Souvenirs D'Infirmière (Partie 1)

Souvenirs d’infirmière (1)

A cette époque maintenant lointaine, j’étais élève infirmière à l’Institut de Formation en Soins Infirmiers à M. grande ville de l’est de la France.
Je terminais ma deuxième année, et ce jour-là, nous attendions la parution de notre affectation au stage d’été. Je savais que ce serait un service de chirurgie spécialisé, mais sans connaitre le service ni l’hôpital d’affectation de ce stage de quatre semaines, créé pour pallier le manque de personnel infirmier durant la période estivale. Je m’étais positionnée sur le mois de juillet, afin de pouvoir avoir des congés en août avant d’entamer la troisième année.
A quinze heures, nous étions dans l’amphi de l’école à attendre et écouter le terrain de stage attribué. Etant en début d’alphabet, je n’eus pas trop à attendre. Ce serait la chirurgie orthopédique « B », plus orientée vers l’orthopédie programmée.
Carole, une élève de première année y étais également affectée, mais se verrait confier des tâches d’aide-soignante. Carole était une petite blonde aux cheveux mi-longs, rassemblés en queue de cheval. « Salut, moi c’est Carole. Super on sera deux, c’est toujours plus sympa. Et puis on a évité la « A » où il y a plein de jeunes branleurs qui ne pensent qu’à te tripoter. J’y étais trois semaines en stage, je te dis pas le nombre de fois où ils m’ont mis la main aux fesses ou à la foufoune. Pff, c’est lourd à la fin... » me dit-elle en guise de prise de contact. « En « B », ils te laissent de l’autonomie, c’est super formateur. Et puis il y a des hospi privées et les patients lâchent souvent de généreux pourboires. Tu verras, on sera bien ».
Comme nous devions commencer un lundi, nous avions rendez-vous le vendredi précédent pour rencontrer la surveillante et recevoir notre emploi du temps. Murielle, la surveillante, nous accueillit avec gentillesse, nous expliquant le fonctionnement du service et ce qu’elle attendant de nous.


Côté emploi du temps, nous travaillerions les après-midis, de 13 heures 30 à 21 heures, 5 jours par semaine. Un weekend complet de travail, un vendredi-samedi, et un dimanche-lundi. « C’est un peu de l’arnaque, on sert vraiment de bouche trou « me glissa Carole.
Le lundi, nous nous retrouvâmes, Carole et moi dans le grand vestiaire en sous-sol. Nos horaires étant légèrement décalés par rapport au personnel habituel, nous n’étions que des élèves-infirmière. Nos armoires, à Carole et à moi étaient côte à côte. Carole se changea rapidement. Elle retira son soutien-gorge et enfila la tunique règlementaire, manches courtes et fermeture devant par des boutons pression. « Vu la chaleur, j’ai viré le soutif. Et puis ça redonnera le moral aux patients ! ». Un pantalon blanc complétait notre tenue. Pour ma part, je gardais mon soutien-gorge. Dans l’ascenseur, j’observais Carole. On devinait ses seins libres sous sa tunique opaque.
Cette première après-midi passa vite. Vers 20 heures, je croisais Carole. Un peu rouge, elle revenait d’une chambre située au bout du service. Je remarquais que les deux boutons du haut de sa tunique étaient défaits. Je la retrouvais dans la salle de soins où on prépare les traitements. Elle était un peu penchée en avant sur la paillasse. J’avais une jolie vue plongeante sur ses seins. Naïvement je lui fis remarquer. « Ben t’es vierge ou t’es coincée du cul toi ? » me répondit-elle. « Le mec de la 456, il m’a donné 50 francs pour voir mes seins ». « Et alors ? tu as fait quoi ? ». « Ben j’ai enlevé mon haut, je lui ai pris les constantes, il a maté et m’a filé 50 balles ».
Le soir, dans ma chambre, je repensais à ce que m’avait dit Carole. J’imaginais la scène. Cela me fit mouiller.
Le lendemain, je choisis une culotte noire. Je me changeai dans le vestiaire, retirai mon soutien-gorge. Carole n’était pas là. Je la retrouvais dans le service. Nos regards se croisèrent et elle me fit un clin d’œil après avoir jeté un coup d’œil sur mon buste.

A dix-huit heures, le pensionnaire de la 457 sonna. Je m’y rendis. Dans le couloir, je croisais Carole. Discrètement, avec un sourire mutin, elle dégrafa les deux boutons du haut de ma tunique et celui du bas. « Fais toi plaisir ma chérie » me dit-elle. C’était un homme d’une soixantaine d’années, chef d’entreprise, bien conservé, hospitalisé pour une pose de prothèse du genou. J’entrais dans la chambre et mis le voyant lumineux indiquant que des soins étaient en cours, de façon à ce que d’éventuels visiteurs n’entrent pas. « Bonjour mademoiselle, ma perfusion est bouchée, elle ne coule plus ». « Attendez, je vais essayer de voir ce qui ne va pas ». Penchée en avant, je constatais que je lui offrais le spectacle de mes seins nus à quelques centimètres de son nez. Je me sentis rougir. Je sentis une main se poser sur ma hanche et s’insinuer sous ma tunique. Paralysée, je le laissais faire. La main était douce et chaude, elle remonta le long de mon flanc, remonta jusqu’au sein qu’elle se mit à caresser. D’étranges sentiments contradictoires s’opposaient. D’une part le dégoût d’être ainsi prise pour un vulgaire tas de viande, et d’autre part une sourde excitation. « Si tu te mets seins nus, je te donne 50 francs ». Il fallait que cela cesse. Je devais partir. Au lieu de cela, je lui obéis. Je retirai ma tunique. Les yeux exorbités il fixait mes seins. Soudain, il posa une main ferme sur mes fesses, m’attira vers lui et se mit à lécher mes seins. La situation me faisait défaillir. Heureusement, j’avais réussi à déboucher la perfusion. Je me rhabillai, empochai un billet de cent francs et sortis. Je me dirigeai vers les toilettes du service et m’enfermai. Debout, j’ouvris ma tunique, descendis mon pantalon et tout en caressant mes seins, je me masturbai. Ma chatte était trempée. Je jouis rapidement, remis de l’ordre dans ma tenue et repris le travail.
Le soir, dans mon lit, je repensai à ma journée, à ce que j’avais fait avec ce patient qui avait l’âge d’être mon père, à ces gestes que la morale et mon éducation réprouvaient.
Etrangement, je ressentais plus d’excitation que de honte.
La semaine passa, je ne fus pas une nouvelle fois sollicitée…. Je devais travailler le dimanche. Je retrouvais Carole dans le vestiaire. Pendant que je me changeais, Carole m’apprit que le patient de la 360 lui avait dit que je lui plaisais terriblement. Elle lui avait fait la petite toilette « Tu verras ma chérie, il a un chibre du feu de dieu. A mon avis, tu vas passer un sacré bon moment. Tu me raconteras hein ? Mais moi, à ta place, je ne mettrais pas de culotte. Pour gagner du temps ; et puis pour t’exciter en attendant »
Arrivée au service je me renseignais discrètement sur le pensionnaire de la chambre 360. Un quadragénaire venu pour une opération de l’épaule, sortant le lendemain. Je passais en début d’après-midi dans les chambres pour voir si tout se passait bien. Plusieurs patients ne firent pas attention à moi. En revanche, d’autres me firent de grands sourire, me plaignant de devoir travailler un dimanche. Je frappai à la porte de la chambre 360 et entrai. L’homme me fit un grand sourire et referma le livre qu’il avait en main. « Voici ma mignonne infirmière préférée. Pouvez-vous ma belle me remonter mon oreiller s’il vous plait ? » Je m’exécutai, et, en me penchant en avant, lui offris le panorama de ma poitrine. Bien entendu, il n’en perdait pas une miette. « Merci, belle , vous êtes absolument ravissante ». J’en rougis de plaisir. « Bon, à tout à l’heure ».
L’après-midi s’étirait. Nous n’avions pas beaucoup de travail, les patients recevaient des visites de leur famille et les soins étaient rares. A dix-neuf heures trente, coup de sonnette de la 360. « Tiens, c’est l’heure du coup de bourre » me glissa malicieusement Carole. « Prends ton temps et éclate-toi bien, je fais le taf ».
Je frappais à la 360. « Entrez ! ». Je voulais m’assurer qu’il était seul. Il l’était. « Oh, excusez-moi, j’ai oublié ma montre dans la chambre d’à côté, je reviens ». Cette excuse me permit de défaire les 3 boutons du haut de ma tunique.
Je retournais dans la chambre. « Excellent » me dit-il. Il repoussa les draps. Il n’était vêtu que d’une chemise d’hôpital, et la première chose qui attitra ma vue, c’était son érection bien visible qui déformait sa chemise d’hôpital.
« Approche » ordonna-t-il. Il était passé au tutoiement. J’obéis. J’avançai jusqu’au lit. Avec son bras valide, il attrapa ma tunique et tira latéralement dessus, faisant sauter les deux boutons restants. Ma tunique baillait sur mes seins libres. « Enlève là. Tu en crèves d’envie ». Je me retrouvais seins nus. Il s’assit sur le lit, posa ses mains sur mes hanches, et approcha sa bouche de mes seins, les embrassant alternativement. Je sentais que je mouillais abondamment. Sa langue était douce, je sentais mes pointes s’allonger. Ses mains ne restaient pas inactives, elles virevoltaient dans mon dos, faisant naitre des picotements excitants. Les mains se posèrent sur mon pantalon et le tirèrent vers le bas. Il découvrit mon sexe nu, recouvert d’une fine toison. « Alors petite salope, on ne met pas de culotte ? Tu es venue pour te faire enfiler ? Ta copine t’a passé le mot, c’est bien. Tu ne vas pas le regretter. » Jamais un garçon ne m’avait parlé ainsi. Tandis que mon pantalon tombait à terre et que, soulevant les pieds je m’en débarrassais, il ouvrit mon sexe de ses deux mains et me pénétra d’un doit inquisiteur. « Hum, tu es étroite. Il faut que je te prépare ». Il entama un va et vient avec son doigt, bientôt rejoint par un deuxième puis un troisième. Je mouillais abondamment. « Bon, maintenant, enlève moi cette chemise ». Je m’exécutais et eu bientôt sous mes yeux la vue d’un corps musclé, bronzé et d’une verge tendue, décalottée, bien plus grosse que celle de mes copains. Carole n’avait pas menti, c’était un beau morceau. « Mouille la, suce, suce bien, prépare là ». A l’époque, je n’étais pas expérimentée. Mais je ne demandais qu’à apprendre. Aussi je m’appliquais, la parcourant tout le long avec le bout de ma langue, alternant avec une prise en bouche et un massage de ses testicules. Il semblait apprécier. Le temps passait, je commençais à avoir mal aux mâchoires. « Allez, grimpe sur moi. On va faire doucement à cause du lit ». Je grimpais sur le lit et m’assis sur lui, m’empalant sur sa bite, me laissant pénétrer doucement, centimètre après centimètre. Jamais je ne m’étais sentie aussi remplie. Il commença à bouger, entrant doucement en action, me tenant au niveau des chevilles. La sensation n’était pas douloureuse, mais je n’étais pas habituée à un cylindre d’un tel volume. Il variait le rythme de ses coups de boutoir ainsi que la course tantôt il s’enfonçait profondément, tantôt il restait près de l’entrée. C’était un amant expérimenté, rien à voir avec les quelques copains avec qui j’avais été plus loin que le flirt. C’était amusant, je me faisais baiser par un parfait inconnu dont je connaissais à peine le nom et qui m’aura oublié demain, et j’énumérais dans ma tête le prénom de mes ex (le passage en revue était vite fait) et de mon actuel avec qui j’en étais au stade des bisous dans le cou et qui était parti encadrer une colonie de vacances. « Descends, le lit craque un peu, il ne faut pas attirer l’attention ». Il me fit descendre du lit et me plaça à genou sur le lit de manière à me prendre en levrette. Il me pénétra à nouveau. Il décida d’un rythme rapide, endiablé. Il empaumait mes seins, titillant les pointes, tandis que son ventre venait buter sur mes fesses. « Tu prends la pilule ? » me demanda-t-il ? Je balbutiai que oui. A l’époque, on ne parlait pas encore de SIDA, donc on ne se protégeait pas. Il accéléra encore, cela dura longtemps, puis il émit un grondement sourd tandis que sa verge tressautait dans mon vagin et que je sentais un liquide chaud se déverser par jet. J’envoyais ma main à la recherche de mon clitoris pour me finir rapidement et je fus terrassée par un puissant orgasme. Je me rhabillai. Je sentais le sperme couler le long de mes cuisses sous mon pantalon. Je regardais ma montre : trente-cinq minutes ! Je n’avais pas vu passer le temps. Heureusement, personne ne nous avait surpris. Je déposais un rapide baiser sur sa bouche. Il me glissa quelque chose dans ma poche. Je sortis et me retrouvai dans le couloir silencieux. Carole sortit d’une porte qui donnait dans un réduit. « La vache, ça a duré. Dis donc tu es essoufflée et décoiffée et tu as les joues rouges. Toi tu t’es bien envoyée en l’air. Carole m’attira dans le réduit. « Fais-moi sentir ta chatte ». Je me retrouvais debout, le pantalon aux chevilles. Carole s’accroupit et me lécha la chatte. « Putain tu dégoulines de foutre. J’adore ça. Laisse-moi te nettoyer » Sa langue dansait un ballet léger. Je sentais mes seins durcir à nouveau, les pointes se tendre, mon sexe s’humidifier. C’était la première fois avec une fille. La jouissance me prit brutalement, brève et puissante. Carole se releva, se débarrassa de son pantalon et appuya sur mes épaules. A mon tour je lui donnai du plaisir. Elle jouit longuement en emprisonnant ma tête contre son sexe. Je me redressai, nos bouches se cherchèrent et se trouvèrent, nos langues d’entremêlèrent. Je retrouvais le goût du sperme de mon amant. Nos pubis dénudés se frottaient l’un contre l’autre.
Nous finîmes notre service. A vingt et une heures, nous primes congé de l’équipe qui finissait un peu plus tard. Chantal, une infirmière un peu boulotte âgée d’une quarantaine d’année me fit un clin d’œil et me glissa « Alors, tu t’es fait combien aujourd’hui ? Il t’a bien sautée le mec de la 360 ? Moi je me le suis fait il y a deux jours. Un bon baiseur, hein ?« Dans l’ascenseur, je regardais dans ma poche. : trois billets de cent francs. Facilement et agréablement gagnés en plus !
Je ne refis plus l’amour avec un patient durant le stage, mais me laissai parfois tripoter ou exhiber, je branlai l’un ou l’autre. Tantôt j’y prenais du plaisir, tantôt beaucoup moins. La dernière semaine, je surpris par hasard Chantal, pantalon baissé, offrant sa croupe généreuse aux assauts d’un black grisonnant. Sa verge monumentale l’investissait dans un clapotis suggestif et lui arrachait des râles de plaisir. Je restai à les observer mais refusai leur proposition de les rejoindre. Le noir se tourna vers moi et me demanda de déboutonner ma veste. Excitée, je lui obéis, dévoilant mes seins. Il me demanda de baisser mon pantalon. Je lui obéis, entrainant ma culotte avec. Il me demanda de me caresser. Ma main allait et venait sur mon sexe. J’agaçais mon clitoris. Il planta son regard dans le mien tandis qu’il besognait Chantal. Je sentis le plaisir monter. Nous jouîmes tous les trois en même temps.
A la fin du stage, j’avais gagné de quoi m’offrir un mois de vacances sympa.

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