Recluse Volontaire

- ATTENTION HISTOIRE FICTIVE POUR LECTEURS AVERTIS --

Recluse volontaire

AVERTISSEMENT
Le texte qui suit décrit des fantasmes purs, qu’il n’est pas question de réaliser réellement. Les maladies sexuellement transmissibles existent et font des ravages.

Marlène est âgée de 18 ans, elle vit dans le fond d’une vallée alpine. Malgré un caractère obéissant, elle n’est pas douée de grandes capacités intellectuelles et vient d’échouer pour la deuxième fois au diplôme d’aide soignante. Son rêve de départ pour une plus grande ville, en quittant le domicile parental s’éloigne et en cette soirée de fin juin elle a le blues.

C’est au cours de cette soirée qu’elle fait la connaissance de Philippe, un fermier de 50 ans, divorcé, qui vit seul dans un chalet d’alpage, un peu éleveur, un peu braconnier. Marlène, passablement éméchée suite à son échec, a noyé son désespoir dans l’alcool et n’est plus maîtresse d’elle-même. Elle va succomber sans lutter aux avances de Philippe. Un rapide coup tiré dans une voiture en milieu de nuit, voilà tout ce à quoi elle aura droit.

De retour chez ses parents il ne faut que quelques jours pour qu’une énième dispute familiale ne la pousse à quitter la maison sans savoir où aller. Aimant la marche, Marlène monte en direction des alpages. Elle repense à Philippe, qui quelques soirs plus tôt disait la trouver fort jolie, qu’il aimerait passer du temps avec elle,… Il lui prend alors l’idée de le rejoindre dans son chalet ; peut-être voudra-t-il l’héberger ? Vivre une histoire ? Marlène retrouve le sourire et marche gaiement.

Arrivée au chalet elle entre sans appréhension. Philippe est un peu surpris : « Salut ! Qu’est-ce que tu fais là ?

-Je passais dans le coin. Tu sais, mes parents sont des cons, si seulement je pouvais me barrer !

-Ecoutes, si tu es venue pour me raconter tes problèmes familiaux, tu t’es gouré de porte !

-Non, je ne veux pas t’emmerder, mais je me demandais si tu n’aurais pas besoin d’une petite femme chez toi…

-Oh là ! Ecoutes, j’ai eu une femme qui m’a cassé les couilles pendant 20 ans.

J’ai enfin pu m’en débarrasser, ce n’est sûrement pas pour laisser une petite conne venir m’emmerder chez moi !

-Je ne t’emmerderai pas ! Je ferai ce que tu voudras, je serai à toi.

-Non, elles disent toutes ça et puis après quelques temps, elles font chier : « Faudrait faire du ménage, faudrait te laver,… ». Pas question !

-Je te jure que je ne te demanderai rien. Et puis, je te donnerai du plaisir, comme l’autre soir…

-Ecoute, ce n’est pas parce qu’on à baiser une fois ensemble, alors qu’on était tous les deux bourré, qu’il y a quelque chose entre nous, que ce soit clair.

-Ouais, mais la dernière fois j’étais pas performante, j’avais tellement bu que je m’y suis mal prise… Tu verras je peux faire beaucoup mieux… » Disant cela, Marlène se donne une voix plus sensuelle, cligne des yeux pour se montrer charmante. Son manège semble fonctionner : « Si ça te dit, tu peux passer un moment ici. » dit Philippe en attirant la jeune fille à lui.

Comme quelques soirs plus tôt, Philippe profite de la situation pour baiser la jeune Marlène. N’étant pas alcoolisé, il se rend compte que cette dernière dispose d’un certain potentiel dans l’art de l’amour physique. Elle le gratifie d’une belle fellation et se laisse prendre dans des positions très érotiques. Après cette baise, Philippe lui offre un dîner, mais Marlène revient à la charge : « Alors, tu as aimé ?

-Ouais, tu sais plutôt bien t’y prendre, mais tu as encore des trucs à apprendre.

-Tu pourrais être mon prof.

-Recommences pas avec ça !

-Si tu acceptes que je vive ici on pourrait baiser quand tu veux, je ferai tout ce que tu voudras. »

Marlène commence à marquer des points, elle aguiche Philippe qui devient moins bourru : « Ecoutes petite, si on imaginait de faire un essai, il faudrait vraiment que tu m’obéisses en tous points.

-Oui, pas de souci, je ferai tout ce que tu voudras.
Je t’en supplie acceptes que je reste.

-Attends, quand je dis que tu m’obéisses en tous points, ça veut dire que tu ne me demandes rien : pas de ménage, pas de toilette, je me saoule quand je veux, je vais et je viens comme je veux ; et surtout, je te baise quand j’en ai envie, n’importe quant tu seras toujours prête et disponible. C’est clair ! Pas de maux de têtes, pas de règles ou d’autres conneries !

-Oui ; émet plus timidement Marlène.

-Bon alors, on est d’accord pour un essai. Je stoppe tout à la moindre incartade ! »

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Deux mois plus tard, alors que le soleil d’août frappe comme rarement les alpages, Marlène s’occupe dans la maison. Elle prépare quelques petits plats. Compte tenu de la chaleur ambiante elle est restée complètement nue. En fin de matinée Philippe la surprend à la cuisine, il admire quelques instants sa belle peau bronzée et surtout l’anatomie très alléchante de la petite blondinette aux yeux bleus. Le spectacle provoque une érection quasi instantanée. Même à 50 ans Philippe reste un bel étalon, toujours en rut, il est d’une endurance peu commune dans les jeux de l’amour.

Sans que Marlène ne l’ait aperçu, alors qu’elle lui tourne le dos, il s’approche vers elle et att sa poitrine. La jeune fille est à peine surprise. Le mâle parcourt le corps de la belle de ses grosses mains sales, sa peau râpeuse pelote les jolis seins, descend entre les cuisses pour fourrer ses doigts dans la petite chatte trempée en un instant. Il enfonce directement deux doigts dans ce vagin si désireux de pénétration. Les doigts calleux fourragent sans ménagement les parties intimes de Marlène qui gémit immédiatement de plaisir. Durant ces quelques semaines passées ensemble, la jeune fille a totalement découvert son corps, son plaisir et sa sexualité. Elle savait aimer le sexe, mais elle a découvert ses incroyables penchants pour un amour violent, sale, des besoins insatiables…

Philippe la prend quand il le souhaite, au moins trois fois par jour.
Il la baise sans aucun ménagement, profitant et abusant de son corps comme s’il s’agissait d’un vulgaire objet de plaisir. A sa grande surprise Marlène adore ce traitement, elle se fait toujours plus aguicheuse, montrant toujours plus de désir quelque soit les pratiques.

Tout en maintenant ses doigts dans la chatte détrempée, Philippe enfonce son gros pénis dans l’anus de la jeune fille. Celle-ci ne peut retenir un petit cri, car la pénétration est brutale, violente et effectuée sans aucune préparation. Philippe n’en a cure, il force le passage et entre rapidement l’intégralité de son gros chibre dans le petit trou de la jeune femme. Marlène a un peu mal, mais sa douleur fait rapidement place au plaisir qui envahit son ventre, plaisir accru par les doigts qui continuent de s’agiter dans son vagin ruisselant.

Philippe adore enculer Marlène, il sait qu’il lui fait un peu mal, mais son plaisir est alors décuplé, c’est tout ce qui compte pour lui.

Cette soudaine sodomie matinale s’est faite sans aucune précaution. Aussi, la bite de Philippe se charge rapidement de merde bien grasse qui colle à la peau de son gland, un peu plus à chaque pénétration. Une odeur prononcée de merde vient titiller les narines des deux protagonistes. Philippe s’en fout complément, il a l’habitude d’être sale et s’il a envie de baiser il ne va pas s’en priver pour un peu de merde. Quant à Marlène, elle a été un peu choquée les premières fois où la merde a fait son apparition dans leurs jeux, mais elle s’est vite habituée, surtout lorsque Philippe lui a dit : « Si ça te plait pas petite pute, tu rentres chez tes vieux. »

Marlène a alors repris un franc sourire et a poursuivit avec ardeur leurs jeux merdiques.

La sodomie dure près d’un quart d’heure. Marlène jouit violemment sous les vifs coups de boutoir de son amant trois fois plus âgé qu’elle. Elle adore se faire ramoner le cul par sa grosse bite. La présence de merde ajoute même un attrait supplémentaire, elle graisse le membre qui doit encore plus forcer pour se frayer un passage dans l’étroit conduit.


Sentant la jouissance se rapprocher, Philippe quitte l’anus de la belle. Celui-ci libère une belle quantité de merde qui échoit sur le sol. Marlène sait ce qu’elle a à faire, elle se retourne et embouche avec un plaisir non dissimulé la belle queue couverte de sa propre merde grasse et odorante à souhait… Elle déguste la mixture et prenant soin d’attr de beaux morceaux de matière fécale avec sa langue agile. Pour provoquer au maximum son partenaire, elle le regarde droit dans les yeux pendant qu’elle mâche, puis avale l’horrible matière !

Philippe est subjugué, quelle chance a-t-il de pouvoir se taper une pareille minette, aussi chaude et aussi barje !

Il sent sa jouissance se rapprocher encore et veut envoyer sa semence bien au fond de la gorge chaude qu’il a devant lui. Il att les cheveux de Marlène et enfonce vigoureusement sa bite au tréfonds de sa gorge pour envoyer de grandes giclées de foutre brûlant.

Ce foutre venant percuter ses amygdales et sa gorge provoque un violent mouvement de régurgitation à Marlène. Elle tousse et expulse la bite en même temps qu’une grande quantité de salive, de sperme et de morve. Philippe s’écarte et la regarde en se marrant. La quinte de toux n’est pas finie, la jeune fille n’arrive pas à reprendre sa respiration et bientôt vomit le contenu de son estomac. Philippe se marre encore plus.

Lorsqu’enfin Marlène reprend ses esprits, elle se retrouve dans la cuisine, nue, devant un quinquagénaire à poils, à genoux dans une marre putride composée de salive, de merde, de sperme… Philippe rigole toujours : « Voilà un tableau parfait pour une putain de ton espèce. »

Philippe charge alors sa main d’une bonne quantité de merde et frictionne vigoureusement le visage et les cheveux de sa petite salope.

Malgré la situation plus que dégradante, Marlène sourit. Elle ne peut s’empêcher d’être excitée, elle adore braver les interdits…

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Deux soirs plus tard, Philippe est descendu au village. Marlène se sent seule, un peu délaissée. Même si son étalon l’a baisé ce matin, elle n’a plus eu de rapport depuis et pour tout dire… elle est en manque. Cela peut sembler bizarre, mais depuis plusieurs semaines elle baise 3 ou 4 fois par jour et si elle n’a pas sa dose elle est très vite en manque. Alors, dès qu’elle a fini de dîner, elle se branle doucement, faisant monter sa jouissance à petit feu. Elle s’endort les doigts dans la chatte…

En pleine nuit, elle est réveillée par de grands bruits. En une seconde la porte de sa chambre s’ouvre et laisse entrer trois hommes. Marlène reconnaît la voix de Philippe, mais pas des autres. Il lui semble qu’ils ont bu : « Vous allez voir les gars, elle est vraiment trop salope cette conne !

-Si c’est pas vrai, tu me suces la queue connard !

-Je te dis que tu vas pas être déçu du voyage.

-Y-a intérêt, j’suis pas monté jusque là pour rien ! »

Marlène frémit. Que vont lui faire ces hommes ? Elle se blottit dans le lit, simulant d’être endormie Mais Philippe s’approche et l’att par le bras ; elle est obligée de se réveiller totalement.

Exposée nue dans la faible clarté de la chambre, elle est matée par trois mecs, âgés de la cinquantaine, bedonnants, qui écarquillent les yeux pour admirer la belle jeunette qui leur ait offerte.

Philippe la tire par le bras et l’emmène dans la pièce principale, il la jette sur ce qui sert de canapé, et déclare tout fier de lui : « Voilà les mecs, vous pouvez faire d’elle ce que vous voulez, elle aime tout et en redemande ! »

Les deux autres se gaussent et approchent pour porter leurs sales pattes sur la peau claire de Marlène, toute tremblante. Elle tente d’esquiver quelques attouchements, mais Philippe la rappelle à l’ordre : « Laisse-toi faire cochonne, sinon tu vas le regretter. »

Intimité, la blondinette laisse les mains parcourir son corps dévêtu. Les hommes n’y vont pas par quatre chemins, ils tâtent les nichons et les fesses de Marlène. Rapidement l’un d’eux fourre sa main sur son minou, par réflexe elle s’écarte. Philippe qui est juste à côté lui envoie une grande gifle, qui lui rougit immédiatement la joue.

Marlène a compris, il faut qu’elle obéisse. Elle se laisse alors aller aux mains des deux individus alcoolisés. Bientôt sa chatte est occupée par des doigts inquisiteurs, tandis qu’un autre a sorti sa bite pour se faire sucer. Marlène approche docilement sa bouche, la bite dégage une odeur quasi insoutenable d’urine rance. Après un instant d’hésitation, elle ouvre la bouche et enfourne le membre déjà bandé. Le goût est très prononcé, mais Marlène aime être crade et sucer un mec qu’elle ne connaît pas et dont la bite n’a dû être lavée depuis un bon moment provoque chez elle une excitation incontrôlable. Philippe semble content d’elle : « Voilà c’est bien pouffiasse. Tu vois quand tu veux, tu sais bien comme il faut faire pour être gentille avec mes copains. »

Le mec qui se fait sucer est aux anges, il ne doit pas avoir souvent l’occasion de se faire pomper le dard par une bouche aussi accueillant et si douée.

L’autre type continue de farfouiller l’entrecuisse de Marlène, quittant sa chatte il s’intéresse à son cul. Il enfonce un doigt dans le petit anus, qui sait accueillir ses visiteurs. Ce petit trou aspire rapidement le doigt, invitant son propriétaire à en fourrer un autre, puis un autre encore. Marlène aime être enfilée par le cul, tout en savourant la bite parfumée, elle commence à gémir. Pensant un instant à la situation, en train de sucer une bite sale tout en se faisant doigter le cul par deux inconnus, elle connaît un moment de honte, bien vite oublié.

Philippe ne veut pas être en reste. Il sort sa bite, dont la taille épate ses deux compères, il enfile la belle par sa petite chatte. Marlène gémit encore plus. Elle oublie toute honte et se laisse aller au plaisir. Pourtant ses partenaires ne sont pas tendres. Philippe donne le ton, tout en limant la chatte, il claque les nichons qui s’agitent au rythme de ses coups de boutoir. Cela semble donner des ailes aux deux autres lascars : celui qui se fait sucer donne de grands coups de bassin pour faire progresser sa bite tout au fond de la gorge humide, il baise littéralement la gueule de Marlène qui suffoque un peu ; l’autre type donne de bonnes claques sur les fesses qui rougissent bien vite.

Philippe veut aller encore plus loin. Il demande à ses amis d’échanger leur position, Marlène peut ainsi sucer une nouvelle bite bien bandée et tout aussi puante que la première. Mais la queue qu’elle suçait veut trouver un autre trou bien accueillant, Philippe lui dit d’enfiler le trou du cul qui ne demande que ça. Elle se retrouve ainsi prise par une bite dans le cul, une dans la chatte et une troisième dans sa gueule ! Que demander de plus ? Elle est comblée, dans tous les sens du terme.

Les trois compères échangent leurs positions à plusieurs reprises. Marlène a totalement oublié sa honte et se donne à fond. Elle encourage les mecs à la baiser bien à fond et même à la violenter : « Oui c’est bon, défoncez-moi bien. Foutez-moi des gnons ! »

Les trois hommes ne se font pas prier, ils assènent de grands coups de bite dans tous les trous de la gonzesse en chaleur et n’hésitent pas à lui envoyer de bonnes gifles, des claques, un peu partout, en insistant particulièrement sur son visage, ses nichons et son cul. La peau claire de Marlène devient très vite rouge à ces endroits.

Les deux amis de Philippe ne tiennent pas très longtemps ce rythme, le cul de Marlène est rapidement remplit de foutre, tandis qu’elle en avale dans sa bouche. Heureusement Philippe continue à lui défoncer la chatte comme un sauvage. Les deux compères se reprennent assez vite et peuvent encore baiser quelques minutes avant d’envoyer de nouvelles giclées de foutre dans entrailles dans la salope.

Lorsque que les trois paires de couilles commencent à être vides, Philippe att Marlène par les cheveux et la tire dehors. Les deux autres suivent. Philippe jette alors le corps nu et rougit dans une touffe de mûriers ! Marlène hurle de douleur lorsque son corps est griffé par des dizaines d’épines. Cependant, le buisson étant assez profond elle ne peut pas reprendre pied immédiatement et en se débattant elle s’enfonce davantage dans les épines et crie toujours plus…

Philippe l’insulte et exige qu’elle cesse de s’agiter. Peu à peu il parvient à la calmer alors qu’elle est toujours dans le piquant buisson. Les deux autres types sont un peu stupéfaits, mais laissent faire.

Puis Philippe saisit sa bite et la dirige vers Marlène, toujours affalée dans les branches épineuses, il libère sa vessie et pisse sur tout le corps rougi et ensanglanté de la jeune fille. Il est bientôt imité par les deux autres types. Malgré elle, Marlène tente de capter cette urine qui se déverse sur elle.

Dès qu’ils ont fini de pisser Philippe déclare : « Bon les gars, il est l’heure d’aller se pieuter.

-Marlène, tu bouges pas. Reste là. »

Puis ils rentrent tout les trois, la porte se verrouille après leur passage.

Marlène ne sait que faire. Elle a mal partout et n’ose bouger. Elle reste là pendant longtemps, avant de se dégager lentement du taillis piquant. Lorsqu’elle parvient à s’extraire, son corps suinte de sang. Elle a rapidement froid et ne voit qu’un abri, la grange. Elle se blottit dans la paille en attendant le matin.

Elle en veut beaucoup à Philippe en cet instant. Elle se dit que dès demain elle va redescendre, qu’elle trouvera du travail et ne le reverra jamais… Mais malgré ces belles pensées, elle sait qu’elle restera avec son bourreau. Elle est devenue accro au sexe, à la violence et à la saleté…

Effectivement, après avoir passée une nuit bien inconfortable dans la paille, souillée d’urine, et meurtrie d’épines, Marlène est réveillée par Philippe, qui sait trouver les mots pour la faire rester : « Salut. Tu as été super hier. Je suis vraiment fier de toi, je ne pensais pas que tu serais capable d’en faire autant quand tu m’as proposé de venir ici. »

Marlène est un peu surprise de ces propos gentils, elle n’a pas l’habitude. Mais elle est immédiatement flattée et ses résolutions de la veille visant à quitter son amant s’étiolent bien vite.

Marlène passe du temps à enlever les épines qui sont fichées dans la peau de son dos et de ses cuisses. Cependant, la douleur que lui procure cette opération lui rappelle les plaisirs de la veille et elle a du mal à ne pas toucher sa chatte pour se donner du plaisir.

Lorsqu’elle sort de la salle d’eau, elle est toute émoustillée et regarde avec envie son homme qui finit son petit déjeuner. S’en suit une bonne baise au cours de laquelle le quinquagénaire démontre une nouvelle fois qu’il n’a rien perdu de son endurance. Il ramone d’abord la petite chatte sensible et trempée et vide finalement ses couilles dans l’anus qui se dilate largement au passage du gros membre.

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Les semaines et les mois qui suivent, Marlène plonge totalement au cœur de l’univers lubrique de Philippe. Il la baise trois, quatre, voire cinq fois par jour, la plupart du temps de manière brutale et sauvage. Au moins une fois par semaine il la soumet à des pratiques totalement folles, toujours plus violentes et plus sales. Parfois, après avoir été méchant et cruel avec Marlène, Philippe consent à quelques heures plus douces, juste par peur qu’elle ne parte pas.

Philippe a tout de même consentit un code ; si un jour elle estime qu’il va trop loin, elle doit affirmer clairement qu’elle veut rentrer chez elle, il cessera alors dans l’instant de la maltraiter,… mais en échange, elle partira et ne remettra plus jamais les pieds chez lui.

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Aujourd’hui Philippe doit refaire la clôture électrique de son enclos à chèvres. Pour tester son nouveau matériel il concocte un petit manège.

Il appelle Marlène qui arrive en quatrième vitesse dans la remise, pour satisfaire son homme. Elle devine à son regard et à sa voix qu’il prépare une petite partie hard et sadique. Elle mouille dans l’instant…

Philippe att Marlène par le bras et l’envoie au sol. Au passage il arrache les quelques vêtements qu’elle portait. Avec de la ficelle il attache habilement ses bras et ses jambes aux pieds des établis de la pièce. Marlène aime être ligotée, même si elle ressent toujours une certaine inquiétude.

Elle se trouve ainsi nue sur le sol rugueux de la remise, jambes écartées. Philippe sort son dard et le fourre dans la bouche de la jeune fille. En bonne salope, elle avale toute la bite et parvient même à tripoter les couilles avec sa langue alors que le gros membre est entièrement fiché dans sa gorge ! Marlène bave énormément, elle sait que cela excite beaucoup son amant.

Après quelques minutes, Philippe bourre la chatte de la blondinette et parvient à la faire jouir une première fois. Il estime alors que les choses sérieuses peuvent commencer.

Il prend une pince de batterie, qui doit servir à sa nouvelle clôture électrique. Il enserre le nichon de Marlène. Le pincement est assez fort, Marlène sourit, elle aime être violentée. Puis ce salaud de Philippe presse l’interrupteur et envoie de l’électricité dans le nichon de sa chienne. Marlène pousse un cri, plus de surprise que de douleur. Mais Philippe augmente la tension et les décharges sont de plus en plus fortes. Marlène commence à gémir à chaque décharge.

A ce moment, Philippe veut profiter de l’excitation de sa salope, il introduit sa bite dans son cul et la bourre bien fort. Marlène ne tarde pas à connaître un nouvel orgasme.

Tout en continuant à l’enculer, il débranche la pince de son sein, pour venir la fixer aux lèvres de sa chatte. La réaction de la jeune femme est immédiate. Elle pousse un cri et sursaute à la première décharge ! Philippe rit de sa réaction et continue sa besogne dans son anus.

Marlène connaît ainsi de nombreux orgasmes, jouissant sous les coups de bite et les décharges électriques.

Puis Philippe attire la belle dehors et la mène jusqu’au champ des chèvres. Il oblige Marlène à enjamber la clôture. Sa chatte nue se trouve en contact avec le fil électrique. Chaque seconde une décharge vient irradier la petite chatte, arrachant un cri à la jeune salope.

Philippe la laisse ainsi pendant qu’il vaque à ses occupations…

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Quelques jours plus tard, Philippe emmène Marlène en balade dans les environs. Après une heure de marche, pendant qu’ils sont en forêt, il l’attire dans le sous-bois touffus.

Il la fait se déshabiller. Elle pense qu’il va la baiser comme ils en font plusieurs chaque jour. Mais Philippe a une autre idée.

Il exige que Marlène s’allonge nue sur le sol recouvert d’épines. Elle grimace un peu, mais s’exécute. Elle sait qu’elle va aimer la douleur de ce contact piquant. Puis Philippe casse une branche de sapin, il en prend un petit morceau bien raide et couvert de vives épines et entreprend de parcourir le corps allongé de la jeune blondinette. Le frottement est de plus en plus pressant. Bientôt les coups de branche piquante pleuvent sur Marlène qui se tortille et crie sa douleur.

Philippe lui intime l’ordre de ne pas bouger, elle a du mal, mais fait des efforts et parvient à se contrôler tant bien que mal.

Le vif traitement dure plus de vingt minutes. Marlène crie, elle est en pleurs, mais excitée comme jamais. Sa peau perle de sang. Tout son corps piqueté de gouttelettes sanguinolentes.

Lorsque Philippe cesse de la fouetter avec la branche, elle se retourne vers lui et implore : « Putain tu m’as trop excité, baise-moi mortellement ! »

Philippe ne se fait pas prier. Il est lui aussi tout excité et baise Marlène par tous les trous pendant plus d’une heure. Il lui procure quatre orgasmes avant d’éjaculer dans sa bouche avide et chaude.

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En plus de battre Marlène très régulièrement et de la baiser sauvagement plusieurs fois par jour, Philippe a pris une autre habitude. Un jour qu’il venait de passer un quart d’heure dans les toilettes, il crie pour appeler son jouet préféré. Marlène accourt, imaginant une bonne partie de baise.

Dès qu’elle entre dans les chiottes hors d’âge de la cabane, Philippe se lève, se retourne et tend son cul poilu à la jeune blondinette en lui disant : « Connasse, tu vas me lécher le trou de balle jusqu’à ce qu’il soit bien propre ! »

Marlène est à peine intimidée, elle a déjà goûté de nombreuses fois à la merde odorante de son homme, elle s’exécute.

Elle fourre sa langue sur l’anus gluant de merde. L’odeur est très forte et Marlène a du mal à contrôler ses hauts le cœur. Elle doit parfois s’écarter un peu pour respirer de l’air frais. Mais en bonne cochonne, elle s’applique à nettoyer méthodiquement le trou du cul dégueulasse.

Philippe a chié une grosse merde bien molle qui colle à sa peau et s’est incrustée dans ses poils. Marlène doit saliver abondamment, cracher tout ce qu’elle peut pour diluer un peu la matière fécale et parvenir à l’aspirer dans sa bouche de chienne. Philippe n’a pas besoin de lui intimer l’ordre d’avaler le contenu de sa bouche, elle y prend tellement de plaisir qu’elle déguste l’immondice comme s’il s’agissait d’une friandise !

Du fait de la quantité de merde et de la difficulté engendrée par la pilosité de Philippe, Marlène met près de vingt minutes à rendre ce cul propre. Philippe est excité comme rarement. Voir une belle petite nana lui bouffer son trou du cul dégueulasse et avaler sa merde l’a mis dans un état incroyable, d’autant qu’il a dû se retenir de la baiser pendant tout le temps de nettoyage. Dès qu’elle dit avoir terminé il lui demande : « Tu es certaine que c’est bien propre ?

-Oui, je t’assure, tu es tout propre.

-Y-a intérêt, je vais me toucher, si je trouve une seule petite trace de merde sur mes doigts, tu vas passer un sale quart d’heure ! »

Philippe parcourt son périnée et n’y trouve aucune trace de saleté, juste un peu de salive. Satisfait, il se retourne et découvre sa chose, accroupie, affichant un grand sourire. Son visage n’est même pas souillé, elle a tout avalé…

Il la regarde et envoi un gros crachat sur son visage, puis une bonne gifle, avant d’enfourner sa bite dans sa bouche à merde. Il pilonne sa petite gueule comme rarement. Il force tellement, que Marlène ne peut s’empêcher de vomir la merde qu’elle vient d’ingurgiter. Philippe ne dit rien, il ne lui laisse même pas le temps de reprendre ses esprits et continue à lui bourrer la bouche et la gorge. Jusqu’à ce qu’il jute de belles giclées de foutre.

Contemplant l’état déplorable du sol, il indique à Marlène : « Nettoies-moi tout ça avec ta bouche de chiotte ! »

Marlène regarde, un peu terrorisée, mais surtout très excitée, le sol jonché de son vomi merdique. Philippe ne lui laisse pas de répit : « Aller salope, tu as fait des cochonneries, tu vas les nettoyer. Sors ta langue et aspire-moi tout ça. »

Marlène s’exécute un peu difficilement. Il faut avoir le cœur sacrément bien accroché pour bouffer du vomi merdique froid le matin ! Mais elle sait que Philippe ne la laissera pas tant qu’elle n’aura pas terminé. Aussi, elle fait de son mieux pour tout rendre bien propre.

Quand elle a enfin terminé, elle regarde son amant et d’un ton triomphant : « J’ai été une bonne salope, non ? Je pourrai peut-être me faire bien baiser maintenant, j’ai vraiment envie, tu m’as trop excité… »

Philippe accède à sa demande et fait jouir la belle à plusieurs reprises. A la fin de cette petite aventure, il déclare : « C’est bien, je vois que je vais pouvoir faire des économies sur le PQ. Dorénavant je n’en achèterai plus. Puisque je te nourri, il faut bien que j’économise ailleurs. »

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Une nouvelle randonnée conduit Marlène et Philippe en forêt. Il attire sa compagne dans le sous-bois, vers un jeune arbre mort. Au pied de cet arbre, un grand monticule, une énorme fourmilière.

Marlène est un peu surprise. Philippe lui intime l’ordre de se dévêtir, elle ne comprend pas très bien, mais s’exécute.

Dès qu’elle est nue, il la tire par le bras pour la faire agenouiller dans la fourmilière. Il fait en sorte que sa chatte soit directement en contact avec le sable qui compose ce monticule.

Il fait déjà un peu froid et les fourmis restent terrées dans leur abri. Mais Philippe va trouver le moyen de les faire sortir et de bien les affoler. Il prend un bâton et commence à creuser dans la fourmilière.

Les premiers insectes sortent, Philippe continue de creuser et d’exciter ces petites bêtes. Les premières grimpent sur la peau de Marlène, qui regarde plutôt amusée, pour l’instant…

Pour accélérer la sortie des fourmis et les rendre encore plus agressives, Philippe sort sa queue et se met à pisser sur le nid, dont le sommet est largement ouvert. L’arrivée du liquide chaud et salé, rend les petites bêtes folles.

Elles sortent paniquées et courent en tout sens. Marlène commence à être largement parcourue et les premières piqûres ne se font pas attendre.

Il s’agit de grosses fourmis noires, même si l’intensité de leur piqure n’atteint pas celle de certaines fourmis tropicales, elles sont tout de même fort douloureuses, surtout lorsqu’elles se multiplient.

Après quelques minutes, les cuisses de Marlène sont couvertes de fourmis, qui la piquent en la prenant pour l’agresseur de leur nid. Les petites bêtes grimpent sur tout son corps, elles s’introduisent même dans sa chatte et son anus et la piquent atrocement de l’intérieur !

La jeune fille crie, elle a vraiment mal. Elle sait qu’il ne faut pas qu’elle se lève, elle fait de gros efforts.

Les insectes montent maintenant sur tout son corps, sa poitrine, ses fesses, son dos et même son visage sont terriblement piqués… Pendant ce temps, Philippe regarde le spectacle. Il aime voir Marlène en souffrance, n’osant pas lui désobéir.

Néanmoins, la douleur devient assez vite insupportable, même pour une masochiste comme Marlène. Elle commence à gigoter et ne tenant plus elle se lève pour fuir les attaques. Mais mal lui en prend, Philippe lui assène une grande gifle qui la fait basculer en plein dans la fourmilière agitée. Son visage entre directement en contact avec le sol trempé de pisse et couvert de petites bêtes noires et grouillantes, qui piquent pour se défendre.

Marlène se débat, à chaque fois qu’elle sort trop du tapis formé par les fourmis, Philippe la renvoie sans ménagement. Il fait durer le supplice pendant plus de vingt minutes, absolument insupportables pour la jeune salope.

Lorsqu’enfin il l’autorise à quitter la zone piquante, Marlène est encore couverte de sable et de fourmis égarées. Il coupe une branche de conifère épineux et la frictionne pour la nettoyer un peu. Elle semble ne pas ressentir la douleur liée aux épines, elle est en larmes.

Sa peau est devenue très rouge. Les piqûres ont marqué tout son corps. Elle enfle à certains endroits, notamment sur ses cuisses très durement touchées.

Souhaitant finir cet épisode par une bonne baise, Philippe glisse sa bite bien raide dans la petite chatte. Mais cette dernière a du mal à s’ouvrir. Certes Marlène mouille à mort après tant de douleur et de jeu, mais les piqûres ont fait gonfler ses chaires délicates et la pénétration s’avère difficile et surtout très douloureuse.

Cependant, à force d’acharnement Philippe parvient à fourrer la petite chatte traumatisée et à procurer une jouissance inouïe à la belle.

Petite justice dans cette séance de violence, quelques fourmis sont restées dans la chatte de Marlène et piquent la bite qui vient la pénétrer. Philippe râle comme un fou et crie de douleur. Cela fait bien rire sa jeune compagne…

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A l’approche de Noël, Marlène décide de décorer un peu la sinistre demeure de son amant. Ne disposant pas de décoration artificielle vendue en magasin, elle utilise des éléments naturels. Elle confectionne une très jolie couronne de houx, lorsque Philippe rentre.

Contrairement à la jeune fille, l’homme bourru n’est pas très porté sur la décoration. Il houspille Marlène en lui disant qu’elle perd son temps et ferait mieux de préparer à manger ou de soigner les animaux.

A la fois fâché et voyant une belle occasion de punir sa salope préférée, il lui intime l’ordre de se dévêtir immédiatement. La belle frissonne un peu car l’air n’est pas chaud pendant l’hiver, même à l’intérieur de la maison.

Philippe fait agenouiller Marlène à même le sol froid et entreprend de démonter la belle couronne hérissée d’épines. Il effeuille chaque branche et prend soin de titiller la peau claire de la jeune fille avec les piquants vifs du houx. Marlène pousse des cris à chaque contact avec les feuilles piquantes. Très vite le sang perle sur sa peau. Philippe insiste particulièrement sur les fesses et les seins de la blondinette.

Il ne se contente pas de toucher les parties sensibles avec les feuilles, il frappe la peau en s’appliquant à enfoncer les pointes dans la chaire ! La douleur est très vive et Marlène crie de plus en plus. Cependant, elle est terriblement excitée. Elle attend, sans oser le demander, le moment où son amant tortionnaire viendra faire jouer les piquants sur sa chatte ruisselante.

A sa grande surprise, celui-ci ne vient pas vite sur son sexe, il préfère percer la peau de ses fesses, de ses seins, de son ventre et de son dos.

Tiraillée entre la douleur et le plaisir Marlène se dandine, elle crie et gémit tout en même temps. Philippe remarque son manège et en joue. Il approche les piquants de la belle petite chatte sans la toucher véritablement. Au bout de longues minutes, il souffle : « Alors tu veux encore faire des décorations ?

-Non, je n’en ferai plus.

-Comment tu pourrais te faire pardonner ?

-Fais de moi ce que tu veux.

-Ca c’est déjà le cas depuis bien longtemps. Il me faut autre chose…

-Griffe ma chatte avec les piquants ! »

A cette demande Philippe sourit. Il adore r Marlène, surtout quand elle-même le lui demande. Il ajoute encore : « Tu veux que je passe ces horribles piques sur ta belle petite chatte ?

-Oui. Fais-le, je t’en supplie ! Ca va me faire mal, mais je vais jouir, j’en ai besoin… »

Philippe prend alors une nouvelle branche, dont les feuilles sont bien vertes et bien dures et fourrage la belle chatte. Marlène hurle immédiatement, de douleur et de jouissance. Le sang recouvre très vite l’entrejambe…

Après ce jeu très sadique, Philippe a une trique d’enfer. Sans aucun ménagement il fourre sa bite dans la chatte dégoulinante de sang, pire que lorsqu’il baise Marlène durant ses règles, et la fourrage sans ménagement.

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Au début du printemps, Philippe commence à reprendre ses activités de plein air à la ferme. Il doit notamment réparer les dégâts causés par l’hiver. Il demande à Marlène de l’accompagner, lui disant qu’il a besoin d’elle pour refaire une clôture. La blondinette se souvient du fil électrique et des décharges qu’elle a reçues. Elle pense que Philippe va reprendre sa bonne idée, mais elle a tord,…

En effet, il ne s’agit plus cette fois d’une clôture électrique, mais de fil barbelé !

Marlène a un peu peur en voyant les sévères piquants qui hérissent le fil rouillé. Mais dans un premier temps Philippe lui demande une véritable aide pour retendre les clôtures et remonter les piquets couchés par la neige.

Cependant, au moment de la pause pique-nique, il déshabille totalement la jeune fille et l’approche d’un piquet. Comme elle le craignait, il se saisit d’un fil barbelé et commence à enserrer son corps avec ce lien des plus piquant !

Il serre assez fort et les pointes perforent la peau claire et douce de Marlène. Philippe fait plusieurs tours pour qu’elle ne puisse plus bouger ou tout du moins que le moindre mouvement lui procure une grande douleur. Il fait en sorte qu’elle doive maintenir ses cuisses largement ouvertes, sa chatte disponible. Elle voit rapidement couler de son nichon gauche et de ses deux cuisses. Elle a mal, mais pour une masochiste comme elle la douleur reste acceptable.

Une nouvelle fois Philippe surprend Marlène en la quittant, il la laisse là attachée par le barbelé au milieu dans champs dans la montagne.

Elle n’a pas trop le temps de s’inquiéter qu’il revient, portant de grandes feuilles vertes. Elles n’ont pas l’air très piquantes, mais dès que Philippe frotte la peau de Marlène avec ces feuilles, elle devient rouge et la jeune salope est atrocement piquée. Philippe la frictionne avec des orties fraîches !

Marlène se tord de douleur, mais dès qu’elle remue les pointes des barbelés la rappellent à l’ordre.

Il aggrave le traitement, il fouette littéralement Marlène avec les grandes orties ! Tout son corps devient rouge et brûlant. Elle crie, mais elle ne peut s’empêcher de mouiller comme une fontaine. La douleur provoquée par les orties est un délice pour elle. Le fait d’être attachée et que le moindre mouvement lui procure une intense douleur, décuple son plaisir de masochiste.

Philippe parvient à la faire jouir rien qu’en frottant les orties sur la chatte ouverte et dégoulinante ! Son orgasme est terrible, elle hurle son plaisir à toute la vallée !

Devant ce spectacle Philippe veut se soulager. Il sort sa bite et l’enfourne dans le gosier de Marlène qui le gobe en entier d’une seule traite. Cette petite a vraiment des dons de baiseuse exceptionnels.

Philippe baise la gorge chaude et accueillante de Marlène pendant dix minutes avant de décharger son foutre. Ayant à peine repris ses esprits, il soulage sa vessie directement dans la bouche gourmande.


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Maintenant que le printemps est bien présent, Marlène a repris ses habitudes de bains de soleil, complètement nue devant le chalet.

Philippe s’approche d’elle. Il tient un pot de miel et en propose à la jeune fille. Ils dégustent tranquillement le nectar lorsque Philippe dit qu’il a une grande idée : « J’ai une super idée. Je ne peux pas t’en dire plus pour l’instant, mais je vais t’attacher. »

Marlène aime être entravée. Philippe la fait allonger en plein soleil, jambes écartées et l’attache solidement dans cette position, plutôt confortable. Puis, il répand du miel bien liquide sur les nichons et la petite chatte de Marlène. Il prend soin de caresser les parties qu’il recouvre de l’onguent sucré.

Marlène se laisse aller à son plaisir, elle gémit gentiment. Elle ne comprend pas encore le plan diabolique de son amant.

Mais après quelques minutes, celui-ci s’écarte de quelques mètres et observe la belle allongée, nue, au soleil, les parties sensibles couvertes de miel appétissant. Appétissant notamment pour les guêpes, qui tournoient bientôt autour de Marlène, sans défense…

Les insectes se posent sur elle et commencent à absorber le miel sucré. Leur manège inquiète Marlène, mais ne pouvant bouger, elle ne fait que ressentir leurs petits titillements, qui ne font pas mal. Comme la jeune fille ne bouge pas, les guêpes sont en confiance et n’attaquent pas.

Mais ce diable de Philippe a tout prévu. Lorsque Marlène est couverte d’une douzaine d’insectes, il enroule habilement un filet très fin autour du corps dénudé.

Ce filet retient les guêpes prisonnières et les fait paniquer. Affolées, elles se mettent à piquer pour se défendre. Ces piqûres se concentrent sur les zones où elles étaient, c'est-à-dire les parties intimes de la belle blonde. En quelques secondes Marlène est atrocement piquée sur la chatte et les seins. Elle hurle de douleur, gigote comme elle peut !

Les piqûres de guêpes sont particulièrement douloureuses et même très dangereuses. Heureusement, par expérience, Philippe sait que Marlène n’y est pas allergique.

Philippe ne libère son esclave qu’après de longues minutes de douleur.

Comme toujours, cette séance de masochisme se conclut par une baise violente. D’autant plus violente que les piqûres et le venin injecté par les guêpes font cruellement souffrir Marlène.

Les baises des jours suivants, seront également très douloureuses pour la jeune fille, dont les parties sensibles sont atrocement gonflées par les piqûres.

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Après avoir passé quelques jours dans la vallée pour une foire agricole, Philippe rentre à son chalet. Il est très étonné de voir un 4x4 garé devant chez lui. Il entre discrètement dans la maison et entend des gémissements féminins qui ne laissent que peu de doute sur leur origine. S’approchant, il est stupéfait d’apercevoir par l’entrebâillement de la porte un couple de filles en train de baiser. Il reconnaît rapidement Marlène, allongée sur le dos qui se fait lécher la moule par une brune aux cheveux longs.

Alors que le spectacle lui provoque une érection instantanée, il reconnaît l’autre protagoniste : Nathalie, sa propre fille ! En effet, Philippe a eu une fille de son mariage, il y a 20 ans. Il ne la voit presque jamais, son ex-femme habitant très loin et sa fille étant fort peu désireuse de voir son père.

En colère de voir sa fille se vautrer dans une partie lesbienne avec cette grosse salope de Marlène il fait irruption dans la pièce en poussant un grondement qui fait sursauter les deux jeunes filles.

Toutes deux font maintenant face à Philippe et, la surprise passée, elles sourient et se pavanent nues comme des vers, devant l’homme en colère.

« Qu’est-ce que tu fous là Nathalie ?

-Je venais rendre visite à mon papa chéri, et je suis tombée sur Marlène.

-Et c’est comme ça que tu te conduis ! C’est ça que ta mère t’apprend en ville ?

-On ne faisait rien de mal. On se donnait juste un peu de plaisir, Marlène était un peu en manque si j’ai bien compris… »

Philippe a du mal à comprendre. Il s’isole quelques heures. Lorsqu’il retrouve les deux jeunes filles, elles viennent vers lui. Nathalie prend la parole : « Tu sais papa, je venais ici pour te punir de nous avoir foutu dehors maman et moi. Je venais pour t’annoncer que grâce à toi j’ai dû trouver du boulot et que je fais ce qui paie le mieux : actrice porno ! »

Philippe est abasourdi. Même s’il a quitté sa femme et peu vu sa fille, le fait qu’elle se donne en spectacle et se fasse baiser par un tas de mecs devant une caméra le dégoûte.

Nathalie en rajoute : « Je ne pensais pas avant de venir pouvoir te faire encore plus mal…

-Qu’est-ce que tu veux de plus ?

-J’ai convaincu Marlène de venir avec moi. Je suis sûre qu’elle a un super potentiel dans le X. »

Philippe tombe encore plus bas…



C’est ainsi que s’achève la relation entre la belle et sotte Marlène et son montagnard rustique.

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