Hélène 34. Vilaine, Deuxième Partie.
Hélène 34. Vilaine, deuxième partie.
Pierre.
- Hélène a été vilaine !!!
- Vilaine ? comment ça.
La belle poule soulève sa jupe, et dévoile, au-dessus de ses bas, une croupe débarrassée de toute lingerie inutile, mais rougie et zébrée par une récente flagellation.
- Vilaine comme ça. Me répond-elle avec un petit sourire mi- coquin, mi- pervers. Et elle ajoute
- Elle vous attend !
Je passe la porte du salon. Effectivement Hélène mattend
Elle est penchée en avant sur le dossier du Chesterfield, ses deux mains sont menottées dans son dos. Son abondante chevelure noire lui cache le visage. Sa jupe, tendue à craquer sur son cul de jument, est remontée jusquau haut de ses cuisses généreuses. Ses bas à coutures beige dorés affinent ses jambes. Un petit tas de dentelles senroule autour de sa cheville droite.
Je mapproche, et je remonte ma main dans la fente de son vêtement. Je la glisse au-delà de la lisière de ses nylons, et je plonge mes doigts dans sa chatte humide.
- Ainsi, tu as été vilaine avec notre amie ?
Un gloussement étouffé me répond. Je fouille sous ses cheveux et je la débarrasse de son bâillon.
- Alors, tu as été méchante ? Et je reprends.
- Quest-ce que tu lui as fait ? Fais-je en farfouillant dans sa lingerie.
- je lai mise sur le chevalet. Et elle ajoute très vite.
- Mais cest elle qui la demandé.
- Et ensuite ? Linterroge je, en lui pinçant un sein.
- Je lui ai travaillé ses nibards de pétasse, et
- Et ? Fais-je en lui claquant les fesses.
- Je lui ai un peu donné du martinet
Et elle a adoré ça
- Cest tout ?
- Et jai un peu enculée cette pouffe
- Tu es vraiment vilaine, je vais être obligée de te punir.
- Oui, je mérite dêtre châtiée, mon amour. Me répond-elle mi-soumise, mi-rigolarde.
Il étire mes petites lèvres, il enfonce ses doigts dans ma vulve trempée.
Son autre main sest introduite dans mon soutien-gorge. Il me pince le téton droit, puis le masse pour lallonger.
Pénétrée devant, doigtée derrière, mes seins pétris, je suis aux anges, je frétille sous ses caresses. Jadore être tripotée, je monte. Je vais me perdre
Et tout sarrête, ses mains mabandonnent, coupant mon plaisir au moment où jallais spammer.
Il me redresse et me remet sur pieds
- Mais, pourquoi, jallais partir.
- Justement parce que tu allais partir.
- Mais tu me frustes
- Tu oublies que tu es punie.
- Sadique, jaurais préféré le martinet.
- Chérie, tu auras aussi le martinet. Fait-il en faisant tomber ma jupe.
Je la fais voler d'un coup de pied
- Quest-ce que tu fais.
- Je te prépare. Ajoute-t-il en rabattant mon chemisier sur mes épaules.
Il dégage mes seins de ma lingerie, et au passage il dépose un petit bisou sur un de mes mamelons érigés
- S'il te plait, embrasse-moi.
Il pose ses lèvres sur les miennes, je mouvre, sa langue me fouille, comme sa main tout à l'heure.
Elle se noue à la mienne. Il plaque sa main sur ma nuque, il me penche légèrement en arrière, il me soutient au creux de mes reins. Les mains liées dans le dos, je m'abandonne totalement. C'est un vrai baiser d'amoureux. Il dure une éternité.
Nous nous désunissons, je suis pantelante, je m'appuie sur son épaule, je reprends mon souffle.
Il me guide jusqu'au divan, et me fait m'agenouiller. Ensuite, il m'allonge à plat ventre, le menton sur l'accoudoir. Il prend sur la table quelques liens de cuir et attache chacun de mes poignets à mes chevilles.
Il se saisit du martinet et se place face à moi.
- Ouvre ! M'ordonne-t-il, en se débraguettant.
Docile, j'écarte mes mâchoires en grand.
J'aime la fellation. Je ne jouis pas de la bouche, comme je jouis de ma chatte, de mon clitoris, ou de mon anus.
Mais j'aime sentir, entre mes lèvres, la divine bite de mon seigneur, je me sens possédée, J'adore me sentir e, surtout s'il se pousse à fond, jusqu'à m'. Et puis, je raffole du gout de son sperme.
Je l'embouche, j'enroule ma langue autour de son gland, mais il poursuit sa pénétration buccale jusqu' à ma gorge. Il s'arrête, son membre m', je suffoque, ma glotte se contracte.
Shlac, le martinet s'abat sur mon glorieux popotin. Je sursaute, je veux crier, mais je suis bâillonnée.
Charitable, il se recule et me laisse respirer. Puis il savance à nouveau. Je laspire.
Une douleur soudaine me brule le cul. Je dois me crisper pour ne pas le mordre. Il me fouette à nouveau, son membre étouffe mon cri. Il synchronise ses allers et retours avec ses cinglées. Chaque fois que je métouffe, il me cingle
En un instant, je comprends quil va conduire son plaisir avec le martinet.
Machinalement, je compte les cinglées. Vingt, Vingt et une, je reprends mon souffle.
Il continue
Vingt-deux ! A cet instant, je comprends quil ne sarrêtera quune fois vidé. Et jai déjà lexpérience de son endurance.
Il pose le martinet, il glisse une main sous ma gorge et lautre derrière ma nuque, il me bloque le nez dans son foin.
Je sens quil va partir, il se raidit et se pousse à fond. Je métrangle, sur ma langue, je sens la pulsation du canal éjaculateur.
Il se recule et ne laisse que son gland entre mes lèvres. Je caresse son méat de ma langue. La puissance de son jet la repousse. Il éjecte sa crémé salée. Son éjaculation ne tarit pas, sa production est énorme, inhabituelle. Jai la bouche pleine. Puis le flux sarrête, mon chéri se recule. Je gaine sa queue pour ne rien laisser échapper. Il se dégage et sagenouille.
Je plonge mon regard dans le sien. Je fais tourner ma langue pour répartir son délicieux sperme contre mon palais.
Il matt à bras le corps, et me fait pivoter. Il place mon bassin sur laccoudoir, mon sexe baille entre mes cuisses ouvertes.
Pierre
Jai une vue magnifique sur lentrejambe de ma chérie. Ma belle est trempée. Ses lèvres intimes ont rosies. Je mempare à nouveau du martinet. Je passe les lanières la face interne de la cuisse gauche. Elle frissonne. Je recommence sur sa chatte et je remonte sur son périnée, jusquà son anus. Elle tremble
Hélène.
Jai peur, il va me fouetter là où nous, les femmes, sommes si sensibles, si délicates. Je ne mérite pas cette punition. Jai à peine fouettouiller Mel, jai presque été gentille avec elle.
Je tremble dans l'attente de la cinglée.
Une caresse humide et râpeuse parcourt mon sexe, puis glisse sur mon illet. Mon orifice caché s'ouvre avec complaisance, attendant une pénétration Mais mon coquin a choisi de jouer, et il repart vers ma chatte. Sa langue farfouille dans ma minette. Je miaule de bonheur. Il glisse jusqu'à mon bourgeon et l'aspire Je sens le sang affluer dans mon organe érectile, qui se dégage de son capuchon. Il le râpe, provoquant des ondes de plaisir. J'halète de plus en plus vite, je vais partir.
Il sarrête, me frustrant de ma jouissance.
Et il reprend la fouille de mon intimité, sa langue se glisse entre mes lèvres intimes, il les mordille, je crispe mes mains menottées, je me cambre pour lui faciliter l'accès de mon entre-jambes. Je vais partir quand il stoppe son cuni. Je gémis
- Pourquoi ?
Il pose ses lèvres sur mon anus et me caresse de sa langue, je mouvre, il me pénètre et m'encule de son muscle roulé en cigare, il me pistonne, je pars à nouveau. Mais il se dégage à nouveau
Un petit break et il se jette sur mes organes si sensibles
Une main s'est glissée dans mon corsage et me pincouille un téton : jouissance en haut jouissance en bas.
Il ne me suce plus, il me bouffe les lèvres, il mastique mon clito, il mord mon bourrelet anal, mencule de sa langue.
Jamais je nai connu un cuni aussi sauvage. Je monte, je monte
Il me délivre en aspirant violement mon clitoris. Je meffondre dans un râle de bête.
Il ne me laisse pas redescendre. Il déclique mes menottes et me retourne dans ses bras et membrasse délicatement, je glisse mes bras autour de son cou et je lui rends goulument son baiser.
Nous restons en apnée une éternité, soudés par nos lèvres.
Un ange passe, puis toute une escadrille.
Nous nous désunissons.
- Dis donc, quel enthousiasme, je tai beaucoup manquée. Et jajoute.
- Et tu es resté fidèle.
- Comment ça.
- Tu mas remplie, tu as du dégorger la production dune semaine, au moins
Je ne me suis pas rhabillée, après la douche. Pour éviter le froid du cuir, Pierre a drapé le canapé dune couverture de fausse fourrure. Je suis dans les bras de mon amant, au naturel, sous une couette douillette.
Je me glisse à hauteur de sa verge. Un petit coup de langue et Monsieur se redresse.
- Il ten reste un peu.
- Oui je crois que jen ai fabriqué.
Je me dresse, nue devant lui.
- Tu fermes les yeux, tu te laisses faire et tu les rouvres quand je te le dit.
Je magenouille entre ses jambes, lembouche, et je suce. Il se dresse. Le jet blanc jaillit, je le recueille au vol dans un gobelet à wiski.
- Cest bon, tu peux ouvrir les yeux. Fais-je en fouillant dans la cave à liqueur.
Jen sors une bouteille de liqueur de mandarine, que je réserve dhabitude à nos thés entre dames, quand nous en avons assez de lEarl Grey et que ces bourges coincées veulent quelque chose de plus fort que le thé.
Jen verse une dose dans un verre à liqueur. Ensuite, jy ajoute lélixir de mon seigneur et maitre. Je ne mélange surtout pas. Il faut que ça ressemble à un nuage blanc dans un ciel orange.
- Tu veux gouter
- Seulement tremper mes lèvres.
- Quest-ce que tu en pense.
- Jaime bien. On dirait du sirop avec de la crème.
Je teste à mon tour. Cest délicieux le gout des agrumes se mélange avec la suavité du sperme et la chaleur de lalcool.
- Jadore
- Comment as-tu eu cette idée ?
- Oh, cest simple, jai copié un cocktail appelé le baiser dange. Jai seulement remplacé la crème.
- Et tu vas lappeler comment ?
- Tout simplement. Le Baiser de Mon démon. Et jajoute.
- Il faudra que je le fasse gouter à Mel.
- Et pour la traite, tu ten charges ou tu la laisse faire. Me lance mon coquin
- Toutes les deux ensemble, ça va être coquin ! Fais-je en éclatant de rire.
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