Initiation 3

INITIATION 3


Le lit était toujours aussi confortable que la première fois. Par moment Nathalie se blottissait contre moi, c'était un instant de douceur mais quand je posais ma main sur elle c'était les poil de l'autre primitif que je sentais.

Il dormais paisiblement, là, juste à côté de Nathalie, de l'autre côté du lit. Elle me fait faire de ces truc cette fille. J'aurais jamais cru qu'un jour j'embrasserais un homme … Et que j'y prendrais du plaisir.

Je n'aurais jamais imaginé qu'un jour je trouverais du plaisir à caresser les poils d'un mec, son torse musclé ou encore sa queue. C'est justement la poitrine d'André que je caressais avec le dos de la main à ce moment. C'est vrai qu'au départ c'était l'épaule de Nathalie que je caressais puis, peu à peu ma main s'était rapprochée du torse d'André et c'est lui que je finissais par caresser …

Dans ma cage la pression ne baissais pas. J'ai failli craquer cent fois, au début pendants les ébats, ensuite pendant la nuit. Je ne sais même plus si c'est la peau de Nathalie ou la fourrure d'André qui me fait cet effet.

La douceur de la poitrine de Nath ou la musculature d'André, la finesses du ventre de l'une ou la tablette de chocolat de l'autre, cet espace vide voluptueux entre les cuisses de Nathalie ou cette bosse impressionnante entre les cuisses du gorille, je ne savait plus qui, quoi me faisait bander. Ce que je savais par contre c'est que le port du dispositif de chasteté était particulièrement difficile à supporter cette nuit encore.

C'est décidément une habitude de mal dormir entre les bras d'une princesse.

En tout cas ce n'était pas le cas de notre compagnon. Il ronflait ! Ho, il ne ronflait pas trop fort, c'était un doux murmure. Même là il est encore au top, même quand il ronfle il fait ça bien. Je réajustais mon dispositif de chasteté plusieurs fois dans la nuit. Je finissais par m'endormir.



Il était tôt le matin quand Nathalie s'est levée. C'est elle qui s'était réveillée en premier et sans nous attendre elle s'était levée, douchée et habillée et était sortie.

C'est ce qui m'a réveillé. Au moment ou j'ai voulu la prendre dans mes bras, c'est la fourrure du barbare que j'ai caressé, elle est douce et dans mon sommeil j'ai pas réagi tout de suite puis c'est sur sa queue en érection que ma main s'est arrêtée … Là ça m'a réveillé ! Je l'ai senti réagir, il m'a caressé le bras. Je ne bougeais plus, j'étais tétanisé et bizarrement mon érection du matin se calmais. C'est vrai que je ne suis pas de taille moi. Il en a une grosse !

Il s'est retourné, m'a pris dans ses bras et m'a donné un baiser dans le cou, juste sous l'oreille. Je n'osais plus bouger. Dans ma cage, il y avait toujours un peu de pression, une grosse molle qui prenait toute la place mais ne cherchait plus à se sauver. Bizarrement je me suis endormi. Bizarrement j'ai bien dormi là. J'ai terminé la nuit paisiblement. J'ai rêvé que je me mariais avec Nathalie et André. Enfin j'ai rêvé que j'étais son premier époux, j'avais montré à l'autre néandertalien qui était le mâle dominant … Bon je ne sais plus comment je le lui avait montré, c'est dommage ça aurait pu me servir, mais je le lui avait montré. Vous savez dans les rêves il ne faut pas toujours chercher à tout comprendre.

C'est plus tard, beaucoup plus tard dans la matinée qu'il se réveillait complètement.

André : On nous a laissé. Elle t'a dit ou elle partait ?
Moi : ( j'ouvrais les yeux ) Non, je ne l'ai pas entendu partir.

Nous étions dans les bras l'un de l'autre, son visage était juste devant le mien. Il me souriait et me donnait un baiser sur les lèvres. Je frissonnais. Finalement c'était très agréable cette histoire. Je sentais sa queue se relever et se glisser contre ma cuisse, elle s'arrêtait au niveau de ma cage de chasteté. Je sentais la pressions monter dans ma cage de chasteté, elle était rapidement remplie par une grosse molle qui restait à son aise malgré le peu de place qui lui était réservée.


Il me serrait plus fort et ses baisers devenaient plus … intrusif … j'ai beaucoup aimé. Il embrasse bien André et finalement sa barbe de trois jours parfaitement taillée était agréable. Je lui rendais son baiser d'une manière toute aussi entreprenante. Ma queue devenait plus volumineuse et commençait à pousser contre ma cage. Ça devait arriver cette affaire, vu comment la soirée avait déraillé la veille, ça devait arriver qu'un mec me fasse bander !

Il me retournait sur le dos et s'installait sur moi, il me chevauchait, ses fesses se plaçaient juste au dessus de mon dispositif sur lequel il appuyait et qui se retrouvait écrasé entre mes cuisses. Mes couilles étaient bien fermes,bien pleines et ne formaient qu'une seule grosse boule qui se retrouvait compressée par son poids.

Je ne me défendais pas, je le laissais faire, j'étais complètement passif, mon cœur battait vite et je respirais fort. Il me caressait les bras puis remontait ses caresses jusque sur mes épaules. Il insistait longuement et revenait là ou il s'était déjà attardé. Quand ses deux mains caressaient ma gorge, c'était avec une grande douceur et il penchait son visage sur le mien et m'embrassait avec passion. J'étais un peu perdu et n'osais pas vraiment le toucher.

Je relevais la tête et je pouvais contempler son membre viril relevé devant lui. Ma cage était invisible écrasée sous ses fesses. Je me surprenais à contempler sa queue, c'était la première fois que je regardait la queue d'un mec de cette manière. Dans ma tête je faisais la comparaison avec ma virgule, lui c'était un point d'exclamation qu'il arborait !

Je laissais ma tête retomber sur mon oreiller, il avait posé une mains juste derrière ma nuque, il se penchait de nouveau sur moi et nos baisers devenaient chauds, fougueux, passionnés. Il s'allongeait sur moi, je le prenais dans mes bras, je me laissais aller à cette étreinte passionnée autant qu'imprévue.

Nos deux corps roulaient l'un sur l'autre et roulaient encore.
Je ne savais plus ou j'étais mais je ne me posais plus de questions. Après tout un câlin n'a jamais fait de mal à personne. Puis le câlin changeait de ton, il m'embrassait sur les épaules, sur le torse, sur les tétons … C'était terriblement bon. Je frissonnais à chaque fois que ses lèvres me touchaient, sa petite barbe me chatouillait et ma cage protestait désormais. Ce n'était plus une grosse molle qui se sentait à son aise dans un espace un peu confiné, c'était une grosse dure qui voulait prendre le contrôle de la situation. Enfin grosse, pas tant que ça finalement à cause de la cage mais dure ça oui ! Très dure même.

Je me retrouvais sur lui, je le chevauchais, ma cage pouvait se relever devant moi, il avait les jambes légèrement écartées. J'étais assis sur lui, les jambes repliées, les fesses au dessus de ses couilles, sa bite dépassait juste sous ma cage. Je me repliais ver lui et le couvrais de baiser. Sa fourrure était vraiment douce et me chatouillait le nez quand je déposais un baiser.

Il me caressait les cheveux, je sentais la force de ses muscle et la douceur de ses caresses. C'est pas pareil avec une femme … Enfin c'est vrai qu'avec une femme j'ai pas encore trop pratiqué !

André : Suce moi !

À cet instant j'allais lui déposer un baiser juste en dessous du nombril. Je ne bougeais plus. Doucement, presque imperceptiblement ma tête s'inclinait vers sa queue. Mes lèvres n'étaient pas bien loin mais je n'avais pas prévu de descendre aussi bas. Il me caressait les cheveux, comme pour m'encourager, il ne me forçait pas. S'il avait voulu appuyer sur ma tête je me serais déjà retrouvé avec sa bite dans le nez sans que je ne puisse rien y faire. J'étais tétanisé, je ne savait plus quoi faire.

Sa pression sur ma tête devenait plus entreprenante. Je décidais de ne pas résister et je posais mes lèvres sur son gland. Suivait ma langue qui doucement se posait à son tour sur le bout de sa bite. Je ne bougeais plus, une nouvelle caresse dans les cheveux me donnait le courage de continuer.


Ma langue léchait maintenant le bout de son gland, puis en faisait le tour et recommençait. Il gémissait de plaisir. '' Oui ! C'est bon comme ça ! Ça commence très bien ''.

Il posait ses deux mains sur ma tête mais c'était pas pour m'enfourner sa queue bien à fond en appuyant de toutes ses forces, je n'y aurais pas survécu. C'était juste pour me guider. Ce Cro-Mignon n'était pas si effrayant que ça finalement. Je me prenais au jeux et rapidement c'est son gland qui entrait en entier dans ma bouche. Je continuais à passer ma langue tout autour, j'ouvrais la bouche à m'en déboîter la mâchoire, j'y mettais tout mon cœur, et je parvenais à en faire entrer un plus gros morceau.

Dans ma tête il y avait un incendie, dans ma cage c'était l’horreur comme la veille, mon cœur battait tellement fort qu'il allait lâcher. Heureusement que je suis encore jeune et solide, sinon …

Quand je relevais les yeux je le voyais il me souriais, avec son pouce il me caressait le front, avec la paume de sa main il me caressait la joue, il passait son pouce sur mes yeux en prenant soin de ne pas appuyer. Il savait se montrer doux, tellement doux et pourtant il paraissait fort, tellement fort. Je comprenais le plaisir que les femmes peuvent éprouver de se retrouver dans de tels bras.

Je sentais ses muscles rouler sous sa peau, sous la douceur de sa peau. Il aurait pu m'écraser la tête juste en me la serrant entre ses mains. M' sans effort en m'enfonçant sa queue dans la gorge. Il aurait pu mais il n'était que douceur. Je finissais par relever la tête et m'approchais pour lui donner un baiser.

André : Tu fatiques ?
Moi : Elle est énorme !
André : Oui on me le dit souvent.
Moi : La mienne est plus …
André : Enfermée !

On rigolait.

André : C'était pas la première fois ?
Moi : Bein si !
André : Alors tu es doué mon petit bonhomme.

Il me serrait dans ses bras et de nouveau nos deux corps roulaient l'un sur l'autre, de nouveau on partageait un long moment de tendresse virile.

André : Retourne toi, je vais te prendre !
Moi : Tu vas me prendre ?
André : Oui je vais te prendre !
Moi : Oui mais tu vas pas m'enculer alors ?

Je l'entendais rigoler.

André : Tu es un marrant toi !

Doucement il m'avais mis en position, j'étais allongé sur le ventre, les jambes écartées. Il me massait le dos, les hanches, me couvrait de baiser en commençant par le haut du dos, il descendait et je sentais sa barbe et ses baisers qui descendaient jusqu'à mes reins.

Avec un main il me caressait les fesses, il s'attardait sur mon petit trou du cul encore vierge. Je pense qu'il avait deviné que j'étais encore vierge, surtout qu'il savait maintenant que c'était la première fois que je suçais un mec.

Il me lubrifiait bien le cul et au moment ou il me mordillait le bas du dos, juste au moment ou je frémissait, il m'enfonçait un doigt dans le cul, le retirait et revenait à la charge avec deux doigts ce coups ci. Je poussais un râle de plaisir, je les sentais bien ses deux doigt mais ça ne faisait pas mal, c'était bizarre mais pas vraiment désagréable.

Il ne bougeait plus pendant quelques minute, seule son autre main me caressait toujours le dos, puis se mettait à bouger les doigts dans mon cul. Je poussais un cri, je jouissais, j'éjaculais, le souffle me manquais, la tête me tournait, c'était bon. Depuis je ne sais combien de temps je vivais sans aucun plaisir sexuel. Je me vidais bien les couilles régulièrement mais sans plaisir alors que la solution était là, à portée de main et que je ne le savais pas. Je me sentais bien tellement bien.

André : On va plus loin ?
Moi : Je lui gémissais alors un OUI qui ne prenait pas fin.

J'aurais pas dû ! Aussitôt je me disais que j'aurais pas dû.

Il s'allongeait sur mon dos, glissait encore un doigt dans mon cul pour me lubrifier abondement, il m'écartait doucement les jambes et prenait position, son gland bien en face de mon cul. J'étais vierge, j'avais la trouille, je voulais lui crier d'arrêter, il appuyait.

Je résistais, je ne desserrais pas le cul, il penchais sa tête sur mon cou juste au dessus de mon épaule et me mordait assez fort pour me faire crier, je relevais la tête et hurlais, il enfonçait sa queue dans mon cul et venait de forcer la première résistance. Je hurlais, j'avais du mal à respirer, je ne pouvais plus bouger, plus parler, plus rien faire.

Il ne bougeait plus lui non plus pendant un long moment. Quand essoufflé je reposait mon visage sur l'oreiller il reprenait et avançait un peu plus. Je sentais mon anus se dilater, se distendre. Je respirais fort, je n'arrivais même plus à gémir, aucun son ne sortais plus de ma gorge.

Je sentais, complètement paniqué, son ventre s'écraser contre mes fesses. J'ai cru mourir, je n'avais pas seulement l’impression que mon cul allait déchirer, j'avais aussi l'impression qu'il avait fracturé mon os anal. Vous savez l'os qu'on a tous au fond du trou du cul ! Oui je sais il n'y en a pas mais j'avais l'impression que moi, à ce moment, j'en avais un et qu'il venait de le fracturer.

J'étais alors pris de convulsions et poussais des cris de plaintes désordonnés. Il comprenait la situation et se retirait lentement. Je l'avais senti rentrer je le sentais ressortir la sensation était aussi forte dans les deux sens. J'ai à nouveau hurlé quand il est totalement ressorti et là j'ai joui de nouveau, j'ai juté de nouveau.

J'avais mal au cul, mal jusque qu'au fond de mon ventre mais ça allait mieux.

André : Alors là tu m'impressionnes bonhomme. C'était vraiment la première fois ?

Je faisais oui de la tête. Il me donnait une claque sur les fesses et m'enfonçait sans ménagement deux doigts dans le cul. Ça passait tout seul maintenant, il m'avait bien dilaté.

André : Même pas une petite fois avec un mec moins bien monté ?

Je faisais non de la tête.

André : Même pas un petit gode ou un truc comme ça ?

Je faisais toujours non de la tête.

André : Alors c'est que tu es doué mon gars ! Avec un peu d'entraînement tu verras tu t'en prendras des encore plus grosses et tu verra tu y prendra beaucoup de plaisir.
Moi : Ça fait mal !
André : Au début ça fait mal mais ensuite ça ne fait plus mal du tout !
Moi : Du tout ?
André : Oui enfin avec un outil comme le mien ça peut faire un peu mal encore.

Il s'installait sur le dos et se masturbais, je finissait pas me retourner et je le regardais faire, je le regardais impressionné quand il éjaculait, je recevais une grosse giclée sur la figure et n'essayais même pas de l'éviter. Ça le faisait rire, je riais un peu aussi mais j'avais mal au cul, jusqu'au nombril, dans mon ventre.

On passait ensuite sous la douche, il était redevenu douceur et tendresse. Je commençais à bien l'aimer moi ce gros nounours.

Bilan final de cette histoire …

J'ai mis trois jours avant de pouvoir utiliser sans problème ma main droite et près d'une semaine avant de pouvoir m’asseoir normalement. Vous imaginez bien que j'ai pas raconté ma soirée à mes copains …



N'hésitez surtout pas à me laisser une commentaire et à me retrouver sur Twitter … @CharlyChast

Comments:

No comments!

Please sign up or log in to post a comment!