Une Famille Or (14)

Lundi 22 juillet 1991

Depuis ce week-end, nous avons des voisins au-dessus.

C’est un jeune couple, Marc et Sylvie. Nous avons eu l’occasion de discuter avec eux dimanche après-midi pendant leur emménagement. Nous avons même proposé un coup de main qui a été accepté sans chichis.
Il est représentant en matériel d’atelier et a été nommé sur le secteur Alpes du Sud.
Pendant qu’il sera tous les jours en tournée, elle compte chercher du travail de secrétaire ou de vendeuse.

Ce matin j’entends du bruit à la fenêtre de leur cuisine. Un discret coup d’œil m’indique que Sylvie étend une lessive. Je me dis que c’est l’occasion rêvée.
Je sors à poil sur le balcon pour arroser les plantes. Je prends bien mon temps, puis je lève la tête comme pour observer le ciel et fais mine de la remarquer enfin:
- Oh pardon, je ne savais pas que tu étais là, sinon, j’aurais mis un maillot. Nous sommes naturistes, et jusque-là il n’y avait personne à votre place.
- Euh, ça fait rien, ça me gêne pas, fais comme tu as l’habitude.
- Merci, c’est cool. Tiens, si tu descendais boire l’apéro dans un moment?
- Volontiers, j’arrive dans un petit quart d’heure.

Je suis toujours nue pour lui ouvrir, et elle marque sa surprise:
- Oh, je croyais que tu allais mettre quelque chose!
- Tu as dit que ça te gênait pas, mais je peux enfiler un T-shirt, si tu y tiens.
- Non, ça va, tu as raison, je suis pas si pudibonde, et maintenant qu’on y est…

Nous nous installons face à face dans le salon, et je laisse mes jambes grandes ouvertes. Elle finit par oser me dire:
- Tu sais, dans cette position et avec ton épilation, euh, totale, je te vois… tout. Tu pourrais juste resserrer un peu les jambes, s’il te plait? Je me sentirais plus à l’aise.
- Excuse-moi, j’y fais plus attention. Elle te choque vraiment, mon épilation?
- Euh, en fait, c’est assez mignon, mais bon, c’était surtout ta posture…

Voilà une nouvelle piste à explorer.




Mardi 23 juillet 1991

Nous avons décidé avec Flo d’insti le jour du mardi comme celui de la pizza.

Cette fois, c’est moi qui vais ouvrir à Damien. Evidemment, je suis à poil et ça l’intimide visiblement encore. Il est tout crispé quand je m’approche de lui.

Je lui prends les pizza et Flo vient l’embrasser aussi, toute nue:
- Allez, Damien, ne fais pas cette tête, tu nous as déjà vues comme ça, non?
- Euh, oui, mais j’y suis pas habitué. Ça fait bizarre de vous voir comme ça.
- Oh, tu as certainement déjà vu des femmes nues, au moins en photos…
- Euh oui, mais pas en vrai. Et en plus tu es ma tante.
- Justement, ça reste en famille. Donc détend-toi! Tu veux boire quelque chose?
- Je sais pas si j’ai le temps.
- Attend, je demande à ton oncle s’il a besoin de toi en urgence.

Flo passe un coup de fil à Pierre qui est dans le coup et donne son aval:
- C’est bon, il a dit que tu pouvais prendre ton temps. Il appellera s’il a une commande urgente à livrer.

Finalement, nous lui proposons d’en manger un morceau avec nous et il accepte. Nous le faisons donc installer dans le canapé et elle va chercher des boissons fraiches pendant que je coupe la pizza. Il reste assez tendu en jetant des regards furtifs sur nos centre d’intérêt tout le long du rapide repas.
Mais lorsqu’il s’en va, il s’est un peu habitué à la situation et semble plus relâché.


Mercredi 24 juillet 1991

Sylvie me voit à nouveau sur mon balcon, et cette fois c’est elle qui me propose de monter boire un verre.
Pour ne pas en faire trop, je mets tout de même quelque chose sur moi, mais le minimum: un string de bain et un débardeur court très échancré.
Elle le note en m’ouvrant:
- Mais Anna, t’as pas peur de croiser quelqu’un dans les escaliers?
- Et qui ça? Tu habites au troisième, moi juste dessous, et celui du quatrième n’est jamais là en journée.
Quant à ceux du premier, ils ne montent jamais au-dessus. Et puis quoi, c’est juste une tenue de plage, non?

Elle m’installe dans le canapé du salon et nous sert à boire. Comme elle est en jeans et T-shirt par cette chaleur étouffante, j’attaque:
- Et toi, t’as pas chaud comme ça?
- Si un peu.
- Un peu? j’ai déjà trop chaud avec mon débardeur. Tu permets?

Je commence par enlever le débardeur. je continue par le string, mais elle réagit:
- Stop! J’aimerais que tu gardes au moins le string ici.
- On va faire un marché. Je le garde si tu t’y mets toi aussi, sinon, j’enlève tout.
- Tu exagères, j’ai pas l’habitude, moi.
- Tu vas pas me dire que t’es jamais à poil chez toi?
- Non, seulement quand je sors de la douche ou quand je me change.
- Alors tu devrais en profiter pour essayer. Allez, en string.
- De toute façon j’ en ai pas en maillots, j’ai que des strings de lingerie.
- C’est pareil, et on est juste entre nous. Allez, exécution!

Elle s’éclipse à la chambre et revient avec un brésilien en dentelle. Elle a des petits seins pommés avec de gros cabochons. Je la laisse s’asseoir, et je reprends:
- Là, t’es pas mieux comme ça, par cette fournaise?
- Oui, c’est vrai que j’avais vraiment chaud. C’est idiot, hein, ces habitudes?
- Je te le fais pas dire. Et c’était dommage de cacher tes seins, ils sont superbes.

Je ne vais pas plus loin pour cette fois, mais je constate que ses tétons ont pointé un bon moment au début. Nous prenons rendez-vous chez moi pour venir manger le lendemain midi.


Jeudi 25 juillet 1991

Nous avons décidé de la piéger aujourd’hui.
Elle n’est pas au courant que Ber doit venir nous rejoindre, et donc elle arrive un peu avant midi pour prendre l’apéro.
Je la reçois à poil, mais comme elle s’y attendait certainement, elle ne dit rien. Je lui propose de profiter du soleil sur le balcon, mais elle n’avait pas prévu ça:
- J’ai oublié de prendre un maillot.
Je remonte le chercher.
- Pas la peine, je t’en prête un!

Je vais chercher un string de bain pas trop mini et je lui tend:
- Et voilà, tu es parée!

Elle n’ose pas refuser et l’enfile.

Au bout d’un moment, je lui dis:
- Allez, laisse-toi aller, et vire le string! Tu vas voir, tu vas finir par trouver trop agréable de vivre à poil.

Elle finit par accepter et me dévoile un joli petit triangle de poils taillés ras.
J’en profite pour lui exhiber mon minou tout lisse en gros plan:
- A propos de poils, tu devrais essayer de t’épiler un peu plus, Marc devrait apprécier.

Elle commence à bien se détendre, aidée par un troisième verre, quand Ber fait enfin son apparition. Sylvie ne sait pas où se mettre quand il vient lui faire la bise:
- Bon, puisque je vois que tu as adopté les usages de la maison, je vais pas m’embarrasser de chichis. Tu manges avec nous, je suppose?

Sylvie est toujours écarlate quand il revient à poil de la chambre.
Comme elle ne peut plus reculer, c’est entièrement nus que nous passons à table.
Elle finit par se décontracter, surtout que tout reste très soft, Ber réussissant à ne pas bander bien qu’il ait décalotté son gland et que sa queue ait pris un certain volume.
Elle n’ose pas poser de questions sur l’épilation de Ber qui met en valeur son service trois pièces imposant, mais je vois qu’elle y jette souvent des regards.


Vendredi 26 juillet 1991

En fin de journée, nous recevons Marie-Lou, Valy et Ben.

Ma tante devait monter seule, espérant certainement une nouvelle expérience, mais mes cousins ont insisté pour venir. Elle a essayé d’évoquer le problème du couchage, mais Ber a proposé de ne pas se gêner, on trouverait bien à se caser, et donc ils sont là tous les trois.
Evidemment, nous les accueillons à poil d’entrée de jeu en leur décrétant que c’est la règle chez nous. Comme ils en ont maintenant l’habitude chez eux, il nous imitent.

Je note au passage que mon cousin a éradiqué totalement ses poils pubiens.

Ma tante est un peu gênée pendant l’apéro par un début d’érection de Ben que tout les autres feignent d’ignorer. Il faut dire que je l’ai un peu allumé au passage…
Pendant le repas, il est décidé que nous nous partagerions les couchages au mieux: les filles dans le lit de la chambre, les garçons dans le convertible. Nous nous levons pour nous aller nous coucher. Alors que Marie-Lou y est déjà, Ber va à la salle de bain en disant qu’il va se brosser les dents. Un moment plus tard, elle ressort un peu troublée, suivie de peu par ber qui nous gratifie à son tour d’une bonne érection.
Il a du se passer des choses…

En tant que maîtresse de maison, je me mets au milieu du lit. Comme c’est un lit de taille standard, nous sommes assez serrées et nos corps se frôlent à chaque petit mouvement. Je sens que Marie-Lou n'est pas très à l'aise car elle s'écarte sans cesse de moi. Par contre, Valy me colle bien, en manque depuis qu’elle n’a plus que Ben pour la satisfaire, mais elle n'ose pas aller plus loin que de prendre en main un de mes seins.
Moi au contraire, je m’amuse comme une petite folle à caresser furtivement chacune à l’insu de l’autre avant de les laisser dormir.


Samedi 27 juillet 1991

Ce matin, Ber arbore une belle vraie érection totalement décalottée lorsqu’il fait son apparition, mais personne ne lui en fait la remarque, pas même ma tante. D’autant plus que je chauffe discrètement Ben qui se retrouve rapidement dans le même état. Ber profite d’un moment où nous sommes seuls dans la salle de bains pour me raconter ce qui s’est passé avec ma tante hier soir. il a commencé à la doigter par derrière pendant qu’elle était au lavabo, mais elle n’a pas voulu qu’il la prenne, il a juste réussi à se faire un peu branler avant de revenir au salon. Comme je n’ai pas les mêmes préjugés, je me fais bien baiser sous la douche en clamant fort ma jouissance. Je vois en ressortant sur les visages de tous que nos ébats ne sont pas passés inaperçus!

Pendant que Ber va bosser à l'Auberge, nous allons au plan d'eau, et Valy m’aide à persuader sa mère de se mettre en string, tandis qu’elle et moi mettons des slings.
Du coup, Ben accepte de ne pas être en reste et il enfile un des strings de Ber.
Nous y retrouvons Flo qui complète le groupe des fans de la ficelle dans les fesses. Personnellement, celui que j’ai mis n’est guère plus que trois ficelles, justement…

Le soir, après un bon apéro, Marie-Lou se propose pour faire la cuisine.
Nous la laissons s’en occuper tout en nous resservant un verre.
Au bout d’un moment, Ber remplit le verre de ma tante et se lève, en demi-érection:
- C’est pas sympa d’oublier la cuisinière! Je vais trinquer avec elle.

Il va à la cuisine et y reste un bon moment. Quand il revient, il est toujours dans le même état, plus le gland décalotté. Il ne s’en excuse même pas et se rassoit sans gêne dans le canapé à côté de Valy. Ce qui ne dépare pas, car pendant son absence nous avons tripoté Ben qui bande franchement et ne cherche pas à le cacher.
Marie-Lou qui revient avec le plat fumant marque un temps d’arrêt en découvrant leur état, mais elle ne fait aucune remarque et vient faire le service.
Après le dîner, les deux bites sont plus ou moins au repos quand tout le monde se lève de table. Ber profite que nous somme tous les deux à la salle de bain avec nos brosses à dents pour me raconter ce qui s’est passé dans la cuisine:
- J’ai commencé à me frotter contre ses fesses, et elle a un peu protesté à cause de la proximité de ses s. Mais comme ça l’avait excitée à mort, je l’ai persuadée que personne ne risquait de venir, et elle s’est laissée prendre en levrette jusqu’à prendre son pied en silence. Je l’ai convaincue de me sucer si elle voulait éviter que je revienne totalement raide au salon et elle a fini par tout avaler. Mon reste d’érection était d’autant plus acceptable que Ben était plus en forme que moi.

De me raconter ça l’a remis en totale érection, mais personne ne lui en fait la remarque quand nous revenons au salon avant d’aller nous coucher. Ber profite que Marie-Lou s’en va la première vers la chambre pour se faire un peu sucer par Valy. Evidemment, ça met Ben en érection et je lui applique le même traitement vite fait, puis avec ma cousine nous les laissons en plan pour aller nous coucher.
Je me mets à nouveau au milieu du lit, et je profite encore de ma place privilégiée pour envoyer mes mains en exploration à droite et à gauche.
Valy me laisse la doigter sans hésiter, car elle mouille déjà à cause de notre petite séance avec les garçons, tandis que Marie-Lou commence par me repousser discrètement. Mais j’insiste, et comme elle à peur de se faire remarquer en remuant trop et que ça doit aussi la démanger un peu suite à son aventure avec Ber, elle finit par me laisser faire.
Elles sont très concentrées à ne pas gémir, et ne se rendent pas compte que je m’occupe parallèlement de l’autre.

Au bout d’un moment, je juge que Marie-Lou est à point pour aller plus loin, mais qu’elle n’osera jamais d’elle-même. Comme Valy s’est décidée à me rendre mes caresses, je prends la main de ma tante et l’attire vers mon clito. Elle résiste mollement, puis me caresse enfin le bouton.
C’est la stupeur des deux côtés quand leurs doigts se rencontrent.
Pour éviter qu'elles se retirent, je les retiens par les poignets, et finalement elles me branlent à deux. Je me relève et repousse la couette. Je les branle pendant qu’elles s’activent à deux mains entre mes jambes et quand elles sont bien lancées, je me lève du lit et je les amène à se branler mutuellement.
Puis je me mets à cheval sur la bouche de Valy qui n'hésite pas à me brouter devant sa mère dont moi-même je m'occupe activement à déguster le clito. Une fois qu'elle est bien lancée, ce qu'elle exprime un peu bruyamment d'ailleurs sans s'en rendre compte, je me retire à nouveau et je fais mettre Valy en soixante-neuf sur sa mère.
Je les stimule en les caressant, puis comme elles s'y mettent franchement, j'allume la veilleuse pour profiter au maximum du spectacle et je me branle debout devant elles.
Elles finissent par jouir, et se remettent de cette séance dans les bras l'une de l'autre. Je les rejoins en éteignant et nous nous endormons rassasiées.


Dimanche 28 juillet 1991

Ce matin, Marie-Lou n’a pas le temps de se sentir gênée par notre fantaisie de la nuit, car Valy et moi la réveillons par le bruit et le mouvement de nos ébats à ses côtés. Nous lui faisons signe de nous rejoindre et elle s’abandonne sans retenue.
Nous allons ensuite vers la cuisine pour prendre le petit-déjeuner.
Au salon, nous trouvons les mecs déjà debout, et qui nous accueillent avec du bon café et de solides érections qu’ils branlent franchement. Marie-Lou ne sait pas quoi dire ou faire en les voyant faire ça ouvertement devant nous.
C’est moi qui brise le silence sur un ton de plaisanterie:
- Dites donc, les gars, vous êtes en grande forme ce matin! C’est la chaleur?

Ber me répond sans aucune gêne et en ralentissant juste son mouvement:
- C'est surtout de votre faute. On vous a entendu vous faire plaisir cette nuit, et encore tout à l’heure. C’était bon pour vous, on dirait!

C’est encore moi qui lui réponds:
- Oui, excellent même.

Il ajoute, nous exhibant sa bite turgescente sans aucune honte:
- Alors, ment, nous on n'en pouvait plus et on s'est fait un petit concours de branlette hier soir. C’est Ben qui a perdu, il a giclé le premier! Et ce matin, comme on vous a entendues en train de jouer la revanche, on allait lancer la belle!

Il continue sa branlette, puis caresse un peu le gland de Ben qui lui rend la pareille, au grand dam de Marie-Lou qui est abasourdie par la tournure que ça prend.
Je décide d'en profiter immédiatement:
- Pourquoi pas, mais Valy et moi allons arbitrer le match!

Je vais vers eux et caresse les couilles de Ben. Valy n'hésite pas un instant. Elle va s’occuper de Ber, ayant du retard à rattr depuis la perte de Nico.
Marie-Lou est sidérée et n'ose rien dire. Elle ne réagit pas plus quand nous commençons à prendre nos aises en les branlant, puis en les suçant sans retenue.
Au bout d'un moment, Ber se dégage et va lui mettre d'autorité sa bite en main:
- Allez, c'est toi l'invitée d'honneur, profites-en un peu, quoi!

Elle résiste un peu, mais finalement, comme nous l'encourageons, elle se lance et il l’emmène vers le salon pour s’installer plus confortablement dans le canapé. Il la fait agenouiller devant lui et se fait pomper.
Nous les suivons et Valy vient m’aider à sucer Ben qui s’assoit à côté de Ber.
J'attends que ma tante soit bien dans l’ambiance pour me mettre à lui doigter le clito pendant que Ben vient me prendre en levrette.
Valy s’assoit à côté de Ber et lui caresse les couilles tout en se branlant.
Au bout d'un bon moment, Marie-Lou a un bel orgasme, et nous changeons de position. Ber la prend en levrette pendant qu'elle me déguste la chatte.

Ce n'est qu'au bout d'un certain temps qu'elle se rend compte que Ben est en train de baiser Valy qui s’impatientait. Mais elle a atteint un stade où elle a abdiqué complètement sous les vagues de plaisir, et ça ne la fait même plus s’offusquer.
C'est à peine si elle grogne un peu quand Ben vient prendre la place de Ber, et finalement elle lèche sans hésiter la chatte de Valy qui m’a remplacée devant elle.
Quels progrès: elle se fait baiser par son fils en suçant le clito de sa fille!

Après que Valy ait eu encore droit à la bite de Ben, c'est encore Marie-Lou qui a droit à une première. Ber qui s’était repositionné derrière elle l’encule par surprise, et étonnamment, ça rentre assez facilement et elle a l’air d’apprécier.
Ben en profite pour se faire sucer par sa mère pendant que Ber lui bourre le cul et finit par tout lâcher au fond.
Enfin, Valy et moi partageons le sperme que ma tante laisse échapper sur ses seins lorsque Ben éjacule.

Il y a bien un moment de gêne quand la tension retombe, mais elle encaisse assez bien ce changement de rapports entre nous tous.
Puis Ber part à l’Auberge et nous prenons notre temps jusqu’au déjeuner.
Quand ils repartent en fin d'après-midi, je sens bien qu'elle se demande comment elle va gérer toutes ces nouveautés à la maison.

A suivre…

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