Terma 67 - Omar Le Rouquin (3) :

La seconde nuit démarra avec l’arrivée de Moussa, chargé de victuailles à 19h. Dès son arrivée, il m’entraina dans la chambre et il s’est dénudé, et moi aussi j’ai juste ôté ma gandourah. Alors, il allait prendre le relais de Sourdi dans mon cul, entrecoupé seulement du diner et de passages aux toilettes.
Il me sodomisa exactement comme la nuit précédente, deux le soir et la troisième à 3h du matin. Il commença par me niker par derrière. En donnant ses coups de reins dans mon cul, il m’interrogea sur ma journée avec Sourdi et comment et combien de fois il m’avait niké.
Ensuite, trop épuisé, il s’est endormi. Mais comme je restais éveillé, je suis passé à la douche. Et juste en sortant, tout nu, Si Sourdi, que je croyais endormi dans sa chambre, épuisé par ses cinq sodomies de la journée, m’a cueilli. Il était, lui aussi, nu et le zob bandé, gonflé à fond, à l’horizontal. Il voulait niker, et malgré mon étonnement, et Moussa endormi à coté, je l’ai suivi dans sa chambre, où, par deux fois, entre 3h et 5h du matin, à l’aube, Si Sourdi m’a sodomisé, une fois par derrière et une fois par devant avec éjaculations. Puis, assez épuisé, il s’est recouché et moi, me vidant un peu dans les toilettes, j’ai pu rejoindre Moussa dans sa couche. Quant, environ, deux heures plus tard, ce dernier se réveilla, il m’a trouvé à son coté, endormi, nu sur le ventre et le cul bien exposé à ses désirs. Cela a du l’exciter car tout de suite j’ai ressenti son zob qui me chatouillait les fesses et essayait de s’enfoncer dans mon cul, c’est ce qui m’a réveillé. Excité par ces attouchements, j’ai écarté largement mes cuisses et relevé mon derrière autant que je peux pour bien m’exposer au gros pieu puissant de Moussa. On était ensommeillés et chauds de corps tous les deux, alors il a tiré son coup rapidement avant d’éjaculer, ajoutant son sperme aux restes de celui de Si Sourdi. Puis il s’est douché avant d’aller au travail. Je me suis endormi de nouveau jusqu’à ce que Si Soudi me réveilla vers 11h.

Il était déjà sorti pour faire les courses et il nous a acheté de quoi nous restaurer. Puis, comme il fallait s’y attendre, son zob et ma Terma, étant affamés de plaisir, on s’est mis au lit pour notre sport favori et compléter nos sodomies de l’aube. Il était bien reposé, alors, il m’a bien niké et par trois fois et éjaculé autant. La première, classique par derrière comme d’habitude. J’étais à genoux sur le lit, le cul en l’air et lui, derrière moi, me pilonnait la Terma. Et après avoir éjaculé, on s’est nettoyé un peu, puis on a déjeuné. Ensuite, comme on était à table, encore tous nus et assis, l’excitation nous a reprit, surtout pour moi. Mais je voyais aussi que Si Sourdi, qui était sur sa chaise, avait le gros zob debout, à la verticale, donc affamé. Alors, je me suis levé pour aller m’assoir sur son zob. Les jambes écartées de part et d’autre de son corps, je me suis abaissé lentement en enfonçant son gros zob profondément dans mon cul, position que j’adorais beaucoup. Ce lent enfoncement nous a fait hurler de jouissances, malgré qu’on avait niké il y a juste un quart d’heure dans la chambre. Et, tout heureux, j’ai commencé à danser et à me mouvoir sur son zob, haut et bas, à droite et à gauche, avec délices et jouissances, de façon à bien toucher et ressentir tous les coins les plus sensibles de mon cul. C’est comme cela que j’obtenais, volontairement, à ma guise, le maximum de plaisir et que mon cul mouillait en déchargeant à fond son suc de désirs, comme une femme. Quant Si Sourdi sentit son top de jouissance arriver, il a collé son bas ventre contre mes reins, et enfoncé son zob au maximum dans mon cul, et juste après, il a éjaculé par trois fois avec des coups de reins à chaque pulsation.
Ensuite, on est allé, encore une fois, aux toilettes pour nous doucher. J’ai voulu qu’on se douche ensemble, sachant qu’ainsi, en savonnant son zob et ses couilles et lui ma Terma, sûr qu’on irait vers une nouvelle sodomie dans les toilettes. Mais il a refusé, me demandant de patienter avant notre retour dans la chambre.
J’ai pensé qu’il était fatigué. Mais comme j’étais excité à l’extrême par la vue de son zob savonné et monstrueusement brillant et mon cul qui brulait de désirs, j’avais besoin de niker encore et encore. Ainsi, dès qu’on est revenu dans la chambre et que son zob s’était en partie ramolli et courbé, j’ai plongé dessus et je l’ai caressé et sucé un bon moment jusqu’à le rendre complètement gonflé et dur comme auparavant. Et ainsi, Si Sourdi a été obligé de me niker une troisième fois, mais face à face, avec moi, couché le dos sur le lit. Un coussin sous les fesses, j’avais le cul bien levé et face à son zob quant il s’est installé entre mes cuisses. Puis, jambes et cuisses haut levées et largement écartées, je lui offrais une meilleure position pour me pénétrer. Alors, tenant son zob à la main, il l’a enfoncé droit dans mon cul jusqu’aux couilles par un geste violent et même brutal appuyé de son bruyant cri « han » de désir. Tout cela a provoqué en moi une explosion de jouissances, et j’ai hurlé la joie de ce plaisir brutal. Car mon cul a explosé et a déchargé son suc qui a inondé le zob de Sourdi dans mes entrailles et s’est infiltré à travers mon anus sur mes fesses. C’est vrai qu’on avait déjà niké par deux fois et avec beaucoup de jouissances, mais cette troisième sodomie, par ses multiples et violents mouvements du gros zob qui s’enfonçait sans ménagement dans mon cul, et ses puissants vas et viens rageurs de Sourdi, ont été à la hauteur de nos plus profonds désirs. Dès que son zob m’avait pénétré, Sourdi avait démarré directement ses vas et viens, rapides, accélérés et avec de violents enfoncements, rythmés de ses « han » haletants, qui ont eu les mêmes effets sur ma Terma et sur mes fantasmes, alors je gémissais en continu et criait à chaque coup brutal. J’avais perdu la notion du temps, plongé dans les délices des réactions de ma Terma et des caresses et baisers fous sur me seins et mon cou qu’il me faisait, poussé par les ondes de son zob. Mon corps n’existait que par le zob dont je suivait les mouvements dans mon cul et j’essayais de remuer pour augmenter mon plaisir, presque automatiquement.
C’est la brusque éjaculation, par trois fois, qui m’a réveillé de mon état d’inconscience. C’est grâce à son sperme chaud et visqueux dans mes entrailles, que j’ai ressentit, encore une fois, la vraie dimension longue et épaisse du zob qui se mouvait toujours dans mon fond. C’était si agréable et délicieux que je le souhaitais infini. Mais Si Soudi, qui m’avait niké ce matin et à la mi journée par cinq fois, était satisfait et rassasié de ma Terma, du moins pour le moment, il s’est donc retiré et tourné de l’autre coté pour s’endormir, et j’en ai fait autant à ses cotés. Vers 18h, on s’est réveillés, lavés, et après un casse croute et du café chaud, on a repris notre sport, face à face. Je pensais que Si Sourdi était fatigué, car il s’est assis seulement en pantalon de pyjama, au salon devant la télé, en attendant Moussa. Mais moi, j’étais encore excité du cul. J’avais aussi mon simple pantalon de pyjama, et je me suis assis à coté de lui. Puis, j’ai insisté pour lui sortir son zob et le caresser, puis le sucer et le rendre aussi gonflé et dur que souhaité. Il a essayé de m’empêcher mais j’ai résisté et en définitive, ça l’a assez excité. Je l’ai alors poussé à s’allonger et je me suis couché sur lui pour nous faire des caresses mutuelles. Puis, constatant qu’il répondait à mes caresses, je me suis accroupi encore une fois sur ses cuisses et je lui ai abaissé son pantalon jusqu’aux genoux pour libérer son zob et j’ai ôté aussi mon vêtement. Son zob, debout, était facile pour moi de l’empoigner et de l’enfoncer de nouveau dans mon cul. Mais Si Soudi a voulu réagir en maître, il m’a renversé et s’est mis sur moi. Puis il m’a fait lever et écarter les cuisses pour lui offrir mon cul par dessous mes couilles, et il m’a niké et éjaculé encore une fois, même si c’était moins puissant et moins abondant que la veille et que tout à l’heure. Comme je rigolais de joie d’avoir vaincu sa résistance, il a répondu à mon hilarité par un modeste sourire. Ensuite, on s’est nettoyé et on a attendu Moussa qui est rentré vers 20h.

Pressé par son zob, il a rapidement posé dans la cuisine, ses achats pour le repas du soir, puis il m’a tiré brutalement vers sa chambre. Et nus, comme à nos habitudes, et sans drap, nous avons niké pendant au moins deux heures. Il m’a sodomisé par derrière deux fois, presque en continu, ne s’arrêtant que pour bien vider ses couilles dans ma Terma et sur mes fesses. Puis, directement, il m’a reniké avec force et halètements et gémissements de jouissances pour éjaculer une seconde fois par trois fois, puis il s’est écroulé sur le lit. Ses couilles étaient certainement pleines à craquer pour faire ainsi. Moi, j’étais toujours d’accord. La présence permanente de son gros zob dans mon cul est toujours la bienvenue. Son sperme chaud et abondant m’a toujours enchanté car, en réalité dans mes fantasmes, il traduisait pour moi, le mâle, l’homme viril qui ensemence sa bien aimée, qu’elle soit une chatte ou une Terma. Puis on s’est douché et rhabillé, mettant juste nos gandourahs sur nos corps nus. Moussa a un peu discuté avec son parent sur la suite du programme. J’espérais qu’il y avait du nouveau pour la fête de ma Terma. Après le repas dressé dans la cuisine par Si Sourdi, nous sommes allés, tous les trois, dans la chambre de Moussa où on s’est déshabillé complètement.
Si Sourdi s’est couché sur le dos et moi, accroupi entre ses cuisses, je lui suçais le zob et les couilles et le branlait. De ma position, accroupi et courbé, Moussa en profita pour se positionner presque debout derrière moi et enfoncer son zob dans ma Terma. Il était en forme, son zob était dur et puissant, ce n’était que sa troisième sodomie dans mon cul. Alors, ses coups de reins me secouaient et m’aidaient à branler le zob de Sourdi avec ma bouche. Ce fut tellement excitant que Sourdi explosa le premier dans ma bouche, quoique faiblement. J’ai réussi à aspirer et à avaler une bonne partie de son sperme, perdant assez peu sur son ventre. Avant que je ne finisse de bien sucer et nettoyer la queue de Si Sourdi, voila que Moussa explosa derrière moi par trois saillis violentes dans mes entrailles. Cela a du être assez fort et jouissif pour lui, car il s’écroula sur mon dos, ce qui m’allongea de force sur la poitrine et les cuisses de Sourdi. J’imaginais que c’était un tableau formidable. Sourdi, couché sur le dos avec le zob dans ma bouche, moi en partie étendu sur sa poitrine et ses cuisses, la main sur son zob et Moussa couché sur mon dos, le zob enfoncé dans mon cul. Et des deux cotés, une abondance de sperme qui pulsait. Pendant que j’avalais celui de Sourdi, ma Terma avalait celui de Moussa. Nous sommes restés un moment dans ces positions, mais fatigante pour moi, alors je me suis dégagé de Moussa et me suis allongé à coté de Sourdi. Moussa est allé se nettoyer et se doucher. En principe, la nuit était pour lui, pour son zob, mais il vient de tirer trois fortes sodomies et trois abondantes éjaculations. Et, depuis quelques temps, j’avais remarqué qu’il n’était pas toujours le même qu’auparavant. Peut-être aussi qu’il avait des soucis professionnels. Alors, comme il a prit son plaisir en soirée, il a décidé de se coucher pour cette nuit et abandonner ma Terma. Son parent devrait en profiter, normalement, s’il avait assez de ressources. Pour Sourdi qui a niké plusieurs fois pendant la journée, la nuit devrait lui servir à dormir seulement, sans tirer un coup. Ma Terma, elle, était disponible en permanence. Mais il fallait d’abord se restaurer. Alors on est allé préparer le repas en cuisine et nous restaurer. Puis, installés au salon, on a suivi quelques programmes de télé et rapidement Moussa est allé se coucher.
Moi et Sourdi on a continué à suivre le film de la télé, mais après un moment, ma Terma n’en pouvait plus de ses démangeaisons et m’a rappelé à ses désirs. Alors, d’autorité, je suis allé m’assoir sur les genoux et cuisses de Sourdi, allongé sur le divan. Je n’avais que ma gandoura que j’ai d’ailleurs soulevé pour dénuder mon derrière et ainsi, assis sur les cuisses de Sourdi, je ressentais son zob qui se réveillait et s’allongeait, sous son pyjama. C’était encourageant pour ma Terma, le zob de Sourdi semblait être capable. Alors, n’y tenant plus, je me suis levé et j’ai enlevé le pantalon de pyjama de Sourdi, libérant un gros zob qui était déjà assez gonflé pour débuter une sodomie. Puis, je l’ai empoigné et, en m’assayant de nouveau sur ses cuisses, j’ai réussi à pousser son zob dans mon anus et je me suis assis complètement dessus, l’enfonçant ainsi dans ma Terma jusqu’aux couilles. Sensation merveilleuse, ma Terma avait englouti le gros zob debout, vertical et gonflé. Et en remuant un peu mon derrière, le gos zob chatouillait mon intérieur d’une façon délicieuse, affolante. Penché un peu en arrière sur la poitrine de Sourdi qui a profité de ma nudité pour me saisir à deux mains les seins et les caresser et peloter à sa guise, j’ai fermé les yeux et me suis abandonné au plaisir et aux jouissances qui faisaient vibrer mon bas ventre. Nous sommes restés ainsi, presque immobile, mais le plaisir montait crescendo, petit à petit dans mon cul et dans le zob de Sourdi. Je le sentais nettement, ce plaisir, ce gonflement perceptible et supplémentaire du zob, provoqué par le plaisir qui montait de ses couilles. Et ce gonflement du zob me donnait à l’intérieur du cul un mouvement d’écartement de mes entrailles qui, à leur tour, provoquaient en moi ces jouissances qui s’amplifiaient. On est resté un long moment comme ça, sans vraiment bouger, mais, à l’intérieur, nos deux organes vibraient et se donnaient du plaisir. Enfin, Sourdi comprit que son zob a atteint son point maximum, alors il me donna un coup de rein, un coup de bélier, m’informant qu’il allait jouir et éjaculer. Je me suis soulevé légèrement sans quitter le corps de Sourdi mais seulement pour libérer les mouvements possibles de ses cuisses et de ses reins. Il pouvait ainsi donner à mon cul des coups de zob à sa guise. J’étais maintenant presque debout, mais complètement courbé, les cuisses largement ouvertes et le zob enfoncé au cul. Alors Soudi, dans un effort des muscles de son bas ventre, réussit à se lever complétement, gardant son zob dans mon cul. Et debout, il commença à me pilonner avec rage, en s’accrochant à mes hanches et secouant tout mon corps. Mais j’étais en position malaisée, alors en me retournant, j’ai réussi à m’appuyer des mains sur le dossier du canapé. Et Sourdi, qui était toujours debout derrière moi, avec son zob entièrement incrusté dans mes reins, continuait sa danse de vas et viens rageurs. Et ainsi, il continuait à me niker avec autant de violence et de passion qu’il pouvait et désirait, car il savait que je commençais à gouter et aimer cela. Et il s’en acquitta à merveille, ses coups de reins me secouaient tout le corps et on gémissait et haletaient en phase. Malgré les multiples sodomies de la journée, il était encore résistant. Soudain, il explosa dans mon cul et éjacula avec puissance par quatre fois avec un coup de bélier à chaque fois et m’inonda les entrailles de son brulant jus. C’était impossible puisque la dernière éjaculation était faible même celle que j’avais sucé. Alors, il a du se recharger pendant les sodomies de Moussa. Quant il a fini, il est resté accroché à moi sans bouger et, comme les autres fois, ce fut un supplément agréable dans mes jouissances. Je goutais toujours ce moment de calme mais de remplissage de mes entrailles et la présence du gros zob calmé et qui me possédait entièrement. Ensuite, assez reposés, on s’est détaché et Sourdi, prévoyant et me surprenant, m’a mis un mouchoir entre les fesses pour éviter au sperme de couler sur le canapé. Je ne sais même pas d’où il l’a tiré, pourtant il était tout nu. Cet homme m’étonnera toujours et en tout. Alors, avec ce chiffon au cul, j’ai couru vers la salle de bain où je me suis vidé au bidet et nettoyé. C’était bien un grand mouchoir bien encadré et avec des fleurs dessinées dessus. C’est une bonne habitude que je vais adopter dans certains cas à l’avenir.
Et c’est ainsi que nous avons passé les trois jours et les trois nuits à notre aise, sans complexe et sans restriction. Ma Terma a supporté tous les assauts multiples des deux hommes et avalé leur sperme et les deux hommes ont satisfait leurs zobs dans tous leurs besoins et désirs. On a décidé de programmer d’autres séjours du même genre plus tard. Ensuite, Si Sourdi est parti chez lui et moi, j’ai continué mes séances avec Moussa, parfois dans le fond du magasin quant sa famille est présente et parfois dans son propre lit, en l’absence de sa famille. Mais, hélas, toute belle chose a une fin.
Un jour, ma femme a découvert le pot au roses, mes nuits de sodomies avec Moussa. Je ne sais pas comment, mais elle m’a fait espionner par un professionnel qu’elle a payée. Celui-ci, a réussi à se procurer le double de la clé de la maison de Moussa. Il a attendu que nous soyons couchés ensemble et nus, moi et Moussa, et qu’il me sodomisait bruyamment, pour pénétrer dans la maison et prendre plusieurs photos de nos ébats sans qu’on ne le découvre. Ces photos, ma femme me les a montrés (les doubles) plus tard. Moussa, monté sur mon dos, le zob dans mon cul, ou moi couché sur le lit et le zob de Moussa, me pénétrant sous les couilles, ou moi suçant et branlant le zob de mon ami et pas mal d’autres dans ce genre. Je savais que ma femme allait agir et j’attendais le pire.

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