Une Famille Or (13)
Jeudi 18 juillet 1991
Aujourdhui, jai encore fait un peu de shopping.
Jen profite pour faire les emplettes de Flo, qui ma demandé des soutifs sans bonnets.
A mon retour chez mes parents, je mets le nouveau sling que je viens dacheter pour profiter des derniers gros rayons de soleil, réduit à deux fines bretelles, un mini-triangle et une ficelle qui me rentre dans la fente.
De plus, jai descendu un autre string type bandeau assez large pour tenter ma mère, et elle accepte de le mettre.
Je constate au passage que mon père napprouve toujours pas cette nudité exacerbée, mais quil ne proteste plus trop ouvertement.
Evidemment, mon maillot est vraiment hot, avec ses bretelles fines et son triangle avant qui cache à peine plus que le clito. Je pousse même un peu en demandant, démonstration à lappui, si les bretelles vont mieux en passant sur les tétons ou en contournant les seins par les côtés.
Bru est assez intéressé par tout ce que ces micro-bouts de textile suggèrent. Je le vois au volume de son caleçon de bain
Vendredi 19 juillet 1991
Cette nuit, nous avons un peu joué avec Sève dans sa chambre. Cétait notre première fois juste nous deux, et cétait cool.
Une fois les parents partis au travail, je suis la première à me mettre très à laise pour bronzer, subi par Sève.
Bru hésite un peu en découvrant ma nudité extrême, mais je le rassure:
- Allez, quoi, ça change pas grand chose par rapport à mon string, non? Et mets-toi à poil toi aussi. Je sais que tu le fais avec Sève, et moi, ça me gêne non plus.
En fait, je vois quil hésite parce que sa bite tend son caleçon, et je le lui fais bien savoir en regardant directement lobjet du délit:
- Et je men fous si tu bandes, ça me dérange encore moins quelle!
Il sexécute donc et nous propose un sexe en demi-érection. Je cesse un moment de le chauffer en allant plonger dans la piscine en compagnie de Sève.
Je profite que son sexe soit redescendu pour lui demander:
- Tiens, Bru, tu nous amènerais des trucs frais à boire, tu serais un amour!
Il revient avec des sodas sur un plateau quil pose au bord de la piscine et sassoit au bord. Avec Sève, nous nous aspergeons avec des poses assez suggestives. Il a de nouveau un début dérection.
Je lui en fais la remarque:
- Dis donc, quelle bonne santé! Allez, ten fait pas, viens te rafraîchir dans leau.
Il calcule le pour et le contre, puis il nous rejoint et nous le chahutons un peu pour couvrir sa légère gêne à être dans cette situation. Jen profite pour lui toucher un peu la bite, mais il peut penser que cest dans le feu de laction. Il finit par débander.
Pour midi, cest Sève qui se dévoue pour aller préparer à manger. Je me lève pour me tartiner érotiquement de crème solaire. La bite de mon frère qui est allongé sur un transat se réveille devant mon malaxage de tétons, puis dentre-jambes.
Je continue mon mouvement en mapprochant de lui:
- Ça te fais bander, de me voir me caresser, hein? Mais cest tout à fait normal. Et je suis plus ouverte que Sève. Reste comme ça, jadore voir une belle bite qui bande pour moi, cest le meilleur de tous les compliments!
Il mobéit et sa bite se dresse fièrement alors que je branle franchement mon clito:
- Bel engin, mais décalotte ton gland. Oui, joli! Maintenant recalotte-le. Bien! Décalotte encore, encore, continue, en cadence. Ça fait du bien, non? Tu tes jamais branlé en pensant à moi?
- Euh, oui, cest vrai, Depuis la première fois que je tai vue en string.
- Eh, tu avais 12 ans à lépoque, si je compte bien! Et déjà le petit cochon se branlait en pensant à sa grande sur! Et Sève, ses gros tétons te font bander aussi?
- Eh bien oui, javoue, jai bandé en les regardant!
- Et là, tu nous imagines, hier soir, elle et moi, nues dans le lit, faisant des choses?
- Oh, Anna, tu pousses un peu loin!
- Allons pas de cachotteries! Tu tes même branlé, je parie?
- Bon, cest vrai, je me suis branlé en mimaginant avec vous deux.
- Oui, je vois ça
- Et pour info, nous nous faisions vraiment plein de choses cochonnes ensemble, histoire de se procure de beaux rêves
Son gland sort en cadence entre ses doigts qui sagitent de plus en plus. Je le provoque à fond en remuant de plus en plus mon bassin:
- Je mouille à fond, je vais me faire jouir. Profites-en aussi, fais-toi gicler!
- Hein, mais si Sève
- On sen fout, si elle revient avant la fin, elle naura quà repartir ou nous imiter!
Sans attendre, je me doigte, et chauffé à blanc, il sactive de plus en plus, puis je mapproche encore, juste devant le transat. Jai sa bite à portée de main, mais je me retiens de la toucher. Jen rajoute un peu en me passant la langue sur les lèvres. Des yeux et dun signe de la tête, je lui fais comprendre que je suis en train de jouir et quil peut se lâcher. Ça le déclenche et il éjacule un bon paquet qui aboutit sur son ventre. Je lui fais rapidement une caresse sur les couilles, puis je lui fais signe chut, et je vais me rassoir dans mon transat pendant quil essuie son sperme.
Quand Sève nous rejoint avec la salade, tout est revenu à la normale.
Elle me dit un peu plus tard quelle nous a vus faire, et quelle en a profité pour se branler derrière la fenêtre.
Samedi 20 juillet 1991
Aujourdhui, Ber arrive en début daprès-midi, quand mon père allait partir amener Bru à son entraînement de Bi-Cross.
Ber na aucun scrupule à se mettre en string, puisque ma mère, ma soeur et moi sommes déjà dans cette tenue. Il en a choisi un relativement sage qui fait tout de même tiquer mon père.
Cest quand ils sont partis que Ber lance la proposition daller plus loin:
- Bon, Anna ma raconté que vous faites du naturisme quand vous êtes seules, et Sève ma déjà vu à poil. Alors, si Rose nest pas contre, hein?
Et il vire son string sans attendre de réponse, révélant son service trois pièces bien épilé.
Tout est resté très correct, jusquà ce que Ber se laisse aller à bander un peu. Il a profité que Sève était sur le ventre et que je faisais semblant de somnoler derrière mes lunettes de soleil se lever pour aller dans la piscine et de passer devant ma mère le gland décalotté et la bite presqu'à l'horizontale en lui faisant chut avec un clin d'il. Ma mère n'a rien dit mais l'a suivi du regard. A sa sortie de l'eau, il était redescendu en volume. Je lui discrètement confirmé par signes que j'avais tout vu.
Nous sommes déjà revêtus au retour de mon père.
En fin daprès-midi, nous arrivons chez Valy ou il est prévu que nous dormions, la chambre de Ben étant libre car il est allé chez son père pour tout le week-end.
Ma cousine me confirme la nouvelle que Nico la quittée car il a été un peu dépassé par la tournure que prennent nos jeux. Dommage
De plus, je sais par Valy quil a eu dautres érections en famille, et que sa mère a protesté encore un peu pour le principe, mais de plus en plus mollement.
Marie-Lou est dailleurs maintenant très libre avec la nudité, puisquelle est a poil dans la cuisine quand nous arrivons et quelle na pas fait attention au fait que Valy navait rien enfilé pour venir nous ouvrir. Elle ne met pas dobjection à ma proposition de passer une soirée naturiste même si elle a lair toujours un peu gênée par la présence du matériel imposant et de lépilation de Ber.
Après le repas déjà bien arrosé, nous nous installons au salon avec un petit digestif. Valy qui a bien chargé sur lalcool, un peu pour oublier quelle vient de casser avec Nico, ce qui la prive (et nous avec) dune bonne bite, a un gros coup de pompe et décide daller se coucher.
Nous restons tous les trois dans les canapés, et comme lalcool nous a échauffé nous aussi, je fais partir la conversation sur le cul:
- Valy ma raconté ton incursion dans sa chambre lan dernier
- Ah bon, tu es au courant?
- Oui, est-ce que tu as essayé son vibro, comme elle te lavait proposé?
- Euh, ça me gêne un peu de parler de tout ça, surtout devant Bernard.
- Mais non, il connait ce genre de choses. Alors, oui ou non?
- Eh bien oui, jai fini par essayer récemment, parce que jétais vraiment en manque.
- Et cétait bon?
- Je dois reconnaitre que oui, mais je nose pas trop le lui emprunter.
- Tu devrais lui en parler, elle le partagera volontiers, je pense. Ou en acheter un rien quà toi. Comme ça tu pourras te branler tant que tu voudras.
- Oh, Anna, comme tu parles de ça! Mais cest vrai que cétait bon de jouir.
Bernard bande à fond et sest décalotté le gland, mais comme il est à côté delle et quelle est tournée vers moi, elle ne la pas vu. Jusquà ce quil attaque:
- Et jimagine que tu en préfèrerais un vrai, pas en plastique, non?
Elle se tourne vers lui en lui répondant:
- Cest certain, mais
Oh!
- Eh oui, de parler de tout ça, ça ma mis dans une forme olympique!
Je la rassure immédiatement:
- Allez Marie, tu en as déjà vu dautres. Et tinquiète pas pour moi!
- Euh, non, en fait, jai connu que celle de mon mari.
- Et aussi celle de Ben, et même très en forme, il parait
- Ah, Valy ta aussi raconté ça?
- On se raconte tout, en effet. Alors, ça te fait quoi de voir ton fils en érection?
- Pour être franche, ça me gêne un peu car je pense que cest à la vue de sa sur.
- Ou de sa mère! Et alors, cest flatteur dans tous les cas, non?
- Peut-être, mais tout de même. Bon, mais celle de Bernard est tellement
plus
- Grosse? Tu sais, tu peux la toucher pour mieux te rendre compte du volume!
Et Ber lui prend la main et la pose autoritairement sur sa bite. Elle hésite un peu à lempoigner franchement, mais elle ne se retire pas et referme ses doigts sur la tige.
Je la pousse un peu plus:
- Allez, naie pas honte, branle-le, il adore ça! Et je suis pas jalouse.
- Non, là, devant toi? Tu déconnes
- Mais non! Tu voudrait quand même pas le faire en cachette dans mon dos? Je vais même me branler pendant ce temps, la situation mexcite!
Je le prouve en commençant à me caresser ouvertement le clito face à elle.
- Oh, Anna, tout de même! Et si Valy redescendait?
Ber balaie son argument:
- Ça métonnerait, elle doit ronfler comme un diesel en ce moment. Allez, lâche-toi!
Finalement, elle est tellement excitée quelle sy met et le branle vigoureusement:
- Je le crois pas, ce que je suis en train de faire!
Ber la laisse faire un peu, puis il envoie sa main entre ses cuisses. Elle les ouvre sans hésitation et sabandonne à la vague de plaisir qui la submerge.
Il est temps daller plus loin. Ber lui demande une fellation, mais elle nous révèle quelle na jamais fait ça. Je laide à se lancer en allant magenouiller devant lui:
- Allez, je commence pour te montrer, et ensuite, cest à toi!
Elle me regarde le sucer, puis se décide et me rejoint. Je lui tends la queue quelle commence à lécher timidement avant doser gober le gland. Je partage équitablement cette pipe à deux, et elle senhardit en le prenant de plus en plus franchement en bouche. Je lui cède complètement la place et je moccupe delle.
Tant que je la caresse sur le corps, elle se laisse faire, y compris lorsque je lui malaxe les tétons et les fesses.
Elle a un petit sursaut de retrait quand elle sent mes doigts saventurer dans sa fente que je trouve bien humide:
- Oh, Anna, non, ça cest trop
Mais trop excitée maintenant, elle abdique complètement et je la chauffe tellement quelle se cabre de plaisir et cest ma langue qui remplace mes doigts.
Enfin, Ber nous fait arrêter et se glisse derrière elle pour la prendre en levrette.
Je me glisse sur le canapé devant elle et lui présente ma chatte.
Elle ne dit plus rien et me bouffe le clito en se laissant baiser à fond.
Elle jouit à nouveau et Ber lui annonce la figure finale:
- Et maintenant, une autre grande première pour toi, je pense. Tu vas me faire jouir en me suçant et tout avaler!
Elle le fait avec beaucoup dapplication et il éjacule enfin, ce qui la fait un peu . Mais elle garde tout et déglutit plusieurs fois avant de venir sécrouler près de moi sur le canapé.
Ber vient sassoir sur son autre côté et passe son bras sur ses épaules:
- Eh bien, Marie, tu as rattrapé le temps perdu, non?
- Ah oui, ça cest certain, et même plus encore! Javais jamais fait plus que recevoir les assauts de mon ex-mari, mais alors là
- Cest vrai, fellation, levrette, dégustation de sperme, échangisme avec ta nièce.
- Dit comme ça, quand jy pense, cest dingue ce que jai osé faire!
- Tu avais des talents cachés. Mais je my attendais un peu, ça doit certainement se transmettre dans les gênes, vu les talents de ta fille.
- Comment ça, les talents de ma fille? Ne me dis pas que Valy
Je prends le relais:
- Eh oui, tu as bien compris, on a fait ça avec elle aussi. Tu devais bien te douter quon sétait pas contenté de simple naturisme, vu ses changements dattitude, non?
- Euh, oui et non, je ne pensais pas que vous étiez allés jusque là.
- Et même à quatre, avec Nico pour tout te dire.
- Oui, maintenant que tu le dis, et vu ce qui vient de se passer, ça parait évident, tout ça. Je suis vraiment une grande naïve. Mais, comme apparemment vous vous racontez tout, jaimerais que notre petite aventure reste entre nous. Ça me mettrait vraiment mal à laise quelle le sache.
- Bon, je veux bien faire une exception à mes confidences pour ce qui concerne notre petit échange sexuel. Mais alors tu me laisse faire demain matin.
Et cest sur cet accord que nous allons tous nous coucher.
Dimanche 21 juillet 1991
Nous sommes toutes trois en train dattaquer le petit déjeuner quand Ber fait son entrée, nous gratifiant dune superbe érection matinale, tout gland dehors.
Valy jette un coup doeil intrigué vers sa mère qui ne réagit pas à cette vision:
- Mais, maman, comment ça se fait que tu ne dises rien, là, alors que tu en fais toute une histoire quand cest Ben?
- Oh, cest bon, je crois que je commence à me dire que cest la nature. Dabord ton frère que jai vu en érection plusieurs fois, puis Bernard hier soir. Et Anna ma raconté pour toi à Barcelo. Du coup, le mieux cest que je my fasse.
- Comment ça, hier soir, et raconté quoi?
Elle se retourne vers moi, mais je désamorce la situation:
- Oui, on parlait de votre mésaventure du vibro, et vu notre état débriété, Ber na rien contrôlé. Et contre toute attente, son érection a beaucoup fait rire ta mère, qui avait un peu picolé. Alors on a fini par lui avouer que tu lavais toi aussi déjà vu en grande bandaison chez nous, dans des circonstances identiques. Voilà toute lhistoire!
Sa mère et elle semblent soulagées par cette version. Ber profite quelles sont face-à-face à table pour passer derrière elles à tour de rôle et se branler dans le dos de chacune avec un gros clin dil à lautre. Comme ma tante est la première à aller prendre sa douche, il baise Valy debout devant le plan de travail et cest moi qui bénéficie de son éjaculation qui rejoint mon petit-déjeuner dans mon estomac. Puis nous allons enfin nous habiller pour repartir vers les Alpes, non sans les avoir invitées à venir nous voir.
A suivre
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