Ça C'Est Passé Simplement 14 - Au Bureau
Vendredi 28 Mars 1986 dans laprès-midi
Au bureau
Suite
Moi : « Mais non, tu avais besoin de te confier à une oreille attentive. Si on prenait un dessert »
Le dessert récupéré je décidais de lui faire part dun vieux rêve et je lis dis : « Jai toujours rêver de voir deux femmes se donner du plaisir,
je pourrais peut-être,
»
Evelyne : « Il est fou,
je ne suis pas exhibitionniste,
»
Moi : « Je serais discret,
»
Evelyne : « Mais, comment tu me vois annoncer ça à Anaïs ?»
Moi : « Ce nest pas la peine de lui dire, ou peut-être elle apprécierait »
Evelyne : « Non,
enfin,
non ce nest pas possible,
»
Moi : « Bon, nen parlons plus.»
Evelyne : « Naturellement tu viens ce soir, jattends, nous aurons la nuit à nous. »
Nous quittâmes le restaurant, elle pour aller à son agence et moi pour rendre la chambre et me mettre à mon rapport qui navait pas beaucoup avancé.
Mais il métait venu une idée et en fin daprès-midi, je me présentais à lagence.
Moi : « Bonjour, je voudrais rencontrer Evelyne »
Anaïs : « Vous êtes déjà venu, venez, je vous précède. »
Arrivé dans le bureau dEvelyne, celle-ci faisant le tour de son bureau : « Bonjour Jean. Anaïs, je te présente Jean, un ami de longue date, il était étudiant et moi jeune vendeuse, puis il est parti poursuivre ses études et nous sommes retrouvés par hasard. Jean, Anaïs est mon bras droit dans lagence »
Anaïs : « Je vous laisse » et elle partit en fermant la porte.
Moi : « Contente, tu voulais que ton « dragon blond » fasse ma connaissance. Tas su la choisir ta nana elle est bien foutue et a ce quil faut où il faut »
Evelyne : « Ne soit pas grossier,
»
Moi : « Je plaisantais, mais cest une jolie femme, bon, donnes moi un baiser pour me pardonner »
Elle vint vers moi, nous échangeâmes un long et sensuel baiser et jentrepris de relever sa jupe.
Evelyne : « Ah, voilà,
pourquoi le baiser,
arrêtes,
pas au bureau,
arrêtes,
»
Mais ses protestations verbales contredisaient laugmentation du rythme de sa respiration, de son ventre et de son bassin.
Fort de ses réactions mon index rejoignit son frère et la masturbation fut accélérée, les cuisses sécartèrent encore et le bassin se propulsa en avant, Evelyne souvrait à son plaisir, au plaisir que je lui donnais. « OOOOHHHH,
continues,
cest bon,
je sens que je vais jouir,
ne tarrêtes pas,
OOOOHHHH,
OUIIIII,
continues, plus fort,
OUIIIII ,
je JOUIIIIIIS,
»
Elle eut un bel orgasme en même temps quelle resserrait ses cuisses sur ma main et se cramponnait à moi. Reprenant son souffle : « Tu es content de toi ? Me faire ça dans mon bureau »
Moi : « Dis moi que tu regrettes, je suis sur que tu aurais regretté si je ne lavais pas fait. Dailleurs tu lattendais, ton minou était nu et bien chaud »
Evelyne : « Tu es un horrible, il va falloir que je me change, je suis trempée, jespère que je nai pas taché ma jupe »
Moi : « Tu veux que je vérifie ? »
Evelyne : « Non, vas ten, jai du travail. A ce soir »
Moi : « Et pour mon spectacle de vous deux ? »
Evelyne : « Vas-t-en à ce soir vers 19,30 h»
Moi : « OK, japporte à diner, tu aimes le chinois, jai vu quil y en avait un pas loin dici »
Ayant eu son assentiment, je retournais minstaller à une terrasse de café et reprenais mon rapport en attendant lheure de me propulser chez Evelyne.
A lheure dite, de quoi diner avec moi, je sonnais chez Evelyne, qui vint mouvrir. Elle avait fait fort, je faillis en laisser les paquets. Les cheveux relevés dégageaient bien son cou, son corsage en tissu fin translucide, au décolleté généreux, laissé voir ses seins aux aréoles brunes, tenus dans un soutien gorge quart de bonnet (pas nécessaire à mon avis).
Evelyne : « Tu sembles en forme »
Moi : « Avec toi toujours »
Ayant terminé ses rangements elle se retourna, ce qui me permit de la saisir par la taille et de lattirer contre moi. Sa bouche vint se coller à la mienne et son ventre vint se frotter à « Popol ».
Je la poussais vers la table et jen profitais pour me mettre entre ses jambes
Moi : « Remontes ta jupe et assieds toi sur la table »
Evelyne : « Quest-ce que tu veux,
pas ici,
»
Moi : « On va bien diner ici,
je commence de suite,
je vais te manger la chatte,
non te bouffer la chatte,
»
Malgré ses négations la jupe fut remontée et je laidais à sasseoir sur la table, et là je constatais, ce que jespérais, elle était nue sous sa jupe et je lui dis : « Je vois que tu étais prête à toutes les bêtises »
Evelyne : « Arrêtes de parler,
viens,
» et elle se laissa aller sur le dos, repliant les jambes et souvrant au maximum, elle moffrait une vue sur la fourrure de sa chatte, qui semblait humide. Je mapprochais de sa grotte damour et mes narines furent envahies par son odeur, lodeur de sa chatte chaude, de la femelle prête à être envahie par ma bouche et mes doigts. Elle avait du sexciter intellectuellement avant mon arrivée ou même manuellement, car elle aimait le sexe, elle aimait se faire prendre et être prête pour ça, mais également elle aimait donner du plaisir.
Ma langue se glissa entre ses grosses lèvres et léchaient la fente ruisselante de son plaisir, à peine entamé cette approche que ma partenaire sexcitait en disant : « Quattends-tu,
rentres,
tu vas me rendre folle,
viens,
»
Obéissant, lindex et le majeur pénétraient dans son intimité, ce qui entraîna un « Oh,
oui,
» et tout en suçant et aspirant ses grosses lèvres, mais doigts la masturbaient avec énergie, ce quelle appréciait.
Evelyne : « Oui,
cest bon,
oui, prends moi bien,
je te sens,
oui, je mouvre pour toi,
bien au fond,
oui, baises moi bien,
je sens que ça vient,
continues, prends moi fort,
»
Je mactivais au mieux et elle semblait satisfaite, quant à moi, je navais plus quune envie, qui était de lui mettre ma queue dans son minou et la baiser proprement mais
Evelyne : « Oui,
cest bon,
ne tarêtes pas,
je vais jouir,
OOOOOHHH,
OUIIIIIIIII, je JUOIIIIIIS,
» et elle se cambra brutalement sous leffet dun spasme, qui lui fit écarter les cuisses largement et les refermer aussi brutalement sur ma tête, le tout accompagné dun lâcher important de cyprine qui minonda en remplissant bouche et nez.
Etant donné ma position, je continuais à la travailler et elle eut un second spasme pour enfin se laisser tomber sur la table, ce qui lui permit de reprendre son souffle et ses esprits, mais jétais sur ma faim, enfin la bite raide. Se redressant Evelyne se laissa glisser de la table et vint contre moi : « Cétait bon » embrasses moi. Ce que nous fîmes, mais contre moi, elle réalisa ou plutôt sentit la déformation de mon anatomie et glissant sa main entre nous deux : « Oh,
je vais moccuper de ça »
Moi : « Tournes toi,
je vais te prendre sur la table,
»
Evelyne : « Non, tu as pris lapéritif à la source de ma chatte, je veux le prendre à la source de ton plaisir, je veux boire du jus de corps dhomme, cela fait si longtemps, après on fera ce que tu voudras, je serais à toi toute la nuit, comme tu voudras » et joignant le geste à la parole elle saccroupit et entreprit de défaire ceinture, braguette pour sortir mon engin qui ne demandait que cela.
Moi : « Restes comme ça, ça te va très bien, tu peux même enlever ton corsage, il cache ta jolie poitrine »
Evelyne : « Oh, non, tu sais que jai horreur de manger nue »
Moi : « Tu as dis comme je voulais, alors,
»
Evelyne : « Tes quand même un monstre,
bon,
je suppose que je dois garder mon porte jarretelles et mes bas.
Moi : « Oh oui, jai toujours apprécié les femmes avec porte-jarretelles et bas, je trouve cela excitant et cest dautant plus excitant quand elle les mettent, tu peux garder des escarpins, ils te font une jolie jambe et mettent ton joli cul en évidence, mais pourquoi tu portes un soutien-gorge, tu nen as vraiment pas besoin. Tu as de très beaux nénés, bien plein, bien ronds, qui remplissent agréablement les mains dun honnête homme, sans parler de tes tétons qui savent se dresser vaillamment quand tu es toute chaude,
»
Evelyne : « Avec toi, il faut que je fasse attention à ce que je dis, mais bon, et toi tu vas rester le pantalon sur le chevilles,
toi aussi mets toi nu,
»
Puis sarrêtant brusquement Evelyne sécria en se levant : « Bon sang, jai failli oublier »
Moi : « Quoi »
Evelyne : « Attends,
je reviens,
»
Le retour ne fut pas instantané comme on aurait pu limaginer. Pendant ce temps elle sétait refait une beauté, cheveux relevé, remaquillée,
et alors là, la grosse surprise, elle était vêtue, on peut dire ça comme ça, dun déshabillé, peu habillé, en tissu fin noir absolument transparent, Lensemble était tenu par deux fines bretelles soutenant et mettant en valeur ses seins. En dessous, le reste de tissu arrivait juste au dessus de la touffe ce qui ne cachait rien, donc vue imprenable sur son triangle de poils entourant sa chatte. Elle avait gardée son porte jarretelles et ses bas fins et avait remplacé ses escarpins par des mules à talons.
Jeu quelques secondes dhésitations et tout du coup, je revoyais, Evelyne avec la même nuisette, lors de notre dernier rendez-vous. Je lui dis :
Moi : « Wouah, jai limpression de connaître ce joli déshabillé,
qui te va à ravir,
et me donne des idées,
»
Elle : « Exact, tu as une bonne mémoire, mais te fais pas des idées. »
Moi : « OK, cest pas possible tas gardé ça depuis ce temps,
»
Evelyne : « En fait vingt fois jai voulu le jeter et au dernier moment je me disais que je laimais bien et il rappelait de bons souvenirs et je le rangeais de nouveau. Tu as été le seul à me voir ainsi,
»
Moi : « Viens à coté de moi, que je vois avec les mains »
Evelyne : « Non on va diner »
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