Kentin 10 Voir Sa Femme Avec Un Autre
En dehors de ses escapades avec Pierre, nous avions repris une vie de famille moins chaotique. Moins le sujet de son infidélité et de mon candaulisme revenait sur le sujet et plus notre vie familiale était harmonieuse dans les attentions que nous portions lun à lautre. Cest comme si nous revivions les premiers instants dun amour à la différence notable de sexualité. Le fait que nous nayons de rapports réguliers semblait nous soulager dun poids lun et lautre. Les moments dintimité étaient de sa propre initiative et je mabstenais de lui faire part de mes tentations qui de ce fait devenaient quasi constante dans la mesure où je les taisais. Jétais dans un état de réceptivité extrême. Elle était dautant plus détendue que létui quelle me faisait porter périodiquement me rendait plus attentif et plus docile à ses demandes. Un jour que nous étions à la plage alors que nous nous apprêtions à partir, je maperçus quelle navait remis de sous-vêtement sous sa robe de plage. Elle avait ôté discrètement son maillot lavait soigneusement plié dans le sac de plage, mais nen avait pas rien ressorti de culotte pour se rhabiller. Elle lavait de manière naturelle.
-Tiens, cest toi qui portes le sac.
Cest une des choses quelle naurait jamais oser faire il y a quelques semaines.
Je marchais derrière elle, je portais le sac de plage et elle ondulait voluptueusement devant moi nue sous sa robe courte. Visiblement elle voulait faire naître une fois de plus le désir en moi. Je savais que si je me manifestais elle me ferait porter la cage plus longtemps que nécessaire. Nous étions maintenant dans la voiture et lautoradio diffusait une ballade rock aux accents rocailleux. Un long moment de silence avant quelle reprenne.
- Jai envie quil vienne en moi. Jai envie que tu soit là aussi aussi. Jai envie de toi et de lui , tous les deux ensembles. Si tu refuses sa présence, je lui dirais que cest pas possible.
Dans un souffle, elle a ajouté.
- A toi de décider mon chéri.
Elle ne portait aucun sous-vêtement. Pierre naimait pas cela, il la voulait disponible en permanence. Cétait difficile pour elle mais le faisait souvent maintenant car il était son homme, son mâle. Elle vivait désormais sous son emprise. Et cette emprise ne se limitait plus à leur moments ensemble. Le jeu devenait dangereux pour notre couple, il sétendait à tous les domaines de sa vie. Corinne semblait perdre pied comme je lavais fait moi-même il y a quelques semaines.
Elle a garé la voiture dans petit chemin. Elle a dégrafé mon pantalon et en a extrait mon membre déjà raide.Elle levait le bas de robe me dévoilant son pubis imberbe. Elle a écarté ses lèvres, y a introduit ses doigts. Elle a pris sa mouille pour la placer sur mon sexe. Elle était brûlante, déjà humide. Mon membre était raide. Jamais elle ne sétait comporté, comme cela avant, dans la voiture, jen étais incrédule.
- Je crois que je deviens folle. Jai envie quil vienne en moi. Jai envie que tu soit là aussi aussi. Jai envie de toi et de lui ensembles. Si tu refuses sa présence, je lui dirais que cest pas possible. Ce nest pas lui qui veut que ça se passe comme cela, cest moi toute seule. Je veux le faire, parce que cela mexcite de le faire de dépasser les bornes. Nous vivons un moment troublé de notre vie. Cest le moment ou jamais. Je sais que cela te fera plaisir aussi...
Dans un souffle, elle a ajouté.
- Tu décides, cest toi mon chéri. Cest maintenant où jamais. Dans quelques mois il sera trop tard.
Elle a reculé,ma souri. A chaque quelle voulait quelque chose, elle moffrait une contre partie sexuelle et moi, pauvre fou, je navais pas la force de refuser. Je bandais déjà. Fallait-il que je refuse ce que mon corps me dictait.
- Laisse-moi faire.
Elle suçait divinement bien. Très lentement, en douceur en jouant avec mes boules.
- Tu sais je ne perds pas la tête. Même si avec Pierre cest très fort. Je sais que lessentiel cest nous.
Jai capitulé mentalement la mort dans lâme, mais aussi avec une certaine sérénité.
Face à son regard tellement sérieux et tendre. Je savais quelle ne me mentait pas.
Elle a repris sa savante fellation. Me léchant tout du long, malaxant mes couilles, tétant mon gland avant de replonger sur mon sexe pour le prendre entièrement en bouche.
A nouveau, elle a libéré ma queue et levait son si beau visage vers moi, celui dune femme amoureuse. Elle a repris sa fellation et jai jouis en cinq secondes. Et je me suis soumis à sa volonté.
- OK Corinne. Quil vienne.
****
Javais essayé de me faire une idée de ce que cétait de voir sa femme faire lamour devant soi. Le net regorge de vidéos montrant ces scènes. Javoue, à ma grande honte avoir regardé ces scènes, de mêtre donné du plaisir devant ces scènes. En regardant ces femmes se donner bestialement à ces amants virils, jimaginais Pierre, jimaginais Corinne. Je mimaginais aussi moi, metteur en scène ou voyeur quémandant le regard de Corinne. Mais au fond, à travers ces scènes je savais que cétait moi qui était baisé et humilié par ces hommes virils. Dailleurs quand je me laissais aller, cest par lanus que je me masturbais, mon membre restait désespérément inerte. Je mintroduisait un godemiché dans lanus et je lagitais en moi jusquà la douleur. Le plaisir que jéprouvais au départ de la pénétration se transformait en punition puis en honte. La seule femme que je désirais cétait Corinne et ce que je voulais par dessus tout cétait lui appartenir pour quelle me montre son affection.
Ce week-end là, Katia serait avec ses grands parents. Je ne savais pas ce que Corinne avait tout préparé. A chacune de mes demandes, elle éludait.
-Tu verras bien, ne tinquiète de rien mon chéri.
Jétais anxieux, javais le ventre noué. Jétais un simple pion dans ce jeu à trois, elle était la reine. Visiblement, dans ce jeu, jétais la pièce la plus faible. Toute la stratégie méchappait. Elle vaquait légère à ses occupations, moi jétais tétanisé, écrasé par un devenir que je ne maîtrisais pas et auquel chaque seconde me rapprochait. Elle est montée shabiller, je laurais suivie volontiers pour comprendre mieux ce qui allait se passer. Elle est redescendue. Elle portait une jupe courte, un pull et de la résille sur les jambes et des chaussures à talons. Jaurais imaginé quelque chose plus sexy, en haut tout de moins. Avec ses talons elle me dépassait en taille. Son pull serré ne laissait pas voir de trace de soutien gorge. Son amant avait du lui demander de garder ses seins libres. Et effet quand elle se déplaçait je croyais voir le mouvement naturel de sa poitrine. Je tentais une approche.
- Quest-ce tu veux, tu vas me décoiffer. Vas plutôt te préparer
Je navais fait que lui toucher le bras. Jétais décontenancé par sa réaction.
-Dépêche toi, Pierre vient de menvoyer un SMS, il va arriver! Pas la peine de mettre ton étui pénien pour le moment. On va sortir!
Je me suis pressé comme elle mavait demandé. Jai enfilé une chemise, un pantalon, sans rien dessous. Si elle se le permettait pourquoi pas moi !
Pierre est arrivé. Elle sest jetée à son cou et la embrassée à pleine bouche pour lui souhaiter la bienvenue. Il ny avait aucune gène chez elle. A ce moment, je nexistais plus pour elle. On a pris lapéritif. Cest moi qui ai fait le service. Je me suis assis près delle sur le canapé. Pierre était assis en face delle. Elle me tenait la main, nous devisions de chose et dautres. Je savais quil avait vue sur son entre-jambe. Elle ne croisait pas les jambes comme la pudeur et la bienséance lauraient voulues. Je savais quà un moment ou un autre elle écarterait les jambes pour lui dévoiler son intimité.
-Allez, les garçons, ce soir cest moi qui vous invite. Jai retenu un restaurant, et après on ira danser.
Pierre et moi, on sest installé à larrière de la voiture. Corinne faisait le chauffeur. Il y avait un peu de route pour se retrouver en ville. La musique de lautoradio était agréable. La cuisse de Pierre était contre la mienne. Je dois dire que ce contact me mettait mal à laise. La situation était embarrassante dautant plus quand il a posé sur ma cuisse. Je faisais mon possible pour me par réagir. Certes je ne bandais pas mais je sentais que ma bite commençait à couler. Je mouillais de la bite comme une femme mouille de chatte.
Le repas sest déroulé à merveille. Corinne essayait de donner le change en donnant son attention à lun et à lautre. Ensuite nous avons trouvé un bar avec DJ , le Déclik, où Corinne sest évertuée à nous allumer lun et autre avec des danses lascives où elle se collait à lun et à lautre échangeant des baisers humides avec lun et lautre. Visiblement cest elle qui dirigeait ce jeu qui je dois le dire mexcitait. Je sentais le frottement de ma bite et de mes couilles sur le tissus rêche du pantalon. Quand Corinne se collait à nous elle passait discrètement la main sur notre entre jambe pour mesurer notre degré dexcitation. Elle était immensément belle, intensément désirable comme une femme amoureuse peut lêtre. Tout à lheure elle se donnerait à nous, je le savais, mais jignorais de quelle manière elle donnerait à moi.
Quand nous sommes rentrés, cest elle qui a ouvert la porte.
-Si ces messieurs veulent bien entrés.
Elle sest retirée pour faire un brin de toilette. jai servi un verre à Pierre pour tromper mon angoisse, jai mis un fond musical. Corinne est réapparue.
- Alors les garçon, vous ne me servez pas un verre.
-Tu veux quoi? Un vin cuit, un digestif.
-Quelque chose de fort avec des glaçons.
Je me suis en devoir de la satisfaire. En revenant, elle avait changé la musique et dansait dans les bras de son amant.
-Pose le sur la table.
A la fin, je pensais que ce serait mon tour. Elle sest approchée de moi souriante et ma tendu une chaîne au bout de laquelle, il y avait une clé que je connaissais bien.
-Toi aussi, vas te préparer, mon chéri.
Jai lancé un regard discret à Pierre pour voir comment il réagissait. Il était plutôt indifférent à mon cas. Jai monté les marches pour aller enfiler ma cage de chasteté. Je nai pas pensé une seule seconde à me dérober, à me révolter, à dire non. Javais accepté mon rôle. Mon sexe ne bandait mais était visqueux tellement je mouillais, mes couilles se dérobaient si bien que jai mis un temps fou à enfiler lanneau et à refermer la cage.
Quand je suis redescendu, Corinne et Pierre étaient à genou sur le canapé, lun en face de lautre, leurs bouche se cherchaient et ils échangeaient des petits baisers. Elle avait ouvert la chemise de Pierre et ses mains caressaient subtilement la poitrine de son amant.
Elle avait oté son pull et sa jupe, elle était entièrement vêtue dun combinaison en résille.
Voilà donc le mystère quelle me cachait depuis le début de la soirée !
Je pensais que ce genre de tenue provenant certainement dun sexshop était réservée aux putes et aux libertines accomplies et non à la femme sérieuse et pudique à qui javais tenu la main sur la table accouchement quelques années plus tôt
Cette intimité entre ces deux êtres était profondément choquante. Autant je métais préparé à les voir accomplir le coït devant moi, avec moi comme complice, autant la sensualité et la complicité qui se dégageait deux sonnait comme la pire des trahisons. Contrairement à ce que jimaginais, il ne sagissait pas que dune histoire de puissance sexuelle que Pierre possédait et dont jétais dépourvu. Il sagissait bien dun couple qui avait refermé sur eux la bulle de leur intimité et dont jétais le malencontreux spectateur.
Je suis resté, un instant immobile, cherchant mon souffle, retenant le flot de larmes qui immanquablement allait finir par couler. Finalement ils ont fini par me prêter attention.
- Tu ne vas pas pas bien. Tu à lair pâle.
-Je
Je
« Je vais monter et je vais vous laisser », ce sont les mots que je nai pas pu prononcer. Alors tous les deux se sont approchés de moi et mont fait asseoir. Je me suis retrouvé avec un verre dans la main, tandis que Corinne ouvrait mes doigts qui tenaient la chaîne et la clé avant de la passer autour de son cou. Jétais dans un état second, incapable de bouger et de réagir. Elle ma embrassé doucement sur les lèvres.
- Reste là, tout va bien se passer.
Que dire de la suite? Que dire de la suite? Quelles images ai-je gardé de leur union? Quels sons résonnent encore aujourdhui encore dans ma tête? Quels étaient les sentiment qui mont habité dans létat dhébétude dans lequel jétais? Je ne saurais le raconter dans la chronologie.
Non je nai pas vu les détails que lon voit dans les films, la vulve dégoulinante de ma femme autour du pieu démesuré de son amant. Ce dont je me souviens ce sont les doigts crispés de Corinne dans les bras et autour de la nuque de Pierre. La manière quelle avait doffrir son corps comme sil elle voulait être écartelée, son visage parfois perdu et les regards implorants quelle lançait à son amant pour quil la prenne de plus en plus fort. Je revois encore le corps puissant de Pierre, les muscles de son dos tendus sous la pression de sa nature virile et des efforts quil faisait pour prendre et donner du plaisir au corps de ma femme qui soffrait à lui comme jamais elle ne sétait offerte à moi. Je revois son corps tendu et tremblant sous la morsure du plaisir. Et puis jentends aussi les cris inarticulés qui sortaient de sa bouche pour appeler son plaisir et celui de de son amant. Le monde quils inventaient sous mes yeux, quils inventaient pour eux deux me serait pour toujours étranger. Je nen ai retiré aucune excitation sexuelle, mon pauvre sexe est resté inerte dans sa prison. Même le plaisir de voyeur que javais imaginé mavait été enlevé. Je nappartenais pas à leur espèce, il étaient faits dun matériau différent du mien, définitivement. Après la tempête, quand les souffles ont retrouvé leur rythme normal, Pierre, sest levé, il est venu vers moi, il tenait la clé.
- Allez, maintenant cest ton tour. Ce soir, on partage tout.
Il a baissé mon pantalon qui est tombé sur mes chevilles et a trifouillé le cadenas pour libérer mon sexe.
-Vas y, Corinne tattend!
Jétais sans envie, sans volonté. Pierre a pris ma place dans le fauteuil et moi je me allongé près de Corinne sur le canapé.
- Allez, viens sur moi mon chéri. Fais nous du bien.
Je suis monté sur son ventre, mais il ne se passait rien. Les attentions délicates de Corinne, les mots tendres quelle me murmurait ne me faisaient rien. Mon coeur et mon corps étaient vides. Je nétais pas à ma place.
- Je ny arriverai pas finis-je par murmurer.
- ça nest pas si grave. On le fera une autre fois
Elle a pris ma tête entre ses main, la descendu entre ses seins que jai lèché un peu. Elle a poussé un peu plus bas. Je savais ce quelle voulait. Je naurais pas dû lui donner cela mais je lai fait quand même. Jai signé ma reddition totale en posant ma boucle sur sa vulve et en absorbant leurs sécrétions mélangées. Javais honte de ma soumission à Corinne, mais ce que jétais en train de faire, peu dhomme en était capable. Je lai compris plus tard, mais à ce moment là, intuitivement je le touchais du doigt. Jai léché le sexe de mon épouse, sans en éprouver de contre partie dans mes parties intimes, mais avec un plaisir cérébral intense. Je franchissais un nouveau pas.
Je me suis levé et je me suis agenouillé entre les jambes de Pierre et jai pris son sexe en bouche. Lui et Corinne me regardaient sidérés, je le savais. Jétais capable daller bien plus plus loin que ce quils lavaient imaginé. Le membre mou de Pierre occupait ma bouche, je faisait ce quil fallait pour le ranimer, mais visiblement ma science du pompage ne suffisait pas.
-Viens Corinne, aide-moi à le faire grossir.
Nos deux bouches se sont activées pour ranimé le feu de ce Priape que je croyais insatiable. Lentement sa queue sest levée. Nos deux langues se touchaient parfois autour du bâton de chair
- P
, ce que cest bon. Continuez tous les deux. Je nen reviens pas.
Jai gobé les couilles de Pierre tandis que Corinne embouchait son gland. Pierre gémissait sous laction de nos deux langues. Moi javais la tête en feu. Je jouais mon rôle à fond
-Alors mon Prince, tu veux encore baiser Madame ou tu préfères me prendre par le cul devant elle?
Javais balancé ça sans réfléchir. Et je dois avouer que ça a jeté un froid.
-Arrête tes conneries, Cest vraiment pas drôle!
Corinne na rien dit. Je nai pas vu son visage non plus.
- Bon. Je crois quil vaut mieux que jy ailles. On a suffisamment picolé pour ce soir. Demain on verra plus clair...
Il a enfilé ses fringues et nous a quitté. Corinne, elle, a filé sous la douche. Elle a pris son temps, la salle bain fumait sous leffet de la vapeur. Cétait un bain purificateur, pour se laver de ses fautes, pour oublier ce qui venait de se passer. Moi pour ma part, jétais serein et je me suis couché nu. Jétais en paix avec moi même. Corinne ma rejoint.Elle a collé ses seins sur mon dos. Elle voulait me parler, être tendre.
-Mon chéri, excuse-moi. Cest moi qui ait voulu. On est allé trop loin, on naurait pas du
-Mais si, mon amour. Il ny a rien a regretter. Maintenant, tu sais. Dailleurs tu las toujours su plus ou moins. Moi, je te jure, je le le savais pas. Il faudra quon assume ça tous les deux, ou bien je le ferai tout seul. Bonne nuit.
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