Je Me Découvre De Nouvelles Facettes (5)

-- ATTENTION HISTOIRE FICTIVE POUR LECTEURS AVERTIS --

Une main plaquée sur ma bouche.
- si tu cries attention à toi ok !!
Je ne sais pas quelle heure il est, cette voix dure me sort de mon sommeil. Un homme est assis sur moi.
- t’as compris
Je fais oui de la tête. Il enlève sa main de ma bouche. Il se redresse, à genoux au dessus de moi. Il défait son pantalon, sors son sexe déjà en érection.
- tu vas me sucer la bite et tu avaleras ce que je vais te donner, et si tu es sage je t’encule. Ouvre la bouche.
Le réveil est rude. Sa bite baise ma bouche comme si c’était une chatte.
- mmmmoui salope, t’aimes ça hein !!
Ses mouvements s’accélèrent, il enfonce jusqu’au bout son pieu, menaçant de m’. Je lui fais comprendre que j’ai du mal à respirer. Il sort de ma bouche.
- qu’est ce t’as la pute, t’arrives pas à respirer ? j’men bas les couilles. Avale.
Il remet sa bite au fond de la bouche. Il accélère le mouvement, puis ralentit, alterne les moments, entre rapidité et lenteur.
- mmmh oui tu as la bouche si chaude.
Il att**** mes cheveux et m’oblige à suivre le rythme.
- allez salle traînée, tu vas bientôt avoir droit à goûter mon jus. Je vais t’inonder la bouche.
Il essaye d’aller encore plus profond, je sens tout son poids m’écraser. Puis ma bouche se remplit de tout son sperme.
- tiens salope prends tout éructe-il
Il se déverse dans ma bouche, et avec sa main fait sortir le peu qu’il reste.
- n’en perds pas une goutte pétasse
Il sort la bite de ma bouche et la maintient fermée afin que j’avale tout. Je me force à avaler son jus qui descend dans ma gorge lentement.
- il est bon hein mon jus ? Allez va te laver, j’ai envie de ton petit cul

je vais à la salle de bain prendre une douche. Au passage, je récupère une nuisette.
Je sors de la salle de bains, revêtu de ma nuisette. Mon inconnu est allongé sur le lit, adossé au mur, nu, la bite bien dressée.


- ah te voila enfin, j’ai commencé sans toi pour ne pas perdre de temps.
Même si cet homme fut violent avec moi, de voir sa bite dressée m’excite. Je m’accroupis sur lui et l’embrasse. Ses mains viennent me caresser les hanches et les fesses.
- mmmh tu es une petite salope toi, je te menace mais tu en veux encore à ce que je vois.
- j’ai envie de toi
- alors tu attends quoi !!

je descends le long de son corps et le couvre de baisers. Arrivé à sa bite, je la prends en main, la caresse. Elle est impressionnante. Je la lèche en partant d’en bas, et remonte jusqu’au gland. Tout en en la mettant dans ma bouche, je regarde cet inconnu. Il a ses bras derrière sa tête, il admire le spectacle.
- voila, regarde moi quand tu me suces, t’aimes ça la bite hein !
Sa main vient se poser sur ma tête. Ça m’excite, je me mets à quatre pattes pour bien lui montrer que je suis prête.
- mmmmh tu veux que je te prenne poupée ?
Je lâche un court moment son sexe.
- ouiiiiiii s’il vous plait
- suce moi encore alors
je remets ce sexe en bouche, tout en remuant mon cul. Que j’aimerai que quelqu’un débarque à ce moment et me prenne instantanément.
- allez viens
je remonte le long de ce corps. Je sens ses mains sur mes fesses. Un doigt vient titiller mon petit trou. Il prend du gel et en me caresse l’anus avec. Oh quelle sensation délicieuse, comme une douche chaleur. Je sens son gland frotter mon trou.
- empale toi dit-il d’un ton direct et sans appel.
Je descends doucement, son sexe me pénètre non sans quelques efforts. Heureusement le gel fait son travail. Je ne descends pas jusqu’au bout, je remonte légèrement pour presque ressortir. Puis je redescends, mais cette fois-ci un peu plus loin. Je sens son pieu à l’intérieur de moi. j’ai l’impression de ne pas pouvoir aller plus loin, mais j’avais oublié la taille de sa bite. Il me tient fermement les fesses. Je remonte et sors complètement, un grand vide se fait en moi.
Il att**** ma nuque et m’embrasse.
- mmmmh j’adore ta bite
- et moi j’adore ton petit cul de salope.
Le vide disparaît aussitôt, sa queue vient de remplir mon trou, et va jusqu’au bout.
- haaaaaaaaaaaaaaaa , je lâche un cri
- alors tu les aimes mes 20cm ?
20cm ? j’ai 20cm de sexe en moi. Avec ma nuisette et accroupie sur cet homme, je me sens dans un état d’excitation totale. Tout en montant et descendant sur son sexe, je me caresse les tétons. Il aime ça.
- oui bébé caresse toi, tu es ma femelle.
Ses mains toujours sur mes fesses, il en profite pour me mettre des fessées.
- allez bouge ton cul salope.
- ha oui ha oui ha oui c’est trop bon, tu vas me faire jouir.
Ses 20cm de chair me pilonnent, il accélère la cadence, puis s’arrête d’un coup, et repart. Au bout d’un moment il se relève et se met en tailleur, les jambes ouvertes, je reste assis sur lui, sa bite bien au fond de moi. j’entoure sa taille avec mes jambes.
- fais moi jouir dis-je en le regardant droit dans les yeux.
Je tire mon corps en arrière, les mains posées derrière moi.
- oh ma salope je vais jouir dans ton cul
- ouiiiiiii jouis en moi
- ah putain que c’est bon, quel cul !
- oh ouiiiiiii baise moi encore plus fort
- sale pute tu l’aimes ma bite hein ?
- ouiiiiiiiiiiiiii , je jouis
-aaaaaaaaah ouaaaaaaaaiiiiiiis prends ça traînée.
Il jouit en moi, je sens son liquide chaud m’envahir.

- allez dégage maintenant !
j’ai un peu de mal à bouger, mes jambes me font mal.
- bouge je te dis, j’ai pas qu’ça à faire.
Rude à tous les niveaux cet homme. c’est ainsi. Il se lève et se rhabille en vitesse. Je suis allongé sur le ventre et me remet de ce « traitement ». il s’approche du lit et me met une bonne claque sur les fesses.
- mmmh très bon cul ça.
j’espère pouvoir dormir un peu.

Deuxième jour, je me réveille au petit matin. État des lieux, je suis au service d’un couple qui m’a « loué » à un autre couple rencontré sur internet.
Ils me tiennent avec des photos plus que compromettantes, m’ont féminisé, transformé en bonne à tout faire, objet sexuel, et vont me prosti sur le trottoir. j’ai depuis été baisé par des hommes, des femmes et des couples, quelle sera la suite ? Je suis dans un hôtel de banlieue parisienne, à la disposition de clients.

Pour l’heure, c’est à moi que je vais devoir penser. Et pour commencer j’ai la dalle. Je file sous la douche, j’ai du mal à supporter mon odeur ce matin. s’habiller mais comment ? Si je dois encore avoir de la visite, autant être prêt. j’opte de suite pour la guêpière. c’est la première fois que je vais porter cela. Après avoir mis un string (mmh ce plaisir de sentir la ficelle dans la raie des fesses), les bas (là aussi sublime sensation sur les jambes), je passe la guêpière. La sensation, le plaisir est instantané. Je ne cesse de m’admirer dans la glace. Je finis avec la jupe en cuir et un chemisier blanc, que je laisse dépasser. Un peu de maquillage (j’ai encore des efforts à ce niveau), une goutte de parfum, et me voila prêt.e !!

A la réception je retrouve Marina, qui en me voyant ne peut s’empêcher d’émettre un sifflement d’admiration.
- mais qui voila….. dis donc ma chérie tu as un rencard ?
- je sors m’acheter à manger, j’ai la dalle. Vous savez où je peux trouver quelque chose ?
- ya un routier juste en face, mais habillée comme ça tu risques de finir sur la couchette d’un camion.
Marina passe de l’autre côté du comptoir et vient vers moi. Elle passe une main dans mes cheveux et descends le long de mon corps.
- tu portes quoi ma puce ?
- j’ai une guêpière et un string
- montre moi
- mais ya des clients juste à côté
- rien à foutre, soulève ta jupe
Je lève un petit peu ma jupe, dévoilant mon string. Marina passe une main sur ma taille puis descend.
- mmmmmh tu me fais envie coquine. Tu sais qu’avec mon mec on a adoré. On a fait exploser le compteur. Allez file, j’ai du monde qui m’attend.

Elle me met une claque sur les fesses.

Dehors, j’aperçois en face le routier. Une vingtaine de camion sur le parking. Pause de midi, les routiers ont faim. Et moi aussi, mais je crains d’être à leur goût et de passer pour le plat de résistance.
Mon entrée dans le relais ne passe pas inaperçue. Aussitôt une trentaine de paire d’yeux se tournent vers moi. Je me dirige vers le comptoir. Tout le monde me regarde. Je sens que je fais envie à tous ces mâles. Au comptoir, un homme d’une cinquantaine d’années, dans le style armoire normande.
- bonjour ma jolie
- bonjour vous avez une table de libre ?
- hélas tout est pris
- ya une place ici si la petite dame veut bien
je me retourne et aperçois une table avec deux hommes.
- on veut bien vous accueillir
- ha ben parfait dit le patron, asseyez vous, je vous amène la carte.
- moi c’est Bogdan
- et moi Antoni
- euh je suis Angelina, vous venez d’où ?
- Pologne, et toi ?
- pas d’ici, juste de passage
- ça fait plaisir d’avoir un peu de jolie compagnie, ya que des mecs ici dit Antoni.
- prends ce que tu veux, on t’invite dit Bogdan. Hey Paulo, tu nous remets une carafe de rouge !
Je choisis une andouillette avec gratin dauphinois. Quand mon plat arrive, cela amuse les deux polonais.
- alors comme ça on aime les grosses saucisses dit Bogdan en rigolant !
Sans vraiment faire attention à sa remarque, je dévore mon andouillette.
- ça fait plaisir à voir, tiens reprends un peu de vin.

À la fin du repas, je me sens mieux, mais le vin m’a peu saoulé. Antoni me ressers un verre.
- non ça ira merci dis-je
- haaaa non faut pas laisser ça, allez finis ton verre.
- ho Paulo, t’as bien un digeo non, genre vodka ?
- ouais j’tamène ça
Le patron apporte trois petits verres et une bouteille de vodka.
- ah ça va nous rappeler le pays
- twoje zdrowie
j’hésite devant mon verre.
- ben alors Angelina on trinque pas ?
- hop cul sec dit Bogdan d’un rire gras
Je me décide à avaler le breuvage. A peine le verre posé Antoni me ressert.
- haaaa ça fait du bien par ou ça passe. Allez Angelina finis ton verre.
j’aime bien la vodka, mais là je commence à être bien ivre.
- bon on paye et on y va dit Bogdan
- ouaip et on ramène la petite dame
- non mais ça ira dis-je
- dans ton état ? Ça m’étonnerait
je me lève mais j’ai du mal à tenir debout. c’est Antoni qui m’évite de tomber.
- tu vois, il faut qu’on te tienne. Bon allez salut Paulo, à la prochaine
- salut les gars, et bonne bourre dit-il en rigolant.

Je sors du restaurant tenu de chaque côté par les deux polonais.
- un coup de main les gars dit l’un des clients
- non ça ira
- vous pensez aux copains quand vous aurez terminé hein ?
- on va où je demande ?
- à notre camion, faut qu’on attende 2h avant de repartir
- mais je vais vous laisser tranquille
- mais non on va te tenir compagnie
- mais….
- allez allez te fais pas prier, puis tu es bien saoule pour qu’on te laisse toute seule sur ce parking.

Nous arrivons à leur camion. Antoni ouvre la porte.
- allez grimpe me dit-il, on va te faire visiter.
Je me hisse dans le camion, je sens deux mains qui se posent sur mes fesses et me poussent.
- va sur la banquette tu seras mieux.
Je m’assois à l’arrière sur un lit assez large. Antoni baisse le store du pare-brise, ainsi que ceux des fenêtres.
- on sera mieux comme ça.
Ils s’assoient à mes côtés.
- On est pas bien là ?
- euh si, je réponds mais je suis un peu dans les vapes
- ah fallait pas r de la vodka ma jolie

Bogdan met sa main sur ma cuisse.
- j’aime beaucoup ta façon de t’habiller sur sais .
Sa main remonte jusqu’à ma jupe. Antoni fait de même sur mon autre cuisse.
- non attendez dis-je
- chuuuut on veut juste passer un peu de temps avec toi
- tu nous plais, puis tu nous as bien chauffée
Bogdan commence à déboutonner mon chemisier et laisse apparaître ma guêpière.
- hey Antonin regarde moi ça
- mmmmh mais t’es bonne toi
Sa main remonte jusqu’à mon coup, il se rapproche de ma poitrine, embrasse ma poitrine, remonte jusqu’à mon coup, puis jusqu’à ma bouche. Il m’embrasse.
J’ai envie de le repousser mais l’alcool me dit de faire le contraire.
- non s’il vous plait….
- laisse toi faire dit Antoni
- tu croyais quoi en venant ici ?
Leurs mains ôtent complètement mon chemisier.
- la nana qui débarque dans un routier habillée en pute et qui fait sa mijaurée !
Les deux m’embrassent dans le coup, je sens qu’on me retire ma jupe. Antoni et Bogdan admirent le spectacle.
- ben mon pote on en a de la chance dit Bogdan
- j’tavais dit que c’était un bon coin

Quatre mains se baladent sur mon corps, me pétrissent, me caressent, me malaxent. Ils m’embrassent chacun leur tour, leurs langues pénètrent au plus profond de ma bouche.
- putain t’es à croquer ma salope
- putain de trav’, j’en ai rarement vu des comme ça !
Une main descend jusqu’au string et vient caresser mon anus.
- mmmh c’est tout lisse par ici
leurs mains écartent un peu plus mes cuisses. Antoni vient devant moi, et met sa tête entre mes jambes. Il écarte la ficelle de mon string, son visage s’approche de mon cul.
- j’adore les trous du cul bien lisse, je vais te lécher comme il se doit ma salope.
Sa langue vient me caresser, avec ses mains il appuie bien sur mes arriere-cuisses pour bien m’ouvrir. Bogdan s’est redressé, il défait son pantalon, et sors son sexe qu’il me présente.
- allez taille moi une belle pipe dit-il avec sa main droite qui agrippe mes cheveux.
J’ouvre la bouche et accueille son engin. Assez rapidement sa bite prend de l’ampleur, je la sens grossir dans ma bouche. Je la caresse en même temps de la main droite. Pendant ce temps Antoni fouille mon petit trou avec sa langue. Un doigt se présente, et s’enfonce tout doucement. Je ne peux m’empêcher de gémir. Sous l’effet de l’alcool, mon cul s’ouvre. Son doigt s’enfonce. Il le retire pour mieux me lécher. Par ces coups de langue, j’écarte un peu plus les cuisses.
La bite de Bogdan est en pleine érection dans ma bouche.
- mouais continue comme ça ma chérie !
Mon petit trou s’ouvre de plus en plus grâce à la main d’Antoni. Deux doigts viennent me pénétrer, puis un troisième.
- tu t’ouvres facilement petite, tu dois en voir passer des bites ! Voyons voir si tu encaisses bien la mienne.
Il retire ses doigts, présente son gland devant mon orifice, se fraye un passage.
- mmmmmm…… je ne peux m’empêcher d’émettre un son de protestation.
Sa bite est en moi, mais ce n’est que le début. J’ai beau avoir été baisé pas mal de fois ces derniers jours, celle-ci a du mal à passer. j’aimerai qu’il se retire, mais avec la bite de Bogdan dans la bouche je ne peux rien dire. Au contraire il continue sa progression en moi.
- t’es pas contente ? Dans 2mn tu me supplieras de te baiser, chienne !
- quelle bonne suceuse dit Bogdan, tu est faite pour ça ma cochonne
- regarde moi ce trou dit Antoni qui vient de ressortir. Allez j’y retourne.
Sa bite revient en moi, mais cette fois il va plus loin. jusqu’au bout. Je sens ses poils sur mes boules.
- atten…….
- ferme là putain
je n’ai pas eu le temps de parler que Bogdan me refourgue sa queue dans ma bouche.
- on tourne dit Antoni ?
- allez, mais je veux la prendre en levrette
- t’as entendu ? À quatre pattes
je me retourne sur la couchette, et me positionne. Antoni vient s’asseoir devant moi.
- allez ma belle, suce
- putain ce cul dit Bogdan, j’y rentre direct.
- haaaaaaaa…… il rentre d’un coup
- suce je t’ai dit.
La main sur ma tête, Antoni me force à le sucer.
- je vais prendre quelques photos de ce cul, ça nous fera des souvenirs.
- Haha ouais, tu me passeras l’appareil après.
Bogdan prend une série de photos de sa bite au fond de mon cul.
- et hop quelques photos de ce garage à bite, les copains vont être jaloux.
- passe le moi, tiens salope regarde moi, je veux immortaliser ce moment.
Toujours la bite d’Antoni dans la bouche je le regarde me prendre en photo.
Clic, clic, clic.
- tire ta langue.
Je sors ma langue, il met des coups de bite dessus, et déclenche l’appareil.
- splendide, attends la vue d’ici est pas mal aussi, je vais prendre son cul en photo.
Clic, clic,clic.
- oh putain en levrette elle est trop bonne
Bogdan m’agrippe de chaque côté, ses mains puissantes me tiennent fermement.
- je la ramènerai bien au pays qu’est ce t’en penses Antoni ?
- c’est clair, elle bosserait pour nous, avec tous les copains routiers on se ferait un max de thune.
Là j’ai peur, ces deux routiers parlent de me ramener avec eux en Pologne afin que je fasse le tapin pour leur compte.
- ou mieux, on la loue au bordel à Łódź
- putain ouais et en échange on pourra y aller gratos
- haha on va te préparer ma salope
Je panique, finir dans un bordel ? Dans un pays que je ne connais pas. Mais ce n’est pas ça que je veux. j’aime le sexe, mais pas comme ça, je ne veux pas finir comme un objet aux services des hommes.
Mes deux polonais de déchaînent sur moi, la situation les excitent au plus haut point.
- putain je vais bientôt jouir dit Antoni
- ah ouais moi aussi, attends on va lui jouir dessus ensemble
- ouais allonge toi sur le dos
je m’allonge, Antoni et Bogdan viennent de de chaque côté, leur bite bien dressée afin que je les finisse avec ma bouche. Je passe de l’une à l’autre.
- mmmmh ouais c’est bon comme ça
- une vraie bouche à pipe
- ah ouais je sens qu’ça vient, mmmmmmh ouaaaaaaais, c’est trop booooon
- vas y Bogdan inonde là
- ouaaaaaaaaaaaaaais putain
Bogdan enfonce sa bite jusqu’au bout dans ma bouche et déverse tout son foutre.
- avale salope
j’ai du mal à tout avaler, son épais liquide descend le long de ma gorge. Je me retiens pour ne pas vomir.
- il est bon hein mon jus ?
- attends c’est pas fini dit Antoni. À mon tour maintenant.
- haha quel pied putain
- ouaaaaaaaaaais c’est bon ça, salope tu vas tout prendre.
Dans sa fougue Antoni s’assoit carrément sur moi, ses mains att****nt ma tête.
- putain de chienne, prends çaaaaaaaaaaa
Antoni m’envoie tout ce qu’il a au fond de ma bouche. Avec ses doigts il appuie bien sur sa queue afin de faire sortir les dernières gouttes. Il se remet sur le côté, leurs deux bites juste au dessus de ma bouche.
- allez nettoie maintenant.
Avec ma langue, je lèche ces deux glands et avale les dernières gouttes de sperme présentes.
- mmmh t’es un bon coup ma salope
- ouais, on a bien mérité un peu de repos
- je vais vous laisser alors dis-je, en espérant profiter de l’occasion pour m’échapper
- tututut… tu restes avec nous dit Bogdan
- ouais on en a pas fini avec toi.

Un téléphone sonne. Le mien.
- mon téléphone, dis-je, je dois répondre.
- vas y
- allô
- alors comment va ma petite pute ?
- euh qui c’est ?
- ta Maîtresse voyons, qui veux-tu que ce soit
- ho, bonjour Elodie
- pardon ???
- excusez moi, bonjour Madame Elodie
- tu pars deux jours et tu oublies vite le Règlement
- non non, c’est juste que j’ai été très occupé
- ça je veux bien le croire, tu es où en ce moment ?
- euh à l’arrière d’un camion
- seule ?
- non, avec deux chauffeurs
- tiens tiens, passe les moi et mets le haut-parleur
- on veut vous parler, et je tends le téléphone à Antoni
- allô dit Antoni
- bonjour je m’appelle Élodie, je suis la propriétaire d’Angelina
- enchanté, je suis Antoni, et je viens de baiser comme il se doit votre pute.
- elle a bien bossé ?
- pas mal, on pensait la garder un peu.
- Comment ça ?
- on rentre en Pologne tout à l’heure, le voyage est un peu long alors un peu de compagnie on est pas contre.
- et après ? j’en ai besoin ici moi
- à dire vrai on pensait la laisser dans un bordel
- vous avez des bordels en Pologne ?
- oh oui, certains class’ d’autres beaucoup moins.
- et celui où vous pensiez y mettre Angelina ?
- on y va de temps en temps, pas très class’, mais c’est pas cher et discret. Les filles sont bonnes là bas et très dociles.
- elles sont bien traitées ?
- pas que je sache, mais de toute façon elles n’ont pas trop le choix. En général après elles sont revendues et finissent en France, en Allemagne ou en Espagne.
- parfait, combien de temps vous restez en Pologne ?
- trois semaines
- et après vous me la ramenez ?
- ben faudra voir ça avec Youri ?
- c’est qui Youri ?
- le patron du bordel
- vous pourrez me mettre en relation avec lui une fois arrivés ?
- on fait comme ça
- repassez moi Angelina
- Madame Élodie, vous n’allez pas faire ça ? dis-je
- et pourquoi pas, je t’avais promis deux semaines de trottoir, à la place je t’offre trois semaines dans un bordel polonais. Tu vas voir ce que c’est l’abatage.
- mais…..
- après trois semaines là bas on verra si tu parles toujours autant. Je négocierai avec ton patron là bas. Et s’il n’est pas content de toi, peut être bien que je t’abandonnerai là bas. Tu finiras certainement dans un bordel au fin fond de la Russie. Récupère tes affaires, les vacances sont terminées.

Je suis désespéré, il a y encore quelques jours je menais tranquillement ma vie en France, et là je m’apprête à partir en Pologne afin de travailler comme…… prostituée dans un bordel. j’ai jamais voulu ça.
Après avoir récupéré mes affaires, nous partons pour l’Europe de l’Est. Bien entendu Antoni et Bogdan profitent largement de moi. Quand l’un conduit, l’autre me baise à l’arrière. Parfois je dors avec eux, parfois ils m’enferment dans la remorque. Ils jouent même aux petits macs en me vendant auprès de leurs collègues routiers.
Un soir, nous arrivons en Tchéquie. Après avoir livré leur cargaison, nous nous arrêtons sur un parking en rase campagne pour la nuit. Antoni prend sa CB.
- salut les gars c’est Antoni & Bogdan, on est à Sezemice. Rendez-vous sur le parking, on a une surprise !
- d’abord à la douche, toi aussi la pute, et fais toi belle !
Je prends ma valise, et nous nous dirigeons vers le relais routier. Antoni et Bogdan vont chez les hommes.
- toi c’est là dit Bogdan en me montrant les toilettes pour femmes. Je rentre dans une grande pièce, équipée de trois WC et trois cabines de douche. On se croirait revenu en arrière. Tout est gris, les murs sont sales, quand au sol….. je pose ma valise, me déshabille et rentre dans une cabine de douche. Je trouve un morceau de savon abandonné. Une fois lavé, j’entre-ouvre la porte pour vérifier que personne n’est là. Je cherche dans ma valise de quoi me mettre. j’enfile un string rouge, ainsi qu’un soutien-gorge foulard en dentelle de la même couleur. Pour le bas, des porte-jarretelles et bas noirs. Par dessus, une jupe courte droite et un caraco en haut. Je me maquille et me coiffe.
Une femme fait son entrée, la soixantaine, un peu grosse. Elle me regarde, puis rentre dans un des wc. Elle en ressort, puis sans rien dire quitte les lieux. Elle n’a pas eu l’air surprise de me voir ici.
Je retrouve mes deux polonais au bar en discussion avec un homme. Ils me font signe d’approcher.
- voila c’est elle dit Bogdan, ok pour toi ?
- ok
Des billets s’échangent.
- tu vas avec lui me dit Antoni
- laisse ta valise ici

L’inconnu me prend par le bras et m’entraîne vers son camion, un vieux modèle digne des années 70. A peine arrivés, ses grosses mains sont déjà sur moi. Il me plaque contre son camion, ses mains se baladant partout sur moi. Il m’embrasse, avec une haleine de bière et de cigarettes brunes. Il aspire ma langue, puis m’embrasse dans le coup, et descend le long de mon corps. Il relève mon caraco, me caresse les seins, puis lèche mon ventre. Avec ses mains il me retourne contre le camion. Il relève ma jupe, décale la ficelle de mon string, écarte mes fesses et commence à lécher mon petit trou. Il crache dessus pour bien l’humidifier puis me pénètre avec un doigt. j’accroche mes mains à la bâche du camion et écarte un peu plus les cuisses. L’homme me « bouffe » le cul. Il me met des coups de langues, puis remet un doigt, puis deux. Il rentre et ressors. Au bout d’un moment, il se relève, je l’entends qui défait son pantalon, baisse sa braguette.
- uletayet !!
je ne comprends pas.
- ULETAYET dit il plus fort
j’écarte un peu plus les cuisses, pensant que c’est ce qu’il veut. Je sens sa bite se présenter devant mon anus.
- rrrrrrrrhhhhh
je ne comprends pas ce qu’il dit. j’ai l’impression d’avoir plus affaire à une bête qu’à un homme. Il pousse, sa bite commence à me pénétrer. Ses mains sur mes hanches, l’homme continue sa progression entre mes fesses.
- rhhhhhaaaaaaaa
Toujours ces bruits bizarres. Ces mains remontent le long de mon corps, puis viennent se poser sur les miennes, toujours accrochées à la bâche de son camion. Ils serrent mes poignets. Il est à présent complètement en moi.
- tu es à moi pute me dit-il avec un fort accent russe.
Il ne va pas vite, mais me met de grands coups de bite. Lentement.
- rhaaa, rhaaa, rhaaaa.
Ses mains me tiennent fermement les poignets. Ses coups de bassin se font plus forts. Il accélère la cadence. Sa main droite tient mon poignet droit pendant que sa main gauche vient sur ma hanche afin de mieux me tenir.
- cyka cyka !!!
il met tout son poids vers moi. Comme s’il se défoulait. il m’att**** par les hanches, se retire puis re-rentre d’un coup sans ménagement. Son souffle s’accélère, je sens son haleine sur ma nuque.
- moi jouir en toi……. Haaaaaaaaaaaaaa !!
il déverse au fond de mon ventre son jus. Je le sens se rependre en moi. l’homme se retire, du sperme ressort de mon cul, avec sa queue il me le remet à l’intérieur. Il termine en me mettant une claque sur les fesses. Je me retourne, arrange ma jupe.
- casse toi cyka !!

je retourne au relais, Antoni et Bogdan sont toujours au bar, est discute avec un homme moustachu. Habillé en treillis militaire, casquette de chasse sur la tête.
- ah la voila enfin, juste une pipe alors ?
- da
- allez, tu suis Igor
L’homme m’entraîne vers les toilettes des hommes. l’état de propreté est encore pire que chez les femmes. l’odeur d’urine limite supportable. l’homme rentre dans une cabine, et s’assoit sur les WC. Je rentre et ferme derrière moi.
- enlève jupe et haut
J’ôte ma jupe et le caraco et les accroche à une patère.
- mmmmh, bonne. A genoux
je rechigne à me mettre à genoux quand je vois l’état de crasse des lieux. Mais n’ayant guère le choix, je m’agenouille devant cet homme. Je défais son pantalon, baisse la braguette et plonge ma main dans son slip pour en sortir son sexe.
- suce
je commence à branler son sexe, et approche mon visage. L’odeur est déjà dure à supporter, j’ai peur de l’avaler. Depuis quand ce type ne s’est-il pas lavé ?
- j’ai dit, SUCE !
Igor ne me laisse aucun répit, met sa main sur ma tête et me fait descendre jusqu’à sa bite. J’ouvre la bouche, et avale ce sexe. L’odeur et le goût sont horribles. Je m’applique au mieux mais ça m’est difficile. Le sexe d’Igor grossit sous mes coups de langue. j’ai l’impression d’être une lingette.
- mmmmh bonne bouche, toi regarder Igor !
Je lève les yeux vers Igor qui maintient sa main sur ma nuque. Il a l’air de profiter pleinement de cette situation, avoir l’ascendant sur moi. Je monte et je descends sur son engin, tout en le masturbant de la main droite. De temps en temps, j’entends des hommes venir aux toilettes. Certains restent même longtemps. Savent-ils ce qui se passe ici ? Surtout qu’Igor ne se cache pas et laisse par moment éclater son plaisir par des mots ou des bruits.
Cela doit bien faire 20mn que suis à genoux devant lui à lui sucer la queue. Mais il a l’air d’en vouloir encore.
- toi sucer encore Igor !!
J’aimerai bien qu’il jouisse afin que ça s’arrête, alors j’accélère le mouvement, je le branle de plus en plus vite, j’essaye d’avaler son sexe au plus loin.
- daaaaaaaaa
Je sens qu’il va jouir. Sa main me tient fermement la tête, puis je sens son sexe se gonfler et d’un coup Igor m’envoie dans la bouche de bonnes grosses giclées de sperme.
- haaaaaaaaaaaa
son liquide épais m’envahit la bouche, j’avale difficilement tellement son goût est ignoble. Je reste à genoux dans ce WC crasseux pendant qu’Igor range son sexe et me laisse.
- bonne pute !!
je me relève, me rhabille et me dirige vers un des lavabos. Je dois avoir une haleine horrible. Je trouve du savon pour me laver la bouche. j’ai tellement envie de vomir que je me lave complètement la bouche avec. Deux hommes rentrent. Je me dépêche de finir. Ils me regardent avec insistance.
- ty videl? eto frantsuzskaya shlyukha
- ona khoroshaya

je ne m’attarde pas et quitte les lieux. Antoni et Bogdan me ramènent au camion.
- on est crevés, tu dors dans la remorque
Au moins je serai tranquille pensais-je.

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