Collection Libertinage. Le Domaine. Fin De La Saison Iv (20/21)
Je viens de faire une nouvelle découverte dune amie, Virginie femme strip-teaseuse parisienne ébouillantée par une femme jalouse.
Elle semble découvrir les plaisirs du cheval et leur engin.
Jai souvent dans ma jeunesse avec Laurette vu nos parents dès quils ont fait les chambres dhôtes, acheté des chevaux à louer pour les promenades amener le mâle à la femelle en chaleur et un an après avoir le plaisir de jouer avec le poulain.
- Bien les filles nous sommes prêtes, Virginie à ma droite, Véro à ma gauche et on est parti.
Attendez, voilà une voiture de gendarmerie qui passe la grille du castel.
Que me veut encore la maréchaussée, là-haut, les ouvriers travaillent sur le toit de ma chapelle.
Peut-être que le capitaine a des renseignements sur les pièces les plus belles de mon trésor.
- Cest pourquoi lieutenant ?
- Excusez-nous dinterrompre votre promenade, vous pouvez rester sur vos chevaux.
Bonjours Laurette, cest vous madame Véronique que je viens voir, mais tous pourront me renseigner.
Auriez-vous vu depuis quelques semaines un homme, type africain roder près de votre résidence ?
- Non pourquoi ?
Jai répondu du tac au tac de peur que Laurette parle de mon inconnu.
- Qua-t-il fait de mal ?
- Rien de grave de menus larcins surtout pour se nourrir.
Cest un immigrant venu dAfrique qui sest échappé dun centre doù il était retenu en attendant de savoir sil pouvait rester en France.
Si vous le voyez appeler nos bureaux.
Je vais vous laisser, il faut que jaille voir Olivier Raguin, cest la dernière propriété que nous devons visiter.
Bonne promenade.
Je les salue, leur voiture repart chez mon souffre-douleur.
Où Laurette connaît-elle les grades, Lucien et Maître Mathieu ont fait leur service militaire, mais il y a bien longtemps.
Aurait-elle traîné ses guêtres vers la gendarmerie ?
- Je répète, Virginie à droite Véronique à gauche.
Virginie suit les mouvements de ton cheval et évite que ton petit cul tape à contresens car ce soir je vais te mettre du baume apaisant.
Oui cest mieux soit souple, évite de te raidir.
Quasi est une jument calme et tu vas bientôt être obligé de revenir pour la monter régulièrement.
Nous avançons sur le chemin qui mène à létang et aux herbes tendre lieu de prédilection de Rocco qui va pouvoir se remplir la panse.
Nous arrivons au but de cette première sortie pour notre amie qui descend comme elle le fait dans le métro et se retrouve les quatre fers en lair.
- Cest difficile ces engins-là.
Mais je dois reconnaître que jai aimé le contact entre lanimal et moi.
- Ta petite chatte a-t-elle mouillé ?
- Pas jusque-là, mais cest-on jamais, monter toute nue doit donner une autre impression avec le cuir de la selle.
- Tu vois, Virginie, le banc en rondin qui est là est au service des jeunes cavaliers, tu aurais dû ten servir pour descendre.
- On peut se baigner dans létang ?
- Bien sûr avec la chaleur on va apprécier.
- On peut se baigner nues jai oublié mon maillot ?
- Et ta petite culotte ?
- Cest rare que jen porte et sinon ce sont des strings.
Nous sommes toutes les trois nues et elle maide à entrer dans leau.
Nos chevaux attachés par leurs rênes à un buisson ne peuvent se sauver.
Leau est bonne et nous nous aspergeons lançant leau avec nos mains.
À ces jeux je suis perdante, je ne vois pas mes adversaires qui ne se privent pas de menvoyer des trombes deau dans la figure me faisant suffoquer.
Elles rient à gorge déployée avant de finir dans mes bras nos seins à la même hauteur étant content de se trouver.
Nous sortons de leau pensant passer un moment tranquille à faire une petite sieste que lon aurait dit crapuleuse.
- Merde Véro tu as mal attaché Pablo, il sest détaché et doit être retourné à lécurie.
Louis va le récupérer.
Finie la sieste, il nous faut remettre nos affaires alors que nous sommes encore mouillées.
Cest à ce moment que Rocco se fait sentir me donnant des coups avec sa tête.
- Nous allons redescendre à pied, je tiendrais les chevaux par leurs brides.
- Hors de question, cest ma faute et Rocco semble vouloir que je moccupe de lui.
- Laurette monte avec Virginie sur Quasi, je vais retrouver mon vieux copain.
Il a envie de me sentir sur son dos.
Jentends les bruits des bottes des filles montant sur leur cheval.
Monter à deux nous le faisions souvent avec Laurette et connaissant lespiègle quelle est, les seins de notre amie seront en bonne situation.
Ses fraises vont pouvoir bander.
Je monte sur Rocco qui se cabre mais je connais son habitude surtout quand il est content et je ne me laisse pas désarçonner.
Avant mon accident, jai toujours donné un ordre à Rocco que je redis naturellement à la force de lhabitude.
- À la maison.
Cet ordre, jaurais dû éviter de le donner, mais je suis un peu chamboulée de ce que ma dit le lieutenant.
Et si mon fils était luvre dun noir.
Je dis mon fils car je suis sûr que cest un mâle qui est peut-être en moi.
Cest là que Rocco part au galop comme il le fait chaque fois.
- Halte Rocco.
Rocco halte.
Véronique accroche-toi.
Course folle, mais bonne cavalière je sers les cuisses goutant le plaisir du triple galop de mon cheval.
Je suis dans ma nuit quand il freine des quatre fers et que je suis propulsée par-dessus son encolure.
Leau que lon menvoie dans la figure et rideau, la nuit devient vraiment la nuit.
- Docteur elle revient à elle.
Coucou Véronique, tu nous as fait une frayeur.
- Écartez-vous que je lausculte.
Ça fait deux jours que vous êtes tous là autour delle.
Deux jours de coma cest courant après le choque sur le front au fond de sa piscine.
- Madame, regardez-moi, vous mentendez ?
- Oui et je vous vois, vous avez de magnifiques yeux bleus.
- Docteur, elle semble avoir recouvré la vue, cest un miracle.
Miracle, jignorais que la Bourgogne était une terre de miracle.
Rapidement je reprends du poil de la bête.
Mon Rocco, il mavait ôté la vue, il a voulu me la rendre.
- Docteur, et son bébé !
- Vous pouvez prévenir le papa que son fils est en pleine forme, il sera scaphandrier de la manière dont il a plongé.
- Véronique, cest moi qui tai sorti de la piscine et qui me suis occupé de toi avant larrivée des copains.
- Merci Louis, jai bien fait de dire à Maître Mathieu de tembaucher.
- Véronique, hier ils tont fait une échographie, quand tu auras le droit de bouger, tu pourras voir avec tes yeux retrouver la photo de ton fils.
J'en ai une aussi, cest une fille, un jour on les mariera.
Je vois mon amour se mettre à genoux à mes côtés.
Le docteur prend la commande de mon lit et le baisse au maximum.
- Véronique, jignorais quand je suis allée lacheter avec Agnès et Louis que tu verrais la bague que je toffre.
Veux-tu mépouser ?
- Agnès prête moi ta bague de fiançailles sil te plait.
Elle lenlève et me la tend.
- Laurette excuse, je pense ne pas avoir le droit de magenouiller.
Veux-tu mépouser ?
Pas le droit de se lever, mais le droit de passer nos bagues et de nous donner un gros baisé.
Tous applaudissent, même Virginie qui est là.
- Messieurs dames, je suis satisfait que vous soyez content de retrouver votre amie avec une grosse bosse sur le front.
Mais nous sommes dans un hôpital et jai certains patients qui ne vont pas aussi bien.
Voilà, cest fini, à oui, qui est le père de mon fils ?
Olivier Raguin, que devient-il ?
Son domaine à qui est-il ?
La chapelle à quoi va-t-elle servir ?
À oui, vous le saurez dans un 21ème chapitre en forme dépilogue.
Les paris sont pris, pour Alexandra qui me fait le plaisir de me relire.
Cest Maître Mathieu ou Julien le père de mon .
La chapelle, seule Dieu le sait à ce moment.
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