Souvenirs D'Infirmière (Partie 2)
Souvenirs dinfirmière Part 2
Mon stage de fin de deuxième année mavait ouvert les portes de la perversion et du plaisir. Je ne regardais plus les choses du sexe avec le même regard. Largent, facilement gagné au cours du mois de juillet mavait permis de partir au mois daoût au bord de la mer. Javais rompu avec mon copain la veille du départ, je nen éprouvais aucune peine. Contrairement à ce que je pensais ou espérais, je restais « sage » durant ce mois daoût, consacrant lessentiel de mon temps à la plongée sous-marine.
La troisième année se passa sereinement, lexamen final se profilait à lhorizon, sésame indispensable à lentrée dans la vie professionnelle. Jétais sortie avec un camarade de promotion pendant trois mois, il était gentil mais, passionné descalade il avait projet de partir sinstaller en Savoie, ce qui ne mintéressait nullement. Aussi, notre histoire cessa gentiment avant la fin de lannée scolaire.
Nous passâmes les examens au début du mois de juin, et les résultats furent publiés le 28. Deux jours plus tard, fraichement diplômée, ayant eu connaissance des postes vacants, je choisis le service des urgences, service idéal pour apprendre les gestes techniques. Nous étions deux jeunes diplômées, léquipe étant conséquente pour assurer la bonne marche du service. Jeus la surprise dy retrouver Chantal, linfirmière que javais connue lan passé au cours du fameux stage dété. Je connaissais le poids des rumeurs dans ce milieu hospitalier, et jespérais que mes frasques ne fussent pas connues. Le hasard fit que jétais dans le roulement de Chantal. Elle avait rejoint les urgences en décembre dernier, et sa présence me rassurait.
A neuf heures, je fus reçue par la surveillante (on parle de cadre aujourdhui) qui mexpliqua le fonctionnement du service, ses attentes et me lista les règles du savoir être afin que le patient se sente « le mieux possible ». Je souris intérieurement, me disant quelle ne pouvait pas si bien dire.
A la pause, décidée en fonction du nombre de patients « dans le circuit », je discutais avec Chantal. Elle me dit que le service était plaisant, mais que côté sexe, cétait dune part moins pratique, et dautre part bien moins lucratif que le service dorthopédie. « Mais lavantage des urgences cest quon reçoit des jeunes et des moins jeunes, il y en a pour tous les goûts, et que tu es amenée à les voir en petite tenue, et en ty prenant bien, tu peux les foutre à poil. Et quand tu fais lECG tu peux en profiter. Tu verras, il y a des recoins, je te laisse les découvrir. Ah, dernière chose, cest surtout la nuit que cest jouable, la journée, tu nas pas le temps et il y a trop de monde. » Mon planning me faisait travailler deux matinées, deux après-midi et trois nuits, avant deux ou trois jours de repos.
Les trois premières semaines, je ne pensais quà mon boulot, désireuse de mintégrer dans le groupe et être acceptée par léquipe. Je ne rechignais pas au travail. Effectivement, il existait une différence dambiance et de charge de travail entre la journée et la nuit.
Javais remarqué que Chantal, quand elle était de nuit, ne mettait pas de soutien-gorge. La deuxième nuit de la troisième semaine, je la vis accompagner un jeune vers le service de radio. Il nétait vêtu que dune chemise dhôpital, ouverte dans le dos, sous laquelle il était nu. La vision de ses fesses nues fit naitre des picotements dans mon ventre. Le service étant quasi désert, je décidais de les suivre discrètement. A proximité de la radiographie, il y avait sur la droite une porte quils franchirent. Je regardais par la vitre. Il marchait devant Chantal. Cette dernière avait posé sa main sur les fesses du jeune homme, simmisçant parfois entre les globes jumeaux pour caresser les bourses. Au milieu du couloir faiblement éclairé, ils bifurquèrent à droite. Jouvris doucement la porte et la retint pour quelle ne claque pas. Javais des sabots aux pieds que jenlevais pour ne pas faire de bruit.
Jatteignis le milieu du couloir, et risquai un il sur la droite. Le couloir était vide. Je mavançai sans bruit. Soudain, jentendis un soupir. Je continuai davancer. Il y avait un recoin sur la gauche, éclairé par une petite fenêtre. Je men approchai. Le jeune homme était debout contre le mur. Sa chemise dhôpital gisait au sol. Chantal, debout face à lui, avait largement ouvert son haut sur ses seins et le branlait. Je fixai cette verge tendue, longue et nerveuse que la main caressait de haut en bas. Il se laissait faire, les yeux braqués sur la lourde poitrine de linfirmière. Je nosais bouger. Javais envie de me toucher, mais tout geste aurait trahi ma présence. Chantal lamena à la jouissance, et je vis de longs jets crémeux gicler et tomber sur le carrelage. Elle se baissa et nettoya longuement la verge avec sa langue. Je méclipsai rapidement, récupérant mes sabots au passage. Un peu plus tard, profitant dun moment où nous étions seules, Chantal me dit « alors, on joue les voyeuses ? Au moins tu connais maintenant un recoin secret. Tu vois, je lai juste branlé parce que jai mes règles, donc terrain impraticable. Sinon, je me serais bien fait enfiler «
Deux semaines après cet intermède, nous avons reçu au milieu de la nuit, un beau black, âgé de 25 ans, qui avait eu un accident de voiture et souffrait dun simple traumatisme crânien. Le hasard voulut que je men occupe. Il avait suivi les consignes de laide-soignante et sétait mis en slip. Je memployai à prendre sa tension, son pouls, sa température, sa fréquence respiratoire, autant déléments importants pour le médecin qui lexaminerait tout à lheure. Comme il était mignon, je décidai de lui faire un électrocardiogramme, examen inutile dans son cas. Cela me permit de lui poser des électrodes, que je mappliquais à faire tenir, « obligée » pour cela de toucher sa peau, une peau douce à souhait que je caressais furtivement du bout de mes doigts. Le médecin entra dans le box, et me demanda de revenir dici dix minutes afin que je continue ma besogne.
Je filais au vestiaire, me débarrassai de mon soutien-gorge. Javais pour idée de tester le coin secret avec mon beau black.
Le médecin avait laissé pour consigne de lui faire une analyse durine pour vérifier quil ny ait pas de sang dans ses urines. Ensuite, on le conduirait au service dhospitalisation de courte durée pour le surveiller quelques heures. Jexpliquai à « mon » black quil fallait quil enfile la chemise dhôpital et que jallais le conduire dans le service dà côté. « Ils vous feront lanalyse durine là-bas, comme ça ils recevront les résultats direct. » Cétait un pieux mensonge destiné à gagner quelques minutes. Je mentis une nouvelle fois en lui disant quil devait enlever son slip parce quil restait en surveillance, que cétait pour des problèmes dhygiène. Que ses vêtements seraient rassemblés dans un sac et que si tout était ensemble ce serait plus facile de les retrouver. Il fit glisser le sous-vêtement devant moi dun air détaché et je découvris une verge longue à la large base parcourue dune veine sur toute la longueur. Il resta plus que nécessaire devant moi, mexhibant son sexe. Au repos, elle semblait aussi grosse que celle de mes ex en érection. Une fois prêt, voulant profiter du spectacle, je le fis sortir du box devant moi. Il avait des fesses musclées. Attirantes. Chantal, en nous voyant passer me demanda « Tu te souviens du chemin ? » en me faisant un clin dil. Je me dirigeai vers le service de radiographie et ouvrit la petite porte. Le couloir était aussi peu éclairé que lautre nuit. A droite.
Nous arrivons à hauteur du recoin. Le black marche devant moi. Sa chemise baille sur ses fesses. Jai le ballet excitant de ses fesses musclées devant moi. Je distingue son sexe dont lextrémité pointe vers le bas entre ses cuisses. Il ne peut pas ne pas sêtre rendu compte que je le mate. « Arrête-toi ». Je mapproche de lui, et dénoue le cordon qui maintient sa chemise à hauteur de ses reins. Je tire sur ses manches, la chemise tombe à terre.
Je passe mes mains autour de sa taille et les pose sur son torse. Je le caresse, agace ses têtons que je sens durcir. Je descends sur son ventre, descends encore. Jempoigne doucement sa verge que je branle lentement. La peau est douce et chaude. Je me colle à lui, pressant mon pubis doucement contre ses fesses. Ma bouche court sur le dos de son dos. « Retourne toi ». Il obéit. Je reprends son sexe à pleines mains, malaxant ses bourses. Je sens la verge tressauter, sallonger, se cabrer, se redresser, sépaissir. Je ne cesse de le branler. Il me regarde en souriant. Ses deux larges mains se déploient et défont les boutons de mon haut. Elles se posent sur mes épaules et font glisser le vêtement qui tombe au sol. Il caresse mes seins, les triture, pince mes bouts. Il sattaque à mon pantalon, défait le bouton et le cordon et le fait glisser vers le bas. Sa main sinsinue sous mon string, prenant possession de ma motte mouillée. Je fais glisser le string qui tombe à mes chevilles. Je lenjambe pour men débarrasser. Je maccroupis et le prends en bouche. Je le suce avec avidité. Je sens quil grossit encore. La situation mexcite. Jai envie de ce sexe débène. Envie de le sentir en moi. Envie de mécarteler dessus. Je le suce, labsorbant dans ma bouche aussi loin que je peux, malaxant les boules dures. « Je vais te baiser petite salope. Jadore ton air de petite fille sage. Je suis sûr que tu nas jamais goûté à un black. Tu ne vas pas le regretter Tu voulais ma queue tu vas lavoir ». Il me relève, me place face à lui, me soulève, plie les genoux et me plante dun coup de rein. Je nai pas le temps davoir mal, investie par ce dard dur et doux. Je maccroche à lui, remonte une de mes cuisses sur sa hanche pour mouvrir davantage. Il entreprend une course rapide quil accélère et ralentit selon son bon vouloir. Je commence à haleter et à gémir doucement. Son ventre claque contre le mien. Je réalise que je suis nue, en train de me faire baiser à la hussarde dans un couloir de lhôpital. Il a posé ses mains sur mes seins quil triture sans ménagement. Il en pince les bouts dardés qui deviennent hypersensibles. Il se montre expert dans lart de lamour. Je vibre par tous les pores de la peau. Je me retiens à lui, mes mains plaquées sur ses fesses musclées. Je perds la notion du temps. Je sens que je viens. Cest comme une lame de fond qui prend naissance au fond de mon ventre, qui irradie et déferle. Ma respiration se fait courte et haletante. Je mords son épaule pour ne pas crier. Il continue de me labourer. Plus vite. Plus fort. Plus loin. Tout dun coup, je sens un liquide chaud en jet fouetter mon vagin et il se répand en une dizaine de coups de boutoir. Je jouis brutalement et il est obligé de me retenir pour que je ne tombe pas. La queue toujours au garde à vous, il me prend la main. « Ça texcite hein salope de te taper un noir. Putain, cétait trop bon. Tu es faite pour la baise. Tu as mon adresse dans le dossier. Jespère que tu viendras chez moi. Je te baiserai autant que tu veux. Si tu veux on fera ça avec un pote. On te fera reluire. Tas vu, je bande encore, faut que tu me finisses. Suce-moi ou branle moi «. Jentoure son membre de mes deux mains et entreprends de le masturber, de plus en plus vite. Sa bouche prend possession de la mienne. Nos langues dansent un ballet étourdissant. Je perds à nouveau la notion du temps. Je le sens me serrer plus fort contre moi. Je pressens quil va jouir, et effectivement il inonde mes mains de sa sève. Nous nous rhabillons, fort heureusement, sa queue a repris un volume « normal ». Je le dépose dans le service de surveillance et retourne aux urgences non sans avoir jeté un dernier regard sur ses fesses. Chantal me prend à part. Elle nous a suivi et a assisté à la scène. « La vache, tas pas froid aux yeux toi. Dis donc il ta rudement fait reluire le salaud. Tas vu sa queue ? Et puis pas un éjaculateur précoce lui. Je crois que je vais essayer de lui rendre visite un de ces quatre si tu me le prêtes. En tout cas tu sens la baise et le foutre, file te laver en bas sinon les autres vont sen apercevoir et je te dis pas la réputation que tu vas te faire ». Dix minutes plus tard, après une douche rapide, je suis de retour. Personne ne sétait aperçu de mon absence prolongée. Je ne revis jamais le black, les petits coups dun soir suffisant pour le moment à mon bonheur. Chantal me racontait sa liaison tumultueuse avec lui, les parties de baise interminables qui la laissait pantelante et le sexe en feu. Un jour, il avait invité un de ses copains et ils lavaient prise à tour de rôle puis ensemble. Elle avait joui comme jamais. Régulièrement, il lui parlait de moi et lui demandait si je ne voulais pas me joindre à eux. Elle mit fin à regret à cette liaison afin de ne pas mettre son couple en péril.
admin
Jan. 31, 2023
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