Kentin 9 Souffrir Mieux Que Ça
-Mon ange, je lis en toi comme dans un livre ouvert. Non seulement tu acceptes que jaie un amant mais en plus je sais que tu en en jouis. Un homme normal devrait se révolter, mais toi, tu ne dis rien. Tu ne me disputes même pas, je ne suis même pas sûre que tu souffres. Je suis sûre que quand je le rejoins, tu fantasmes sur notre relation et que tu fais du bien. Je me demande si tu tiens à moi.
-Quest-ce ce va chercher là. Cest ton plaisir, ta liberté que je respecte. Si tu ne considères pas cela comme une preuve damour !
-Ne me cache pas ce tu fais quand je suis avec Pierre. Ton cerveau malade toblige à te branler comme un puceau. Je sais que tu le fais!
- ça a pu arriver
- Nessayes pas de minimiser. Oui ou non, tu te donnes du plaisir quand je suis avec Pierre ?
Comme à chaque fois quelle abordait le sujet je voyais à quel point le sujet la rendait nerveuse. Ses lèvres étaient tremblante ses gestes devenaient nerveux.A ma grande honte, je lui ai avoué.
-Oui, cest vrai je le fais.
-Pourtant, tu sais que je tai interdit de le faire. Pas parce ce je te refuses le plaisir, mais je refuses que tu serves de nous pour faire lamour par procuration. Si tu veux être à la hauteur de lamour que je te porte, il faut que tu apprennes à souffrir de cette relation au lieu den retirer un plaisir pervers. Tu dois être pur et te donner pleinement à ton épouse. Cest pour cela que je suis avec toi. Tu penses que tu peux y arriver?
-Je ne sais pas. Quand tu es avec lui, je mimagine tant de choses extravagantes que je peux pas mempêcher.
- Tu nas rien à imaginer de plus que ce quun homme et une femme font naturellement ensemble. Sauf que cest moi et Pierre. Est-ce que tu crois que Pierre se montre aussi possessif alors que la majorité des jours et nuits je les passe avec toi? Je peux taider à taméliorer si tu le veux.
-Je voudrais bien
-Et bien, soit! Je vais taider.
*******
Quelque jours après, avant quelle rejoigne son amant, elle ma pris par la main et ma emmené dans la chambre. Elle ma tendu une boite.
-Cest pour toi. Cest la solution à nos problèmes.
Jai ouvert la boite. Elle contenait un étrange objet en plastique transparent que jai identifié comme étant un cage de chasteté.
-Il en existe en métal, mais jai opté pour ce modèle. Jai pris un modèle intermédiaire. Jespère que cest la bonne taille.
Jétais soufflé.
-Tu ne vas pas mobliger à porter ce truc quand même?
-Tobliger, sûrement pas. Cest à toi de voir si tu souhaites me faire plaisir ou pas. Cest à toi de savoir si tu préfère que ta femme te donne le plaisir que ton corps réclame ou si tu préfères passer le rester de ta vie à te masturber comme un adolescent.
-Tu veux que je portes cet objet tout le temps?
-Oh non, mon chéri, simplement à chaque fois que je rencontrerai Pierre. En échange, je promets que je cacherai rien de ce que nous faisons ensemble.
-Tu me diras tout?
-Je te promets de combler tes attentes.
Cest ainsi que quelques minutes plus tard, mon sexe sest trouvé pour la première fois enfermé dans son écrin de plastique. Elle sest préparée pour son amant devant moi. Je lai regardée se maquiller pour lui, enfiler des dessous en dentelles quil lui avait offert enfiler des bas auto-fixant. Toute ces choses quelle ne faisait pas pour moi. Jen étais profondément meurtri. Mon membre essayait néanmoins de pousser en vain la paroi de son habitacle. Elle était sublime, féminine comme elle ne létait plus depuis longtemps. Elle allait se donner à un autre, mais moi, et moi seul, était à elle, dévoué et docile.
Je suis resté dans la maison, les lumières éteintes quand elle ma quitté. Son absence jetait ma vie dans lobscurité, mais je savais que ses talons résonneraient tout à lheure sur le parquet.
Un soir quelle revenait de chez son amant, elle a posé la main sur mon torse avant de la passer sous mon tee shirt et me pincer les tétons.. Elle jouait tendrement avec les pointes de mes seins.
- Tu verras... Tout ira bien...
Sa main caressait mon torse puis revenait sur la pointe de mes seins pour les serrer de en plus en fort. Je me suis abandonné en soupirant à ses caresses. Elle a dégagé mon torse de mon vêtement, puis mordillé mes petites pointes dures de ses dents acérées.
- Jai envie de toi Corinne.
- Chut décontracte toi. Laisse toi faire mon chéri.
Je bandais douloureusement à lintérieur de létui. Sa main droite est passée sous la ceinture de mon pyjama pour se saisir de ma queue des mes couilles durcies. Jai entendu son petit rire cristallin.
- Tes très tendu Doudou.
- Corinne sil te plaît laisse-moi te faire lamour.
Ses mains ont serré mes boules... Très fort
- Doucement tu me fais mal.
- Mets-toi à plat ventre Chéri je vais te décontracter et après on verra.
Jai obéi en ôtant mon pantalon dans lespoir quelle me laisserait bientôt l'honorer. Jai voulu me débarrasser de mon boxer.
- Non garde le, tes craquant avec.
Déjà nue, elle sest couchée sur mon dos. Je sentais ses seins contre mes omoplates. Elle se frottait lascivement contre moi. Jai écarté mes jambes. Bras et jambes en croix, je me suis abandonné complètement.
Petits bisous légers sur mes épaules, mes omoplates, le long de ma colonne vertébrale.
- Tu as froid?
- Corinne jai envie de toi. J en ai envie à en crever.
- Je sais Doudou. Ne dis rien. Je vais moccuper de toi .
Elle sest redressée sur ses genoux calés entre mes jambes et a lentement baissé mon caleçon sous mes fesses.
- Quest-ce que ?...
- Laisse-moi faire chéri.
Puis ses cheveux ont balayé mon derrière avant que sa bouche nentame une ronde infernale sur mes globes. Je me cambrais au maximum relevant légèrement mes cuisses en prenant appui sur mes genoux pour profiter pleinement de ses attouchements sensuels. Elle a réussi à passer ses mains sous mon ventre pour se saisir de mon membre encagé et de mes couilles.
- Comment tu fais Didou ? Pour te soulager ? Réponds-moi.
- Tu le sais Corinne.
- Dis le moi quand même mon cur.
- Je me branle.
Javais honte de mes paroles.
- En pensant à moi. ? Ou à lui avec moi? Quand tu viens me nettoyer de ta langue, je deviens folle et toi aussi.
De nouveau collée contre moi, elle sest mise à onduler, frottant son vagin entre-ouvert contre mes fesses. Elle mouillait beaucoup et soupirait de bonheur. Son savoir-faire était diabolique. Je devenais fou denvie.
- Cest bon. Je me caresse contre tes petites fesses mon chéri. Elles sont douces. Ne bouge pas. Laisse-moi faire.
Un drôle de sentiment semparait de moi. Moitié plaisir, moitié surprise, mélangé à un vague malaise. Jétais sous elle, son corps plaqué sur le mien. Je sentais sa fente se presser contre mes fesses humides de sa cyprine. Javais limpression bizarre quelle mutilisait pour sa jouissance. Cétait très troublant de sabandonner de cette manière.
Je gardais la pose, corps un peu relevé et cul tendu. Elle tenait toujours ma bite enfermée et mes couilles, mais sans rien faire.
Sa bouche contre mon oreille, ses seins plaqués contre mon dos, son pubis se frottant de plus en plus vite, de plus en plus fort.
- Tu as des fesses douces Doudou. Cest bon. Cambre-toi un peu plus chéri que je puisse bien frotter mon bouton contre ton petit derrière. Jai toujours trouvé ton petit cul attendrissant mon amour. Tu sens mon petit bouton?
- Oui... un peu.
- Cest comme un petit sexe dhomme Doudou.
Elle me parlait tout doucement au creux de loreille, frottant de plus en plus fort son bas ventre contre mon cul. Je la laissais faire de plus en plus mal à laise par la tournure que prenait notre relation.
- Tu as les fesses souples. Tu mexcite terriblement ! Essaye de te cambrer plus.
Jai obéi sans rien dire avec lespoir quensuite, nous allions enfin faire lamour.
- Tu me fais mouiller comme une folle dans cette position. Tu sais quand il me la met cest comme un soleil. Ce nest pas la même chose que ce que je faisais avec toi. Oui..... Ouiiiiii.. Tiens-toi bien cambré mon amour, je sens que je vais venir. Avec lui jécarte complètement mes cuisses et il me plante dun coup tout au fond. Ça me rend folle quand son pieu rentre dune seule poussée tout au fond de moi. Quand il a envie de moi, il me prend sans attendre. Toi tu me préparais doucement.... Lui non.
Elle se frottait de plus en plus fort. Mes fesses étaient trempées. Mon sexe toujours prisonnier frottait contre les draps. Ses paroles m excitaient et me faisaient mal en même temps.
- Il me pilonne vite, fort, très loin. Comme sil voulait me transpercer. Toi tu es doux, gentil, ce nest pas pareil. Quand il ma prise, la dernière fois, jai cru que jallais mévanouir de plaisir. Cétait plus fort que moi. Sentir la queue de Pierre menvahir le cul. Tu comprends ?
- Arrête Corinne.... Arrête!
Ainsi elle lui donnait à lui ce quelle mavait toujours refusé !
Mais elle ne ma pas entendu. Elle a poussé un doux feulement avant de stopper ses frottements contre mon cul. Elle était essoufflée, moi aussi. Nous sommes restés quelques secondes sans bouger. Puis elle a déposé un bisou sur ma nuque.
- Cétait bon. Tu sais souvent mes amies me disent il a un beau cul ton mari. Les femmes regardent souvent le cul des mecs.
- Mais tu es ma femme.
- Chuuuut.... Tourne toi mon chéri cest ton tour.
Elle a farfouillé quelque part dans ses habits pour retrouver la clé. Mon sexe douloureux et rougi a pris son essor. Il était si sensible. Elle a commencé par me branler avec application. Javais le caleçon autour de mes genoux. Jattendais la suite avec impatience. Ce moment que jappréciais tant ou elle vient pour me chevaucher. Mais elle ne bougeait pas et continuait sa savante masturbation. Jen voulais plus.
Je lui ai demandé de venir sur moi.
- Tsssss ne complique pas les choses mon amour. Je taime.
- Mais tes ma femme Corinne... Ma femme!
- Moins fort tu vas réveiller Katia. Et je compte bien rester ta femme encore longtemps. Laisse-moi te gâter. Jai imaginé plein de manières pour te faire jouir.
Jai joui entre ses mains. Rien dautre. Ni sa bouche, ni le reste.
Javais honte de mêtre laissé manipuler de cette façon.
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