Collection Triolisme. Parc Montsouris (5/6)
Pour une journée « sans sexe », j'ai eu ma dose.
Hier javais un amant.
Aujourdhui quand je pousse la porte de lagence, non seulement jen ai deux, mais jai dans mon sac ma petite culotte en dentelle que mon mari ma offerte il y a peu.
Refaire le chemin la chatte à lair, je commence à mhabi.
Il va falloir que je trouve un mensonge pour cacher à Boris pourquoi je lai perdu.
Gladys sort de notre salle se curant les dents.
- Pendant ton absence, je me suis permis de manger ta salade.
- Tu as bien fait de toute façon jai mangé.
- Tu es allée voir un coquin et il ta nourri de son sperme.
- Gladys, si tu es adepte de ce genre de situation, je te rappelle que je suis mariée.
Jai simplement mangé un sandwich.
Je vais rester calme malgré tes insinuations scabreuses, j'ai fait plusieurs magasins sans trouver le jeu pour Jérémy, je vais perdre tout mon samedi.
- Ça va, jai compris pourquoi tu es de mauvaise humeur, tu as tes ours.
Sauvée par le gong, une cliente entre.
Un départ doit avoir lieu samedi pour un voyage organiser et les gens viennent retirer leurs billets.
À la fin de ma journée, je suis serrée dans nos boîtes de sardines et la soirée est calme sauf ma machine à laver.
- Mince qui a touché aux boutons de la machine à laver ?
Tous me regardent, bien sûr personne ny a touché, mais moi seule le sait.
- Je lavais mis sur « tissus délicats » et je la retrouve sur 60°.
Cest malin, regardez nos sous-vêtements, ils ont tous rétréci.
- Maman tu avais mis mon body, je lavais mis dans la panière.
Tu sais que cest celui que je préférais.
Bien sûr ma parure était dedans, je prends tout ce que javais mis dont ce body et je balance tous dans le vide-ordure.
Qui verra que ma petite culotte avait lâché à deux endroits ?
- Jade, tu viendras avec moi samedi matin et je ten offrirais un nouveau à ton goût.
- Je viendrais avec vous chérie et je toffrirais un nouvel ensemble.
Jai eu une prime pour de bons résultats, je vais pouvoir vous gâter.
Cest fait, je suis entrée de plain-pied dans les mensonges des femmes trompant leur mari.
Dire que jai trompé cet homme qui a le cur sur la main.
Avec deux mecs de surcroît.
Quand je me démaquille dans la salle de bains, je suis sûr que demain je vais rester sage.
Au moment de mendormir, je suis circonspecte.
Pourquoi ai-je évité de préparer de repas pour demain midi.
- Bonjours les garçons, ça sent bon, les endives Clovis !
Passons à table, si nous voulons passer un moment agréable.
Ce doit être une autre qui a dit ça et qui est là.
Je métais promis pas de sexe.
Alors pourquoi quand je suis partie ce matin, si Boris avait passé sa main sous ma jupe de tailleur, il aurait trouvé ma chatte dénudée et mes seins sans soutien ?
Le coup de la machine à laver, jai pu le faire une fois.
Deux ça pourrait paraître suspect à mon cocu de mari.
Les garçons ont simplement revêtu un peignoir.
Inutile de passer ma main, chacun deux est venu membrasser pas comme des simples copains et jai bien senti que ces garçons avaient des verges.
- La table est mise à l'extérieur, grâce à lhiver indien.
Paul menlève ma veste de tailleur.
Clovis mon chemisier.
Deux bouches semparent de mes deux seins et chacun suce le sien.
Ma jupe me quitte enlevée par deux mains semblant pressées.
Je la sens tomber au sol.
Ma chatte est à lhonneur, elle coule de plaisir et moi avec.
- Venez manger, mes endives et ma béchamel vont être cramées.
Cest au dessert que je viens sucer Paul pendant que Clovis, la fée du logis débarrassant.
Il me relève, membrasse et maide à mempaler sur sa verge fort honorable de surcroît.
Ayant tout rangés, Clovis nous rejoint et prenant sa verge, je me penche tout en bougeant sur le pieu me pourfendant et je le suce.
Hier, cétait Clovis qui me baisait et Paul que je suçais.
Aujourdhui nous inversons les rôles et comme dessert en même temps que je monte dans les gammes de mon plaisir, cest son sperme que je bois comme dessert.
Une fois prête, je prends même une douche avant de quitter mes amants.
La différence cest que jassume.
- À demain les garçons.
- Travail bien à demain.
Je retrouve Gladys qui arrive après moi.
Elle se met nue et se frotte avec un gant de toilette sorti dun sac étanche où il y de leau.
- Alors, tu tes éclatée.
Cest un beau blond ou un brun.
- Tu as tous faux, jai trouvé un travail de secrétariat près du parc Montsouris, la femme qui cherchait voulait des heures pour classer les papiers de son mari ayant disparu.
Elle ignorait que javais déjà trouvé un travail.
Nous avons trouvé un terrain dentente, je vais y aller de 12 à 14 heures tous les jours de la semaine.
J'ai oublié de te parler de notre situation financière surtout avec nos ados.
Ça va mettre du beurre dans les épinards.
Et du sperme mélangé dans ma chatte les jours suivants.
Gladys est gentille mais pas très fute-fute.
Quand je lui sortais mes balivernes je me demandais comment croire quhabitant Courbevoie et ayant trouvé un travail près du parc Montsouris, jen avais trouvé un autre à peu de distance lun de lautre.
Je lai dit les jours suivants je me donne à cent pour cent dans ma relation avec les garçons.
Sur la terrasse profitant des derniers beaux jours.
Dans la salle, le canapé est bien accueillant.
Aujourdhui cest dans la chambre de Clovis que nous sommes.
Je suis empalée sur son sexe et je viens de sucer mon deuxième amant.
Je pense quils vont changer mais je le sens venir derrière moi.
Sa verge cherche son chemin, je pensais que jallais me faire sodomiser.
Jaurais dû le rembarrer mais son but était ailleurs.
Deux verges dans ma chatte.
Je me souvenais de la tête de chacun de mes s quand ils sont sortis, mais depuis avec les années jignorais que jétais assez large pour les recevoir tous les deux.
Jai joui comme une folle ma bouche sur celle de Clovis pour éviter d'ameuter Gladys si par malchance elle court dans le coin.
Quand je disais que jétais devenue chienne, je crois avoir raison.
Ce qui me faisait rire quand je retournais vers lagence cest que je venais davoir raison, mes hommes étaient bien des homos puisque leur queue sétait frottée dans ma chatte.
Quest-ce que jaime ce mot !
Deux périodes dans ma vie, Courbevoie, lieu de vie de ma famille et Paris 14ème et lappartement du 8ème étage où certaines fois quand lun ou lautre me prends en levrette sur un transat, je peux admirer la tour Eiffel.
Le temps passe, Gladys est persuadée que je fais du secrétariat le midi.
Mais moi, je suis en surrégime.
Jassume deux logements et deux vies avec en plus du temps de transport aux heures de pointe.
Cest là que Paul voyant létat de fatigue me fait une proposition.
- Junon, combien gagnes-tu net par mois à ton agence ?
- 1 500 nets.
- Nous avons bientôt fini la bande dessinée où tu en es le personnage principal.
Nous avons décidé de devenir nos propres éditeurs.
Nous sommes en contact avec un imprimeur qui veut faire le travail.
Si tu lacceptes, tu quittes ton agence et pour commencer nous te proposons 3 000 nets pour gérer les éditions Paul et Clovis.
Nous tinstallerons un bureau ici, en nous serrant un peu.
- Et vous maurez pour vous plus longtemps.
- C'est vrai, tu verras tu auras du travail, gérer une maison dédition est loin d'être de tout repos.
- Oui, et 3 000 cest pour démarrer, en plus tu auras un retour sur toutes les bandes vendues.
- Permettez-vous que jen parle à mon mari ?
- Ton mari, cest un peu nous mais daccord voit avec lui
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