Les Commandos 2.

Très heureux, chers lectrices et lecteurs d’HDS – et toi aussi Michel, mon tendre, mon cher ami – de se retrouver pour continuer de vous offrir mes histoires chaudes et bandantes. Après ces quelques années d’absence dus à un boulot très chronophage et aussi à de nombreuses galipettes diverses et variées, enfin le plaisir d’écrire à nouveau...De vous faire mouiller, triquer et même plus … Et de vous lire aussi ; N’hésitez pas à m’envoyer vos avis !...

Pour reprendre la suite de mes récits d’armée …

La première séance de baise avec Bernard lors de la marche commandos, a littéralement boosté ma libido et je ne compte pas en rester là pour le restant de mon séjour à la caserne, en repérant 2 cibles potentielles à me mettre sous la queue :

1ère cible : Eric, un beau rouquemoute de service ! Mince et musclé, poil de carotte à la toison bien fournie et doté d’une longue bite blanche. Super soldat qui m’accompagnait lors de la marche commando (Voir LES COMMANDOS 1 …)

2nde cible : Sylvie, la PEFAT (personnel féminin de l’armée de Terre) embauchée pour assurer le secrétariat du colonel, une petite grosse un peu moche mais sympa, très cochonne, avec une grosse bouche pulpeuse, un corps chaud et des gros nichons imposants et trop ajustés dans la veste de son treillis … Vous apprendrez plus tard que, même le slip qui emballait ses grosses cuisses était également kaki sous le treillis... Ah quel bon souvenir de cette chaude soirée à domicile... Partouse ‘partisane’ entre soldats et soldates !

- Eric la 1ère cible, objet de notre présent épisode …

Pour Eric, J’ai bien vu, lors de la marche que je lui fais de l’effet à ce mec, et suis bien décidé à m’envoyer en l’air avec lui. Vu la bosse, le gros bulge bien formé sous le treillis, je suis sûr que cet animal est monté comme un âne, et je sais maintenant, par expérience, que les rouquins sont souvent de bons coups ; Alors si par bonheur, ils sont un peu musclés, c’est le paradis.



Je décide alors, de le brancher à la salle de douches, ou en cet après-midi, nous sommes seuls au milieu des sanitaires.

- Salut, la journée s’est bien passée ?
- Oui, il répond, le slip encore en place sur son derche rond et sa queue vaguement gonflée, tu vois, je prends mon temps, je vais déjà me raser un peu.
- Tu devrais aussi tondre un peu ton torse... T’as vu ? T’est une vrai moquette orange ambulante, et puis ça mettrait en valeur ta peau blanche et tes pecs ...
-Tu plaisantes, il me répond, d’ailleurs touches- la ma fourrure orange... C’est plutôt plaisant de garder ses poils longs et soyeux, surtout quand un mec comme toi y passe sa paluche…
Et joignant le geste à la parole, il me saisit la main, la pose sur son torse, et se le caresse en partant des épaules. Et, en utilisant ma main comme d’une brosse, sans la lâcher, la descend ensuite sur son ventre, pas très loin de la bosse du slip, du bulge formée par son sexe. La bosse est impressionnante et semble encore avoir pris du volume depuis mon arrivée...
Mes doigts sont à quelques centimètres du renflement formé par sa bite, et je vois bien qu’elle est dilatée par le plaisir naissant, tout excité de se caresser avec la main d’un copain de régiment….

Solidarité masculine, quand tu nous tiens …

Je suis aux anges, rien ne presse, alors je le laisse se tripoter. Il est tellement avide de guider ma main sur lui. Alors autant la lui laisser utiliser à sa guise. .

Je ne me suis pas déshabillé et suis encore en treillis et la situation l’excite de rester presque à poil ici dans ces sanitaires froids et de s’exhiber devant moi. D’ailleurs, sous la culotte, sa bitte paraît de plus en plus impressionnante, et son slip blanc kangourou en est complétement déformé, et aussi légèrement humidifié par le plaisir qui commence à monter dans sa blanche colonne de chair.
Eric est vraiment bandant, je le laisse faire, mais il relâche ma main et me dit qu’il va prendre sa douche.
Il se dessape, se fout à poil devant moi en découvrant sa tige longue, pâle et tendue à mort, et tout en me regardant dans les yeux et se rend sous la douche…
Là, c’en est trop ! Et l’envie de baiser ce mec, de caresser son torse et de rentrer mon dard dans son cul rond et blanc, tout de suite, sur le champ, me traverse l’esprit !
Il faut, c’est sûr, que je passe à des actes .. disons, plus pénétrant !.
J’ai le sentiment qu’il s’en amuse et que cela l’excite de me faire languir. Mais pourquoi ? Pour se faire valoir et m’exciter encore plus ? Pour être encore un peu plus inaccessible ? Et prendre du plaisir à me voir transis d’envie et de désir envers lui ?
Je n’en sais rien, mais voyant sa peau blanche tachetée de roux, son torse et ses membres, puissants et couverts de poils roux, sa tronche enfin, avec ses yeux verts d’eau tout remplis de fausse innocence, sa bouche offerte et bonne sans doute à sucer mon sexe ;
Je me projette déjà, par la pensée, dans un lit avec lui.
Ou mieux d’ailleurs, à réaliser un plan baise en pleine nature, allongés tous les deux sur le sol feuillu et frais de notre dame nature... Je n’en sais rien … Mais je bande comme un âne, ma queue, trop serré sous le pantalon me fait mal, et j’ai envie de me soulager, je m’imagine aussi fiché dans sa belle bouche, ce serait tellement bon ..

Mais déjà la sirène de la caserne sonne l’alarme pour un exercice et nous rappelle qu’il faut quitter la salle de douche, enfiler nos treillis plutôt que d’enfiler nos culs et nous rendre dans la cour pour écouter et exécuter les consignes qui nous seront données par les gradés.

-C’est foutu, je lui dis simplement en attendant le cri strident de la sirène et en lui passant sa serviette. Je saisi son cou, j’approche ma bouche de la sienne, mais il pose un doigt sur ses les lèvres … ‘Chut .. !’,
-Au contraire bébé il me chuchote, ça ne fait que commencer, tu ne paies rien pour attendre, sauvé par le gong ! Pas grave .
.. Ce n’est que partie remise et quand nous prendrons notre temps, crois-moi, ça sera bon, les types comme nous, doivent être patients, c’est bon de faire monter la pression ...
Maintenant, tu peux m’embrasser, poses ta bouche sur la mienne, caressons nos langues bébé, et sens simplement en te serrant contre moi, la chaleur que je te communique, l’effet que tu renvois sur moi, regardes mon sexe chéri, comme tu me fais bander, tu sais lors de la 1ère marche, si nous avions dormis ensemble sous la guitoune ...

Mais nous n’avons plus le temps de discuter, et c’est l’heure d’y aller. Nous enfilons nos treillis et c’est le départ pour l’entrainement, en l’occurrence un demi marathon.

… En quelques semaines, nous sommes vraiment devenus copain tous les deux. Il n’est pas con, et commence à bien me connaitre, savoir qui et comme je suis, pressé de collectionner les coups hétéros ou homos.
Il sait que j’ai baisé, lors de la marche commando, ma grosse baleine de Bernard, parti depuis vers un autre régiment. Mais il sait aussi que je drague en douce la dodue PEFAT qui sert de secrétaire du colonel. Depuis l’épisode des douches, il ne se passe rien entre nous deux, la glace ne se brise pas. Même pas un plan branle, encore moins une pelle, tout juste des petites allusions du genre ‘t’es bien gaulé’, le sport te réussit ... Je ne comprends pas, il me fait languir à nouveau mais ça n’empêche pas de nous apprécier mutuellement. D’être à l’aise tous les deux et de nous raconter pleins de choses, de sexe, de récits merveilleux de voyages, et de faire des projets comme celui de s’engager pour le Liban pour ne pas casser notre amitié et pour rester ensemble le plus souvent possible.

Bien entendu, nous plaisantons souvent et ne nous gênons plus pour nous mater la bite lorsque nous sommes sous la douche. Parfois, sous prétexte de blaguer, Eric me balance des seaux d’eau glacé ou tire ma serviette lorsque je me rase. C’est sans doute pour me tester, pour savoir si l’un ou l’autre sauterait le pas pour conclure… Timidité mal placée ? Peur du ‘quand-dira-t-on ? Peur de casser une si belle amitié.
.. Je n’en sais rien, mais commence à trouver sérieusement le temps long, alors que nous allions conclure il y a quelques temps.

C’est déroutant cette situation surtout quand il provoque la conversation sur nos copines, leurs seins, leurs moules, la fréquence de nos ébats, où veut il en venir ? Se rassurer sur nous-même et notre (pseudo) hétérosexualité ? Donner le change à nos copains de chambrée? En rester là sur notre relation, même si je me persuade qu’une relation sexuelle avec lui ne casserait pas notre amitié, enfin je n’en sais rien en réalité.

Bref, nada jusqu’à cette soirée ou l’occasion se présente plus vite que l’on ne croit : Notre crevette d’aspirant, très droit dans ses bottes, et sans doute aussi dans son slip, petit blondinet et engagé de service, nous colle en tour de garde tous les 2 afin dit-il de mettre un peu d’émulation et de ‘concurrence’ entre les maréchaux des logis (S’il savait le pauvre !).
Comme je suis maréchal des logis et fais fonction de sergent sous off, je ‘bénéficie’ d’une petite piaule et d’un lit de camp pour dormir une heure ou deux … Ca peut toujours servir pour baiser ! me dis-je ..
Alors ce soir, que j’ai la GROSSE ENVIE, de par les signes avant-coureur qui me tordent le bas ventre, l’occasion est trop belle ! Et je veux, c’est bien sûr, me le FARCIR ce renard…
Et en effet, la soirée démarre bien et dans le local de garde ou se trouvent d’ailleurs d’autres soldats appelés. Eric est un peu allumé ce soir dans le poste de garde, ses yeux sont rougis par le Schnapps, l’alcool local et il est d’humeur joyeuse et ‘libertine’…

Ca commence bien ! Pour déconner, devant les autres mecs, il me fait des bises dans le cou et passe sa main sous mon col, ce qui fait rire la compagnie et dire autres potes que nous sommes des vrais pédés !..
Bien sûr, tout le monde prend ça à la rigolade, mais je remarque quand même que chez certain, les plus futés, ça rit jaune et qu’ils se demandent jusqu’ou je vais aller avec Eric ou si ça ne va pas me foutre en colère d’être ridiculisé ainsi… Il est 23h et je décide, pour changer de cette ambiance un peu lourdingue, de sortir pour aller voir ou en sont les 2 soldats chargés du premier tour de garde depuis 20H. Je les retrouve un peu plus loin dans le garage réservé aux chars d’assaut et aux Jeeps. Il fait très froid, bien en dessous de zéro degré sans doute, et comme ils ont l’air un peu crevés ; Je leur dis qu’Eric et moi, nous les relevons d’ici une demi- heure et qu’ils pourront se reposer un peu au poste.

C’est sur, discretement ce soir, il faut que je profite de l’état un peu chaud de mon pote et que j’attaque sa fleur, son cul, comme un voleur, à la hussarde, sans lui laisser le temps de dire ouf… On est commando, après tout, alors les opérations rapides, à la furtive, ça nous connait…

Ca tombe bien, je remonte dans ma petite piaule, pour aller enfiler un polo alors que je le trouve planté devant ma porte en me disant plus ou moins allumé :

-Excuses moi j’ai déconné devant les autres, je ne sais pas pourquoi, mais j’avais besoin de rigoler, et tu en fais les frais… T’as aimé les bisous dans le cou au moins?

Il me fait rire…

-Oui, je lui réponds, à défaut de ma copine, tu ferais bien l’affaire mon beau soldat, mon salopard… Gaulé comme t’es, j’ me taperai bien une bonne branlette en commun, ou mieux. Pour me venger de cette humiliation, j’ai bien envie de te triquer le long d’un char !!! … Tu sais dans mon pantalon, j’ai un canon de 20, tout prêt à tirer plusieurs coups dans ton petit cul serré, ta fleur à déniaiser...

-A moi aussi, il me répond, ça ne me déplairait pas, d’ailleurs, on pourrait reprendre l’action, là où elle s’est arrêtée il y a des semaines.

- Allons dehors mon pote, viens soldat, viens mec, j’ai promis aux gars de les relever, ils sont de garde au garage, on va leur donner congé, on sera seuls, on sera bien.

On s’est bien compris, on sort, et sans mot dire, nous allons dans le garage des chars d’assaut.
On relève les soldats plantés là depuis 20H et une fois seuls, on s’isole un peu plus et au moins être à l’abri. Dans la nuit, le garage est sombre, silencieux et est juste éclairé par la lune, il fait de plus en plus froid…

J’attaque les hostilités le premier en me dessapant mais l’uniforme plus l’arme et les munitions me gênent et prennent du temps à se dégager. Et tout cela n’a rien à voir, en fait, avec une séance d’effeuillage…
En plus, je suis un peu sur le qui-vive car si un gradé nous surprenait, on en prendrait si j’ose dire pour notre grade. En effet, rien de plus grave que d’abandonner son poste, surtout pour une partie de cul avec un mec ; N’oublions que nous sommes en 1981...
Me voilà maintenant à poil, comme lui, l’autre jour dans les douches.
Eric me matte un moment, puis fout lui aussi, ses vêtements et ses armes sur le char. Nus, l’un en face de l’autre en face, chaussés seulement de nos rangers nous sommes excités, et l’on bande bien dur tous les deux. Dans la pénombre ses muscles se dessinent encore plus et avec le froid glacial, je vois sa transpiration partir en fumée au travers de la lueur d’un spot. Par zéro degré, l’ambiance est chaude, virile et aussi inquiétante au milieu de tous ces armements.
Nous restons prostrés, face à face un long moment, puis, sans rien dire il s’éloigne un peu pour aller chercher une corde qui traine dans un coin. Il l’a saisi et revient, me saisit les mains. Je la ferme car je ne sais pas où il veut en venir mais je flippe un peu. Eric lie très serrées mes poignets derrière mon cou. Là, j’ai peur, je pensai que nous ferions un plan câlins et au lieu de cela je vais être soumis, dressé et ne sais pas ce qui m’attends, car les plans soumission, c’est la grande inconnue pour votre narrateur ...
J’avais remarqué qu’il prenait du plaisir à dominer les mecs, notamment dans les exercices de combat ou de lutte, s’amusant à les immobiliser et leur tordre les membres plus que de raison… Preuve, que ce renard est un peu sadique avec ses conquêtes… Moi qui le croyais (presque) innocent sur ce plan, je tombe de haut, et n’ai pas encore bien conscience de la séance qui va suivre et que subira votre serviteur !

Mes mains liées sont maintenant attachées, très haut sur le char, de sorte que je ne puisse plus bouger. En me tordant les bras, il peut, en me faisant pivoter à sa guise me prendre de face ou par derrière.

Il s’approche, me saisit la tronche et fout sa queue dans ma bouche. Il bande bien, et me rentre tout son chibre jusqu’en fond de gorge, tout en s’allumant une clope. Attaché, je ne peux me défaire de ce pieu chaud et humide, enfoncé dans ma tronche. Je respire comme je peux, entre ses coups de reins qui propulse sont dard blanc et lubrifié tout au fond de ma gueule, bien en gorge profonde à vrai dire.

- Tu Aime ? Il me dit.
Putain quel mâle dominant ! Mon orgueil en prend un coup ! Mais je dois bien avouer que j’y prends aussi du plaisir à me faire enfiler la tronche. Sans parole d’encouragement de sa part, je force à m’appliquer au fur et à mesure qu’Eric accélère la cadence. Le bruit de la fellation, profonde, rapide et imposée instaure dans ce bâtiment vide et froid, un fond sonore de déglutition, de râles et de cris étouffés. Cette douce dure encore un bon moment, le temps que mon soldat finisse sa clope et s’enfile une bière…
Je sais déjà, à cet instant que la séance va durer un bon moment, d’une part, parce que ses couilles ne sont pas vidées, et d’autre part parce qu’il a envie de pisser ...
Il prend son temps, sors sa queue de ma bouche et je reprends ma respiration…

C’est fini ?? Non ! Putain ! j’y crois pas !!!
Il revient vers moi et,
-T’as froid il me dit ?
Et sans attendre ma réponse, il attend un peu de débander, s’approche tout contre moi et me pisse sur les cuisses…
Sa queue frotte ma jambe tout en m’arrosant d’un long jet d’urine claire et chaude. J’attends la suite, et la suite ne se fait pas attendre … Je veux l’ouvrir…
–Ta gueule il me répond,
Et pour ne pas m’entendre plus, il m’enfourne à nouveau sa queue plus profond. Il mouille beaucoup, j’en ai plein la gueule, mais il n’est pas pressé ce mec, alors il se défait de moi, approche sa tronche de la mienne et me roule une bonne pelle tout en se frottant la bite sur mon ventre. Mes cuisses et mon entre jambes, sont mouillées de pisse, de sa mouille et de bière. Le garage, froid, pue le cambouis, la clope et nos odeurs de mâle. Demain, c’est sûr, le maréchal des logis que je suis gueulera un bon coup pour faire faire la corvée de nettoyage… !
Je bande fort aussi, et cette situation m’excite beaucoup, ma queue est bien dressé, et à vrai dire, moi qui pensai que je serai actif ce soir, c’est plutôt raté. Eric, j’en suis sûr, va maintenant passer aux actes, trop pressé de rentrer son long manchon entre mes fesses serrées. Je dois dire, que depuis que je l’attends son long pieux blanc, je ne vais pas m’en plaindre maintenant...
Tout à son affaire, Eric me garde les bras attachés bien haut et me pivote simplement pour avoir mon cul face à sa queue dressé et prête à m’enfoncer.
Je veux encore l’ouvrir,
- Ta gueule il me répète tout en m’assénant une belle gifle dans la gueule,
Et pour que je la ferme définitivement, il va chercher une baïonnette et glisse doucement la lame entre mes lèvres.
- Maintenant serres les dents commando ! Ca va faire mal ! Qu’il me dit à l’oreille tout en commençant à m’enculer…
( … Votre narrateur de service était donc immobilisé, attaché avec un couteau entre les dents et le cul haut et relevé, en force, prêt à recevoir la saillie soldatesque… )
Eric, mon copain de régiment saisit mes fesses, les écarte un peu plus, recule un peu et place, en alignement son dard face à mon sur mon trou. Que le temps est long …
- Et maintenant commando, je vais lâcher les chevaux…

Quelle enculade ! Debout, les mains liées, je sentais son torse monter et descendre le long de mon dos, ses deux pognes accrochés à mes hanches ou en train d’écarter mes fesses. Et… Sa queue, longue, trop longue et qui me tirait des cris silencieux et des larmes de douleurs à chacun de ses coups puissants et violents. J’avais mal, mal de douleur, de froid et d’humiliation, soumis, esclave de ce mec, bien dressé et sous la coupe de sa vivante matraque.
La suite, comme je l’avais prévue, devait durer encore un long moment, plus d’ailleurs, la nuit entière... D’abord dans ce garage pour qu’il, décharge une première fois et puis ensuite, pour le reste de la nuit, dans la petite chambre attenante au poste de garde, mais ça, c’est une autre histoire.

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