Collection Cocu. Sophie. Début De La Saison Ii (6/10)
À la fin de la saison I, je suis assise entre deux chaises.
Tromper ou ne pas tromper Damien mon mari.
Pour ma décharge, il semble oublier que je suis sa femme.
Sexuellement bien sûr.
Pour le reste, il se met à table attendant que je le fasse comme les trois quarts voir plus des maris, le service pour son repas.
Cest Antoine qui travaille avec moi qui cherche à me faire chuter de ces chaises.
Jai vu son sexe dans la piscine de notre ville, il est bien monté et en joue.
Il me harcèle de plus en plus, même dans lintimité dun sexe-shop il est là à me prodiguer ses conseils finissants même par me proposer daller baiser dans la cabine des vêtements sado-maso.
Pour lui faire voir que mon sexe peut se passer de lui, je regarde des boules de Geisha et un gode à pile avec un stimulateur de clito et danus.
Une fois payé je sors, il mattend sur le trottoir den face, je tourne à gauche et je réussis à le semer.
« Sophie va à la piscine après la salle de sport. »
- Sophie, tu viens courir et après nous irons à la piscine olympique.
Jai besoin de faire de grandes et nombreuses longueurs de bassin, ce qui est impossible à la maison.
- Tu sais, jévite les lieux publics, je subis Antoine tous les jours jen ai ras la patate.
- Hier Mauricette ma dit quils avaient des doutes quil est fait un arrêt de maladie bidon en ayant récupéré des documents dans un des services.
Ils vont le contrôler ce matin, il risque dêtre virés.
- Cest bien fait pour lui peut-être quils le muteront loin de nous et que je serais tranquille.
Tranquille avec les boules qui garnissent ma chatte et que je sens bouger chaque fois que je fais un pas.
Quant au gode qui est dans mon sac dès que je le peux je me lintroduis pour calmer lexcitation permanente de mon sexe.
Je suis devenue sans men rendre compte une chaude du cul permanente.
Je suis un baisodrome ambulant qui refuse de sassumer.
Si à la place des boules je mintroduis, une ou deux carottes je suis sûr quà midi elles seront cuites.
« De nouveau Sophie se fait piéger. »
Le tapis défile, encore et encore, je suis au maximum de ce que je peux faire en vitesse.
Aurélie à mes côtés est loin derrière et quand elle jette léponge, je marrête aussi.
5,4 kilomètres de plus quelle.
Jai bien sûr enlevé mes boules de Geisha dans les vestiaires épatant Aurélie de posséder des instruments de sexuelle de ce type.
Elle veut que je lui prête.
Après cette course épuisante et avoir pris notre douche, elle sassied sur le banc les fesses le plus en avant possible et je les lui introduisis.
- Je les sens, mais sans plus.
Il y en a trois, jai vu sur Internet quil y en avait à quatre boules, tu devrais essayer.
- Marche un peu avec trois, tu verras ta chatte couler comme jamais tu as mouillé avec Marion ou moi.
- Alors, je vais me régaler.
Elles sont en Inox.
- Pourquoi ?
- Je vais les garder à la piscine, il faut éviter quelles rouilles.
La chatte en avant me fait envie.
Malgré lendroit mais grâce au calme à cette heure, javance ma bouche et je sens les boules bouger quand ma langue vient sintroduire au plus profond.
La jolie baiseuse coule déjà, alors quelle vient de se faire introduire ces trois coquines.
- Quand je vous ai vu quitter la salle je savais que je vous retrouverais ici entrains de vous satisfaire.
Je repère facilement les salopes comme vous.
Ayez confiance, je suis comme vous jadore les petits culs comme les vôtres.
Je peux prendre ta place !
Au faîte je me présente, jai un nom à chier, mes parents mont appelé Adrienne.
Cest comme cela quAurélie remplace Marion par Adrienne prénom que je trouve très à la mode ces derniers temps.
Pendant que je me douche, Aurélie jouit deux petites fois sous la langue et les doigts de celle qui la conquière en quelques secondes jusquau moment où elle lui apporte un orgasme qui subjugue mon amie.
La grande brune aux pectoraux sur-développés vient de sattacher mon amie.
Je sens que je viens dassister au départ dun nouvel amour entre ces deux femmes.
La petite fille blonde et frêle en couple avec la grande brune ressemblant plus à un forgeron quune danseuse étoile.
En les voyant, elle me fait penser à une fable dont jai oublié le titre, le crapaud et jai oublié lautre personnage.
Elles sont un peu mal assorties, mais elles aiment ce quelle se fond.
Alors que de mon côté, jhésite entre une bite et un vagin à cause de lautre qui oublie quil ma dit maimer et ma épousé.
Il y a bien une solution au problème.
Je vais couper la bite et les couilles de Damien et avec une perceuse lui faire un trou que je pourrais lécher lui donnant moi-même le plaisir quil me refuse.
- Sophie, où es-tu, tu sembles loin de nous.
Tu as vu, comment jai joui, tu mexcuseras pour la piscine.
Il faut battre la chatte pendant quelle est chaude et je veux le confort de mon lit pour honorer Adrienne.
On se voit demain à lhôpital, je te raconterais.
Je reviens les pieds sur terre abandonnée par ma copine prenant le chemin de la piscine bien que ce soit elle qui mavait proposé daller faire des longueurs.
Jen fais trois, non quatre.
Je maccroche au bord quand je sens que lon me plaque sur les carreaux froids mes seins étant comprimés.
- Excuse-moi, jai eu du mal à marrêter.
Tu as eu le temps de sentir mon sexe en érection malgré la flotte.
Sophie fait quelque chose je suis atteint de priapisme à cause de toi.
Je bande 24 heures sur 24 et cela finit par se voir.
- La veuve poignée tu connais, il paraît que cest efficace pour ton mal.
- Oui, certes, mais une bonne verge dans ta chatte serait meilleure que ma main.
Allé laisse-toi aller, je sens que tu es toute chaude.
Je suis à deux doigts de céder, car cest la première fois quil me sert de si prêt et que la chaleur de son corps embrasse le mien.
- Monsieur le maître-nageur ce monsieur mimportune.
Il bande dans mon dos, faite quil me laisse où je crie.
- Salopes-tu téchappes encore, je pars, mais je taurais.
- Monsieur, je viens dentendre ce que vous avez dit à la dame.
Cest ignoble sortez et partez autrement jappelle la police.
- Je tattends devant, il faut que je te parle.
En sortant il mest impossible de méchapper sans faire un scandale, je suis dune nature discrète et mon travail à lhôpital souffrirait dun scandale fait sur la voie publique.
Bien sûr un homme est plus vite en situation quune femme.
Comme il me la dit, il est là à mattendre.
- On va boire un verre, leau de la piscine ma donné soif.
Un café terrain neutre, aucun risque que je me retrouve sur une table devant tout le monde avec la bite dAntoine en moi.
Vas-y, tu en meurs d'envie.
Tu penses bien, si tu entres dans ce café tu seras en sécurité.
Ça fait longtemps que je ne lavais entendu celle-là, bien sûr la noire voulant que je cède.
De toute façon je serais là pour veiller à ce que tu gardes les pieds sur terre.
Une fois attablé derrière la vitre voyant les gens passer sur le trottoir, cest un homme un peu déboussolé qui sadresse à moi.
- Antoine que tarrive-t-il, tu sembles triste.
- Je suis une merde.
- Pourquoi dis-tu cela, tu es un gars sympa ?
- Un gars sympa qui a des ennemis qui sont allés à la direction de mon travail pour dire que jétais en arrêt illicite.
- Cétait vrai ?
- Oui, mais je men suis sortie.
- Tu peux mexpliquer, Aurélie ma dit que tu avais volé un arrêt de maladie.
- Cest un peu vrai.
Celui qui est allé leur dire avait un manque dinformation que je veux éviter de te dire.
- Alors pourquoi viens-tu pleurer sur mon épaule !
- Cest vrai, mais toi je taime alors quavec Églantine seule le sexe l'intéresse.
- Églantine le.
- Oui, docteur marié avec le docteur qui travaille dans le service cardio et que jai rencontré un soir dans un bar de nuit du centre-ville.
Jai eu une belle aventure car son mari la trompait avec une des infirmières de son service.
- Je la connais !
- Moi-même son nom mest inconnu.
Quand la responsable du personnel la appelé, elle a dit que cétait elle qui avait signé mon arrêt.
- Tout est bien qui finit bien.
- Non, cela se terminera quand je te prendrais dans mes bras que je te susurrerais des mots tendres.
Je te baiserais comme une bête que je vais devenir à force de patiences pour que nous nous aimions quand se sera fait.
Tu divorceras, je tépouserais, tu es la femme de ma vie et je taime comme un fou
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