Marie, Ma Nouvelle Voisine - 38 - Mercredi

Ce mercredi matin, après un début de journée habituel, petit-déjeuner, aération des pièces, et douche
le couple de pervers se rend ce qui est encore chez Marie, après qu'elle aie pris la clé de la maison. Ils passent par les jardins et la porte-fenêtre de la chambre, car Marie est nue et ne souhaite pas être vu des voisins en ce début de matinée.

Alors que Cello attend les ouvriers qui vont décrocher les tableaux, Marie se rend dans la chambre pour récupérer ses effets. Hervé a déposé des cartons pour que sa salope d'épouse dépose ses vêtements. Elle entasse ainsi, robes, jupes, pull, corsage, collants, pantalons, vestes et lingerie.

Elle remarque que beaucoup de ses vêtements iront directement à des associations. Elle place dans un carton à part, quelques vétements qu'elle pourra transformer car elle est assez douée en couture. Elle y place des robes qu'elle pourra raccourcir et leur donner un décolleté plongeant, des corsages transparents qu'elle ne mettait pas à l'époque sans un gilet et des sous-vêtements, quelques jupes et quelques pantalons, des soutien-gorges et slips, bien qu'elle ne porte plus ce genre de chose depuis qu'elle fréquente Cello. Elle les imagine avec le bonnet ouvert pour dénuder ses aréoles et ses tétons ou les culottes ouvertes.

Les ouvriers de « SOS Bricolage & Entretien » arrivent enfin et lorsqu'ils prennent connaissance des tableaux à dépendre, ils sont surpris et ne se privent de commentaires salaces sur le modèle.

Ils commencent par dépendre les 3 cadres, puis ils dévissent les crochets pour les récupérer, ils serviront chez Cello, puis il rebouche les trous laissés par les vis avec du mastic.

Cello leur propose de passer par les jardins, ce qui sera plus rapide et court, que de les emballer et de les charger dans leur camionnette pour faire les 30 mètres de parcours.

A ce moment, arrive dans le séjour Marie et les deux employés reconnaissent Marie, et sont génés, car ils craignent que celle-ci est entendu leurs commentaires.



Marie : « Bonjour messieurs ! Oui ! Vous avez raison, je suis une belle salope, comme ma tenue vous le prouve et si vous m'aidez à transporter mes quelques cartons chez monsieur Cello, je saurai vous récompensé ».

Les deux hommes transportent les cadres et les cartons de Marie chez Cello et pose le tout dans le grand bureau que Cello veut attribuer à Marie. Ensuite, suivant les directives de Cello, ils prennent les mésures et percent les murs pour fixer les crochets et enfin ils placent les tableaux. Marie voyant qu'ils ont terminé, s'approchent des deux hommes, face à eux, place ses mains sur la braguette des deux employés et dit :

« Chose promise, chose dûe »

Et s'agenouille et ouvre leur pantalon. Elle sort leur bite et commence à donner des petits coups de langue sur une, pendant qu'elle branle l'autre. Elle joue avec les deux sexes d'hommes léchant l'un pendant qu'elle branle l'autre, alternant régulièrement les bites dans sa bouche et cela jusqu'à ce qu'elle recueille les semences épaisses et abondantes des deux ouvriers. Elle nettoie les deux queues et se relève et dit :

« Merci messieurs, c'était délicieux ! »

Et quitte la pièce. Cello raccompagne les hommes et avant qu'il ne parte, il dit :

« Je ne vous donne pas de pourboire, je crois que Madame l'a déjà fait ».

Il envoie ensuite un texto à Hervé pour l'informer que les tableaux sont maintenant chez lui et que Marie a récupéré ses vêtements. Il aborde ensuite le sujet du divorce, que Marie reconnaissant ses torts, il suggère à Hervé d'opter pour un divorce par consentement mutuel, et en prenant un avocat commun. Cela est très rapide, entre 15 jours et 1 mois. Hervé paraît convaincu et répond qu'il ira chez un avocat dès le lendemain pour que celui-ci redige une convention, qu'il enverra aux deux parties.

Pendant que Cello téléphonnait, Marie aidée de Sarah à mis les carton de vêtements dont elle veux se débarrasser dans le coffre de la voiture.


Faisant une pause, autout d'un pichet de jus d'orange, Cello informe Marie de l'accord qu'il a obtenu avec Hervé pour que le divorce soit prononcé d'ici un mois environ. Ensuite il dit à Marie qu'elle doit aller elle-même en compagnie de Sarah porter ses vêtements à une association, car avec Alban il veut aménager la pièce qui va devenir son bureau.

Marie : « Mais que ferais-je dans ce bureau ? »

Cello : « T'inquiète pas ma jolie, je te le dirais prochainement, peut être lors de la visite de Christine et Bernard. Mais rassure-toi, tu ne t'ennuyeras pas ».

Marie comprenant qu'elle n'en saura pas plus pour l'instant, n'insiste pas et demande à son mentor ce qu'elles doivent porter pour aller à l'association. Cello répond qu'un imper suffira et qu'elles doivent être sages ».

Les deux femmes revêtent leurs impers et partent en direcction de la zone où Marie sait qu'il y a une association qui prendra ses vêtements.

Cello entraîne Alban dans la pièce à aménager, installe le canapé lit, dans un coin, en le dépliant pour en faire un lit, il déplace le bureau et le fauteuil directorial, branche un ordinateur portable, installe la wifi et récupère un canapé non transformable avec une table de salon, une armoire-penderie et un petit coffre.

Les femmes en arrivant à l'association, vont à l'acceuil et demande à la personne qui s'y trouve, si il y a quelqu'un qui peut les aider à décharger leur voiture. L'homme ne peut refuser de donner son aide à deux charmantes personnes aussi sexy.

Lorsque les cartons sont dans le bureau, l'homme demande ce qu'il y a dans les cartons et si les vêtements sont en bon état. Il ouvre un premier carton et voyant les vêtements en parfait état, il demande :

« Mais madame, ses vêtements sont presque neufs, vous êtes certaines de vouloir les donner ? »

Marie avant de répondre, ouvre son imper totalement et répond :

« Oh oui monsieur ! Maintenant je vis nue ou presque tout le temps et ma fille aussi ».


Faisant passer Sarah pour sa fille, elle ouvre l'imper de son apprentie-pute pour prouver ses dires. L'homme stupéfait veut profiter et prolonger le spectacle, demande aux deux femmes de l'aider à faire l'inventaire de ce qu'elles apportent. Les deux femelles retirent alors leurs impers et commencent à repartir les vêtements par catégories. Elles en profitent pour se frotter parfois contre le corps du bénévole. Une fois les cartons vidés et les vêtements repartis par genres, elles remercient l'homme et lui font la bise en se frottant à lui. Elles montent en voiture et Sarah dit :

« Le pauvre ont n'est pas sympa de le laisser ainsi ».

Marie : « Oui tu as raison, et puis Cello a dit d'être sage, mais il n'a pas dit d'être ingrate avec ce pauvre homme.

Immédiatement, elles redescendent de la voiture et retourne au bureau. L'homme, qui les a vu revenir, leur demande :

« Vous avez oublié quelque chose mesdames? »

Et en cœur elles répondent :

« Oui de vous sucer ! »

Elles retirent une nouvelle fois leurs impers, s'agenouillent, baisse son pantalon et son slip et commence à le sucer. L'homme n'en revint pas d'être sucer par la mère et « sa » fille. Marie ordonne à Sarah de se mettre derrière le bénévole et de lui léher le cul. Sarah hésite quelques secondes et se remémore qu'on lui promis de lui apprendre des perversions avant son départ. Elle se déplace, écarte les fesses de l'homme et passe sa langue entre les fesses de l'employé avant d'introduire sa langue dans l'anus. Malgré l'odeur et le goût acre, elle se force à bien lécher et nettoyer le trou du cul de l'homme. Celui-ci sous le traitement des deux femmes éjacule son foutre dans la bouche de Marie qui avale une partie de la semence de l'homme avant de partager celle-ci, par un baiser à Sarah.

Elles se relèvent, enfilent leurs impers et quittent cette fois-ci définitivement le local après un petit signe à l'ouvrier, debout, le pantalon et le slip aux chevilles.


Lorsque les deux putains reviennent chez Cello, celui-ci veut leur faire découvrir le nouveau bureau de Marie. Elle trouve l'aménagement de la pièce à son goût, et en ouvrant les portes de l'armoire, elle y découvre toutes ses tenues pendues ou parfaitement rangées sur les étagères. Marie ouvre le coffre et trouve en plus de son œuf, et du plug, un petit œuf pour son fondement et des baillons, des cagoules, des menottes, des chaines, des pompes à tétons, des pinces à sein vibrant, des spéculums, des cravaches et également des martinets et des gods de différentes tailles.

Marie : « Oh mon dieu, mais quand avez-vous acheté tout cela? »

Cello : « Ma petite Marie, je te rappelle que j'ai eu une vie avant de te rencontrer, et ses ustensiles datent d'avant ta rencontre ».

En revenant sur la terrasse, Alban qui n'oublie pas ses obligations, s'adresse aux femelles et dit :

« Venez faire vos besoins, avant de passer à table ».

Les deux chiennes se mettent immédiatement à quatre pattes, attendant que le jeunot place leur collier et attache leur laisse. La ballade dans la propriété de Cello se déroule comme les jours précédents, puis une fois détachées, les deux femmes s'asseyent sur les chaises de la terrasse en attendant le repas.

Après le repas, Cello ordonne aux deux femelles de mettre leur collier et de monter en voiture. Elles montent en voiture, Marie devant sur le siège passager et Sarah, derrière elle. Elles attendent Cello, angoissées à l'idée d'être vu par les voisins, malgré leur habitude d'être nues et exhibées. Cello arrive, monte dans la voiture, démarre et leur dit :

« Cette après-midi, nous allons faire une ballade en forêt. Ils roulent pendant près d'une heure, et lorsqu'ils arrivent enfin à destination. Cello fait descendre les deux femelles. Elles ont ordre de se mettre à quatre pattes et de marcher à 2 ou 3 mètres devant lui, ce qui lui permet de voir leurs croupes et leurs seins bougés à chaque instant. Elle marchent ainsi pendant une trentaine de minutes, lorsque Cello décide de faire une pause. Les petites chiennes fatiguées de marcher ainsi se laissent tomber sur le flanc pour se reposer.

Cello les menottes alors les mains dans le dos, et attaches les deux colliers avec un cadenas. Ainsi, face à face, et les mains dans le dos, elles ne peeuvent se caresser. Puis il s'éloigne des deux femmes les laissant seules dans la clairière. Elles trouvent le temps long, et lorsque leur maître réapparait enfin, il a les bras chargés de belles et longues orties.Soulagées de revoir leur maître revenir, elles sont inquiètes, car elles savent que les herbes urticantes leurs sont destinées.

Effectivement, Cello détache les colliers pour libérer les femelles, puis il leur ôte les menottes et les met debout. Cello attache les deux putes à l'aide des menottes, face contre un tronc. Il fait de même avec les pieds, de manière à ce qu'elles soient bien écartées.

Cello commence par leur caresser le dos, les fesses et l'arrière des cuisses doucement, passant de l'une à l'autre, puis il frotte leur peau avec plus de force, et enfin, il les fragellent brutalement laissant de magnifiques cloques sur l'épiderme des deux femelles.

Il les détache et les place maintenant dos à l'arbre, offrant ainsi leurs poitrines et leurs sexes à la brûlure des orties. Les caresses sont plus fortes et plus précises. Ils insitent en frottant les seins et les sexes des 2 chiennes. Enfin, il libère les deux femmes, qui s'écroulent au sol, épuisées.

Il leur accorde un quart d'heure de repos, puis ils reprennent le chemin inverse en direction de l'automobile. Sur le chemin du retour, Sarah aboie deux fois, exprimant ainsi son désir d'uriner. Cello prend alors Marie par le collier et l'entraîne derrière Sarah et l'oblige à coller son museau contre la vulve de son employée et à ouvrir la bouche. Marie reçoit le jet jaune, chaud et abondant de pisse dans la bouche et avale le plus qu'elle peut. Puis il fait la même chose avec Sarah lorsque Marie désire uriner.

C'est dégoulinante et puant la pisse qu'elles arrivent à l'automobile. Cello déverrouille la voiture et lorsqu'elles s'apprêtent à monter en voiture, leur maître leur ouvre le coffre et où elles s'y glissent, pour ne pas salir les sièges. Il les placent têtes-bêches la tête entre le cuisses de l'autre.

Une heure plus tard, Cello rentre la voiture directement dans le garage. Il fait sortir les filles du coffre et les fait passer par la porte menant à la pelouse. Alban les attend, ôte leur collier et les conduits sur la dalle en béton pour les laver. Une fois propre, elles restent debout cuisses ouvertes sur la terrasse pour sécher au soleil.

Une fois sèche, il envoie les deux putain au lit, épuisée elles s'endorment immédiatement.

Comments:

No comments!

Please sign up or log in to post a comment!