Un Bel Été 8
Un bel été 8
Visite à la ferme
Dans l'intimité de sa maison, David n'avait aucun tabou sexuel pour moi, me livrant des détails sur les mecs qu'il avait pu baiser. Pas en me les nommant mais en me donnant des détails qui me faisait saliver, bander, découvrir différentes facettes du sexe.
Il pouvait se le permettre, libre, actif, d'une exceptionnelle résistance, un sexe magnifique, un corps solide, d'une virilité totale.
Il en avait tringlé quelques uns sans pour autant s'être attaché à l'un d'eux. D'un caractère entier, il lui était difficile de s'adapter.
Malgré son profil de macho pur et dur dans toute sa splendeur, à l'extérieur, à aucun moment, en sa compagnie, en présence de personnes qu'il connaissait, il ne m'a mis dans l'embarras. Il était fier de mon air viril, de me côtoyer. Personne n'a jamais osé m'importuner en sa présence.
Je faisais donc parti des exceptions et son désir pour moi, son attachement à venir me chercher toutes les fins de semaine relevaient du miracle.
Son exceptionnelle tendresse avec moi tranchait avec l'impression de rigidité et de bestialité qu'il pouvait dégager en le voyant. Avec moi, c'était le David gentil, attentionné, doux, câlin, très mâle bien sûr, mais aimant, dans l'intimité de sa maison.
Notre différence d'âge nous permettait d'éviter la question de la vie commune et de vivre pleinement notre sexualité.
En cette fin de matinée, David et moi, nous sommes assis dehors. Il aime voir mon corps de jeune homme et moi aussi, j'aime voir son corps puissant, ses magnifiques tatouages. Il est heureux que je m'excite à le regarder, fier de ses tatouages. Le jour ou je lui ai dit que je trouvais ses tatouages magnifiques, il s'est offert à moi, en roue libre, immensément heureux, m'offrant le meilleur de son amour.
Nous profitons donc de cette matinée en toute sérénité sur sa terrasse sans le moindre vis-à-vis.
Son beau chien, superbe, à l'image de son maître, est près de nous sur la terrasse et viens de temps en temps chercher une caresse.
" Il est beau mon chien, Laurent, il s'est fait plaisir cette semaine.
" Ah, raconte moi, David.
" Il a sailli une copine hier. Humm, un chaud de la bite lui aussi.
" J'aurais bien voulu voir ça.
" Oh, Putain, il lui a bien mis sa grosse bite dans la chatte. Comme son maitre, mon chien.
David est heureux de me raconter ça, fier de la virilité de son chien, qui a honoré avec succès cette chienne en chaleur. Il bande en me racontant ça ( et moi aussi ). Il me regarde:
" Laurent, suce moi, ça m'a excité de te raconter ça.
Sans le moindre complexe, je me penche... Sa bite est délicieuse, raide, humide. Sa main vient caresser mes cheveux.
" Merci Laurent, mon chéri.
Lorsqu'il m'appelle "mon chéri" , c'est qu'il est particulièrement heureux d'être avec moi.
Je le suce pendant plusieurs minutes. Je sais qu'il ne veut pas ment jouir. Il a envie de sentir mes lèvres sur son sexe, tout simplement.
Quelques minutes se passent et David est satisfait. Il se penche alors vers moi, me bascule:
" Laisses moi faire, mon cur.
Ses lèvres se referment sur mon sexe bandé et il commence une série de sussions qui m'arrachent des soupirs incontrôlables. J'essaies de lui signaler que je vais déborder tôt ou tard, que ce qu'il fait est trop bon mais il n'en a cure. Au contraire, il prend un malin plaisir à me faire apprécier ses talents de suceur. J'ai compris qu'il ira jusqu'au bout.
Je décide donc de profiter des douceurs de mon David.
Humm, mon beau chéri, mon merveilleux chéri
.qu'il suce bien!
Voir ce mâle si viril accomplir ce geste si intime sur moi, c'est comme un miracle, la preuve ultime de son amour.
Lorsque je jouis, un spasme me parcoure le corps. Mon corps se raidit pendant que mon sexe se décharge de plusieurs giclées dans la bouche de mon merveilleux amant.
Il se redresse et viens chercher un bisou que je lui accorde. Nous n'avons pas besoin de parler. Nous sommes l'un pour l'autre, de plus en plus amoureux, en osmose.
Une fois la pression retombée, souriant, mon sperme avalé, comme si tout cela était naturel, il reprend la conversation, m'épatant une nouvelle fois.
" Tu sais, Laurent, lorsque je suis allé te chercher hier soir, je t'aurais bien baisé sur place quand je t'ai vu, tellement j'avais envie de toi.
" C'est ton chien qui t'a excité, lorsque tu l'as vu faire sa saillie.
" Oui. Putain, il l'a pas loupée, la copine. J'avais la trique en le regardant.
" Je t'aurais soulagé, si j'avais été près de toi.
" Je sais bien, Laurent. Tu vois, hier soir, j'ai tenu. Je te respecte et je t'ai fait l'amour comme tu aimes, mon Laurent. Je voulais pas te sauter comme une pute.
" Merci David. Tu as été particulièrement actif et doux à la fois. J'ai adoré.
C'est vrai que David, malgré son énorme envie, hier soir, avait attendu d'être chez lui et m'avait particulièrement honoré, dès en arrivant, avec vivacité et délicatesse à la fois. Ses baisers étaient fougueux, chauds, divins. Effectivement, sa jouissance n'avait pas tardé mais il s'était remis à l'ouvrage presque aussitôt, me harponnant avec force et vigueur, me faisant jouir du cul. Je m'étais offert à lui, comme une bête en rut, pour son plus grand plaisir.
Nous entendons soudain le tracteur du voisin agriculteur se garer près de la maison. David, pressé de me faire un câlin hier soir, a laissé sa voiture à l'extérieur et le voisin sait qu'il est présent.
" Merde
..C'est Bastien, il fait chier
..( Oui, je sais, pas terrible mais c'est le parler vrai )
David est contrarié, il va néanmoins l'accueillir, le reçois correctement.
Le voisin est de même corpulence que David, environ le même âge, sans doute un copain vu la bonne poignée de mains très amicale qu'ils s'accordent.
Le voisin rentre, David lui explique qu'il a un invité et me présente. Connaissant sans doute sa vie sexuelle agitée, Bastien sourit légèrement en le regardant mais David reste impassible.
La poignée de main de Bastien, l'agriculteur, est ferme, sans demie mesure. On sent le travailleur, la personne active, franche, volontaire. C'est la première fois que je salue quelqu'un avec des mains comme des battoirs mais, surtout, d'une très grande douceur, contrairement à David qui a les mains plus calleuses.
La conversation s'établie sur les travaux d'été, la météo et diverses infos du voisinage.
L'apéro aidant, Bastien en profite pour faire quelques allusions sur les relations sexuelles, puis, vu la bonne ambiance amicale, il s'aventure sur la facilité avec laquelle David prend son plaisir, sans aucune contrainte.
Au deuxième apéro, David, à son tour, décide de faire monter la sève sur la branche de son copain en lui racontant par le détail quelques anecdotes sur sa vie sexuelle.
Bastien comprend à ce moment là que notre nuit a été très agitée, que je me suis fait baiser bien profond, que j'aime ça. Il parait sonné, presque en manque, bande comme un cerf:
David a réussi son coup
l'exciter, le faire baver d'envie.
Pourtant, son copain ne manque pas de ressources et refait surface:
" Une côte de buf, hummm
.je suis seul ce midi et dispo.
" Bastien, tu es le bienvenu chez moi. On va partager.
" Merci David. Je retourne à la ferme me changer. Ton invité a peut être envie de venir avec moi faire un petit tour sur mon tracteur.
David sourit, il a compris ce qu'il a en tête ( et moi aussi )
" S'il est d'accord
lui répond David qui vient me passer la main sur la nuque, ravi de la tournure de la rencontre.
" Et ne me l'abîme pas, prends en soin
Je partage mais je tiens beaucoup à Laurent.
Excité, chaud, il m'invite aussitôt et j'accepte, sous le regard amusé de David. Il m'aide à monter sur l'énorme tracteur et nous partons, Bastien et moi, vers la ferme.
Sur le trajet, je suis debout près de lui. Il passe son bras autour de ma taille pour me maintenir pendant que je passe ma main sur son épaule. Bien que nous parlions de choses banales, ce contact appuyé et nos regards suffisent à comprendre que tout est possible.
Arrivés à la ferme, il me propose de me faire visiter, ce que j'accepte avec plaisir. Lorsque nous rentrons sous un hangar ou est stocké le foin, sans nous parler, nous basculons sur la douce chaleur de cette couche improvisée.
Bastien étale ses vêtements pour me protéger des griffures du fourrage et nos corps se rejoignent, éperdus, transis de désirs. Sa bouche se colle à la mienne pendant que son sexe raide se cale entre mes jambes. Il sait ce qu'il veut, n'attends pas. Sa main douce et large atteint mon petit trou et cherche à en connaître la dilatation, l'état d'acceptation.
Il le fouille, l'enduit de sa salive puis, comme pris d'un désir qui ne peut attendre, il me pénètre et m'empale de son membre dur.
D'une vivacité et d'une virilité hors du commun, il me coulisse avec ardeur en me serrant dans ses bras pendant que mes mains s'accrochent à son cou, ses épaules. Nos langues se mêlent dans la même ardeur. Seules mes plaintes émergent de temps en temps sous les coups de boutoirs de son sexe déchainé. Avec bestialité, il s'accouple en moi pour me féconder.
Les yeux fermés, il me harponne, laissant son corps s'exprimer. Mon plaisir est tel que j'accompagne ses mouvements pour mieux le recevoir.
Il finit par jouir en moi, haletant, comme un mâle qui vient d'effec une saillie.
" Je suis désolé, Laurent, je ne sais pas ce qui m'a pris. J'avais trop envie.
" Bastien, c'était trop bon.
" J'avais envie avec toi. Avec d'autres mecs croisés chez David, j'avais jamais osé.
Sans attendre, comme en manque, il me reprend dans ses bras et sa bouche me couvre de baisers pendant que ses mains palpent mon corps. Il est comme délivré d'un doute, d'une connerie qu'il aurait faite, me baiser sans mon accord
" Merci Laurent, j'ai bien aimé moi aussi. ça fait du bien
" Moi aussi, j'avais envie avec toi.
Ses yeux pétillent, remplis de bonheur.
" J'ai vu ça. Tu prends bien la bite, p'tit salaud.
" Tu devais pas te changer, Bastien?
" Oui, c'est vrai
.on a perdu un peu de temps
David va nous attendre. me répond t'il en souriant.
Il m'aide à me relever, me débarrasse des brins de foin incrustés dans mes cheveux, s'inquiète de l'état de mon cul, me couvre de plein de gestes tendres.
D'une grande dextérité, il se change vite fait dans sa maison. Complètement à l'aise maintenant, comme emporté par une vague qu'il ne contrôle plus, il s'approche de moi, m'entraine dans la première chambre venue, me bascule sur le lit.
Les vêtements enlevés et éparpillés au sol, il me pénètre à nouveau et me baise frénétiquement, se libérant de ses ardeurs sexuelles les plus folles. Il sait mon consentement et me pistonne le fion sans façon jusqu'à me le graisser une seconde fois.
Il se redresse, satisfait, souriant.
" On y va. Ce coup ci, David va nous attendre, c'est sûr.
Puis éclate de rire, satisfait de m'avoir baisé une seconde fois et d'avoir pris autant de plaisir.
" Oh, Putain, tu aimes ça. J'ai vu que tu bougeais bien ton petit cul quand je t'ai astiqué.
Le cul englué et dilaté, j'ai en effet adoré. Quel chaud lapin, ce mec. Bon, il faut dire que j'ai fait un peu ma petite salope. Sa queue nerveuse, pas trop grosse, un bijou pour mon petit trou.
Lorsque nous arrivons chez David, un sourire qui en dit long sur ce que nous avons fait, tout est prêt pour passer à table.
" Alors, les mecs, vous avez pris votre temps.
" Bastien m'a fait visiter.
" Je vois
il t'a poussé dans le foin, t'en as encore dans les cheveux
dit il, hilare.
" David, (dit alors son copain) je ne te l'ai pas abimé
J'en ai pris soin à ma façon. Je pensais pas que ça m'arriverait un jour. Merci David, t'es le meilleur pote que je connaisse. Et merci Laurent. Vous m'avez rendu dingue tous les deux.
Quelques brochettes de melon et tomates sont les bienvenues pour éponger notre soif tellement nous avons dépensé de l'énergie. David sourit du tour qu'à pris cette visite inattendue de Bastien. Il n'est pas jaloux. Il sait en plus que Roland bénéficie de mes petites fesses pendant la semaine.
La côte de buf superbement grillée, les pommes de terre finies à la graisse d'oie excellentes, un repas avec des plats savoureux et une superbe ambiance entre amis: que demander de plus.
Si, un peu de vin, fromage ou fruits et surtout des desserts
humm et de se retrouver avec des hommes comme David et son copain Bastien.
Il y a comme cela des moments dans la vie ou il faut savoir profiter de petits moments sympas. Savoir aussi les provoquer, au bon moment, avec les bonnes personnes.
Caramel
* Vous êtes de grands garçons
Protégez vous.
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