Le Corbeau En Remet Une Couche...

Alors que je ne l’attendais plus, je reçu un nouveau message du corbeau. Qui m’inviter de me rendre de nouveau le mercredi suivant à la même adresse que la fois précédente. Sauf l’heure changea.
Je contournais la clôture, que j’enjambais facilement, pour rejoindre mon poste d’observation. D’où je pouvais voir et entendre ce qui se dérouler dans la pièce. Je vis un homme. Maigre la soixantaine, l’air vicelard. Comme je vis aussi ma femme revêtue une parure sexy. Le vieux la dévorait des yeux.
Sous l’ordre de Madame Durand, ma femme s’allongeait sur le divan. Le vieux la bave aux lèvres, le regard allumé, prit possession de ma femme, tranquillement, sûr de son plaisir. Il approcha son nez du ventre. Il la reniflait comme un bouc. Il tenta bien de l’embrasser, mais ma femme détourna la tête. Cela le fit ricaner. Mais le vieil homme s’en fou comme le l’an 40. IL se mit à embrasser les autres parties du corps. Devant les yeux écarquillés du vieux, Madame Durand fit descendre la culotte de ma femme. Le tissu noir glissa sur les longues jambes. Ma femme exhiba sa grosse moule gonflée. Le mec en profitait pour humer le pubis. Il savoura. Il ne pouvait que constater que ma femme était toute chaude, comme elle l‘était lors de nos jambes en l‘air. Toute prête à le servir. Il l’attrapait par un genou pour la faire se tourner. Il voulait la culbuter par-derrière, le fripon. Docile, elle se mit en position. Elle ne lésinait sur rien la salope. Appuyée sur les avant-bras, elle tendait même sa croupe. Écartant ses longues cuisses potelées. Dans cette position, elle exhibait à qui voulait le voir, ses orifices comme jamais. Sa fente poilue s’offrait à la vue. Elle bavait de plus belle. Une belle entaille rouge dans un écrin de poils.
Madame Durand se mit à caresser l’intérieur des cuisses de ma moitié, ainsi que le ventre et les fesses. Tenant la boule poilue de la vulve dans sa main. Elle fit glisser son pouce entre les babines gluantes pour l’enfoncer par la suite dans le vagin.

Le premier réflexe de ma femme, fut de pousser des cris. Le vieux pervers n’était pas dupe. Il jouissait du spectacle présenté et semblait très bien savoir à qui il avait affaire. Il tomba à genoux, contempla le cul épanoui. L’anus ouvert dévoilait ses plis roses, juste au-dessus de la bouche lippue que formaient les grandes lèvres. Plus bas, net, provocant le clitoris dépassait comme un petit doigt.
Le vieux s’empara des fesses. Son nez buta contre l’anus aromatisé. Il lui bouffa la chatte, tout en grognant d’aise. Sa langue virevoltait dans la large fente dont il dégustait les saveurs. Elle mouillait comme une collégienne. Poussant des grognements de contentement. Elle était du genre à aimer les lèches intimes. Et ne se gênait pas à l’exhiber. Elle agitait lubriquement les reins comme pour l’encourager à prolonger son œuvre.
- Oui… sucez-moi, sucez-moi !
Madame Durand se positionna sur le côté. Elle saisit les grosses lèvres et ouvrait, mettant à nu les chairs les plus sensibles. Je sentais dans ses gestes que ce n’était pas la première fois qu’elle l’exécutait. Ma femme piaillait de plus belle. Le vieux ne se priva pas d’aspirait le bourgeon dardé. Ma femme annonçait par des hoquets qu’elle était sur le chemin l’amenant à l’orgasme. Le vieux libertin interrompit ses coups de langue, pour se redresser et sortir sa queue de son pantalon.
Un calibre brun foncé. Un beau calibre. Madame Durand se saisit de ma queue et la branla. Ma femme suivit les événements, intéressée. Je la sentais qu’elle poussait dans son corps, dans son ventre, pour ouvrir davantage ses orifices. Sans attendre le vieux empoigna les fesses de mon bien aimé. D’un seul coup avec un râle de bien-être, il la fourra dans le vagin dilaté. Qui engloutit l’intrus.
Elle se laissa aller à pousser un pleurnichement. Elle balançait de voluptueux coups de croupe pour mieux s’embrocher sur la queue. Le type rentrait et sortait de la chatte béante qui contiendrait bien une bite de plus.
Il pétrit les fesses qui palpitaient. Le vieux se retira. Sa verge luisante de mouille avait encore poussée. Madame Durand s’agenouilla à côté d’elle, caressa ses seins. Puis elle se pencha sur le ventre de ma femme et la saisit par les cuisses. Elle fit signe au vieux de l‘aider. Il prit ma femme derrière les genoux et appuya avec ses bras. Il la maintenait, cuisses largement écartées, reins en l’air, croupe exhibée. La chatte déployée. Les grandes lèvres ouvertes semblaient deux grosses limaces.
Il amena sa queue entre les fesses de ma femme. Qui ne se priva pas de diriger la pénétration. Alors que les doigts de madame Durand guidaient la bite toute gluante sur la corolle mauve. Impatient le vieux donna un coup de reins. Aucune résistance. Le trou céda. Le pénis s’engouffra dans le fourreau. Aspiré, avalé par la gloutonnerie de ma femme. Le vieux laboura le cul. Introduisant sa queue n’importe comment. Utilisant plusieurs angles de perforation. Écartant au maximum les parois élastiques. Des bruits de ventouse coupaient la plainte continue, saccadée, de la sodomisée qui ouvrait de grands yeux de merlans frits. Le type reniflait avec délectation les effluves qui montaient du cul. Alors que ma femme haletait sans retenue. D’une voix méconnaissable. Secouait la tête comme une possédée. Se pinçait les mamelons à se faire mal.
Comme par magie, Madame Durand sortit un double gode de nulle part. Elle s’empressa à fourrer dans la bouche de ma femme. Qui gloussait de façon grotesque. Elle fit coulisser le gode entre ses lèvres. Quand Madame Durand le lui reprit, le silicone brillé dans la lumière.
Elle l’amena jusqu’à la fente de mon épouse, tendis que le second plus fin se nichait en place dans la raie profonde de son derrière. Elle l’enfonça dans son antre de quelques centimètres. Distendant à nouveau les parois élastiques. Puis madame Durand s’immobilisa, admirant son œuvre avant de placer l’autre bout au centre de l’orifice anal.
Dans le cratère mauve dilaté, bien humecté par l’enfilade précédente.
La maîtresse des lieux pesa sur le phallus à l’entrée de l’anus, qui commença à s’enfoncer simultanément avec son frère dans l‘autre orifice. Une fois que le gode fut entièrement engloutit, elle se mit à lui pistonner le cul et le con à grands coups vicieux. Ma femme pour ne pas changer, haletait. Le double gode entrait et sortait de ses orifices à une vitesse affolante. À ne plus voir la main qui le manœuvrer.
Il m’en fallait pas plus à imaginer deux hommes, des hommes la pinant sauvagement en même temps. Ces images vicieuses décuplaient mon excitation. Surtout que le vieux avait remis sa queue dans le cul de ma femme. Les yeux luisant de vice, il martelait l’anus à en avoir une crise cardiaque.
Pendant ce temps Madame Durand enfonça le double gode dans le vagin et le branla énergiquement.
L’impact fut immédiat. Ma femme poussa un râle bestial. Elle releva sa croupe pour l’offrir en offrande. Le vieux continuait sa chevauchée, alors que Madame Durand synchronisait sa manœuvre. À celle de la bite du vieux. Avec plus de profondeur, d’amplitude. Elle le retira pour mieux le replanter l’instant d’après. C’en était trop pour ma femme qui agonisait de plaisir. Un plaisir tel qu’il la défigure, lui donnant un masque de souffrance.
Les deux sexes, le factrice et le vivant se cognait, distendant les chairs, les sphincters, les muqueuses. Son rectum et son vagin ne faisait qu’un. Ma femme jouissait. L’orgasme la foudroya. À en tordre ses pieds. Elle ne respirait plus, alors que cul transpercé s’agitait. S’en était trop pour le vieux, qui se mit à délirer à son tour.
- Je vais jouir… putain de vais jouir… je le sens… ça vient…oui ça vient ! Oh oui ! Oh oui… que c‘est bonnnnnnn….
Il ne mit pas longtemps pour descendre de sa monture. Ce laissant au pied du divan. Alors que ma femme cuvait son orgasme, allongée sur les coussins. De l’anus coulait un jus épais qui se perdait dans ses poils...

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