Les Aventures De Françoise (6)
Résumé des épisodes précédents : Françoise est une femme mûre, directrice d'école. Son mari Gérard ayant connu un grave ennui de santé qui l'a rendu impuissant, elle s'est refusée à abdiquer toute vie sexuelle et a connu plusieurs aventures. La dernière en date est un jeune enseignant stagiaire, Guillaume, qu'elle a fini par séduire alors qu'il était également courtisé par une collègue tout aussi mûre, Laurence. Mais Gérard a reçu des lettres anonymes qui lui ont fait connaitre son infortune conjugale. Plutôt que de continuer à lui mentir, Françoise a fait le choix de tout lui avouer et Gérard a accepté de jouer le rôle du cocu complaisant au point même de participer aux ébats de Françoise et Guillaume. Tout se serait passé dans le meilleur des mondes candaulistes si un jour, Françoise n'avait reçu un courrier de l'éducation nationale lui signifiant qu'elle risquait une mise à pied en raison d'un comportement immoral et qu'elle devrait se rendre à la convocation d'une inspectrice générale nommée Fabienne Legrand.
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Une fois encaissé le choc du courrier, Françoise réagit et décida de passer à l'action. D'abord, elle informa sa fille Marjorie, une quadra brune au physique de danseuse de flamenco, de sa situation matrimoniale. Moment difficile mais indispensable car Marjorie pouvait lui être d'une aide précieuse car employée dans le service administratif du rectorat. En outre, tôt ou tard, Gérard l'aurait informée de la conduite de sa mère et mieux valait prendre les devants. Comme Françoise s'y attendait, la réaction de Marjorie fut cinglante :
- C'est inadmissible ce que tu as fait à papa. Je ne te comprends pas.
- Tu comprendras mieux quand tu auras mon âge.
- Peut-être mais c'est quand même très moche. Tu prends ton pied au moins avec ton éphèbe ?
- Oh que oui ! J'ai l'impression de rajeunir de vingt ans.
- Bref, tu as mon âge. Bravo. Et qu'est-ce que tu vas faire maintenant ? Tu crois que l'administration va te laisser faire ça ? Tôt ou tard, les parents seront au courant et tes ennuis vont commencer.
- Si personne ne le leur dit, ils ne le sauront pas. Ce qu'il faut, c'est désamorcer la bombe. Qui est cette Fabienne Legrand ? Tu la connais ?
- De nom, oui. C'est une inspectrice générale qui supervise les instits. Il parait que ce n'est pas une marrante.
- Tu pourrais m'en dire plus ? Me faire passer son pedigree, sa photo, son adresse, son email ?
- Cela me parait faisable mais pour en faire quoi ? Tu vas la menacer ?
- Mais non. Je veux juste savoir à qui j'ai affaire.
- D'accord mais je veux être associée à ton enquête.
- Pas de problème, tu le seras avec papa et Guillaume.
- Ah bon, lui aussi ?
- Evidemment, il est très concerné, n'oublie pas qu'il se destine à la carrière. Je ne veux pas qu'il soit sabré d'entrée.
Quelques jours plus tard, une réunion au sommet se déroulait à quatre. Françoise avait désormais en main les renseignements que lui avaient fournis Marjorie. Elle regarda la photo de Fabienne Legrand avec attention. Grande, élancée, chignon, lunettes, bien sapée, la cinquantaine, elle respirait la classe stricte. Marjorie fournit aussi son adresse, physique comme électronique, et indiqua qu'elle était divorcée depuis cinq ans.
- C'est bon, ça, qu'elle n'ait pas de mec attitré, commenta Françoise. On sait si elle a un amant ?
- A priori, elle n'en a pas car elle part souvent en vacances seule en voyage organisé, indiqua Marjorie.
- Bien. Guillaume, ça va être à toi de jouer. On s'occupera de cette salope de Laurence plus tard. L'urgence, c'est cette Fabienne Legrand. Il faut que tu te démerdes à la séduire. Et même à devenir son amant.
- Quoi ? Tu veux que je la baise ?
- Evidemment. Et Gérard va t'aider, hein Gérard ?
Le mari approuva. Il n'avait aucune envie que sa femme soit sanctionnée. Marjorie intervint :
- Cela ne va pas être facile. Guillaume est mignon mais il est un peu jeune pour Legrand.
- Si Guillaume m'a séduite, il peut aussi séduire Legrand.
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Tout commença un samedi par une filature. Posté devant le domicile de Fabienne Legrand, Gérard l'identifia à la sortie de son immeuble, avec son chignon et ses lunettes mais aussi un pantalon blanc et un chemisier léger en ce jour de température très douce. "Elle n'a pas beaucoup de seins mais elle a un joli cul", se dit-il. Il la regarda pénétrer dans sa voiture, un cabas à la main, et la suivit jusqu'à une grande surface où elle partit faire ses courses. Gérard en profita pour, discrètement, donner un bon coup de canif au pneu arrière gauche de sa voiture. Puis il prévint Guillaume de se mettre en position.
Quant Fabienne Legrand arriva avec son chariot, elle ne vit pas immédiatement le pneu crevé. C'est alors que Guillaume entra en action en abordant la quinquagénaire :
- Madame, je crains que votre pneu ne soit crevé.
Fabienne Legrand constata les dégâts et se lamenta :
- Misère ! Je n'ai jamais su changer une roue, il va falloir que j'appelle un garage.
- Pas la peine, je m'en charge. Laissez-moi prendre votre roue de secours.
L'opération fut vivement menée sous l'oeil de Fabienne Legrand, qui se confondit ensuite en remerciements.
- De rien, répondit Guillaume, c'est toujours agréable de rendre service à une jolie femme. Payez-moi un verre au bistrot du coin et on sera quittes. Et je vais me charger de faire réparer votre roue.
Trop heureuse de s'en tirer à si bon compte, Fabienne Legrand obtempéra. Ce jeune homme zélé lui plaisait. Face à lui, elle se surprit à tenter une opération charme, regrettant de n'avoir pas mis ce jour là une tenue la mettant davantage en valeur. Elle ne se serait pas laissée aller si l'autre ne l'avait pas ouvertement draguée, ce qui la changeait des gros beaufs cherchant à profiter de sa solitude lors de ses voyages organisés ou dans sa vie professionnelle.
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Guillaume s'empressa de rendre compte des événements à Françoise :
- Eh ben dis donc, lui dit-elle, tu n'as pas perdu de temps. Cela a été plus long avec moi, hein, cochon. Elle te plait, la Legrand ?
- Ben quoi, c'est bien ce que tu voulais, non ? Que je la séduise et que je couche avec elle ?
- Oui mais attention, il ne faut pas rater ton coup. Vas-y mollo, il ne faut pas qu'elle se méfie. Après ton déjeuner, emmène-la se balader à la campagne. Gérard te suivra avec son appareil photo. Essaie au moins de lui rouler une pelle, qu'on fixe ça sur la pellicule. Cela pourrait nous rendre service.
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Le déjeuner, pris dans une guinguette, fut particulièrement agréable à Guillaume, peu habitué aux festins. Fabienne Legrand l'intéressait de plus en plus. Elle avait revêtu ce jour là une robe lui arrivant à mi-cuisses, dégageant totalement ses épaules. Il fut vite convaincu qu'elle ne portait pas de soutif. Ses ongles laqués de rouge, aux mains comme aux pieds, lui donnaient un air très classe. Elle cherchait à plaire, c'était évident à ses yeux : "froide, cette nana ? Tu parles. Le feu sous la cendre, oui. Elle doit juste manquer de bite. Je vais te la défoncer, elle va voir qui est le popaul", se disait-il en la regardant manger son dessert à petites bouchées.
De son côté, Fabienne Legrand, le saint émilion aidant qu'elle avait abondamment consommé, se sentait de plus en plus émoustillée par la présence de ce beau gars serviable que son âge ne rebutait pas.
- Allez, on s'en va, je vais payer.
Il la regarda s'éloigner, son fessier charnu en léger balancier. Il bandait comme un Turc.
Lorsqu'il entra dans sa voiture, un vieux break acheté pour lui par sa mère, en compagnie de Fabienne Legrand, Guillaume jeta un coup d'oeil dans son rétroviseur. Gérard était bien au rendez-vous, garé juste derrière. Il lui filait le train lorsque la quinquagénaire demanda :
- On va où maintenant ?
- Faire une petite promenade à la campagne, j'ai envie de marcher un peu, il fait très beau, non ?
Fabienne Legrand approuva. Quelques minutes plus tard, le break empruntait un chemin et s'enfonçait à travers champ avant de stopper près d'une haie. Pas un tracteur à la ronde. Gérard s'était arrêté à l'orée du chemin. A peine arrêté, Guillaume passa à l'attaque. Saisissant la nuque de sa compagne, il l'embrassa goulûment et après un bref raidissement, celle-ci devint toute molle et s'abandonna, cuisses ouvertes pour faciliter son exploration. Il lui souffla à l'oreille :
- Viens, on va sortir.
Puis il ouvrit la porte arrière du break, la fit asseoir, s'accroupit, lécha l'intérieur de ses cuisses, tira sur le slip qui glissa sans opposition, détacha les sandales à talon et plongea son museau sur la vulve qui béait de désir. Fabienne Legrand se laissa aller en arrière, une main sur la nuque de son lécheur et poussa ses premiers gémissements. Cent mètres plus loin, masqué par une haie, Gérard braquait entre les feuillages son téléobjectif sur le couple avec une telle précision qu'il pouvait voir les doigts de l'inspectrice générale de l'éducation nationale crispés dans la chevelure blonde de son amant et capter le rictus de plaisir de son visage lorsqu'elle se redressait pour observer le travail de cette langue si agile. L'appareil numérique crépitait. Il ne perdit pas une phase de l'acte sexuel campagnard autant qu'automobile lorsque Guillaume débarrassa Fabienne Legrand de sa robe (de fait, elle ne portait pas de soutif) et se mit nu à son tour, exhibant un pénis dressé, volumineux comme une matraque, sur lequel la bouche de la quinquagénaire se précipita. Habilement, Guillaume s'était mis de profil afin que le photographe pût parfaitement saisir le visage de l'inspectrice générale en train de le sucer entièrement nue.
Puis après avoir défait son chignon, elle s'allongea dans le break, les pieds posés sur les montants, très ouverte, et Gérard put mitrailler l'acte de pénétration matérialisé par le rythme effréné des petites fesses masculines sur lesquelles les mains aux ongles laqués se crispaient. D'où il était, le photographe put entendre les cris de joie de l'inspectrice générale. "Putain, qu'est-ce qu'il lui met", se dit Gérard en continuant d'appuyer sur le bouton de l'appareil.
Puis Guillaume se redressa, son chibre imposant dressé vers le ciel et releva Fabienne Legrand, complètement échevelée. Elle remit de l'ordre dans sa coiffure en restaurant son chignon alors que son amant s'asseyait au bord du break. Il la prit par les hanches et vint la déposer sur son dard de façon qu'elle lui tourne le dos et surtout se tienne face à la campagne. Le photographe allait se régaler. De fait, Gérard braqua son téléobjectif sur le couple et surtout sur Fabienne Legrand, désormais pleine face, le sommet du crâne frôlant le haut du hayon. Il l'enregistra en train de tressauter sur la bite, la bouche grande ouverte, les hanches en folie. Félicitant in petto Guillaume d'avoir pris cette initiative, Gérard décida de passer en mode vidéo afin de mieux faire percevoir l'agitation de l'inspectrice générale. Elle s'empalait avec une telle ardeur que le break tanguait sur ses amortisseurs. "Pas possible, elle n'a pas baisé depuis dix ans", se dit le voyeur. Il zooma sur le visage de la quinquagénaire parce qu'il était frappé par son expression, passant alternativement d'un large sourire à un rictus presque douloureux, et enregistrait en même temps ses exclamations, ses admonestations et ses encouragements suffisamment sonores pour être perceptibles sur la vidéo.
Puis soudain, elle se releva. "Elle doit avoir mal aux cuisses à force", se dit Gérard. Elle échangea quelques mots avec Guillaume, l'embrassa goulûment en lui tenant la queue toujours raide. Gérard aurait bien voulu savoir ce qu'ils se disaient mais il était trop loin. Il l'a vit prendre appui sur le break et lever une jambe qu'elle enroula autour des reins de Guillaume, qui la pénétra debout, à nouveau de profil par rapport au photographe qui zooma sur les deux sexes joints. Fabienne Legrand regardait son amant droit dans les yeux en lui murmurant quelques mots, inintelligibles à Gérard mais parfaitement explicites. Elle l'excitait, le félicitait peut-être pour lui donner tant de plaisir. L'autre fermait les yeux, visiblement subjugué. Et soudain, elle se détacha, s'accroupit, engloutit sa queue dans sa bouche, le suça avec frénésie et le sperme gicla sur son visage. Elle s'en barbouilla comme une crème de beauté, se releva et embrassa une nouvelle fois son amant. C'était fini. Gérard commença à se replier discrètement, il en avait largement assez dans la boite. A sa grande surprise, il bandait. Cette scène de cul l'avait chamboulé. "Françoise va être drôlement jalouse quand elle va voir le pied qu'a pris cette nana avec Guillaume" se dit-il, non sans une certaine satisfaction. Et il rentra au bercail.
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Le soir même, Gérard enregistrait son "reportage" sur son ordinateur. Françoise et Guillaume bien sûr, mais aussi Marjorie, la fille, assistaient à la diffusion dans un silence tendu. Après avoir visionné les photos et la vidéo, Françoise déclara :
- Avec ça, elle est cuite. On va envoyer ces images sur son mail communiqué par Marjo, assorti d'un petit commentaire. Du genre : "si vous n'abandonnez pas votre enquête de moralité sur (mon nom), ces photos feront les délices d'un site porno sur internet".
Marjorie réagit aussitôt :
- C'est dégueulasse ce que vous faites. C'est du chantage pur.
- Tu vois un autre moyen de m'éviter une mise à pied, peut-être pire encore ? riposta Françoise.
- Tu peux démentir les accusations, demander des preuves.
- C'est ça et pendant ce temps là, Laurence se chargera d'entretenir la rumeur. Tôt ou tard, je serai obligée de m'en aller.
Gérard mit son grain de sel :
- On ne va quand même pas trop la plaindre. Visiblement, elle a pris son pied avec Guillaume, hein Guillaume ?
- Oui, c'est clair, poursuivit Marjorie. C'est du porno brut, ces images et franchement, je ne pensais pas que cette femme se lâcherait comme ça. Visiblement, le sexe lui manquait. Au fait Guillaume, elle t'a dit quoi à l'oreille pendant que tu la baisais ?
Embarrassé, le stagiaire hésita avant de répondre puis, poussé dans ses retranchements, finit par lâcher :
- Euh, des trucs cochons qu'on dit quand on baise.
- Quoi par exemple ? insista Françoise, soudain alertée. Comme l'avait prédit Gérard, elle ressentait une pointe de jalousie vu le plaisir qu'avait pris l'inspectrice générale avec son jeune amant.
- Ben, qu'elle n'avait pas été baisée comme ça depuis longtemps, que je la remplissais bien, qu'elle adorait ma queue, qu'elle ne voulait pas que je m'arrête, qu'elle avait encore envie, des trucs de ce genre, quoi.
- Une belle salope qui trompe bien son monde, conclut Françoise.
- Tu peux parler, toi, riposta encore Marjorie. Si on en arrive là aujourd'hui et si tu n'hésites pas à me compromettre, c'est bien parce que tu es toi aussi une belle salope !
- S'il te plait, tu parles à ta mère. Et si tu es mal baisée aujourd'hui, ce n'est pas de ma faute. Tu n'avais qu'à garder ton boy friend.
La discussion menaçait de s'envenimer. Gérard intervint pour calmer tout le monde :
- Bon, on va faire comme on a dit. Je vais envoyer le mail avec le commentaire de Françoise et on verra bien ce qui se passera. Je n'ai pas fait toutes ces photos pour les laisser dans mon ordinateur. Reste une question : que va faire Guillaume avec elle maintenant ?
La réflexion de Gérard n'était pas anodine. Elle était destinée à mettre la zizanie entre les deux amants. Mais Françoise ne tomba pas dans le piège :
- Guillaume fera ce qu'il voudra. S'il veut revoir Fabienne Legrand, il la reverra, on n'est pas mariés ensemble. Tu lui as laissé ton numéro de téléphone, Guillaume ?
- Euh, oui, parce qu'elle me l'a demandé mais je vais me faire discret et d'ailleurs, le numéro que je lui ai donné est faux. Elle va se douter que c'était un coup monté. Je sais bien que je peux la faire chanter moi aussi pour ma future carrière mais je préfère ne pas en arriver là. D'ailleurs, si les photos devaient fuiter avec moi dessus, je serais vraiment dans la merde.
- Ce n'est pas faux, répondit Françoise. Bon, tu fais quoi ce soir ? J'ai prévu un couscous épicé comme il faut. Je t'invite. Toi aussi Marjorie, malgré ce que tu m'as dit.
- Non, sans façon, je n'ai pas envie de participer à votre partouze. Même si je dois reconnaitre que Guillaume assure drôlement... Dis donc, ils ne t'ont pas manqué, tes parents, lui dit-elle en désignant sa braguette.
Le stagiaire sourit sous le compliment. Sauter cette plantureuse brune au cul généreux ne lui aurait pas déplu mais c'était prématuré. Et visiblement, la mère avait faim après ce qu'elle avait vu sur l'ordinateur. Il n'était pas du genre à se dérober. Il la baiserait encore ce soir en présence de l'inévitable Gérard.
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Quelques jours plus tard, Françoise recevait le courrier suivant : "Chère madame, les rumeurs faisant état de vos écarts de conduite et d'amoralité nous paraissant largement infondées, votre convocation à l'Inspection d'académie est annulée. Nous vous prions de nous excuser d'avoir un temps accordé du crédit à ces insinuations et nous vous souhaitons bonne continuation dans vos fonctions éducatives. Signé : Fabienne Legrand, inspectrice générale de l'éducation nationale.
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