Marie, Ma Nouvelle Voisine - 41 - Vendredi
Ce matin, Marie et Cello ne se sont pas levés très tôt, car Cello, pensait que sa belle serait avec Geoges, et donc il n'a rien prévu de spécial.
Le couple discute tranquillement en prenant leur café, lorsque Marie dit :
« Monsieur Cello, j'aurais une requête à vous demander »
Cello : « Si c'est de passer outre le martinet, je t'arrête tout de suite, c'est non ! »
Marie : « Oh non monsieur Cello, je sais que je mérite d'être punie, et que vous allez me faire souffrir, mais peut être que j'y pendrais aussi du plaisir. Non, il ne s'agit pas de cela. Comme je n'ai pas de lait, et donc que je ne peux allaiter, est-ce que je peux éviter d'aller le dimanche soir, chez l'épicier, car cet homme me fait peur »
Cello : « Comment cela, il te fait peur ? »
Marie : « Oui, je n'aime pas son regard, ce n'est pas le regard de désir ou lubrique de hommes que j'ai rencontré depuis que je vous connais, il y a de la haine et de la violence dans son regard, vous savez que je n'ai jamais reculé devant la laideur ou même l'hygiène de certains, mais lui s'il vous plait, je ne veux pas »
Cello : « Calme-toi, c'est entendu, tu n'iras pas le dimanche soir chez lui ».
Marie : « Merci monsieur Cello, je vous aime tellement » »
Cello : « Va te doucher et met ta tenue pour courir, respirer la campagne et la forêt nous ferons le plus grand bien ».
Quand Marie réapparaît, vêtue de la brassière et du short, acheté par Cello, elle lui dit :
« Je vous connaît assez pour savoir que c'est volontaire, mais cette tenue est vraiment très très petite, la brassière ne cache même pas entièrement mes aréoles, quand au short, il me rentre complètement dans la raie et la moule ».
Cello : « Ne me dit pas que tu trouves cela trop sexy ! Mais rassure-toi, quand nous serons dans le bois, tu pourras la retirer, et courir nue comme tu l'as déjà fait ».
Ils sortent de la maison, et Marie se dirige vers la voiture, mais Cello s'arrête et lui dit qu'ils vont traverser le lotissement en courant, puis prendre un petit chemin à travers champs pour rejoindre le bois.
Marie, pourtant habituée à s'exhiber devant des inconnus, ressent pour la première fois de la honte, car elle va être vue, par des personnes de son quartier, qui savent qu'elle est mariée et où elle habite. Elle prend sur elle, et avec son amant, ils traversent le lotissement. Il y a du monde dans la rue, entre ceux qui vont faire quelques courses, ceux qui sont chez eux les fenêtres ouvertes et ceux qui papottes en prenant le courrier, où avec un livreur.
Très vite, elle a ressentit sa brassière remonter sur sa poitrine, quasiment nue après une centaine de mètres, quand au short, il ne cache rien de l'intimité de la belle salope. Marie sent les regards désapprobateur sur elle, et imagine les commentaires de ses voisins la voyant courir avec son amant.
Une fois dans le bois, Cello ordonne à Marie de se mettre nue, ce qu'elle fait sans difficulté, et il reprenne leur jogging à travers le bois. En arrivant dans une clairière, ils décident de se reposer. Marie s'assied sur une souche, alors que Cello marche en faisant le tour de la clairière. Il remarque une grande étendue d'orties et il lui vient une idée. Il appelle Marie et lui demande de se mettre à quatre pattes. La petite chienne obéit sans se douter de ce qui l'attend. Mais lorsqu'elle voit les orties, elle comprend qu'elle va devoir traverser les orties dans cette position.
Elle avance doucement avec précautions pour ne pas mettre ses mains sur les orties, mais elle ne peut éviter que celles-ci, caressent ses bras, ses cuisses, ses seins et son ventre. Malgré les piqures de l'herbe, elle avance les larmes aux yeux, sachant qu'elle mérite ce qui lui arrive. Cello la fait ainsi traverser une vingtaine de mètres avant de lui dire de faire demi-tour.
Cello munit de gants, prend une poignée d'herbe et fouette le dos, les cuisses et les fesses de sa salope, passant les orties dans son sillon fessier, puis il lui ordonne de se mettre sur le dos et lui flagelle les seins, le ventre et le sexe. Son corps n'est plus que rougeur.
Marie se relève enfin, en pleurs et Cello la prend dans ses bras et l'embrasse amoureusement. Le couple reprend alors le chemin du retour et en abordant les champs, elle remet sa tenue de sport pour traverser la campagne et le lotissement où ils habitent.
A la maison, Marie retire sa tenue et va prendre une douche, puis Sarah lui applique une crème apaisante, pour calmer les brûlures et démangeaisons dues aux orties.Marie est inquiète, car elle craint que les cloques seront encore visible le lendemain, mais Cello la rassure et lui confirme que demain, elle sera parfaite pour recevoir Bernard et Christine.
Après le déjeuner, Cello applique une nouvelle fois de la crème sur le corps de sa belle, et elle va s'allonger dans la chambre, sur le lit, son maître lui ayant déconseillé de se mettre au soleil, qui pourrait activer les effets des herbes urticantes.
Fin d'après-midi, Marie réapparaît reposée et effectivement les cloques ont quasiment toutes disparues et elle ne ressent plus les effets des orties. Elle se fait encore plus chienne et caline :
Marie : « Merci monsieur Cello, merci de m'avoir punie, car si j'ai souffert, cela m'a aussi donné du plaisir. Je vous aime tellement que j'aimerais vous avoir dans moi en permanence ».
Cello : « Je ne suis pas encore dans toi pour l'instant, mais je te promets d'explorer tous tes orifices ce soir, après le dîner ».
Cello tint ses promesses et après le repas, il pris Marie par la main, pour la conduire dans la chambre, où la belle après avoir commencé à sucer son maître, celui-ci l'a baisée de longues minutes, la faisant jouir deux fois, avant de la prendre par le cul pour l'emmener à nouveau au septième ciel et de décharger sa semence abondante et épaisse dans la bouche de la soumise.
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