L'Ile Maurice 1
Je mappelle Julie. Jai trente ans, mariée depuis 5 ans avec Luc que jai rencontré le soir de mes 20 ans.
Nos vies professionnelles sont importantes à nos yeux. On passe du temps dans nos boulots respectifs mais ce sont de bons emplois donc, nous sommes à laise financièrement et on profite de nos moments libres pour voyager. Un bébé est en projet pour bientôt.
Je pense que certains nous qualifieraient de « jeunes actifs BCBG », joli couple bien assorti et ouverts aux autres. Luc est mignon, attentionné, drôle et intelligent. Pour ma part, sans vantardise, je sais que je plais aux hommes. Je suis blonde, vraie blonde pour être précise. Je mesure 1,65m pour 53kg, mes jambes sont fines et mes fesses sont daprès mon mari parfaites bien que comme beaucoup de femmes, je préfèrerais avoir un peu moins de hanches. Ma fierté, ce sont mes seins. Mon mari en est fou et je vois bien le regard des hommes sur mes décolletés.
Après une période très chargée professionnellement, mon mari et moi avons décidé de faire un break et de nous faire plaisir. Nous nous sommes fait un 2ème voyage de noce si lon peut dire et on a réservé un hôtel pour 15 jours à lIle Maurice
une petite fortune.
Lhôtel était splendide et notre bungalow individuel avait quasiment les pieds dans leau, des serveurs mauriciens adorables et aux petits soins, le soleil. Tout y était.
On alternait farniente et excursions en bateau. On faisait lamour.
Mon mari adore la plongée et il en a profité pleinement dans ce paradis touristique quest lIle Maurice. Je lai accompagné 2 fois mais ce nest pas ma passion donc jai préféré rester lézarder sur la plage ou à la piscine.
Dès le début du séjour, jai remarqué un homme. Il avait un bungalow pas très loin du notre et du coup, on se croisait souvent. Bizarrement, il semblait seul alors que cest typiquement le genre dhôtel où lon vient en couple.
Cest au bord de la piscine que jai plus fait attention à lhomme que lon croisait tous les jours. Il était très bel homme. Brun, les yeux bleus très clairs, bronzé, 35 ans environ, assez grand et musclé mais pas bodybuildé non plus, des abdos impeccables et en plus de ça mignon.
A début, jai cru me faire des idées mais finalement, jétais sûre de moi. Je lai vu très souvent me regarder. Il portait des lunettes de soleil mais je devinais sans problème quil faisait semblant de lire quand je me levais. Et de plus en plus souvent, il venait nager en même temps que moi.
Ça me mettait assez mal à laise car je voyais quil hésitait à maborder. Jen ai parlé dès le 2ème soir à Luc et ça la amusé. Il a tout de suite vu de quel homme je parlais et ma dit quil avait déjà remarqué ses regards vers moi.
Il ma dit que jolie comme je suis, il était normal que les hommes me regardent. Surtout quand je suis seule au bord de la piscine. Il ma même dit quil avait toujours été fier de savoir que je plaisais aux autres hommes, quil en tirait même parfois de lexcitation.
- Tu sais, je suis tout à fait conscient que ce mec est plutôt canon. Toi, quest-ce que tu penses de lui ? Sois franche.
- Je ne vais pas nier, ce serait hypocrite. Cest un beau mec.
- Et tu ne trouves pas ça valorisant de lui plaire ?
- Peut-être un peu mais là, jai vraiment limpression quil veut maborder et ça me met mal à laise
- Moi, je sais que tu es comme toutes les filles, tu aimes plaire. Et plaire à un mec comme lui, tu ne devrais pas en être gênée.
- Et sil maborde, tu ne seras pas jaloux ?
- Et je devrais ? Tu as peur de ne pas lui résister ?
- Bien sûr que non.
- Alors tout va bien. Demain, je dois partir en début daprès-midi pour une plongée. Tu me diras ce quil sest passé.
On a fait lamour et jétais particulièrement demandeuse ce soir-là.
Le lendemain, je me suis installée à la piscine et le mec est arrivé très peu de temps après. Je suis allée nager un moment et il était dans leau également. Je le voyais me regarder et il ne faisait même plus semblant. Jétais mal à laise et en même temps excitée. A un moment, je me suis assise dans le petit espace jacuzzi de la piscine. Ça na pas pris 2 minutes pour quil vienne sasseoir à côté de moi.
- Bonjour,
- Bonjour,
- Je ne veux pas vous déranger mais je sais quon est presque voisins et je vous vois tous les jours. Je voulais juste faire connaissance.
- Cest vrai quon se croise souvent !
- Vous aimez beaucoup la piscine de lhôtel jai limpression.
- Oui, cest calme, on a tout ce dont on a besoin à proximité et sans le souci du sable quon traîne partout.
- Votre mari naime pas la piscine ?
- Si mais il a une passion pour la plongée alors cette île, cest le paradis pour lui.
- Je veux bien le croire mais pour ma part, il y a plus dattrait à être ici que sous leau. Sous leau, je naurais aucune chance de vous parler
-
. Tiens, au fait ! Vous êtes seul ici. Cest assez bizarre non ?
- Aïe ! Vous voulez mettre le doigt là où ça fait mal ! En fait, javais réservé ce voyage pour deux mais ma copine et moi, ça a cassé il y a 2 semaines et comme tout était payé, jai décidé den profiter.
- Désolé pour votre rupture, ça doit être beaucoup moins agréable tout seul.
- Oh ne me plaignez pas ! Ce séjour aurait été la dernière chance pour notre couple. Je crois que je ne me suis jamais autant détendu ! Bon, il est vrai quune compagnie féminine me manque fortement par moment mais je ne désespère pas.
Il avait dit cette phrase en me regardant droit dans les yeux ce qui ma fait piquer un fard et il en a souri. On a continué à parler un peu et je voyais ses yeux sabaisser régulièrement vers mes seins. Jétais mal à laise et en même temps amusée, surtout quà un moment, jaurais juré le voir essayer de cacher une érection.
Jai pris congé de lui quand jai pris conscience que mon mari allait rentrer dun instant à lautre et je suis arrivée à peine 2 minutes avant lui au bungalow.
Je lui ai aussitôt raconté mon après-midi. Luc me regardait et écoutait avec avidité mes paroles. Au milieu de mon récit, Luc sest levé et mis devant moi en baissant son short. Son sexe était dur comme du bois. Jai compris que tout ça lexcitait beaucoup et moi aussi. Jai commencé à le branler doucement en lui disant quil narrêtait pas de regarder mes seins, mes cuisses. Luc me disait quil maimait, que ça lexcitait quun autre aie envie de moi.
Pour la première fois depuis longtemps, je lai sucé et il ma léché. Jai joui rapidement sous sa langue et javais limpression quil allait exploser lui aussi mais je navais pas vraiment envie quil le fasse dans ma bouche. Il la compris et il ma pénétrée.
Je ne sais pas ce qui ma pris mais à un moment, jai approché ma bouche de son oreille.
- Mon amour, il sappelle Marc. Je crois quil bandait à la piscine quand il me matait. Peut-être quil se masturbe en ce moment en pensant à moi.
Sen fut trop pour Luc. Il a tout lâché dans un râle et jai joui moi aussi. Luc sest effondré à côté de moi et on a éclaté de rire. Luc avait raison, ça mettait du piment cette histoire !
Le lendemain, Luc est resté avec moi et on a bien vu la déception de Marc, ce qui nous amusait beaucoup.
Le jour suivant, Luc est repartit en mer et aussitôt, Marc est venu me voir pour discuter et bien quil soit resté à distance raisonnable, je voyais bien quil était plein de désir.
On arrivait à 3 jours de la fin de notre séjour et Luc ma demandé dêtre plus aguicheuse envers Marc. Cette fois, Luc nallait pas partir en bateau mais il voulait voir en essayant de rester à lécart. Cétait cruel envers Marc mais cétait devenu un vrai jeu pour nous.
Bien entendu, Marc sest assis à côté de moi très rapidement et on est allé se baigner. Comme convenu avec Luc, je faisais en sorte de me mettre en valeur.
En plus de mes poses un peu plus aguicheuses, la situation faisait pointer mes tétons et je rendais Marc dingue. Cest dans le jacuzzi quil a été plus entreprenant. Il était juste à côté de moi et nos cuisses se touchaient. Il ma dit quil me trouvait splendide, que je dégageais un charme fou. Jai alors senti le dos de sa main me caresser la cuisse. Je ne savais plus comment réagir.
- Ton mari est totalement fou de te laisser seule ici. Je ne le comprends pas.
- Marc, enlèves ta main !
- Je ne vais pas tourner autour du pot. Ça ne servirait à rien. On est là pour seulement 3 jours encore. Tu me plais et jai envie de toi.
- Marc ! Je suis mariée !
- Cest la seule chose qui te retient ? Ça veut dire que je te plais aussi alors ?
- Je nai jamais dit ça.
- Alors pourquoi est-ce que tu me chauffe aujourdhui ?
-
..
- Tu te baisses en me mettant tes jolies fesses justes devant les yeux et tes seins vont bientôt faire craquer ton maillot de bain.
- Je
Je ne voulais pas.
- Cest un mensonge. Tu voulais me plaire et jai vu tes regards sur moi. Je peux affirmer sans trop de risque que tu me trouve à ton goût
. Et je ne parle pas des regards que tu mas lancés en dessous du niveau de la ceinture. Je suis tout à fait prêt à ten montrer plus.
Il est vrai que le short de bain semblait plus que bien rempli et que ça avait attiré mon regard de temps en temps. Sa main navait pas cessé de me caresser la cuisse, proche de mon entrejambe puis il a pris ma main sous leau et la posée directement sur son sexe en ly maintenant.
- En tous cas, tu es à mon goût et tu peux le sentir !
Il bandait fort et semblait imposant mais jai retiré ma main dès quil ma lâchée
- Je
Je dois y aller. Ça va trop loin.
- Julie, cest comme tu veux. Mais on aurait pu passer du bon temps ensemble. Je ne veux pas paraître prétentieux alors ne prends pas mal ce que je vais te dire mais je crois que je pourrais te faire connaître dautres plaisirs que ceux que tu connais dans ton couple. Jen suis même certain.
Je suis partie au bungalow et mon mari ma rejoint. Il avait vu quil sétait passé quelque chose. Jétais très troublée. Mon mari ma embrassée. Jétais troublée mais également excitée.
- Alors ? Ça va ?
- Oui, Oui. Mais il a été beaucoup plus franc !
- Ah bon.
- Oui, il ma dit quil avait envie de moi, quil voyait bien que je cherchais à lui plaire.
- Et il ta touchée hein ?
-
. Oui, la cuisse.
- Tu as aimé ?
- Je
Je ne sais pas
.
- Dis-le-moi ! Naies pas peur.
- Oui, cétait excitant.
- Je voyais quil te touchait. Et tu las touché aussi non ? Jai cru voir ça.
- Je ne laurais jamais fait toute seule mais il a pris ma main pour la poser sur son sexe.
- Il bandait ?
- Oui !
- Ce salaud avait envie de ma femme.
- Oui, il avait envie de moi.
- Il bandait dur ?
- Oui, très dur !
- Elle est comment ? Elle est grosse ?
-
.
- Dis-moi !
- Elle paraissait grosse oui !
A ma grande honte, je mouillais vraiment beaucoup et Luc sen est aperçu en touchant mon sexe.
- Alors ma chérie, est-ce que cest toujours notre jeu qui texcite ?..... Ou est-ce que cest lui ?
-
- Tu nas pas à avoir honte ma puce. Cest un beau mec et je tai autorisé à lallumer. Cest naturel tu sais
.. Tu as envie de lui ?
- Tu nas pas le droit de me demander ça.
- Tu las caressé ?
- Non, javais juste la main dessus à travers le maillot et je lai enlevé très vite. Je te jure que je ne lai pas caressé.
- Peut-être que tu aurais dû
. Tu en avais envie non ?
-
Oui
. Je crois
. mais je taime trop et je ne laurais pas fait.
- Je sais que tu maimes mais je sais aussi que tu aurais voulu le caresser. Tout ça mexcite beaucoup ma puce et je te connais assez pour dire que je tai rarement vue comme ça
. On va manger ? Je commence à avoir faim.
- Et tu ne me fais pas lamour ? Jai très envie là.
- Ce sera encore meilleur après.
- Salaud va ! Je men souviendrais.
On est parti dans un des restaurants de lhôtel, on a mangé tranquillement, en amoureux puis on est allé prendre un verre au bar de la plage.
On sembrassait, on se caressait discrètement, furtivement, alimentant notre désir. Marc est venu boire un verre au bar également. Il discutait avec un autre homme. Il y avait de lélectricité dans nos regards. Marc portait ce soir-là une chemise blanche qui contrastait avec sa peau bronzée. Il était vraiment très beau. Pour ma part, je portais une robe courte et compte tenu de la chaleur, je navais rien dessous à part un string. Mon sexe était humide depuis tout à lheure et la présence de Marc narrangeait rien.
Luc lavait vu et me parlait de lui, me disant que ce soir ils étaient deux à avoir envie de moi, que jétais superbe, sensuelle et désirable. Marc est parti et Luc sest absenté pour aller aux toilettes.
Peu de temps après, on a pris la direction de notre bungalow. De temps, en temps, on sarrêtait pour sembrasser et senlacer dans un endroit plus sombre, plus intime.
Arrivés devant notre bungalow, Luc sest adossé contre la porte pour mattirer à lui et membrasser fougueusement.
- Alors, ça pourrait être Marc en ce moment. Tu imagines ?
-
..
- Il pourrait te tenir dans ses bras, tembrasser.
Jai décidé dentrer dans son jeu.
- Oui, il pourrait.
- Tu le laisserais faire ?
- Oui. Tu sais ce que je pense de lui. Il est grand, carré et beau en plus. Ça doit être très agréable dêtre dans ses bras.
- Il te caresserait car il a très envie de toi.
-
Oui
. Très envie
. Et moi aussi.
A ce moment, jai poussé un petit cri car une autre paire de main ma saisi par la taille par derrière. Jai tourné la tête et jai vu Marc. Luc ma souri, il a pris délicatement ma tête dans ses mains et a approché sa bouche de mon oreille pour murmurer.
- Laisses-toi faire. Oublie tout. Cette nuit est ta nuit, vivons quelque chose de fou
. Tous les deux
plus un.
- Mais
.Luc
- Abandonnes-toi. Ne réfléchis pas !
Il ma embrassée puis il ma tournée face à Marc qui ma embrassée, pénétrant ma bouche de sa langue chaude et douce pour venir chercher la mienne. Cétait le premier homme autre que mon mari à membrasser depuis plus de 10 ans. Déjà dans un autre monde, jai entendu la porte de la chambre souvrir et Marc ma portée à lintérieur.
Mon mari sest mis dans mon dos, embrassant mes épaules dénudées et ma nuque. En quelques instants, Luc a fait tomber ma robe, me dévoilant aux regards de Marc qui a caressé mes seins après les avoir contemplés un moment.
- Marc : Tu es encore plus belle que dans mes rêves.
- Luc : Déshabilles-le Julie. Tu en as envie.
Jai défait les boutons de sa chemisette et il la enlevée. Jai pu passer les mains sur ses pectoraux, ses épaules fortes.
- Luc : Le short aussi.
Jai ôté les boutons et fait glisser le short.
Mon mari a saisi mes poignets et il ma « livrée » à Marc. Ses mains chaudes et douces ont parcouru mon corps et mon mari ma lâchée pour faire de même. Je crois que je noublierais jamais la sensation dêtre caressée par 4 mains et 2 bouches.
A un moment, Marc ma tournée face à Luc et jai vu lexcitation dans ses yeux. Marc ma saisi par les hanches en pressant son sexe que je sentais gonflé malgré son caleçon contre mes fesses. Jai poussé un soupir de désir aussitôt étouffé par un baiser de mon mari.
La situation méchappait, me faisait battre le cur à 100 à lheure. Jétais folle de désir et pleine de honte à la fois.
Mon mari ma léché les seins, mordillé les tétons puis il ma retiré mon string. Aussitôt, la main de Marc est passée entre mes jambes. Je coulais !
Mon mari et Marc ont enlevé leurs caleçons en même temps et jai saisi leurs sexes. Ils étaient durs comme la pierre. Le sexe de mon mari est dans la bonne moyenne (on la déjà mesuré, 16 cm) et il sait me donner beaucoup de plaisir mais il navait rien à voir avec celui de Marc.
Ma main ne pouvait enserrer complètement la hampe.
Jai regardé Luc comme pour linterroger. Voulait-il vraiment aller plus loin ?
- Luc : Ouah ! Marc, Cest un sacré engin ! Hein Julie ?
- Moi : Oui. Elle est belle !
- Marc : Et bonne. Tu vas voir, tu vas ladorer.
- Luc : Vas-y Marc. Cette nuit, ma femme est aussi ta femme, si elle le veut bien sûr
. Mais je crois quil ny a pas de souci de ce côté là !
- Marc : Tu es trop belle Julie. Jai trop envie de toi ! Je peux Luc ?
Luc ma embrassé passionnément et sest un peu écarté tout en souriant. Marc ma allongée sur le lit et ma couverte de baisers. Il ma léchée un peu mais jétais déjà prête depuis longtemps. Il sest attardé sur mes seins et jai branlé doucement son sexe. Il était long, dur et gros ; bien plus long et plus épais que tout ce que javais connu.
- Marc : Luc, tiens lui les mains ! Offres-moi ta femme !
Luc sest exécuté et il a maintenu mes mains au-dessus de ma tête. Jétais offerte, Luc moffrait à un autre. Cette pensée ma rendu folle denvie.
Marc était entre mes jambes. Il a pris son sexe avec une main et il a caressé mon sexe avec son gland. Il jouait avec moi. Je respirais fort et je voulais lui dire de me prendre mais je ne voulais pas blesser mon mari. Mon bassin bougeait pour chercher le contact de son sexe.
Jai regardé mon mari dans les yeux et cest cet instant que Marc a choisi pour entrer en moi. Il a poussé et son gland a pénétré mon sexe trempé petit à petit.
- Luc : Bon sang ce nest pas possible. Il te prend ma puce !
Il a fait de petits mouvements en moi. Il sest enfoncé lentement puis sest stoppé. Il navait pas tout entré mais il ma caressé les seins, les cuisses et les hanches. Je nai pas pu me retenir et jai bougé les hanches ce qui ma fait pousser un petit gémissement.
- Marc : Elle en veut ta petite femme.
Il sest alors allongé sur moi, me bloquant de tout son poids et excluant ainsi Luc. Il a commencé à aller et venir dans mon sexe par des mouvements lents et amples. Jai tenté de me retenir mais la tension sétait accumulée depuis trop longtemps et au bout de moins dune minute, je pense, jai commencé à exprimer mon plaisir.
Jai tendu la main et jai saisi le sexe de mon mari. Je lai branlé et jai connu le moment le plus excitant et hard à la fois de ma vie. Un orgasme dune intensité rare ma traversé tout le corps et jai regardé mon mari qui a joui à cet instant. Ses jets de sperme ont giclé jusque sur mes lèvres que jai léchées, gouttant ainsi pour la première fois de ma vie à du sperme. Marc est sorti de ma chatte en se branlant et il a éjaculé sur mes seins et mon ventre. Jai repris mes esprits et regardé mon mari qui souriait.
La pénétration navait pas du durer plus de 3 ou 4 minutes mais on était tellement excités que nous avions tous les trois joui très fort. Je me suis regardée, couverte de sperme, et on a éclaté de rire. Javais du sperme partout. Luc et moi sommes allés prendre une douche et Marc a pris la suite.
Quand il est sorti, on a bu un verre dalcool du mini bar. Cest là que jai appris que ce soir, lorsquil a vu partir Marc, il ma dit aller aux toilettes mais il est allé le rejoindre pour lui proposer de nous rejoindre. Il navait le droit dapprocher de moi que sil entendait de ma bouche que javais envie de lui
Ce que javais dit en quelques secondes seulement. Jétais nue sur les genoux de Luc, assis sur une chaise. Luc sest remis à bander sous mes caresses douces et je me suis mise face à lui. Sa bite a toute de suite trouvé le chemin de ma chatte.
Marc était assis sur le lit et jai pu voir son sexe se dresser, grossir et devenir tellement appétissant. Jondulais sur la bite bien dure de mon mari adoré et il était aux anges. Cette nuit-là, je suis devenue une autre.
Jai fait signe à Marc dapprocher.
- Moi : Marc, tu as entendu Luc ? Jai 2 maris pour mhonorer ce soir. Ne reste pas à lécart.
- Luc : MMMH Coquine va ! Je taime ma chérie. Cest trop bon tout ça.
Marc sest approché et je lai attiré près de nous. Jai continué à bouger lentement sur Luc et jai saisi le sexe de Marc. Je lai branlé doucement et jai donné un coup de langue sur le gland.
- Luc : Vas-y ma chérie, suces-le. Rends-le bien dur et bien gros. Après il va te le mettre.
- Marc : HHMMMM ! Julie ! Jadore !
- Luc : Tu la veux encore hein sa grosse queue ?
- Moi : MMMH OUI !
- Marc : Tinquiètes pas Luc. Tout à lheure, cétait un avant-goût. Je vais la faire crier ta petite femme.
Luc me mangeait les seins et me caressait partout. Le gland de Marc était gros et doux dans ma bouche. Jadorais le sucer.
A un moment, Marc ma fait relever la tête et ma roulé un patin juste sous les yeux de Luc alors que le sexe de mon mari faisait monter mon plaisir depuis un bon moment.
- Marc : Est-ce que tu me veux en toi Julie ?
- Moi : HAAAN ! Oui !
- Luc : Fais la jouir Marc !
Je me suis levée et Marc ma enlacée. La sensation de son corps musclé contre le mien reste un souvenir très agréable pour moi. Marc était « puissant ». Cétait un mâle. Un vrai !
Il sest collé dans mon dos, prenant mes seins à pleines mains. Son sexe était glissé entre mes cuisses et frottait mon sexe. Je gémissais dimpatience.
- Marc : Tu vois comme elle a envie là Luc ? Elle est magnifique ta femme.
Luc nous regardait et je nen revenais pas de le voir se branler doucement sans déceler une once de jalousie ; juste une excitation quil avait du mal à contenir.
- Moi : OH LUC ! tu vois comme il est gros pour moi ?
- Luc : Oui ma puce profite de cette belle grosse queue !
- Moi : Oui mon amour ! Tu veux le voir en moi ?
- Luc : Oui.
- Moi : Alors je vais moffrir à lui.
- Marc : Vas-y Julie, tends moi tes fesses. Elles sont splendides.
- Moi : Alors prends-moi bien fort ! Baises-moi ! Je veux sentir ta grosse queue tout au fond !
Je me suis dégagée de ses bras et je me suis mise à genoux sur le lit. Je me suis penchée pour être à 4 pattes et jai cambré mes reins dans une invite qui ne pouvait laisser Marc de glace. Je me sentais femme, femelle
Chienne
Il sest approché, a présenté son nud à lentrée de ma chatte et il a poussé. Jai senti son sexe me perforer, aller là où aucun autre nétait allé. Jai poussé comme une longue plainte alors quil me pénétrait.
Il sest enfoncé doucement mais dune seule traite. La sensation dêtre ainsi remplie est indéfinissable. Il sest retiré pour senfoncer à nouveau, marrachant un gémissement. Cétait trop bon. Il ma pénétrée longtemps, me faisant savourer toute la taille de son sexe.
Je sentais le plaisir grandir encore et encore. Chaque mouvement était une de plaisir. Cet homme était un dieu. Pour la première fois de ma vie, jai vraiment crié pendant lamour. Marc sest planté tout au fond de moi, semblant vouloir repousser plus loin encore les parois de ma petite chatte. Lorgasme ma laissée dévastée, hébétée de plaisir.
- Luc : He bien ma puce ! Cétait fort !
- Moi : OH mon dieu Oui !
Luc sest approché de moi et ma embrassée. Jembrassais encore Luc quand Marc a repris ses mouvements. Il a appuyé sur ma nuque et je me suis retrouvée les seins sur lit. Marc a affermi sa prise et il a commencé à véritablement me baiser. Je nétais plus quun corps de femelle satisfaite par un mâle. Je criais, je bavais, je couinais et il continuait de plus belle. Les orgasmes se sont enchaînés pendant un long moment alors quil alternait le rythme de ses pénétrations et je sentais toujours autant son engin coulisser dans mon fourreau étroit.
Jai senti son sexe durcir encore, ses coups de reins devenir plus saccadés et il a lâché la purée tout au fond de mon sexe. Je me suis presque évanouie sous la violence de mon orgasme.
Jai senti les hommes me laver mais jétais un zombie ? Je crois que je navais pas envie de faire face à ce quon venait de vivre alors je me suis laissée tombée dans le sommeil sans même me préoccuper de Luc. Je ne savais même pas sil avait joui.
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