, de nos pulsions, de certains désirs ou envies.
Mais tous ces corps nus, c'est vraiment beau à voir. Tous ces dispositifs de chasteté qui se balancent entre les cuisses avec plus ou moins légèrement c'est excitant. Ces fesses fermes et fines, ces muscles qui roulent sous la peau, cette peau que l'on peut voir partout ou on se retourne c'est
Je sens que je vais encore craquer moi !
Et une question me traversais la tête, une question que je ne m'étais plus posée depuis longtemps
Mais qu'est ce que je suis venu faire dans cette galère ?
J'étais en manque !
N'hésitez surtout pas à me laisser une commentaire et à me retrouver sur Twitter
@CharlyChast
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